Nicolas Barral

L'intrigue démarre bien. C'est rythmé, il y a de l'humour - ah, les scènes avec Hélène sont fort réussies -, il y a de l'action et du suspense. Nous retrouvons aussi les compères habituels du détective tel que Zavatter. L'ambiance est toujours au rendez vous.
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Bande dessinés assez sympa et plutôt rigolote.

J'ai bien aimé la silhouette du pépé en "hologramme" sur la couverture.

Très marrant, on passe un très bon moment surtout si on connait la série originale. Toutes les blagues et farces ne sont pas excellentes mais l'esprit est incisif et certaines répliques tordantes. Le dessin est soigné et juste assez caricatural pour comprendre de quels traits des personnages originaux le dessinateur se moque. Il ya plein de petits détails dans les vignettes qui invitent à une relecture.

A recommander surtout pour les fans de Blake et Mortimer et entre deux albums des célèbres héros !

Très pesant.

Voici une BD découverte par hasard, en accompagnant mes enfants à la bibliothèque, le titre ayant attiré mon attention par son originalité et pour sa thématique.



Le point de départ de l'histoire est le décès du grand-père d'un jeune garçon dont les parents sont séparés. Le jour des obsèques, l'enfant se rend compte qu'il est le seul à voir et communiquer avec le fantôme de son "pépé".



Ma fille de 9 ans (qui n'aime pas trop lire) a dévoré les 4 tomes ! Je pense que cette BD peut plaire à beaucoup d'enfants (mais aussi à certains adultes) car à sa lecture on ressent qu'il n'y a pas de tabous et qu'on ne cherche pas à leur mentir, malgré l'humour qui est toujours présent ! Beaucoup de thèmes variés sont abordés intelligemment (amour, séparation, mort, maladie, deuil, différence, amitié et autres...), dont certains sont douloureux mais traversent la vie de chacun.



Une très belle découverte à offrir à vos ados ou pré-ados !



PS : à lire dans l'ordre (l'histoire évolue de façon chronologique d'un tome à l'autre).

Une parodie amusante écrite par un auteur contemporain : Pierre Veys.



Si on a aimé les BD de Edgar P. Jacobs, parues dans les années 50 et 60, voici avec les mêmes personnages, un rappel fantaisiste et sympathique. L’humour, fin ou pas, est joyeux et sans prétention.

Les aventures d'un médecin à l'été 68 pendant la dictature de Salazare.

Le sujet est abordé sous l'angle "peut on vraiment rester aveugle devant la torture?"

Le sujet est intéressant mais malheureusement il ne se passe pas grand chose.

Déception.

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Fernando est médecin, séparé de sa femme et dont le frère est policier. Sous la dictature de Salazar, il a dans sa jeunesse cotoyé des activistes contre le dictateur dont sa propre femme. Après un incident tragique, Marisa a du s'enfuir en France tandis que Fernando est resté au Portugal, continuant son métier de médecin, séduisant des femmes de militaires mariées et passant des soirées à boire avec son meilleur ami. Une vie légère à l'abri de la politique. Et puis un jour séduit par la personnalité d'un jeune garçon qui a osé s(en prendre aux policiers de la PIDE, il décide de prévenir ses parents qu'il se met en danger. Et là il va se remettre dans l'engrenage de l'activisme à sa mannière en voulant séduire une jolie jeune femme.

Une histoire forte sur un personnage qui ne veut pas forcément s'investir et qui trois fois (à cause de deux femmes et d'un enfant) forcera sa nature pour aider les autres.

A lire.

S'appuyant sur une bonne documentation, Sur un air de fado est un album captivant qui traite avec justesse et brio d'un pan de l'Histoire trop peu évoqué dans le 9e Art.
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Le Portugal sous Salazar n'était pas le lieu idéal pour partir en vacances comme aujourd'hui et encore moins pour y vivre.

Dans cette bande dessinée, on suit la vie d'un médecin qui a subit la dictature, qui s'en accomode désormais, jusqu'au jour où tout bascule. L'histoire, les relations entre les personnages se dévoile petit à petit et on ne peut s'empêcher de se prendre d'affection pour eux.

On les quitte d'ailleurs à regret et on voudrait les suivre encore plusieurs pages.

Fini de rire ! Barral abandonne le second degré et la caricature pour livrer une histoire qui lui tient à coeur, et pour laquelle il signe son premier scénario. Comme son titre le laisse entendre, Sur un air de Fado est une fresque historique douce-amère.
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L'auteur Nicolas Barral a attendu la cinquantaine pour publier un album en solo. Son air de fado mélange talent, mélancolie et maturité.
Lien : https://focus.levif.be/cult..

D’un classicisme classieux, le trait épais et fluide de l’auteur, bien soutenu par une mise en couleurs soignée autour d’une palette subtile, facilite l’immersion dans cette histoire violente et touchante, qui n’élude rien mais ne se complaît pas dans la noirceur. Une réussite.
Lien : http://www.bodoi.info/sur-un..

L’histoire d’un jeune médecin portugais dans les dernières années du régime de Salazar.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..

Univers de l’industrie pharmaceutique pour cette BD de Benacquista et Barral publiée chez Dargaud. 2 hommes et une femme vont être recrutés pour participer aux tests d’un antidépresseur contre un chèque de 3500 euros. Ils sont tous 3 en galère et traînent leurs échecs et des inhibitions. Ils sont prêts à risquer leur santé pour de l’argent.



Après 21 jours de tests et de prise de ce nouveau médicament, les changements de comportement et les effets secondaires sont bien installés. La molécule agit sur leurs failles et les transcendent. Ils deviennent des monstres et attisent les jalousies ou s attirent des ennuis.



Le dessin est classique et précis, j’ai particulièrement apprécié la colorisation avec les transitions entre moment présent et les flashbacks en noir et blanc et le rythme du scénario.



J aurais aimé que la dernière partie de cette BD soit plus développée, la chute de l histoire arrive un peu trop promptement et m a laissé sur ma faim.

Je m'attendais à un livre illustrant les vrais records mondiaux, et en fait non, une histoire intéressante, enquête policière, basée dans l'univers de l'enregistrement des records. Intéressant. Pas fan des dessins mais se lit bien.
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Pour des besoins financiers, deux hommes et une femme sont sélectionnés pour être les cobayes d’un nouveau traitement : un anxiolytique. Être un cobaye signifie bénéficier des effets positifs mais aussi négatifs du médicament. Ils sont enfermés et nous allons suivre l’évolution de cette pilule.



Le concept de suivre les cobayes d’un traitement me plaisait beaucoup, c’est pour cela que j’ai acheté cette BD. Je pensais suivre les personnages jour par jour mais les auteurs ont décidé d’accélérer et de passer directement aux jours intéressants, ceux où les symptômes sont visibles ou évoluent. En parlant d’eux, je suis assez surprise de la tournure du traitement que prennent nos trois personnages. Benacquista et Barral ne font pas dans la banalité et c’est un point fort.



J’ai adoré cette BD mais la fin n’était pas assez détaillée. Le concept est très intéressant et j’aurai aimé avoir une conclusion plus étoffée et riche en informations. Je suis tout de même heureuse de ma lecture.
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Auteur de polar converti au scénario de BD, Tonino Benacquista démontre ici son immense talent : de cette situation rigolote, mais qui aurait pu rester anecdotique, il tire une véritable fable philosophique en même temps qu’une très efficace intrigue de thriller.
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Une bande dessinée sympathique, sans plus. Le lecteur se contente de sourire et de suivre docilement les faits, alors qu’il pouvait espérer le fou-rire, l’attendrissement et la palpitation d’une trame policière.
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Que cela soit sur la forme ou le fond, le nouvel album de Nicolas Barral & Tonino Benacquista convainc par son innovation et sa maîtrise.
Lien : http://www.actuabd.com/Le-Gu..