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Citations de Ninon Amey (86)


« Élizabeth se délecta de ce moment qu’elle n’oublierait sans doute jamais. Les visages rayonnants de ses amies la comblaient de joie. Le bonheur résidait là, dans ces petits instants fugaces, mais tellement parfaits. »
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“Ca veut tout simplement dire que je suis dingue de toi et que t’imaginer avec un autre, m’a fait péter un câble”

“Tu as dit qu’on ne pouvait pas empêcher les gens de tomber amoureux. Et tu as raison, je te le confirme, parce que je suis tombé amoureux de toi, Caroline.”
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Il est des blessures qui sont difficiles,voire impossible à guérir
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Dès mon plus jeune âge, j'ai toujours su rebondir, quelles que soient les épreuves que la vie a mises sur mon chemin. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais baisser les bras.
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« Rien ne nous interdit de nous aimer. C’est la raison pour laquelle, quand il s’approche un peu plus de moi, je le laisse faire. Quand il m’enlace, je ne m’y oppose pas. Et quand il pose ses lèvres sur les miennes…Je réponds à son baiser. »
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Ça fait tellement longtemps que j’ai oublié ce qu’on éprouve quand tout va bien dans sa vie. Le saurai-je à nouveau un jour ? Ai-je le droit d’y croire et de l’espérer ?
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Nous avons tendance à perdre notre sang-froid — ou, à l’opposé —, nous nous barricadons pour éviter d’exploser ! Souvent susceptibles, peut-être même un peu « paranos », nous nous sentons plus ou moins envahis ou bloqués, aspirant à la solitude, mais fébriles une fois seuls. Sa conduite est troublante mais le désert s’installe sitôt qu’il disparaît !
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Le regard qu’il pose sur moi est dénué de jugement, ce qui ne serait sans doute plus le cas s’il savait. Même celui de ma mère a changé, dès l’instant où elle a découvert la vérité. C’est simple, en général, les gens qui l’apprennent ressentent soit de l’aversion, soit de la pitié. Et, dans les deux cas, c’est difficile à encaisser.
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Nous nous étions embrassés et, une chose en entraînant une autre, nos gestes s’étaient enhardis. Nous avions fini par céder à notre désir, devenu incontrôlable, dans la précipitation, avec la crainte de nous faire surprendre en pleine action. Après coup, j’avais regretté. Tout était allé si vite, j’aurais préféré prendre mon temps, attendre un moment plus opportun.
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Je culpabilise d’être resté à ce point dans ma bulle. Je pensais, à tort, que j’étais le seul à avoir des problèmes. Aujourd’hui, je prends conscience qu’il n’en est rien. Que je n’ai pas le monopole de la souffrance. Je me promets alors de faire l’effort de m’intéresser aux autres. Et je commencerai dès demain.
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Mon cerveau, dans un instinct de survie, a disjoncté au moment où j’avais le plus besoin de lui. Je ne sais pas si je dois m’en réjouir ou hurler de rage. Enfin, si j’étais capable de le faire, bien sûr. Quoi qu’il en soit, je suis là, maintenant. Je me suis promis de tenir le coup, de travailler dur pour obtenir mon bac et de trouver un métier.
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Je dois construire mon avenir. Non, notre avenir. Et pour ça, je suis obligé de passer par la case baccalauréat. Pas le choix.
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Revoir son vieil ami avait fait remonter un flot de souvenirs qu’elle pensait oubliés depuis longtemps. Leur échange avait ravivé les douleurs toujours présentes au fond de son cœur. Elle n’aurait jamais imaginé s’émouvoir de la sorte en les mentionnant. Pourtant, force était de constater que sa blessure était encore à vif. Elle ne guérissait pas aussi vite qu’elle l’aurait souhaité. Il était d’ailleurs fort probable qu’une infime partie d’elle n’ait pas envie qu’elle cicatrise. Avoir mal, cela signifiait ne pas oublier.
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Celle qui avait disparu brutalement de sa vie un jour de mai, plus de cinq ans auparavant, sans aucune explication. Il mourait d’envie de la toucher, pour vérifier que ce moment était réel, mais il se souvenait qu’elle ne tolérait pas le moindre effleurement. Il s’en abstint donc, réprimant un soupir frustré. Durant ces quelques secondes de flottement, aucun d’eux n’avait rompu le silence qui les enveloppait. Il n’était pas dérangeant, ils en avaient l’habitude.
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Elle n’avait pas changé, elle était toujours telle que dans ses souvenirs. Des yeux d’un bleu limpide, des joues que l’émotion avait fait rosir, une bouche pleine. Seuls ses cheveux semblaient un peu plus courts, ils tombaient à présent juste sous ses épaules.
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Il aimait apprendre et lisait déjà à la perfection. Matthias était fier de ses capacités, qu’il tenait de sa mère, cela ne faisait aucun doute. C’était dommage qu’elle ne soit plus là pour le constater. Le coulissement de la porte, annonçant l’arrivée d’un client dans la boutique, le ramena au moment présent. Son patron, monsieur Daubusson, se précipita pour l’accueillir. C’était l’une de ses règles d’or : l’acheteur potentiel ne devait en aucun cas attendre. Les professionnels avaient pour ordre de les choyer au maximum afin de les fidéliser. La concurrence était rude dans le métier.
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J’aimerais parfois lui dire que ces années de lycée sont les meilleures, qu’après, la vie devient vite plus compliquée.
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- Tu as pris Camille pour ta mère, jeudi.
Suzanne ferma les yeux. Elle avait si honte.
- Je crois qu'elle lui ressemble.
- Je sais.
- Pas seulement physiquement.
- Je sais.
[...]
Suzanne sourit à son mari. Le silence revint dans la pièce. Au bout d'un moment, Émile s'inquiéta. Il avait peut-être peur qu'elle reparte dans son monde.
- Tu es là, mon amour ?
- Oui, je suis toujours là. Mais quand je ne serai plus là, pour de bon, tu lui donneras le cahier, d'accord ?
[...]
- À Martine ?
- Non, à Camille. Raconte-lui. Je veux qu'elle sache. Elle lui ressemble tellement. Elle doit savoir... D'accord ?
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La vieille femme descendit l'escalier en traînant les pieds. Elle venait de fermes les volets à l'étage pour la nuit et savait que la première chose qu'elle ferait le lendemain matin serait de les rouvrir. Sa routine quotidienne débutait et se terminait avec cette tâche répétitive. Le reste de la journée, elle chassait la poussière qui s'accumulait continuellement sur les meubles devenus inutiles, ou arrachait quelques brins de mauvaise herbe ici et là dans le jardin, signes qui ne trompaient pas : le temps poursuivait inlassablement sa course...
Seule dans la grande maison vide, elle regrettait les ‒ trop brefs ‒ instants de joie ainsi que la musique qui y avait résonné par le passé. Les murs avaient été parfois témoins de moments de chagrins et de colère, certes, mais elle ne souhaitait garder que le meilleur. Ces souvenirs heureux lui permettaient d'avancer jour après jour, de tenir le cap, même si elle n'avait plus vraiment de but, désormais.
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L'amour et l'amitié sont des valeurs très importantes dans ma vie. D'ailleurs celle-ci ne vaudrait pas la peine d'être vécue, si elles n'y avaient pas leur place, n'est-ce pas ?
[Abigaïl à David]
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