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Citations de Ray Celestin (225)


Faut que t'arrêtes avec tes bouquins. Ils t'empêchent de voir le monde comme il est.
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Un foyer, ce n'est pas là où on vit, mais là où on aimerait bien mourir.
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Tu sais ce qu'on dit : à avoir le cul entre deux chaises, on finit par se déchirer le futal..."
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Nous avons dû faire face à des épidémies de malaria, de variole, de fièvre jaune et de choléra. Et l'an dernier, la grippe espagnole a emporté tant de nos concitoyens… Les marais qui nous entourent abritent des alligators, des ours, des pumas et des coyotes, des serpents venimeux et des araignées… sans parler des républicains !
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- Ida, je te présente Cocaïne Buddy. (…)
- Alors quoi de neuf ? demanda Lewis.
- Rien de neuf, c'est le Blanc, le boss, c'est le Noir qui bosse.
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Il y a Charles Coulton senior, le banquier, et Charles Coulton junior , le branleur. Je ne comprends pas pourquoi tous ces riches donnent toujours leur prénom à leur fils.
(...)
Et le père, Coulton senior, tu sais quoi sur lui ?
- Il est riche et il est pas blanc-bleu. c'est un parvenu, un self-made-man.
- Il vient d'où ?
- Du côté sombre des ténèbres obscures et mystérieuses...
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- Très bien, répondit le livreur d'armes tandis qu'ils échangeaient un sourire. Est-ce que je peux vous proposer des grenades, de la nitroglycérine, de la marijuana ou de la cocaïne ?
- Non, ça ira.
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Alors on aime les nègres ?
Les mots avaient été dits d'une voix douce, avec une froideur moqueuse. Le ton de quelqu'un qui se sentait supérieur, comme s'il donnait enfin libre cours à une rancune tenace ou jouait les redresseurs de torts. Michael ne saisit pas tout de suite ce qu'il avait entendu et il lui fallut encore un temps supplémentaire avant de comprendre que cela s'adressait à lui. Ce fut comme si une colère retenue explosait soudain en lui. Il tourna la tête d'un coup et examina la file de policiers devant lui, lançant à chacun un regard furieux en espérant trouver le coupable. Mais les policiers restaient tous impassibles, ou alors ils etaient en pleine conversation. Les regards partaient dans toutes les directions sauf vers lui. Il pensa a la facon dont ils allaient se comporter une fois dehors : ils rigoleraient en se tapant sur l'epaule, tout contents d'eux-memes. Cela ne fit qu'augmenter sa colère, une colère rentrée pleine de frustration, un courroux impuissant dont il ne pouvait rien faire. Il aurait voulu défendre son épouse mais ses ennemis étaient invisibles, comme des tireurs embusqués, hors de sa portée.
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C'était seulement dans ce genre de concert after-hours que les orchestres jouaient dans ce style très sudiste, rugueux et suffisamment lent pour permettre à leurs instruments de gémir et de grogner, de frémir et de s'entrechoquer en de multiples mélismes sinueux.
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" Derrière tout homme qui a réussi, il y a une belle-mère étonnée."
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- Un jour, j'ai tué un homme à la Nouvelle-Orléans, dit-elle.
Elle ne tourna pas la tête vers Jacob mais, du coin de l'œil, elle vit qu'il réagissait calmement à sa révélation.
- Pourquoi ?
- Parce qu'il essayait de me tuer.
- Alors ce n'était pas un meurtre.
- Sans doute pas. Mais ça fait le même effet.
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-Tu sais, on a un proverbe en Haïti : Complot plis fort passe ouanga.
(...)
-Ca veut dire : "le complot est plus fort que la sorcellerie."
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" Peut- être que si je vous donne une image, vous comprendrez mieux ma vie. Imaginez quelqu'un au volant d'une voiture sur une route inconnue. Il ne peut pas arrêter la voiture. Sur son trajet, il n'y a que des événements inattendus, inédits, totalement différents de ce qu'il s'attendait à vivre. C'est terrible pour un homme de se rendre compte qu'il est au volant de sa vie, et que les freins ne marchent pas."

FRANCK COSTELLO, MAFIOSO
(1891 - 1973)
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Tout finit par changer. Il paraît que le monde progresse. Des fois, j'en suis pas si sûr.
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De ce qu'il savait de la nature humaine, il ne fallait pas grand-chose pour qu'une foule effrayée devienne violente.
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Les températures élevées étaient aussi le lot de new York : des centaines de gens migraient à Central Park chaque nuit et emportaient matelas, couvertures et réveille matin, et, le lendemain à 6 heures, on entendait tinter les sonneries dans tout Central Park.
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La faculté d'adaptation, Gabriel, c'est la clé de la survie.
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Le soleil se levait sur l' Etat de New York, soulignant la ligne d'argent qui traversait en ondulant la vallée de l'Hudson River, se dirigeant vers le sud. C'était le 20th Century Limiteed, le train de nuit express en provenance de Chicago. Il perçait le paysage comme une aiguille traversant le tissu des montagnes, longeant le miroitement des lacs et le feuillage enflammé des forêts, comme inexorablement attiré par le coeur hypnotique de New York.
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Je voulais vous engager. C' est bien vous le détective privé ?
Ida fit un sourire en opinant. Elle lui désigna la chaise devant le bureau et la femme prit place. Ida étudiait sa toute première cliente et son sourire s'élargit : une femme blonde.
C'était toujours une femme blonde.
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Ida se rappela ce que Louis [ Armstrong ] lui avait dit un jour : le jazz venait des ouragans de La Nouvelle- Orléans que des légions de gens du Sud en haillons avaient ramenés dans le Nord, cachés dans les pistons des trompettes et le creux des contrebasses, et quand ils jouaient, ils libéraient ces tempêtes et toute cette énergie d'un simple souffle des lèvres sur une embouchure, d'une pression des doigts sur un clavier, d'une torsion de corde.
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