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3.39/5 (sur 107 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Noblesville, Indiana , le 01/12/1886
Mort(e) à : Danbury, Connecticut , le 27/10/1975
Biographie :

Rex Stout, de son nom complet Rex Todhunter Stout, est un écrivain américain.

Il grandit avec ses huit frères et sœurs au Kansas dans une famille de quakers.

Après des études universitaires il passe deux ans dans la marine, puis gagne sa vie en occupant différents emplois, écrivant notamment des articles pour des revues.

Il commence sa carrière littéraire dans les années 1910 en écrivant pour les magazines. Il écrit des histoires d'amour, des récits d'aventures et aborde des thèmes policiers.

Il rédige son premier roman, How Like a God, un récit psychologique, en 1929. Puis Stout se lance dans la littérature policière.

Son premier roman, Fer-de-lance, publié en 1934, présente pour la première fois son couple de détectives, Nero Wolfe, intellectuel obèse et amateur d'orchidées, et Archie Goodwin, jeune détective de terrain.

À partir de 1938, Stout se concentre sur l'écriture de romans policiers et poursuit la série des Nero Wolfe au rythme d'un volume par an, jusqu'à sa mort en 1975.

En 2000, l'ensemble des aventures de Nero Wolfe a reçu le prix de la meilleure série policière lors de la plus grande rencontre internationale consacrée au roman policier, le Bouchercon.
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Source : Wikipédia
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Une bonne en uniforme me fit entrer. Elle avait le nez retroussé et une couche de rouge à lèvres aussi épaisse que la couche de camembert que Wolfe étale sur ses crakers.
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- Archie, un coupable est moins dangereux en liberté qu'en prison.
- pourquoi?
- parce que en prison, il
contamine les innocents.
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Fritz ouvrit la porte et me fit un signe du pouce en direction du bureau, signifiant que nous avions de la compagnie. Je lui demandai qui, et il me répondit par ce qu'il croit être un murmure, mais qui est en réalité un croassement assourdi :
-- Federal Bureau of Investigation
-- Effacez toutes les empreintes digitales et brûlez les papiers, lui dis-je, puis je me dirigeai vers le bureau.
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Oui, monsieur. Il m'est venu à l'idée que si XXX (nom du coupable) avait été arrêté et était passé en jugement, vous auriez dû mettre votre chapeau et vos gants, quitter la maison, marcher jusqu'à une automobile, aller directement à White plains, et rester assis dans une salle de tribunal à attendre votre tour pour témoigner. Tandis que maintenant, les processus naturels étant ce qu'ils sont, et comme vous avez un sens aigu des phénomènes, vous pouvez rester assis avec vos responsabilités sur les genoux.
-Vraiment, murmura Wolfe
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En fait, seuls frappaient en lui le front et les yeux.
[...]
Les yeux provenaient évidemment d'une erreur dans la distribution du Créateur. Ils avaient été destinés à un requin. Ce n'étaient plus tout à fait des yeux de requin parce que le cerveau d'Arnold Zeck les utilisait depuis une cinquantaine d'années pour voir, la plupart du temps hors de l'eau de mer.
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Je dus lui expliquer patiemment que Wolfe était trop paresseux, trop corpulent et trop génial pour répondre à une convocation. (p.7)
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- Ainsi les cent billets sont à lui quoiqu'il advienne ?
- Oui, et un chèque pour moi, personnellement. je ne vous l'avais peut être pas dit ?
- Si. Ca ne m'étonne pas de Wolfe. Avec son tempérament, il n'y a rien au monde qu'il n'accepte ni ne fasse si vous le payez. C'est vous qui me surprenez. Vous savez fichtrement bien qu'on ne peut faire pièce au F.B.I. Même pas la Maison Blanche. Et vous agissez en fou en gambadant autour des mollets de ces gens. Vous cherchez la bagarre et vous l'aurez. (...)
- On ne peut pas dire que vous adorez Wolfe, et moi encore moins. Pourquoi voulez vous remettre au commissaire un rapport qui rende difficile le retrait de nos licences ?(...)
Il se leva et s'écarta. Sur la pointe des pieds, il alla jusqu'à la porte, souple et silencieux si l'on considérait son âge et sa corpulence, l'ouvrit brusquement et passa la tête au dehors. Evidemment il doutait que j'ai réussi à semer ma filature. Rassuré il passa dans la salle de bains ; une minute après, il revint avec un verre d'eau. Il but, sans se presser, posa le verre sur la table et me regarda, ses petits yeux encore rétrécis :
-Je suis flic depuis trente-six ans, fit-il, et c'est bien la première fois que je fais une passe à un outsider.
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On sonna à la porte. Je me levais et me rendis dans le hall. Sur le perron se tenait un personnage que je n'avais jamais vu en personne, mais un tas de photos de lui circulaient. Je rentrais dans le bureau et dis :
- Eh bien, eh bien, c'est un gros bonnet.
Wolfe me regarda en fronçant les sourcils, puis comprit et fit une chose qu'il ne fait jamais. Il se leva et passa dans le hall. Nous étions debout, côte à côte, en contemplation.Le visiteur posa son doigt sur le bouton et la sonnette retentit à nouveau.
- Pas de rendez-vous, dis-je. Dois-je le faire entrer dans le hall pour qu'il attende un instant.
- Non, je n'ai rien à lui dire. Laissons le se fatiguer le doigt.
Il se retourna et revint à son bureau. Je le suivis.
- Il est probablement venu de Washington rien que pour vous voir. Quel honneur !
- Pfui! Venez et finissons-en.
Je regagnai ma chaise :
- Comme je le disais, je serais tenté de lui dire entre nous...
On sonna à la porte.
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- je ne sais que dire pour vous convaincre, je vous le jure. Vous devriez venir à la maison et parler au patron.
- Pour quoi faire ? Je vois la scène d'ici : je vais lui exposer les raisons pour lesquelles je crois qu'il ment. Il va dire "Pas possible!", fermer les yeux et ne les rouvrir qu'au moment de commander de la bière. Il aurait dû se faire patron de brasserie. il y a des gens qui lèguent leur cerveau à un laboratoire. Lui, ce serait son estomac.
Je me levai.
- Parfait, déclarai-je. Si vous êtes d'assez mauvaise humeur pour lui reprocher de boire quand il a soif, je ne peux espérer vous parler raison. Tout ce que je peux vous répéter, c'est que vous n'y êtes pas du tout. Wolfe dit lui même que s'il avait la cassette l'affaire serait résolue.
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Il a horreur de sortir, et se trouver seul, chez lui, en présence de trois ou quatre ennemis mortels, lui paraîtrait certainement préférable à un voyage, en ma compagnie, dans cette machine infernale qu'on appelle une auto.
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