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Critiques de Olivier Dutaillis (35)
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Albert et Charlie

Une pièce que j’aurais eu un grand plaisir à voir. Un dialogue inventé entre deux génies du XX° siècle Einstein et Charlie Chaplin. C’est souvent drôle, tragique aussi . L’auteur concentre sa pièce sur trois moments de leur vie. D’abord quand Einstein, découvre avec horreur le sort des juifs sous la botte nazie, et que Chaplin veut faire un film en se moquant d’Hitler. Le deuxième moment Einstein s’en veut d’avoir pousser Roosevelt à construire la bombe atomique enfin la dernière scène Charlie Chaplin victime de la commission d’épuration menée par McCarthy vient voir une dernière fois son ami avant de s’exiler en Suisse. Il y a aussi un gouvernante qui permet d’avoir un lien avec l’extérieur.



Tout le travail de l’auteur c’est de nous faire comprendre à la fois le génie de ces deux hommes extraordinaires et la différence de leur démarche. Tous les deux sont des créateurs et ont besoin de liberté pour créer mais ils réagissent très différemment. Dison que Chaplin est plus humain qu’Einstein et qu’il finira sa vie dans une forme de bonheur familial qu’Einstein n’a jamais onnu.

Un beau texte et une grande envie de le voir sur scène
Lien : http://luocine.fr/?p=16645
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La pensionnaire du bourreau

Livre bien documenté, construit et intéressant. En revanche, je nai guère apprécié l'adaptation télé. Je ne l'ai d'ailleurs même pas regardée jusqu'au bout gagnée par l'ennui. Dommage car le livre est vraiment bien et vaut la peine qu'on s'y arrête.
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La pensionnaire du bourreau

Son roman caracole de page en page – d'acte en acte ? – avec une science des ruptures, des surprises, qui pimente constamment la lecture.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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La pensionnaire du bourreau

Une belle immersion dans le Paris de la Révolution française de 1789 à 1794.



Les principales qualités de ce roman sont :



- les connaissances approfondies de l'auteur et un travail très sérieux : (la bibliographie en fin d'ouvrage le démontre). Décrire sous forme romanesque la Révolution de 1789 à 1794 en 462 pages : bravo !



- la peinture de la vie quotidienne : les sections, la diffusion des journaux, les cafés, le Palais-Royal, les assemblées parlementaires…



- les portraits des grands ténors (Mirabeau, Danton, Robespierre, Saint-Just, David….),



- l'originalité de décrire la vie de la famille Sanson.



- quelques pages sur la Vendée vraiment très réalistes à part l'évasion de Manon...



Dommage que l'histoire s'arrête à l'été 1794 comme beaucoup de romans sur cette période…



Par contre, j n'ai pas pu m'attacher à l'héroïne, Manon, dépourvue de sentiments et d'empathie, à la fois fade et docile ou complètement hystérique notamment sur la place des femmes ! Je ne suis pas arrivée à la situer : elle fréquente les clubs les plus engagés mais semble modérée quant à ses idéaux…



Je crois que c'est "mon problème" avec cet auteur ! J'avais détesté sa pilleuse d'oeuvres d'arts dans son roman "Une aventure monumentale" !)



La tentative d'assassinat de Lafayette est vraiment complètement invraisemblable, dommage car pour une fois qu'un roman décrit bien l'évènement du Champ de Mars le 17 juillet 1791 où Lafayette a ordonné de tirer sur une foule pacifique de pétitionnaires…



Quelques erreurs historiques:

- le mot terreur n'a été inventé qu'après Thermidor an II,

- la politique de la Convention vis à vis de la demande des sans-culottes de "mettre la terreur à l'ordre du jour")

- Robespierre Maximilien n'a jamais été le parrain d'Horace Desmoulins...



Un beau roman malgré un style un peu sec.
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La pensionnaire du bourreau

La Révolution française au coeur de ce roman. On y découvre le climat de cette époque. Très bon roman.
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La pensionnaire du bourreau

A 19 ans, Manon Deschaumes fuit la Vendée, une terre où la noblesse profite de ses privilèges jusqu’à abuser d’une enfant et soumettre ses parents. Elle voyage jusqu’à Paris avec Benjamin Lecerf, un jeune avocat anticlérical, député, fier de rejoindre les États généraux avec son cahier de doléances.

C’est lui qui lui donnera l’adresse d’une auberge tenue par Morel, un vendéen lui aussi ou elle trouvera finalement un emploi de serveuse.

A Paris, elle découvre la misère, la prostitution à laquelle elle échappe en trouvant une location chez Sanson, le bourreau de Paris où elle vivra un peu comme la fille de la famille au cœur de la Révolution puis de la Terreur.

Cette proximité mettra le lecteur en première loge des nombreuses victimes de la guillotine.

Chez Morel et grâce à Benjamin, elle rencontre les jeunes hommes de la Révolution, Camille Desmoulins, Danton, Robespierre. Elle pose pour David, croise le marquis de Sade.

Certes l’auteur en choisissant de parler de cette époque avec le regard de Manon, personnage de fiction, oriente les points de l’Histoire qu’il traite. On croise davantage Lucile Desmoulins, Charlotte David, Charlotte Robespierre (sœur de Maximilien), Gabrielle puis Louise Danton. Manon, en grande humaniste, a foi en la Révolution mais prend aussi des risques pour aider un prêtre antirévolutionnaire ou une noble par reconnaissance ou sympathie. En femme volontaire, elle dénonce dans La gazette de Manon qu’elle crée avec Benjamin, les injustices faites aux femmes. La révolution apporte la légalisation du divorce, le droit d’héritage des femmes.

Sa jeunesse et sa beauté la sauveront plus d’une fois de situations désespérées.

Olivier Dutaillis choisit de montrer dans cette révolution quelques points qui ont encore aujourd’hui un écho dans nos sociétés comme la moralisation de la politique, le pouvoir de la religion, le racisme et l’esclavage, le poids du journalisme, le rôle des femmes.

Au travers de cette romance d’une jeune femme courageuse et marquée par les évènements, j’ai retrouvé les grands moments et les grands noms de la Révolution de la prise de la Bastille au déclin de Robespierre.

Ce n’est pas un roman pour apprendre l’Histoire car les grandes figures y sont peu développées mais pour reconstituer le climat de cette époque sous les yeux d’une jeune provinciale et peut-être aussi ceux du bourreau.



Un roman historique d’aventures que j’ai pris plaisir à lire.
Lien : http://surlaroutedejostein.w..
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La pensionnaire du bourreau

Quand Manon quitte sa Vendée natale, elle fuit son passé et son enfance douloureuse pour rejoindre Paris. A cette époque, en 1789, Paris est en plein ébullition et elle va alors se retrouver au cœur des évènements les plus importants. Pensionnaire chez Sanson le bourreau, elle fera d'abord la connaissance du peintre David pour qui elle posera et sa place de serveuse lui permettra d'y côtoyer les plus grands de la Révolution. Sa rencontre avec Benjamin la poussera encore un peu plus à s'intéresser à la politique, à s'affirmer en tant que femme et à vouloir affirmer également un peu plus ses droits. Petite fille du peuple, Manon nous emmène alors dans les coulisses de la Révolution française.



La Révolution, un sujet traité maintes fois dans les romans est une fois de plus au coeur de ce roman MAIS cette fois-ci la parole est donnée aux femmes et surtout à une femme : Manon. Manon représente un peu l'exemple de l'époque, une jeune fille qui quitte la ferme familiale et part s'installer à Paris pour essayer d'y vivre mieux. Mais sans le savoir, rapidement elle prendra part plus qu'elle ne le pense à cette Révolution qui commence alors qu'elle vient d'y arriver. Quelque peu naïve, elle s'affirmera au fil des évènements prenant part dans la lutte, osant braver les interdits que lui impose son statut de femme et défendant férocement les droits de la femme.



Du prémice de la Révolution jusqu'à l'abolition de l'escalavage, Manon traverse les évènements majeurs de l'époque. Les faits historiques sont narrés avec justesse et on retrouve dans ce roman les grands noms de l'époque tels que Robespierre, Danton, Desmoulins ou encore le peintre David avec une autre facette. Du point de vue du peuple, nous lisons alors au fil des pages ce qu'engendre la Révolution pour celui-ci. La prise de la Bastille, la mise au point de la guilltotine, la mise à mort de Desmoulins rien n'est laissé à part.



Olivier Dutaillis à travers ce roman réussit à passionner le lecteur dès le début, grâce au point de vue féminin sur l'Histoire au travers du regard de Manon mais également (et surtout) grâce à son écriture originale et passionnante. Les chapitres s'enchainent avec un rythme soutenu qui ne faiblit jamais. Chacun apporte son lot de faits historiques sans pour autant nous abrutir de détails longs et/ou ennuyeux. En plus de cela, l'auteur a réussi à faire de Manon un personnage attachant et humain, elle nous transporte littéralement dans ces années sombres de l'Histoire sans jamais se défaire de sa jeunesse.



En bref : oubliez donc les longs cours ennuyeux d'histoire, plongez-vous dans La pensionnaire du bourreau pour revivre cet évènement majeur de la France ! Dévorez l'Histoire comme jamais avec le regard de la courageuse Manon et avec passion. Un véritable coup de coeur littéraire qui se doit d'être lu !
Lien : http://www.ptitblog.net/livr..
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La pensionnaire du bourreau

J'ai adoré ce roman. Nous plongeons dans l'histoire de la Révolution Française de ses débuts ( 1789 ) jusqu'après la Terreur, à travers les yeux de Manon, jeune paysanne vendéenne qui quitte sa région natale pour fuir un passé douloureux.... Elle se retrouve alors propulsée dans le tourbillon des évènements de 1789 et découvre un Paris en pleine effervescence intellectuelle et côtoie, par intermédiaire de Benjamin, son compagnon député de la constituante, les grands de cette période : Camille Desmoulins, Danton, Marat, Robespierre ...etc

Je ne suis pas particulièrement attirée par cette période notre Histoire de France mais là, j'avoue avoir été bluffée, par ce roman d'Olivier DUTAILLIS, fort bien documenté ( une bibliographie est à disposition du lecteur en fin d'ouvrage pour ceux qui souhaitent approfondir certains sujets évoqués dans le roman ou découvrir plus avant certains personnages ) ...

Bref, l'histoire puissante d'une jeune femme courageuse, éprise de liberté et de tolérance ...

A LIRE ABSOLUMENT !!!
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La pensionnaire du bourreau

La révolution vécu par une femme, on y plonge de manièr très agréable avec Manon. On vit cet épisode majeur de l'histoire de France avec des personnages attachants dont la famille du bourreau.

Les grands protagonistes de cette époque prennent corps avec notre héroïne.
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Le jour ou les chiffres ont disparu

Une belle écriture simple, directe et souvent drôle, un attachement grandissant à Anna et à son psy au fil de la lecture, une fin totalement décalée mais pourquoi pas…



Une bonne découverte d’un auteur jusque là inconnu pour moi.
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Le jour ou les chiffres ont disparu

Je suis un fana des maths et je considère qu'elle sont le langage de la nature. Cette idée de faire disparaitre les nombres est très originale et j'ai trouvé le livre très intéressante et plein d'humour. Je l'ai lu en un seul trait à l'occasion d'un déplacement en train.
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Le jour ou les chiffres ont disparu

bonne surprise, on ne s attendait pas a cela.....impossible d en parler de peur de deflorer l histoire; le risque est peu important le livre tres court se lit tres rapidement. curieux, lu a la suite "d une histoire de france"
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Le jour ou les chiffres ont disparu

Attention c'est parti, c'est un psy qui parle et qui raconte comment il a rencontré une jeune femme qui se complique la vie à cause des chiffres, des mathssurtout. Elle calcule tout, alors elle stresse pour rien et elle pète complètement les plombs un jour en séquestrant son ancienne prof de maths, celle qui l'a définitivement foutu hors jeu niveau émotionnel.



Vont s'ajouter à l'histoire une tribu de personnages, un psy pas cool du tout, un indien symbole de beaucoup de fantasmes, d'un flic assez futé mais du mauvais côté, et d'une espèce d'introspection du psy en question par rapport à cette histoire.



FRANCHEMENT. je sais pas pourquoi, moi à première vue, ça avait pas de quoi me faire frémir, mais je vous jure qu'une fois dedans ça se lit tout seul. On dirait un Pennac/Barjavel un peu gentil, un truc qui casse pas trois pattes à un canard, quoi.



"Gentillet", donc.
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Le jour ou les chiffres ont disparu

Un roman en forme de billet d’humeur. Contre le temps et les temps qui courent. Pour l’hygiène relationnelle. Mirage : les chiffres doivent disparaître pour le bien-être des individus. A l’ère du numérique, cela fait doucement sourire! Et si on supprimait le verbe tant qu’on y est ? N’est-ce pas lui le grand tueur avec ses messages « tu » ? Anna Dubreuil, vexée par une remarque blessante de son professeur de mathématique est devenue néanmoins musicienne. Flûte traversière. Or la musique est partition, calculs et mesures. Donc un jour elle est prise d’une crise de mathématopathie et lâche tout en plein concert. Psychosomatise à mort et médite d’enlever et de séquestrer sa prof de math Mademoiselle Lefort pour lui régler son compte. Le compte à l’autorité. Mathématique. Un prof est toujours coupable de quelqu’excès de verbe s’il est passionné par ses élèves et sa matière et veut pour eux passionnément leur réussite. Dont acte. La communication violente a dépassé sa pensée. Elle a écrit dans le carnet de notes de son élève : « Justifie à elle seule l’invention du zéro.» Et déclenché sans le savoir le syndrome de l’échec. Et fait d’Anna une tortionnaire qui lui infligera des épreuves surréalistes.

Le beau paradoxe moderne, Anna va-t-elle pouvoir préserver la musique malgré sa mathématophobie et en même temps tisser un immense complot pour détruire les chiffes et assouvir sa Némésis?

C’est l’occasion pour Simon, le psychiatre narrateur, de peser le sens de sa vie et de sa discipline. De se demander quelles sont les limites entre la relation sentimentale ou la thérapie. Encore des mesures. « De la mesure dans toute chose » écrivait une certain Horace! En relatant l’enquête judiciaire il règle ses comptes avec les commissaires de police dont la neutralité lors des interrogatoires n’est qu’apparente. Et se livre par antithèse à un petit détour obligé pour les inventeurs poétiques des chiffres : les arabes, non les indiens! « Grâce aux chiffres arabes, tout a redémarré, une nouveau départ Et la science occidentale est enfin sortie de son très long hiver ! » Apologie du zéro qui séduira Anna.

On est totalement dans le reality show quand soudain l’asile psychatrique devient le creuset de la révolution. Un conte original et drôlatique au ton farceur qui met l’autorité du verbe et des chiffres en perspective. Une boîte à musique qui s’ouvrira comme une boîte de Pandore. « De la musique en toute chose ». Art poétique. Verlaine.


Lien : http://artsrtlettres.ning.co..
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Le jour ou les chiffres ont disparu

Une drôle d’histoire, drôle dans le sens d’étrange… Une description juste du monde psychiatrique et au travers du personnage d’Anna de la décompensation psychique. Cette jeune femme talentueuse va se focaliser sur les chiffres, par une hypermentalisation, les chiffres vont l’envahir, l’amenant à arrêter sa carrière de musicienne.



L’autre personnage principal, Simon, un psychiatre, va l’aider et essayer de la protéger des stéréotypes qui enveloppent ce milieu, l’incompréhension amenant à des dérives des policiers voire des civils.

Au-delà de l’évènement qui conduira Anna dans la violence et la folie, c’est un joli descriptif de l’intérêt d’être soignant dans la santé mentale. L’auteur évoque la compréhension de la souffrance de l’autre et l’importance de l’aide à proposer dans le but non pas de le ramener à tout prix dans la norme mais à ce qu’il s’accepte.



Le personnage du psychiatre est alors touchant, révélant lui aussi sa difficulté à s’intégrer dans la vie, vivant à travers celle de ces patients.



Un léger bémol sur la fin du livre, je n’ai pas compris sa nécessité, le discours était clair sans ce débordement.
Lien : http://metaphorebookaddict.w..
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Le jour ou les chiffres ont disparu

A conseiller à tous les allergiques aux mathématiques dont je suis.

A ceux qui ont enduré des heures et des heures de cours de mathématiques, d'algèbre et de géométrie sans rien comprendre, aux angoissés de l'équation à une ou deux inconnues, aux traumatisés de Thalès et Pythagore...

C'est LE livre qui vous permettra de vous dire qu'il y a pire, bien pire que vous !!!!

On commence spectateur de ce drame comique et on fini en se disant, d'une part qu'on est pas seul (nous les hermétiques du chiffre) et d'autre part, que finalement les matheux ont réellement perdu le sens du vrai, de l'authentique, de la vie tout simplement !
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Le jour ou les chiffres ont disparu

Ce court roman m'a plu, mais je l'ai trouvé inégal. Au début, j'ai été interpellée par la «maladie» d'Anna. Ensuite, j'ai trouvé très intéressant tout ce qui arrive avec l'ancienne professeur de mathématiques. Si on peut penser qu'Anna exagère, tout est nuancé. Rien n'est aussi simple que ce que veulent bien le dire les détracteurs de la jeune femme. Tout ce qui concerne cet épisode m'a intéressée, car j'ai trouvé que l'auteur avait su nuancer, jouer des codes, faire sortir le lecteur de ses préjugés, créer quelques petites surprises.

[...]

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Le jour ou les chiffres ont disparu

C'est un livre qui se lit très rapidement et facilement, l'écriture est accessible et le récit prenant. Une histoire qui soulève beaucoup de questions, celle de la folie, celle du poids de l'autorité pédagogique, celle du mal être ou encore de l'étalage de données qui rends l'intimité si dérisoire. De nombreuses interrogations dans ces quelques pages. J'ai vraiment apprécié.
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Le jour ou les chiffres ont disparu

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Le jour ou les chiffres ont disparu

C'est un roman atypique, amusant, et déroutant aussi...parfois ! le personnage principal n'en peut plus de voir des chiffres, et se rend compte qu'ils sont partout, dans son quotidien : les mesures des partitions, les numéros de rue, les plaques d'immatriculation, les codes-barres...

Complètement malade, elle s'attaque à sa prof de maths de lycée, et finit internée. Son psy, narrateur de l'histoire, la prend en charge, et étude ce cas peu commun.

L'originalité du sujet 'a plus, c'était un plaisir de lire ce livre, que je recommande à ceux qui ont maudit, pendant leur scolarité les équations et nombres inconnus !
Lien : http://lesquotidiennesdeval...
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