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Critiques de Philippe Val (28)
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Dictionnaire philosophique d'un monde sans ..

J'aimais beaucoup les éditos de Val dans Charlie Hebdo. Érudits, parfois provocants, obligeant à réfléchir toujours...

Dans ce dictionnaire, j'avais trouvé à l'époque qu'il en faisait peut-être beaucoup sur l'antisémitisme...

Malheureusement, l'actualité lui donne 100% raison...

Il est question, notamment de culture, d'écologie ou bien encore d'Europe.

Que l'auteur défend avec passion...

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Malaise dans l'inculture

C'est pour combattre l'explication sociologique à tous les problèmes que Philippe Val a écrit ce livre.

Qu'il appelle le sociologisme.

Grille de lecture devenue incontournable et insupportable

C'est la faute à Bourdieu, dit-il, mais aussi avant lui à Rousseau (Jean-Jacques).
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Allegro Barbaro

Ce roman est un retour sur les années de conflit dans l'ex-Yougoslavie, où haines communautaires et massacres submergent ceux qui croient encore à la civilisation. L'auteur raconte avec une jubilation rentrée les péripéties d'un groupe musical qui y est piégé, nous fait revivre les mauvais débats intellectuels qui secouaient la gauche de l'époque et y développe sa philosophie de l'existence, sans prosélytisme. Pas un grand livre mais se lit jusqu'au bout.
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Dictionnaire philosophique d'un monde sans ..

C’est un dictionnaire au sens propre du terme. Pas d’intrique, pas de personnages. Juste des « entrées » choisies parmi mille au gré des envies de l’auteur, de sa personnalité mosaïque et des thèmes de notre temps.



C’est donc un « dictionnaire d’actualité », si l’on osait le paradoxe, qui prend des airs de pamphlet par endroits et de réflexion philosophique profonde à d’autres.



Écriture fluide, signe d’une belle connaissance de la langue française, un franc parler qui va parfois jusqu’à la truculence, des fulgurances qui rappellent les meilleurs passages des sketches de Desproges - rien que ça - et des partis pris francs et massifs qui ne pourront pas plaire à tout le monde, surtout si l’on est croyant, de gauche ou écolo ! Franchement, certains passages sont à hurler de rire. On voit bien la patte des humoristes de Charlie…



Sur le fond, on est d’accord ou on ne l’est pas. Ça dépend d’où l’on vient sur l’échiquier politique et culturel. Mais que l’on partage ou non les idées de l’ancien directeur de Charlie Hebdo, ce voyage dans l’actualité profonde est un exercice plus que rafraîchissant et, pour ce qui me concerne, fort bien vu.



Je conseille.

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Histoire d'urgences

Patrick PELLOUX, mais si vous savez ! Le médecin urgentiste qui n'a pas sa langue dans sa poche et est également connu pour ses chroniques dans Charlie Hebdo. Et c'est de ça qu'il s'agit : un recueil d'anecdotes de 2005-2006 illustrées par son ami Charb.

Je dois dire qu'en l'ouvrant, je ne pensais pas trouver une telle raisonnance avec la situation actuelle. On y parle de précarité sociale, déserts médicaux, vieillissement de la population, canicule, violence urbaine, urgences et services hospitaliers saturés (ho ?), personnel soignant épuisé (ho ?)... mais aussi parfois de doux moments de solidarité et reconnaissance.

Très intéressant, à consommer d'une traite ou une page par-ci, par-là (chaque chronique tenant sur 3 pages).
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Allegro Barbaro

Etrange titre que « Allegro Barbaro »… C’est l’une des pièces pour piano les plus connues du compositeur Bela Bartok… Est-ce en raison de ce mix d’influences slaves (hongroises, slovaques et roumaines), autant d’expressions de Vie en pleine Barbarie ?

On suit la folle équipée de Micky Marlaud, le narrateur, un journaliste de gauche également musicien, Bob Volta la rock-star dépressive, et leurs acolytes : Gabrielle, Marco, Memed dans une Yougoslavie en pleine guerre pour des concerts de « réconciliation » entre Serbes, Croates et Bosniaques. Le projet est fou et utopique ; la traversée du pays par notre groupe de musique est « rock’n roll » entre check points, bombardements, paysages désolés, rencontres fortes et improbables.

Que reste-t-il de cette aventure 25 ans après ? Micky a le blues, il a changé, il se souvient… La bataille idéologique n’a pas cessé en France alors que la guerre en ex Yougoslavie est un lointain souvenir… « Comment faire danser l’Allegro sur le Barbaro ? (…) Je ne suis plus le Micky Marlaud d’autrefois, tétanisé par la peur sur la route de Sarajevo. Je suis celui qui s’en souvient et qui, pendant vingt-cinq ans, s’est reproché de ne pas avoir utilisé tout le matériel qu’il gardait en mémoire. Pour un écrivain, c’est une faute. Alors j’ai écrit cette histoire, avec l’ambition aberrante que le plaisir qu’elle procure triomphe de l’horreur qu’elle raconte ».

L’écriture est un vrai plaisir à lire, beaucoup d’humour, d’auto dérision, avec des passages très philosophiques (le dialogue sur Spinoza entre Micky et Wladimir le gourou réincarné de Raspoutine est un moment fort du livre), voire sombres. Les personnages sont très attachants, si humains… Personnellement, j’ai adoré lire ce roman, c’est très réussi !

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Tu finiras clochard comme ton Zola

J'aimerais, dans ce commentaire, faire partager la passion que j'ai eue à la lecture de ce livre.

Pour moi, contrairement on ce que l'on pourrait croire ce livre n'est pas seulement une autobiographie je l'ai vécu comme un roman. L'histoire relève plus du roman que du simple témoignage. La précision, la justesse de l'écriture est remarquable. Le lecteur se sent, dès le début, concerné par ce qui est raconté. C'est probablement, tout ou partie autobiographique, mais le lecteur se retrouve dans les pages du livre. C'est là un des talents de l'écrivain.

Il y a une première impression qu'il faut chasser, tout de suite, avec la taille du volume. Elle peut intimider mais c'est en fait tout le contraire. Il se lit très facilement. A la fin du livre, le lecteur regrette de ne plus avoir de pages à tourner. Pour ma part, j'aurai été preneur d'une suite.

Je finis sur un regret : je m'étonne que ce livre n'ait pas eu une plus large couverture médiatique.Je trouve qu'il est un peu méconnu et je n'explique pas pourquoi.
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Allegro Barbaro

L’Allegro barbaro pour piano est une célèbre pièce de Béla Bartok aux influences folkloriques roumaine, hongroise et slovaque. Dès les premières pages du livre de Philippe Val, on comprend la signification d'Allegro. L'écriture est en effet enlevée et très vivante. Le narrateur, journaliste de gauche désabusé et désœuvré, à 40 ans, relate sa rupture sentimentale avec un brin de désinvolture. Puis entre en scène Bob Volta, riche musicien sombre et dépressif, qu'il ne qualifie pas d'ami. Il s'agit plutôt d'une relation, qui gravite de façon plus ou moins éloignée autour de notre narrateur. Bob Volta réussit péniblement à l'embarquer dans une aventure musicale à travers la Yougoslavie en guerre. C'est alors que commence la descente aux enfers, l'aspect barbaro du roman, l'expérience de la guerre pour des français d'une génération qui ne l'ont jamais connue.



L'écriture de Philippe Val, tout au long du récit, est truculente à souhait et très humaine. Le narrateur exprime les choses au travers des sensations perçues par son corps. On pourrait tenir le compte de l'apparition du mot corps dans l'ensemble du texte ; c'est celui qui revient le plus souvent. Philippe Val fait ainsi partager à son lecteur des émotions ressenties avec beaucoup d'acuité. Il crée, ce faisant, une sorte de proximité entre le lecteur et son personnage qui devient comme un ami. En même temps, l'approche du narrateur se fait par petites touches, très progressivement au fil du récit : ce n'est qu'à la page 40 que l'on arrive à une réelle description du personnage, seulement à la page 43 que l'on apprend son prénom, Micky, et il faut arriver page 86 pour avoir un retour sur son passé dans les radios libres. Des constantes malgré tout nous le rendent familier : la bossa nova de Joao Gilberto qui le transporte, ses chats qu'il évoque à plusieurs reprises, Spinoza.



Dans ce premier roman, Philippe Val déploie une grande maîtrise d'écriture. Le style basé sur une expression directe et simple, riche en métaphores, n'est pas dénué d'humour ni d'autodérision. La lecture est un vrai plaisir. L'aspect politique est abordé avec une distance qui n'enlève rien à la gravité du sujet mais le rend beaucoup plus digeste.
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Histoire d'urgences

La médecine reste marquée par l'empreinte d'une société patriarcale où l'argument d'autorité l'emporte sur tout le reste. le partage du savoir, la confrontation des idées, les souhaits du patient. Certains médecins se comportent aujourd'hui comme des directeurs de conscience. N'oublions pas aussi que l'hôpital est désormais géré comme une entreprise avec des impératifs d'efficacité et de production. Les médecins sont asservis aux chiffres, ils n'ont pas toujours le temps nécessaire pour laisser place à la parole et à la subjectivité. Plus qu'une relation d'égal à égal, qu'il est illusoire d'atteindre. Patrick Pelloux est devenu la bête noire du conseil de l'ordre. L'injustice lui fait horreur, alors il brave, travaille sans relâche à dénoncer en racontant ses histoires et cette maladie qui atteint gravement, et ronge en détruisant comme un virus, dont les pouvoirs du haut commandement ne recherche aucun remède en attaquant les structures de l'hôpital, en soumettant à leur caprice de rentabilité boursière tout en sacrifiant le personnel, et les patients. Face au système déplorable, ou le malade est pris comme un objet scientifique, il est de moins en moins possible d'asseoir entre le médecin et le patient un pouvoir et d'évacuer la question du psychisme, de l'affect, et de la souffrance.
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Histoire d'urgences

Lire ces chroniques déjà anciennes en temps épidémique met d'autant plus en lumière l'absurdité, l'inhumanité du système voulu par l'État de l'hôpital entreprise. Il y a près de 15 ans, les urgentistes dénonçaient déjà le manque de postes et de moyens... Ceux qui restent sont d'autant plus admirables et méritants. La présidence n'en prend conscience qu'en temps de crise majeure...

Ce qui ressort aussi de cette lecture, c'est la détresse, la solitude, l'abandon, d'un grand nombre de personnes âgées. Mais aussi la flamme de vie qu'il peut encore y avoir chez les plus de 80 ans !
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Histoire d'urgences

Ce livre décrit de façon très concrète la vie des urgences et des personnes que l'on peut y retrouver. Les médecins urgentistes, les infirmiers, aides soignants, brancardier, radiologue, pompiers, policiers.. tout comme les patients, les familles dans l'angoisse et l'attente, les SDF... Patrick Pelloux connait parfaitement ce milieu et ça se ressent dans le livre, il y a une authenticité dans son récit et ses revendications.
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Tu finiras clochard comme ton Zola

Magnifique cette traversée du temps et d'une partie de la vie de Philippe Val.. Beaucoup de recontre ( Ah Renaud...) passionnantes.

Un bonheur de lecture
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Tu finiras clochard comme ton Zola

À la tête de Charlie Hebdo de 1992 à 2009, puis directeur de France Inter pendant cinq ans, Philippe Val se raconte dans une passionnante autobiographie, qui révèle notre épopée collective, alors que l'écrivain journaliste vit aujourd'hui sous haute protection policière.
Lien : https://www.lexpress.fr/cult..
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Tu finiras clochard comme ton Zola

Ah la lucidité ! Que c'est revigorant.
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Histoire d'urgences

Un état des lieux édifiant ! Commencé en 2004, ces constats restent malheureusement d'actualité... ils sont même pire aujourd'hui...

On n'imagine par forcément le quotidien des soignants... contre toute attente, ils ne sont pas là que pour soigner... non, ils doivent par exemple se battre pour avoir suffisamment de draps ou de blouses, ils doivent faire face à la tension des patients, de leurs familles et des autres collègues... ils doivent faire face à des injonctions paradoxales : être performant mais avec beaucoup moins de moyens humains et matériels...

Un roman percutant !
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Histoire d'urgences

Dommage que l'on y trouve trop de revendications syndicales, même si elles sont "justifiables "
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Histoire d'urgences

Patrick Pelloux nous parle de l'hôpital qu'il connait très bien, et plus précisément du service des urgences et de ses dysfonctionnements. Manque de budget, de lits, de soignants, communication difficile avec les autres intervenants du système de santé ; et au milieu de tout ça, la souffrance et la misère psychologique des patients qui font appel aux services d'urgences, services où l'on traite aussi bien la" bobologie", que les pathologies les plus graves, où on soigne aussi l'âme, grâce à la bienveillance et le dévouement de ses soignants.

Un récit très intéressant.
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Malaise dans l'inculture

Philippe Val livre sa vision de notre société, malade de son manichéisme.

Un livre écrit par un homme libre qui fait du bien que l'on soit en accord ou pas avec lui.
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Malaise dans l'inculture

Paru chez Grasset en avril 2015, « Malaise dans l'inculture » se veut à en croire Philippe Val, son auteur, « proposer la réhabilitation du marteau-piqueur face au mur derrière lequel agonise le débat démocratique ». Bigre ! Chroniqueur, essayiste, Philippe Val n'en est pas à son premier essai : on lui doit, chez Grasset, « Reviens Voltaire, ils sont devenus fous » et « Traité de savoir survivre par les temps obscurs ». Serait-ce une obsession chez Philippe Val que de dénoncer sans relâche le sociologisme, démarche qui correspondrait, à ses yeux, à la plus grande dérive sociétale que connait notre démocratie actuelle, bombe antidémocratique qui ne cesserait de faire régresser notre société ? Et la dénonciation ne suffirait pas : il faudrait tout démolir et faire table rase de ce que le sociologisme aurait produit. Quelle énergie et quelle violence chez cet auteur, mais avant même d'ouvrir ce livre, les questions se précipitent : pourquoi parler de malaise  Qu'est-ce que l'inculture ? Pourquoi tant d'agressivité ? A-t-on raison de s'en prendre au sociologisme ? Quelle démarche alternative Philippe Val propose-t-il ?



Après avoir lu « Malaise dans l'inculture », je me suis dit : tout ça pour ça ? Dans cet ouvrage de 300 pages, tout est décousu, répété ad nauseam, sans démonstration rigoureuse. Assis sur des constats parfois objectifs, sincères et difficilement contestables, le propos de l'auteur n'en est pas moins affligeant. Bien sûr, aujourd'hui il y a comme une dérive culturelle : il est possible que les sujets soient abordés rapidement, traités par des journalistes stressés qui intervieweraient assez souvent des spécialistes d'opérette, les médias vérifiant ensuite à l’applaudimètre des « like » et des « unlike » la cote de pseudo débats qui inonderaient les foules. Oui, la tentation est grande de trouver des explications catégorielles (les jeunes de 18 à 25 ans, les cadres, les SDF, les immigrés, les agriculteurs, etc.) à des phénomènes ou à des comportements de société, négligeant ainsi de sonder les besoins, les attentes et le ressenti des individus, pris isolément : mais pourtant, Monsieur Val, les tribunes (TV, radio, presse) regorgent de témoignages qui font la part belle à ces opinions individuelles ! Oui, le prêt-à-s'indigner devient une démarche modèle, aisée, confortable mais aliénante : mais faut-il pour autant croire que l'individu (tient, n'est-ce pas un concept catégoriel, Monsieur Val ?) s'offusque de « la disparition des escargots et reste indifférent à la résurgence de l'antisémitisme » ? Et puis, Monsieur Val, n'est-ce pas un penchant naturel que de chercher des explications à ce qui se passe, de filtrer et de classer les faits et les idées de façon assez binaire sans pour autant vouloir expliquer le monde par la seule division entre dominés et dominants, les premiers étant admirables et victimes, les seconds détestables et coupables ? Oui, Monsieur Val, on ne peut contester l'envahissement informationnel dont nous sommes parfois les victimes, trop d'infos tuant l'info, mais nous ne sommes pas devenus fous ou irresponsables et quand bien même nous serions plongés dans des temps d'incertitude (ah, est-ce bien nouveau ?), le malaise n'est pas général, il n'y a pas de réelle crise de civilisation et le débat démocratique ne me semble pas avoir disparu : seulement, la notion de culture évolue et il est exact qu'il puisse y avoir ici ou là des signes de dérive totalitaire ou extrémiste. Le système (qui n'est jamais parfait) et les individus (le sont-ils ?) sauront y remédier : soyez optimiste !



L'ouvrage compte au moins 100 pages de trop. Chez cet ex-directeur de France-Inter, il y a en toile de fond comme une tentative de laver de vider un sac (probablement après une difficulté professionnelle qui lui serait restée sur l'estomac). Mais en surface « Malaise dans l'inculture » est au final un fouillis corrosif, sans nuances voire intransigeant, mal construit, confus et sans grande rigueur intellectuelle. Au fait, quel était son objectif ? Dénoncer le mal-être, dénoncer le sociologisme comme déterminisme social, dénoncer l'effondrement culturel, fouetter les intellos qui devraient avoir le courage de ne pas chercher à séduire mais de dire des choses justes, dénoncer la mélancolie, le laisser-aller et le manque d'ambition de notre société, tenter de comprendre sa propre allergie à la sociologie comme sport de combat … que sais-je encore. Dans ce livre, il y a de la dénonciation et des phrases assassines, mais le propos pourra paraître affligeant voire consternant par son côté « appel au grand soir ». Que faut-il en garder ? A vous d'en juger : de mon point de vue, l'ouvrage vaut cependant la peine d'être lu car il poussera le lecteur à réfléchir. Dans un contexte de « pavlovisme grandissant », l'auteur n'hésite d'ailleurs pas à écrire qu'il souhaitait ainsi « faire clignoter des lumières dans la nuit de nos incertitudes » (page 127). Alors, chers insomniaques, bonne lecture ! Pour ma part, je me force et je mets 3 étoiles ...
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Histoire d'urgences

Bravo Monsieur Pelloux pour votre courage.

En effet, il en faut beaucoup pour oser nous dépeindre la situation des urgences dans les hôpitaux français.

Toute personne, ayant eu besoin d'accéder à ces services, doit avoir rencontré l'attente insupportable avant une prise en charge médicale, les couloirs encombrés de brancards, les malades qui se plaignent épuisés par la souffrance et l'attente...

Quant à la mutation de l'hôpital, et aux divers plans élaborés par les divers ministres qui se sont succédés, il est certain que nous sommes très mal informés.

Nous entendons régulièrement parler de fermetures de lits, de suppression des petites et moyennes maternités mais quelle vérité derrière ce qui nous est connu?
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