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Critiques de Olav Hergel (14)
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L'otage

Ce livre n'est pas une œuvre littéraire exceptionnelle mais c'est une réflexion sur les politiques d'immigration qui elle, est exceptionnelle et très bien documentée.

ATTENTION ce livre est dangereux : Il pose des questions et incite à réfléchir !

L'auteur est un journaliste danois. Les sujets abordés sont eux universels !

Est ce possible qu'en France aussi, il existe des patrons de presse capables de ne penser qu'à ses lecteurs types, symbolisés par des personnages en carton.... Et qui ne publieront que ce qui interpelle cette caricature, ce qui est sensé le conforter dans ce qu'il est, dans ce qu'il pense, le but étant de rentabiliser le journal, et surtout pas de transmettre une information qui pose question !

Vous rendez vous compte, l'information pourrait faire réfléchir, pourrait servir à éduquer, à former un vrai sens critique, et pas seulement à faire du fric !

Est ce possible qu'en France aussi, on oublie que souvent les terroristes sont des victimes d'enchaînements "à la con" qui font d'une banale situation de conflit, le début d'un drame humain que certains s'empresseront d'utiliser à des fins assassines car l'incompréhension conduira à des actes d'humiliations et pour finir même de tuerie, alors que les instigateurs, les meneurs resteront bien à l'abri dans leurs murs d'absolutisme et de donneurs de leçons !

Vous rendez vous compte, la réflexion et l'éducation pourraient amener à ne pas réagir n'importe comment et à prendre en compte nos différences, sans condamner l'autre mais à l'accepter, et en même temps à ce qu'il nous accepte tel que nous sommes nous aussi.... Ça doit s'appeler le respect mutuel je crois !

ATTENTION ce livre fait peur : ce qui est décrit là, pourrait se passer dans n'importe quel pays européens. Les dérives de la presse, les discours qui dérapent vers des zones nauséabondes peuvent être repérés dans toutes nos démocraties.

ATTENTION ce livre ne raconte pas une histoire : "ce roman est une fiction. Tous les personnages sont imaginaires et morgenavisen Danmark n'existe pas. Toute ressemblance avec des personnes, des institutions ou des médias existants n'est, comme l'écrivain allemand Heinrich Böll l'a exprimé, ni intentionnelle ni fortuite, mais tout simplement inévitable. Certains des propos attribués aux personnages sur la politique, la presse ou les immigrés ont été officiellement tenus par des personnes réelles au Danemark, tout comme certaines déclaration sont été formulées dans d'autres contextes, dans les médias danois et internationaux. " (extrait de la postface du roman)

Ce livre est une peinture de notre époque, que cette postface résume très bien. Puisse l'avenir nous conduire vers des solutions prenant en compte les problèmes posés mais sachant leur proposer des voies qui ne heurteront pas nos consciences et ne nous feront pas renier notre passé et nos valeurs morales.

Essayons de démentir le refrain de ce livre :

"La politique de l'immigration est un jeu dans lequel tous les partis luttent les uns contre les autres pour qu'à la fin l'extrême droite l'emporte. "
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L'otage

Rikke Lyngdal est une journaliste danoise en déplacement en Irak où se déploient, aux côtés des américains, les troupes danoises. Téméraire, elle s’aventure hors du camp militaire qui l’héberge, jusqu’au jour où elle est enlevée par un petit groupe d’Irakiens. Elle parvient miraculeusement à tromper la vigilance de ses geôliers et à se libérer. Elle est alors accueillie en héroïne dans son pays, le Danemark. Peu de temps après, le doute s’installe, semé par un journaliste en quête d’un article à sensation : qui est le mystérieux jeune homme aux yeux bleus que l’on voit aux côtés de Rikke Lyngdal ? Ne ressemblerait-il pas à son geôlier en Irak ? Et si Rikke Lyngdal avait menti ?



Par delà l’histoire de Rikke et de Nazir, unis par des liens qu’on pourrait qualifier de filiaux voire parentaux (Nazir a 17 ans), l’auteur construit une solide réflexion autour de la politique de son pays, notamment la politique d’immigration, absolument drastique, au contraire de la Suède, pays voisin plus souple, ainsi qu’autour du monde journalistique. Parfois d’ailleurs, les considérations politiques ou journalistiques l’emportent sur l’intrigue, ce qui donne au roman des impressions de longueur. A d’autres moments, quand l’intrigue reprend le dessus, le rythme s’accélère et le lecteur est captivé.
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L'otage

Il m’est difficile de trouver comment débuter mon article sur cet extraordinaire roman noir.



Peut-être commencerais-je donc par dire qu’on se situe avec L’otage aux frontières du policier. A bien des égards il s’agit presque d’un documentaire. Ce n’en est pourtant pas un puisque tous les personnages ainsi que l’intrigue sont des évènements tout droit issus de l’imagination fertile d’Olav Hergel. Pourquoi le qualifier alors de quasi-documentaire ou de docu-fiction ? Tout d’abord parce que cette histoire, bien qu’inventée aurait pu (ou pourrait) se dérouler à tout moment au Danemark, mais surtout parce que de nombreux aspects de la société danoise nous sont exposés comme le ferait un journaliste (ce qui n’est pas un hasard puisqu’il s’agit précisément de la profession de l’auteur). Si les sujets principalement abordés sont la politique et l’immigration, d’autres le sont également.



L’Otage, c’est aussi une plongée au cœur des médias danois : presse écrite tout d’abord, puisque Rikke Lyngdal, la charmante héroïne de ce roman est journaliste dans un des plus grands quotidiens de la capitale, mais aussi la télévision.



En matière politique, Olav Hergel nous donne à voir les arguments des différentes forces en présence (en matière d’immigration mais pas seulement) et ce sans véritablement prendre parti, laissant le lecteur se forger son opinion propre.



Ce premier roman est pour moi un chef-d’œuvre (sans doute un des meilleurs livres que j’ai eu l’occasion de lire en 2008). C’est donc avec grand plaisir que je lirai le prochain roman de ce talentueux auteur danois.



Je tiens à féliciter au passage l'éditeur (Gaïa) pour sa collection (Polar), dans laquelle je n'ai pas souvenir d'avoir trouvé un mauvais livre.
Lien : http://hanniballelecteur.ove..
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L'otage



L’otage est avant tout un livre sur l’immigration et sur la presse. Il parle des réfugiés. Pourquoi fuient-ils leur pays? Parce qu’il y a la guerre, qu’ils ont perdu leur famille ou qu’ils risquent d’être exécutés. Comment la justice danoise se comporte-t-elle vis à vis d’eux? Visiblement lentement et de façon assez inhumaine répond Olav Hergel. Il parle aussi de la presse face à la vérité. Comment un journal peut-il traiter des sujets sensibles? Dire la vérité ou dire ce qui arrange certains? Il y a ce que veut le directeur du journal: du journalisme vendeur, du journalisme de campagne. Et iI y a aussi ce qu’un journaliste voudrait voir publier ou au contraire ce que sa conscience l’empêche de dire. C’est donc d’abord un livre de réflexion, voire de combat, avant d’être un roman. Et les sujets abordés sont importants.





Le récit débute par la vie au camp de la force militaire danoise à Bassorah, en pleine guerre d’Irak. Rikke journaliste danoise - qui y séjourne temporairement - est enlevée par un mouvement de libération. C’est Nazir, jeune irakien qui a été chargé de s’emparer d’elle et de la garder recluse. Elle est retenue otage trois semaines. Son retour au Danemark est l’occasion d’un coup médiatique dont profite son journal. Mais elle sombre vite dans la dépression. Et vivant seule, elle n’a personne pour l’aider à surmonter ses difficultés. Et puis « sa vérité » sur sa fin de détention est peu crédible. Dans le même temps, Nazir qui ne supporte plus le rôle que le mouvement de libération lui fait jouer, quitte l’Irak et rejoint le Danemark. Pourquoi le Danemark? Parce qu’il pense que c’est un pays qui accueille bien les réfugiés, ce qui s’avèrera être faux. Nazir vit dans un camp, dans l’attente d’une hypothétique régularisation…





A partir de là tout s’accélère. Les journalistes veulent le scoop quoiqu’il en coûte, les hommes politiques dramatisent pensant surtout à se faire réélire, les fonctionnaires administrent de façon zélée, Rikke et Nazir sont, pour des raisons différentes, en danger. Le suspense grandit. Rikke va-t-elle se rétablir? Est ce que quelqu’un va remettre en cause le récit de Rikke? Avec quelles conséquences pour elle? Est ce que Nazir va être renvoyé en Irak? Nazir ne va-t-il pas contacter, à un moment ou à autre, Rikke? Avec quelles répercussions sur la vie de chacun d’eux? Vers la fin, le roman se transforme en page turner haletant, tout en conservant sa force politique. L’otage est un magnifique roman qui à la fois tient en haleine et fait réfléchir. L’autre livre d’Olav Hergel, ‘Origine étrangère’ est aussi un grand roman. Mais hélas, ce sont les deux seuls titres publiés en langue française de cet auteur.
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L'otage

Excellent!!!
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L'otage

Difficile de classer ce roman comme un simple polar ; l'intrigue est surtout prétexte pour Olav Hergel à démonter le fameux système danois très envié : petit pays riche, numéro un mondial des pays dans lesquels nous aimerions vivre. Sous ces aspects de pays particulièrement agréable, on y découvre en fait une société en proie à la peur des immigrés, entretenue quotidiennement par un parti d'extrême droite (le Parti du Peuple Danois) qui fait la pluie et le beau temps dans la politique danoise. En effet, fort des intentions de vote en sa faveur, ce parti s'allie avec tel ou tel autre parti de pouvoir : les ambitions personnelles des uns et des autres font le reste. Olav Hergel dressse donc un portrait peu flatteur de son pays, des ses hommes et femmes politiques, mais aussi (et presque, surtout) de ses journalistes. Il maîtrise très bien son sujet étant lui-même journaliste depuis plus de vingt ans.
Lien : http://lyvres.over-blog.com/..
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Origine étrangère

C’est un roman ‘coup de poing’, moderne par le fond et classique par la forme. Il aborde des sujets importants tels que les difficultés d’intégration des immigrés de seconde génération, le racisme ordinaire, la déontologie des journalistes et les errements des partis politiques face au problème de l’immigration. C’est facile à lire mais dur à supporter, car le sujet est grave et le récit criant de vérité prend aux tripes. On est plus près de la tragédie classique que du roman policier. Nous sommes au Danemark, mais nous savons que ça pourrait se passer dans n’importe quel autre pays d’Europe.





Comme dans toute tragédie, il y a un côté inéluctable qui broie les protagonistes. Ces jeunes immigrés, même s’ils veulent s’intégrer sont confrontés au racisme ordinaire. Alors ils se rebellent, se rassemblent en bandes, se révoltent et se dirigent vers une vie de délits, voire de crimes. Et les journaux se déchaînent relatant les exactions commises par des immigrés, et les lecteurs danois de souche réagissent en basculant un peu plus à droite, ce qui accroit cette méfiance envers les immigrés, et pour certains immigrés cette haine des danois. Est ce irrémédiable?





Comme dans toute tragédie, il y a aussi des personnages déchirés par le choix qu’ils ont à faire. Zaki d’origine marocaine, doit-il agir en bon citoyen danois, et dire ce qu’il sait à la police et à la justice, ou doit-il être solidaire de cette communauté d’immigrés, et ce quelque soit l’importance du crime dont il a été témoin? Rikke, la journaliste de Danemark matin doit-elle révéler que Micky Madsen, le videur tué par un immigré, était ‘le plus raciste des videurs de la ville’ au risque de détruire la vie de sa veuve et de sa fille? Et si cette révélation mécontente le lectorat et fait baisser les ventes? Et si la non révélation des faits concernant Micky Madsen mécontente les jeunes immigrés et engendre des émeutes dans Norrebro, banlieue à problèmes de Copenhague? Et enfin Kristian Holm, premier ministre, doit-il, face à des émeutes de banlieue provoquées par de jeunes immigrés, montrer plus de fermeté, réprimer tout débordement ou au contraire tendre la main à la communauté immigrée au risque de rompre son alliance avec le parti nationaliste? Tout le récit repose sur les choix successifs de ces trois personnages: Zaki, Rikke et Kristian Holm.





Un autre personnage est intéressant c’est Jamil. Jamil est un des rares ponts entre la communauté des immigrés de seconde génération et les danois de souche, en l’occurence la journaliste Rikke. Il ne fera rien contre ses congénères, mais peut entrer en contact avec des danois de souche comme Rikke, il peut lui expliquer, il peut la comprendre et il peut la protéger. Il peut sans doute faire cesser les émeutes, rien n’est sûr quand même. Mais à lui tout seul, il ne peut pas réconcilier tous les jeunes immigrés en colère avec les citoyens et hommes politiques de la droite nationaliste. Mais les hommes politiques peuvent changer d’avis, si on les convainc.





C’est fort. Il y a un suspense permanent. Vers la fin, il y a beaucoup d’émotion et une touche d’optimisme aussi. Cela fait réfléchir. Un très grand roman. Impensable que si peu de personnes n’aient lu un tel chef d’oeuvre.

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Origine étrangère

Que pouvait-il arriver de pire à la famille el Azizi, venue du Maroc s'installer au Danemark pour y trouver un avenir meilleur ? Ils ont travaillé comme des fous, se sont installés dans une maison agréable, ont élevé très correctement leurs enfants, d'ailleurs Zaki vient de réussir son bac, à la grande joie de sa petite sœur Sarah et à la grande fierté de ses parents. Son père est apprécié dans son travail, sa mère Rabia se fait un point d'honneur à ne pas se laisser taxer d'épouse soumise et revendique son droit au foulard : alors, pourquoi leur vie bascule-t-elle dans l'horreur ce samedi soir où Zaki et ses copains Rassan, Kamal et Muddi veulent fêter la fin de l'année et les succès scolaires dans une boîte de nuit ?

Pourtant, tout commençait bien, Muddi, connu pour ses liens avec les voyous, a accepté de se débarrasser de son couteau, une jeune fille aux « yeux d'automne » sourit à Zaki et ils doivent se retrouver à l'intérieur. Sauf que. Sauf que les jeunes immigrés font la queue, inlassablement, sous le regard narquois du videur, et malgré leurs demandes répétées, le videur leur promet des heures durant une entrée qui n'aura jamais lieu. Alors Zaki, devant tant d'injustice et de méchanceté donne un « coup de boule », les autres lui viennent en aide et le videur reste sur le sol dans une mare de sang.

Commentaires des témoins, gros plans sur le sang, sur la femme du videur, enceinte et éplorée, les médias s'emparent du fait divers et en font leur miel (leur beurre?).

La journaliste qui mène l’enquête, à charge d'abord, puis de façon plus objective, arrivera à prouver que le videur a été l'arme de sa propre mort, mais à quel prix !

On voit ici s'affronter tous les acteurs du monde moderne, politiques, journalistes, groupuscules islamistes, familles d'immigrés devenues otages de la guerre enclenchée. C'est passionnant, plein d'émotion, de réflexion, d'invitation à méditer sur les prises de position abusives par les tenants des pouvoirs politico-médiatiques, sur le métier de journaliste aussi.

Un très, très, bon livre !
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L'otage

Il vaut mieux ne pas lire cet ouvrage pour l'intrigue, qui, même si elle est plutôt bien menée côté suspense, n'en est pas l'aspect le plus intéressant.

Le plus intéressant dans ce roman, c'est bien plutôt la mise à nu du journalisme et des rouages politiques dans le petit pays du Danemark, et le décorticage de la montée en puissance des opinions d'extrême-droite. Les réflexions sur la façon de traiter l'immigration semblent terriblement actuelles... Moi qui pensais au Danemark comme à la patrie d'Andersen et Kierkegaard, en voilà une autre vision, bien plus noire, bien moins attrayante ! Le machiavélisme des partis politiques et leurs relations anormalement étroites avec la presse nous sont présentés au grand jour. Ca laisse à réfléchir sur la situation d'autres pays...
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L'otage

Malgré quelques passages un peu lourds et des réflexions parfois inintéressantes sur la politique de migration au Danemark, j'ai apprécié l'histoire et les personnages. Paradoxalemement, les opinions de l'auteur sur l'accueil des réfugiés et la politique de son pays font partie des bonnes surprises de ce livre car ce sont des sujets peu souvent traités.
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L'otage

La journaliste Rikke Lyngdal est kidnappée en Irak et parvient à s'enfuir. Acclamée comme une héroïne nationale à son retour au Danemark, peu à peu, elle va devoir faire face à la vérité, sous les feux médiatiques, où les hommes politiques se battent pour légitimer leur place.
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L'otage

" Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark." Et pas seulement là ! L'histoire de la journaliste Rikke Lyngdal et de son ami Nazir, jeune Irakien, serve de prétexte à Hergel pour faire une critique à la presse et aux partis politiques de son pays (ô combien elle nous est pertinente !).

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Origine étrangère

Zaki, jeune homme danois d’origine marocaine, vient d’obtenir son bac. Ses parents sont très fiers car ils y voient un signe fort d’intégration à la société danoise. Eux qui ont toujours fait profil bas sont heureux d’assister à la cérémonie de remise de diplôme de leur fils. C’est lors d’une sortie en discothèque que tout dégénère : Le videur est retrouvé mort.



Cette affaire prend une tournure de conflit multiculturel (un bon père de famille danois victime de la violence arabe) alimenté par le parti nationaliste danois et amplement relayé par les médias qui voient là le sujet idéal pour faire grimper leur audimat. Pour Rikke Lyngdal, journaliste mise au placard, c’est l’occasion de revenir dans les colonnes de son quotidien, car si tout le monde va dans le même sens, elle va trouver des éléments montrant que l’affaire n’est pas aussi simple qu’elle en a l’air.



Interactions entre les médias et la police, métier du journaliste et rôle du journalisme dans l’opinion publique, récupérations politiques… Ce polar analyse la société danoise, la montée des extrémismes à travers une intrigue passionnante et au rythme soutenu. Origine étrangère est le deuxième roman d’Olav Hergel, lui-même journaliste. Otage, son premier opus dans lequel on découvre le personnage de Rikke Lyngdal, est également une réussite. Les deux polars vous promettent un très bon moment de lecture.

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Origine étrangère

Ce roman, écrit avant tout par un journaliste reporter, se lit effectivement comme une brillante enquête approfondie de la société danoise et frappe par son aspect très réaliste et sérieux, sans concession, plutôt critique mais vraiment convaincant.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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