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Citations de Pierre-Henry Gomont (146)


Il ne peut y avoir de liberté contre la vérité, il ne peut y avoir de liberté contre l'intérêt commun.
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Un peuple ne se réduit pas à son régime.
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La modestie, c'est le refuge des tocards.
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L’histoire est une drôle de bestiole, et elle ne se laisse pas domestiquer si facilement.
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Tu t'es fait rouler?
Comme un putain de nem!
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- Vous travaillez pour Dimitri ? C’est bien cela ?
- Avec Lavrine. Pas pour lui.
- Je vois. Vous êtes associés, en quelque sorte. Je vais vous dire… Nous faisons du bon travail avec Dimitri parce que nous nous comprenons. Nous sommes de la même race : la résilience d’un cafard, l’amour propre d’une charogne et la conscience morale d’un tabouret de cuisine. Pour faire des affaires en ce bas monde, il ne faut pas s’encombrer de scrupules. Vous m’avez l’air d’être un garçon intelligent… Mais j’ai peur que vous en ayez, des scrupules. (p. 59)
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(le fils) - C'est vrai qu'on a plus le droit de jouer au CP ?
(le père) - Si, tu peux, mais seulement pendant la récré.
(le fils) - C'est bizarre...
(le fils toujours) - C'est important de jouer.
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Mon petit, si tu veux sortir un jour vivant, riche et victorieux de la jungle, ne te bats jamais loyalement, jamais !
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A son rythme, qui n’est pas très élevé, Stolz se familiarise avec l’idée que toute cette histoire, la trépanation en catimini, le vol du cerveau et son étude, tout cela pourrait bien s’apparenter à une forme de bourde.
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Les usines sont les cathédrales des temps modernes (François Michelin).
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Et plus tard, quand tu seras vieux comme moi, je te raconterai cet âge extraordinaire de la joie, quand tu parlais tout seul dans ta chambre, quand rien ne valait le goût du caramel au beurre salé, et je te rappellerai ces larmes de désespoir parce qu'à cinq ans, il n'y a pas de différence entre ton ballon qui crève et ton cœur qui se brise. Je t'attends à l'autre bout, ne t'en fais pas. Ton enfance est en lieu sûr.
Tu peux devenir qui tu voudras.
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Le rapport qui caractérise le sens de notre être de la façon la plus profonde est celui de la vie avec la mort parce que la limitation de notre existence au moyen de la mort est décisive pour l'évaluation de la vie.
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- Je ne sais pas si vous faites partie des inconscients ou des provocateurs...
Mais je vous assure que le journalisme qui se faut aujourd'hui au Portugal ne prévoit de place ni pour les uns, ni pour les autres...
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(NDLR : à la piscine Pereira et le Docteur Cardoso)

- Vous permettez que je m'installe à côté de vous ?
- Avec plaisir
- Notre discussion s'est interrompue au milieu, hier soir.
- Peut-être.
- Je suis allé acheter le Lisboa ce matin.
- J'ai vu que la page culturelle faisait bonne place aux auteurs français du XIXème. Je connais bien la France, j'y ai effectué mes études...J'ai tout particulièrement apprécié la traduction qui a été faite d'Honorine.
- C'est moi qui m'en suis chargé...
- Mais vous ne l'avez pas signée...Avez-vous aimé faire cette traduction ?
- Oui, beaucoup. C'est un texte qui me parle, sa thématique...La question du repentir.
- Avez-vous fait quelque chose que vous regrettez ?
- Non, c'est assez bizarre.
- J'ai essayé d'en parler à un prêtre... C'est un sentiment diffus. Comme une nostalgie du repentir.
- C'est une drôle de formulation. Expliquez moi.
- Voilà, c'est une sensation étrange qui se trouve comme en périphérie de moi-même. D'un côté je suis heureux d'avoir eu cette vie, d'avoir été journaliste et épousé une femme malade...Mais d'un autre côté, c'est comme si j'éprouvais le besoin de me repentir de cela. Je ne sais pas si c'est clair.
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Nous sommes de la même race : la résilience d'un cafard, l’amour-propre d'une charogne... et la conscience morale d'un tabouret de cuisine.
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Ce qu'il faut peindre, c'est la vie.
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Le côté campeuse, vie au grand air,
petits nichons et poils aux pattes,
non merci.
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L'important, ce n'est pas les votes,
mais la façon dont on compte les votes.
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- C’est toi qui vomis sur les trafiquants d’habitude ! Je répète ce que tu m’as toujours dit : ici, c’est chez nous !
- Tu crois qu'on a attendu aujourd'hui pour faire du trafic ?
On est des Russes, Nina. On survit. Le trafic coule dans nos veines. Avant, pendant et après le communisme. Le trafic coule dans nos veines aussi sûrement que la vodka.
- Exactement, je me tue à le dire…
- Toi, tu la boucles.
- Non, mais… c’est pour aller dans ton sens.
- La ferme. (p. 45)
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La beauté du capitalisme ne consiste pas à pouvoir acheter n'importe quoi, mais vendre n'importe quoi.

Nuance.
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