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Citations de Paul Kenny (120)


après l, ère du mépris, nous voici entrés
dans l, ère de la confusion. espérons que
le père opdebeeck ne sera pas déçu au
jour du jugement dernier et que Dieu saura reconnaître les siens.
- il sera bien le seul, marmonna coplan .
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le congrès annuel de l, association des industriels
du marché commun vient de finir.
- mon cher harnold ,notre congrès de l, année prochaine. aura lieu à Londres.j, ose espérer que vous ferez aussi bien que nos amis belges.
- je ferai de mon mieux,
mais nous sommes en pleine austérité chez nous.
la livre est malade et l, empire n'est plus qu'un
souvenir.de plus, la gastronomie n'a jamais été notre fort.
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Depuis vingt-cinq minutes, le Douglas DC8 perdait progressivement de l'altitude. À travers les hublots, les passagers distinguaient à présent le sol qui se déployait sous eux comme une mosaïque verte et grise.
Les voyageurs furent prier d'attacher leur ceinture et d'éteindre leur cigarette.
Les deux hôtesses passèrent dans la travée centrale pour vérifier si tout le monde avaient obéi aux consignes de sécurité.
Alors, comme un majestueux oiseau d'acier dont les ailes et le corps fuselé scintillaient dans le soleil de ce matin de mai, l'avion piqua pour amorcer son atterrissage.
Wallace J. Barnett, un industriel de Los Angeles, ne put réprimer un pincement au creux de l'estomac. Les vols aériens ne l'effrayaient certes pas, mais, sept mois plus tôt, l'appareil à bord duquel il se trouvait avait été victime d'un éclatement de pneu sur la piste de Shannon et avait capoté à plus de deux cents kilomètres à l'heure.
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- vous n,exigez pas que ce technicien soit un proche parent du pape, tant que vous y êtes.
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- Oui, évidemment, admit le Vieux. Ah, ce Jenfield, quelle sombre andouille ! A-t-on idée d'une histoire pareille ! Jouer au bilboquet avec un petit communiste truffé de microphones...Joli tableau, non ? Digne de figurer sur les fresques de l'antiquité grecque.
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Trois loqueteux se disputèrent le privilège de transporter sa valise jusqu'à la sortie. Finalement, casé dans un taxi d'un âge respectable, Coplan se félicita d'être débarrassé des formalités tracassières imposées aux étrangers et il alluma une Gitane.
Sur la route qui menait à Delhi, il aperçut fugitivement, dans la lumière des phares, des silhouettes échappées d'un monde fantomatique.
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une bonne histoire qui n'a
rien perdu de sa force.
même si ici les terroristes
sont japonais .bon l histoire a été écrite en 70.
mais comme avec les attaques actuelles de al quaida c'est toujours les
victimes innocentes qui paye le prix fort.
construite à la manière
d'un jeu de piste, l,affaire
va donné du fil a retordre
a coplan.
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coplan attendait depuis une dizaine de minutes quand il la vit arriver.
- je suis en retard,dit elle en le regardant
j'espère que vous ne m'en voulez pas.d,
ailleurs je l'ai pas pas fait exprès..ce n'est pas marrant,pour une femme,d,être seule à une table dans un endroit comme celui ci.vous êtes mieux que sur les photos que j'ai vues.
- je vous retourne le compliment.
- je vous remercie,mon frère vous admirait comme un enfant admire une idole de la chanson,a tel point que je suis devenue amoureuse de vous,par contagion,sans même vous connaitre.
- diable! railla coplan en souriant,ne lâchez surtout pas votre rêve et vos illusions.vous seriez déçue par la réalité,
et moi je tomberais de mon piédestal .
nous serions perdant tous les deux.
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L'avion de la British European Airways, en provenance d' Athènes, se posa à Londres à 20h23, c'est à dire avec trois minutes de retard sur son horaire.
Comme l'avion avait voyagé au grand complet, le déchargement et le contrôle des passagers durèrent plus d'une heure.
Pierre Valdagne-Haumont, excédé par cette perte de temps, déboucha de son pas vif dans le hall de l'aérogare.
Sa valise à la main, il promena un regard inquisiteur sur la foule. Son regard s'éclaira lorsqu'il aperçut Peter, le chauffeur de Sir Dellington, qui s'avança vers lui. Petit et corpulent, impeccable dans son costume de drap foncé, le chauffeur ôta sa casquette pour saluer l'arrivant. Il lui demanda, en mauvais français, s'il avait fait bon voyage.
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La pose qu'elle avait adopté révélait une adorable superficie de chair blanche entre le revers de ses bas et le liseré de dentelle de sa culotte. Ses lèvres boudeuses, humides, avaient une langueur qui devait normalement assécher la gorge d'un interlocuteur masculin.
Coplan , impavide, croisa les bras.
- Vous allez prendre froid, murmura-t-il d'une voix contenue.
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Il était minuit et demi. Le magnifique clair de lune, qui nimbait Lourdes et le Sacré-Cœur dressé sur son socle de roche, transformait le Gave en une coulée d'argent. Autour de la vallée où reposait la ville, les montagnes détachaient leurs crêtes sur le bleu profond du ciel nocturne, projetant d'immenses ombres sur le toit des maisons.
(incipit)
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Il n'était pas loin de cinq heures du matin lorsque des cars bourrés de policiers en vareuse kaki, shorts et bandes molletières, coiffés du turban à crête rouge et armés de longues matraques, prirent position aux deux bouts de Sita Ram Bazar.
Les agents déblayèrent le terrain sans ménagement, chassant tous les malheureux, jeunes et vieux, hommes et femmes, qui dormaient sous des échoppes ou contre les bâtisses. Seules des vaches sacrées, squelettiques, qui somnolaient en divers endroits du bazar ne furent pas molestées.
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- regardez moi bien, kordel. dit coplan
si vous estimez que j'ai l,air d'un plaisantin, cette erreur d,appréciation va
vous coûter la vie. en venant ici, je prenais des risques. je ne les prenais pas
pour rien.
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- Imbécile ! Je vous avais ordonné de le capturer vivant !
- Mais...je ne l'ai pas touché, chef, protesta le milicien. J'ai utilisé une grenade fumigène pour le paralyser.
- Vous voyez bien qu'il est mort, non ? rugit Branik dont les mains palpaient furieusement le corps de Viesny recroquevillé au bas de l'escalier.
- Cyanure, colonel, intervint le commissaire Lubidjan, penché lui aussi sur le corps du vieux docteur. Le traitre s'est empoisonné...
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Les paroles du Suédois l'obsédaient : " ...finir sa vie en prison."
Il ne s'agissait pas là d'une menace gratuite, Kalters le savait très bien. Combien d'agents secrets, qui avaient refusé de parler, avaient croupi dans des geôles jusqu'au jour où quelques gouttes de poison versées dans le café du matin les avaient délivrés de la vie !
Un prisonnier anonyme gardé au secret et qui meurt de maladie, cela ne pose aucun problème à l'administration pénitentiaire d'un pays.
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- vous ne savez pas que les
personnes qui portent des armes sont censés avoir un
complexe d, intériorité?
- réellement, quand je pense que j'ai toujours cru qu'un permis suffisait !
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Cette ruelle se trouvait à peu près à mi-chemin entre le Quai des Esclavons et le Pont du Rialto.
Le numéro très élevé assigné à l'immeuble, apparemment peu compatible avec la longueur de la voie, n'était pas erroné, les maisons étant numérotées en fonction de leur localisation dans la ville et non selon la place qu'elles occupent dans une rue.
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Le centre hélio-marin - Le C.H.M. pour les initiés - est une véritable ville, avec ses quartiers aux noms poétiques : Polynésie, Californie, Médoc, Atlantique, Soleil, etc., ses rues, ses avenues, son centre commercial, ses installations thermales, ses terrains de jeux et de sports, sa banque et son infirmerie.
En parlant de paradis, Roger Louzet n'avait pas exagéré. Le domaine du C.H.M. - le plus beau et le plus vaste territoire naturiste du monde - est situé en bordure de mer, au cœur même de l'ancienne forêt du Flamand, dans ce pays de Médoc dont la saveur est universellement connue.
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Elle quitta l'appartement la première, après un bref baiser dont la sécheresse volontaire avait un arrière-goût d'adieu brusqué, comme un voyageur qui n'est pas sûr de revenir et qui a peur de perdre son courage.
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Ils prétendaient appartenir à la brigade criminelle, mais ce bluff ne trompait pas Coplan. Les hommes qui l'entouraient étaient des représentants de la police politique chargés à la fois de l'espionnage et du contre-espionnage, la très discrète A.S.
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