Citations de Pierre-Roland Saint-Dizier (44)
- Mais la guerre va bientôt se terminer, non ? ça fait des années qu'elle dure !...
- Certains disent qu'elle s'achèvera quand il n'y aura plus d'hommes capables de prendre les armes, ou quand il n'y aura plus de munitions.
Crois-moi, ce cimetière n'a pas fini de voir défiler des cortèges funèbres... (p.11)
Les gorilles sont pacifiques : ils n'attaquent jamais à mois d'être surpris ou menacés.
(page 18)
Le programme de réintroduction représente un vrai espoir de sauver les gorilles, même si le risque d'extinction dans moins de vingt ans est toujours à craindre.
(page 17)
Nous avons découvert un rhinocéros dans une mare de sang. Ses deux cornes avaient été sauvagement tronçonnées.
Il n’était pas encore mort et respirait très difficilement. Il m’a regardé…
J’ai été bouleversé.
Nous n’avons pas pu le sauver. J’ai dû abréger ses souffrances.
L'essentiel est que demeure quelque part ce dont on a vécu.
Je ne vous oublierai pas. Sachez que ma maison, je l'ai ici, en vous, et ma fontaine est dans vos yeux.
Vous ne serez jamais plus ma rose avec des épines ; vous serez la princesse de rêve qui attend toujours le petit Prince !
Vous, vous savez parler aux femmes !
Ce que d'autres ont réussi, on peut toujours le réussir...
Comme quoi, à force de persévérance, on arrive à tout !
- Ce n'est pas possible ! Je rêve !
- Quoi patron ?
- Bon sang David, nous venons de retrouver la gourmette de Saint Exupéry !
C’est étrange, pendant que la tempête faisait rage, j’ai eu comme l’impression que l’océan nous lançait un avertissement. Nous avions détruit la dune. Sa vengeance allait être terrible
Peut-être que je ne suis pas fait pour vivre sur cette planète. Il existe peut-être une étoile où il est plus simple de vivre.
J'aurais tant voulu connaître cette étoile.
(page 42)
J'avais choisi l'Est en souvenir de mon ami Guillaumet qui, perdu dans les Andes, avait marché pendant 5 jours avant d'être secouru. Cette direction était devenue pour moi celle de la vie.
(page 29)
Cet enfant, je le porte dans mon cœur depuis bien des années. Nous partageons le même univers, celui des étoiles. Un univers fait de solitude. Comme lui, je suis un éternel voyageur.
(page 23)
Le passé est un refuge salvateur où il fait bon parfois aller.
La solitude aussi : elle est propice à la réflexion.
(page 17)
Le désert donne une idée exacte du néant, de la solitude, du dénuement...
(page 42)
Pour moi, il y a quelque part, loin d'ici, un parc chargé de sapins noirs et de tilleuls et une vieille maison que j'aime. Peu importe qu'elle soit éloignée ou proche, qu'elle ne puisse pas m'abriter, réduite ici au rôle de songe : il suffit qu'elle existe pour remplir ma nuit de sa présence.
(page 25)
Les orages, la brume, le neige, quelquefois ça t'embêtera. pense alors à tous ceux qui ont connu ça avant toi, et dis-toi simplement : ce que d'autres ont réussi, on peut toujours le réussir...
(page 17)
J'ai besoin d'un sérieux petit remontant.