Philippe-Aurèle Leroux

Biographie :

Tout petit déjà Philippe-Aurèle voulait montrer son [biiip] à tous les passants. Heu, non, ce n'est pas ça ! Dès sa préadolescence il commence à jeter des bouts d'histoire sur des feuilles. A l'époque il s'agissait surtout d'histoires de superhéros Marvel ou DC Comics.

Dans ses années post bacs il fait deux découvertes qui ont modifié radicalement ses centres d'intérêts : Tolkien et le jeu de rôles, en commençant dans ce dernier cas par Donjons & Dragons. De joueur il passe rapidement maître de jeu et commence à écrire ses propres scénarii. C'est ce qui le ramène à l'écriture, principalement dans le domaine de la fantasy tendance heroic, établissant par là un lien avec ses premières sources d'inspiration. Ses récits d'alors portaient sur son perso de D&D préféré, un barbare sagace du nom de Grunt. L'univers décrit (fortement inspiré de la région de Laelith présentée par feu la magazine Casus Belli) porte déjà en lui les germes du roman qu'il souhaite écrire , mis en scène dans la nouvelle "Atrium Miraculorum" publiée au sein de l'Anthologie "La Cour des Miracles" par les éditions Le Grimoire.

Peu après il découvre la SF, avec un prédilection pour le space opera. Même s'il s'éloigne de ce genre, le Dune de Franck Herbert le fascine, de même que "La faune de l'espace" de Van Vogt. Plus tard c'est Carolyn Cherryh qui l'inspire, notamment avec le cycle de Chanur. Son oeuvre lui inspirée une autre idée de roman où la conquête de l'espace profond n'est faite que par une seule nation, la nôtre, suite à une série de découvertes scientifiques et à un contexte géopolitique défavorable sur terre. Loin d'être nationaliste, Philippe-Aurèle en a un peu marre que les américains sauvent le monde toutes les 4 secondes et demi. Là aussi les bases qui avaient été jetées pourraient bien être reprises dans un futur space opera.

Son principal problème à ce moment-là, c'est qu'il n'aime pas ce qu'il produit. Quand on n'est pas convaincu soi-même, on a peu de chances de convaincre les autres. Après quelques recherches sur Internet, il s'inscrit à l'atelier d'écriture de Laure Pécher qui a publié un livre incontournable : "Premier roman, mode d'emploi". C'est le déclic. L'atelier n'est pas dédié à la stylistique, il travaille plus sur le fond que sur la forme, mais il n'en décoince pas moins sa plume. Suite à l'atelier, il se demande comment continuer à forger ma plume. Il participe à des concours de nouvelles ce qui lui vaut d'être sélectionné dans deux des quatre conco