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Citations de Philip Kerr (1196)


- Marianne, lui dis-je. C'est bien de pouvoir joindre les deux bouts, mais c'est encore mieux de pouvoir faire un joli nœud.
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Et au cas où vous croiriez que je ne pense qu’à vous, chef, dites-vous bien que si vous ébruitez cette affaire, vous ne figurerez plus toute seul sur la liste des personnes à abattre. J’y serai aussi. Peut-être que vous avez l’habitude, étant donné que vous êtes juif et tout ça. Mais moi, j’ai déjà de quoi faire avec les serpents que l’alcool me fait voir dans mes bottes. Je n’ai aucune envie d’être obligé de regarder par-dessus mon épaule en permanence.
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Je ne suis pas un nazi. Je suis un Allemand. Ce n'est pas la même chose. Un Allemand est un homme qui arrive à surmonter ses pires préjugés. Un nazi, quelqu'un qui les change en lois
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Le vert est la couleur de l'ambition, et aussi de la jeunesse. C'est la couleur de la vie, et aussi de l'éternel repos.
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Non, en certaines occasions, mieux vaut être aveugle.
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Le passé ne m'intéresse pas outre mesure, et si vous voulez mon avis, c'est un peu l'obsession de ce pays pour son histoire qui l'a mis là où il se trouve à présent - dans la merde.
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La jalousie, ce n'est que la douleur d'une fierté blessée.
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À Berlin, il ne faisait jamais bon d'accorder trop d'importance aux rumeurs pour la simple raison qu'elles étaient généralement vraies.
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- Nous n’avons rien à craindre des Russes. J’en suis convaincue. Ils nous ressemblent.
Je ne relevai pas. Les Russes ne ressemblaient à personne. N’importe qui en Hongrie ou en Allemagne de l’Est vous aurait dit. Si un jour les Martiens traversaient l’espace pour envahir notre planète, avec leurs plans de conquête et de migration, ils se sentiraient chez eux dans la Russie soviétique.
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« C’est du bon café » dit-il, comme s’il n’était pas habitué à ça, et il ne l’était pas. En RDA, la liberté et la tolérance n’étaient pas les seules denrées rares.
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Je n'avais guère d'autre choix que le désastre ou l'inacceptable. Une alternative très allemande.
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_ Oui , mais celui-ci avait une queue de billard enfoncée dans le nez . Les flics supposent qu'elle est entré dans le cerveau .
(...)
_Peut-être avait-il fourré son nez dans des affaires qui ne le concernaient pas . Ils ont voulu faire une métaphore poétique . P. 67
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Sa question montrait qu'elle avait mené jusqu'ici une existence très protégée , même pour une native de Regensburg . J'avais presque honte à l'idée de démoraliser cette innocente en lui collant le nez entre les fesses puantes de son cher pays . P. 44-45
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Comme toute personne ayant lu la Bible, je connaissais Babylone, cette ville synonyme d’iniquité et symbole de toutes les abominations terrestres, quelles qu’elles puissent être. Et, comme toute personne ayant vécu à Berlin à l’époque de la République de Weimar, je savais également que l’on comparait souvent ces deux villes…
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Pour un flic comme vous, le monde de la pègre est une boite de sardine sans clé.
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- Eh bien on peut dire que tu as choisi un drôle d'endroit pour te cacher. C'est de la folie.
- Personne ne peut me retrouver ici. Laisse-moi te poser une question : où est-ce que tu planquerais une goutte de pluie ? (Je secouai la tête sans répondre.) Sous une cascade. Au cas où tu ne le saurais pas, c'est de la philosophie chinoise. Avoue que ce serait coton de retrouver une petite goutte là-bas dessous, hein ?
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Les bons ne sont jamais aussi bons qu’on le croit, et les méchants aussi méchants. Loin de là. Certains jours nous sommes tous bons. Et d’autres jours méchants. Telle est l’histoire de ma vie. Telle est l’histoire de la vie de chacun.
(Masque, p.373)
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C’est ça le problème quand on écoute le diable : il s’avère que son subterfuge le plus impressionnant, c’est de vous dire exactement ce que vous voulez entendre.
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- Est-ce la nouvelle pathologiste attendue par Buhtz?
- Mmm.
- Alors je crois que je viens de décider de léguer mon corps à la science.
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- La vérité, c'est que je sais qui vous êtes. surtout, je sais ce que vous êtes. je ne parle pas de votre métier, mais de votre personnalité. Je pense que vous êtes un homme courageux et intègre.
- Il y a bien longtemps qu'on ne m'a pas accusé de cela.
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Bernie Gunther, un privé chez les nazis...

"Je ne suis pas un nazi. Je suis un Allemand. Ce n'est pas la même chose. Un Allemand est un homme qui arrive à surmonter ses pires préjugés. Un nazi, quelqu'un qui les change en lois" On m'a viré de la Kripo en 1934, et comme il faut bien vivre, je me suis retrouvé déguisé en privé dans l'établissement le plus select de Berlin :

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