Richard A. Knaak

Récit inspiré de la franchise du jeu vidéo du même nom, c'est à l'annonce du quatrième opus vidéo-ludique que la trilogie est rééditée. Afin de ne pas dévoiler le début d'intrigue, nous découvrons ici l'aventure d'un fermier qui a fort à faire pour rester en vie et évoluer comme pourrait le faire le héro incarné dans le jeu vidéo. La lecture est aisée et plaisante, l'univers bien décrit sans que la connaissance de la franchise soit nécessaire. Je recommande ce premier volet aux curieux de l'univers Diablo, à ceux qui veulent prolonger l'immersion hors écran, précision faite que le livre introduit bien l'univers pour un néophyte.

Lorsque j’ai trouvé ce roman dans une cabane à livres, j’étais vraiment surprise de voir que la licence Diablo avait également eu droit à plusieurs publications ! Lors de sa sortie, j’avais passé beaucoup d’heures à jouer à Diablo III avec mon conjoint… J’étais donc curieuse d’en savoir plus sur cet univers médiéval et fantastique, même si ce volume ne retraçait pas le jeu sur lequel je m’étais amusée ! Hélas, je ne suis pas spécialement ressortie convaincue par cette lecture. Certes, je me doutais qu’il ne serait pas question de Nephalem, une ancienne race d’humains issue de l’union bâtarde entre un ange et un démon… Mais j’espérais que l’on ne ferait pas simplement allusion verrait aux démons primordiaux et que l’on en verrait au moins un… En réalité, j’ai surtout eu l’impression de lire de la fantasy classique avec une panoplie de créatures maléfiques comme les zombies et les démons ! Ce n’est donc pas mauvais toutefois, quand une série s’appelle « Diablo », on s’attend au moins à le voir apparaître…



Norrec, le personnage principal, va malencontreusement tuer ses amis lors d’une fouille au trésor… Cet acte impensable, il le doit à la puissante armure de Bartuc, un seigneur des démons et sorcier noir que l’on surnommait autrefois le « Maître de sang ». Or, cette pièce d’équipement est dotée d’une âme corrompue qui va forcer le mercenaire à agir contre son gré. Dès lors, un long voyage commence pour le pauvre homme qui ne peut résister à cette emprise maléfique… Parallèlement, on va également suivre deux autres récits qui vont finir par croiser le scénario principal. On a donc l’histoire de la sorcière Galeona, du démon Xazax et du tyran obsessionnel Augustus qui convoitent l’armure, ainsi que les aventures de Kara, une belle nécromancienne bien décidée à arrêter Norrec et à cacher de nouveau l’armure. L’intrigue tourne donc autour de Bartuc et de sa puissante cuirasse, ce qui ne m’a pas spécialement enthousiasmée… Il faut également avouer que je n’ai eu aucune attache pour les différents protagonistes que j’ai souvent jugé stéréotypés, manichéens et assez creux. Mon cœur balançait entre un Norrec passif manquant clairement de personnalité, une Galeona qui se sert surtout de ses charmes plutôt que de ses pouvoirs, un Augustus aussi méchant que fourbe, un Xazax sournois, une Kara dévouée au bien, etc. Seuls les revenants Sadun et Fauztin traquant eux aussi Norrec ont un caractère nuancé, ce qui fait peu à mon goût.



En plus des personnages principaux et secondaires qui m’ont laissé un goût amer, je n’ai pas vraiment accroché à l’intrigue qui s’est révélée assez cousue de fil blanc. Le dénouement est également bâclé, alors que l’on aurait pu conclure sur l’épopée de façon moins facile et bien plus sombre. Rares sont les choses qui m’ont plu, mais il y en : une plume assez fluide, des moments de manipulation, une atmosphère fantaisiste plaisante bien que non-révolutionnaire et le fait qu’il n’est pas nécessaire de connaître la licence pour découvrir cet ouvrage. Malheureusement, ces éléments ne compensent pas le reste. Je ne compte pas lire la suite de cette saga et je me contenterai des jeux vidéo de la firme !
Lien : https://lespagesquitournent...

Un des premiers livres que j'ai eu la chance de lire! Et que je ne me lasse pas de relire tellement je suis fan de la série!

Simple mortel, Bartuc a gravi les échelons du mal jusqu'à devenir une grande menace, même pour les dieux infernaux. Mais il fut finalement détruit, et les morceaux de sa dépouille furent secrètement gardés par un ordre religieux en deux lieux distincts. Pourtant, la légende de Bartuc le sanglant n'est jamais morte et nombreux sont ceux à dire qu'il reviendra parmi les vivants…



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Une fantasy classique mais assez bien menée qui se laisse facilement lire. On y suit un mercenaire devenu pilleur de tombe dont le destin va basculer ; une flopée de méchants assoiffés de pouvoir (un général mauvais jusqu'à la moelle, une sorcière aux moeurs douteuses, et surtout un magnifique démon mante-religieuse aux accents de Jaqen H'ghar) ; et quelques adjuvants bien trouvés (une nécromancienne loyale-bonne ; des zombies pas si méchants ; et des capitaines de navires pas trop regardant).

Le tout sur fond de rivalité entre les dieux du chaos, heu, je veux dire “des enfers”, et surtout avec une intéressante histoire de possession (dont on ne sait trop comment elle évoluera, à part à lire la quatrième de couverture… ce qui gâchera un peu le plaisir de lecture) et de “Legacy”, cette dernière n'arrivant qu'à la fin, et plutôt au bon moment. D'ailleurs, le titre me semble mal traduit, car “legacy” ce n'est pas la “loi” (incohérent dans l'histoire) mais bien l'héritage, le legs… ;)

La note aurait été plus élevé s'il n'y avait quelques longueurs (bien que n'éclipsant pas le plaisir de lecture), et si l'auteur avait pris son temps pour nous fournir un épilogue bien moins taiseux (une suite n'est pas nécessaire, mais j'avoue que les liens entre les divinités des enfers auraient gagné à être explicités).



Je précise toutefois qu'il n'y a nullement besoin de connaître, aimer ou avoir joué à la série Diablo, car hormis quelques noms connus (Diablo, Baal, Lut Gholein, Tristram, etc.) ce roman peut s'inscrire dans n'importe quel univers fantasy.



Toutefois, le lecteur ex-joueur que je suis n'a pas pu s'empêcher de ressortir sa boite coffret Diablo 2 + LoD, et de réinstaller tout ça (merci Blizzard de respecter vos joueurs et d'offrir un suivi avec des patch de compatibilité Window$10 presque 20 ans après !) après avoir entamé et réussi une séance archéologique pour retrouver le manuel du jeu et les clés CD ^^

Etant fan de fantaisie, Warcraft est une licence que j'adore. Aussi développé, si ce n'est plus que le Seigneur des Anneaux, Warcraft nous offre des possibilités de roman, comics, manga, film, série (j'espère qu'on y viendra un jour) et autre infini.



Ma première expérience sur la licence fut avec le jeu Warcraft III. Si je n'ai jamais joué à World of Warcraft, Warcraft III est un jeu que j'ai poncé et qui m'a tout de suite fait tomber sous le charme de la licence.



Si les comics de Williamson sont excellent, malheureusement (comme souvent) l'adaptation manga n'est pas du même calibre.



Si le dessin est très beau, le scénario n'est pas des plus intéressant. Les personnages sont sympa mais l'histoire est quelconque.

On aurait pu penser que Warcraft se déclinait assez bien en comics mais voilà un support manga qui regroupe la trilogie le "Puits solaire". Pour les connaisseurs, l'époque de l'histoire se situe après la défaite de la légion ardente face à l'armée des mortels dirigés par Thrall, Jaina et Tyrande.



A noter que j'ai lu la perfect édition qui est effectivement assez bien soigné. J'ai bien aimé le graphisme qui est non seulement magnifique mais également très précis. Les dragons sont de toute beauté. On regrettera juste les trop grandes facilités du scénario et des personnages trop stéréotypés.



Pour découvrir le monde de Warcraft, ce manga n'est pas à conseiller. Il vaut mieux se rabattre sur World of Warcraft - Dark Riders. Cependant, le niveau est moins bon que dans ce manga. Il faut dire que cette série est difficile à adapter sur le support bd de manière générale. Les incursions se sont souvent soldés par un échec.

« Warcraft : le puits solaire » se divise en trois tômes se déroulant à la suite des incidents concernant le Roi Arthas. Il est donc préférable de lire le bouquin sur Arthas, voire la trilogie de la Guerre des Anciens et les bouquins sur la première et seconde guerrre avant de lire cette série de manga (voir ma liste sur warcraft). Cependant, un prologue court, clair et efficace est présent au début du premier tome, dévoilant fortement l’intrigue de Warcraft pour les neophytes !



Dans cette saga, nous retrouvons un dragon bleu, descendant de Malygos donc, croisant la route de méchants mercenaires et de gentils hommes. L’histoire nous amènera jusqu’à Moulin de Tarren, petite bourgade rapidement rattrapée par le Fléau.



Autant dire que pour le moment, rien de nouveau. L’intrigue n’est pas extraordinaire et j’attends la suite pour juger. J’ai beaucoup de mal avec le dessin manga. Je trouve qu’il ne colle pas à l’univers mais on ne boude pas l’occasion de retourner en Azeroth ! A voir la suite !

Bien qu'ayant participé au "test" de la toute première version de wow (et y jouant depuis, épisodiquement), j'avoue que l'histoire des mondes de ce jeu m'était quasi inconnue, vu que j'ai pas creusé très loin dans le domaine et que je n'ai aucun souvenir de mes premiers pas dans tout ça...

Comme je n'ai pas lu les livres la concernant, j'ai sans doute quelques lacunes, mais le résumé au début du manga (qui se lit dans le sens européen, ô surprise, lol !) est suffisamment clair (quoi que complexe), pour qu'on sache à peu près où on en est au début de celui-ci.



L'histoire est plutôt simple, par contre, puisque tout le monde court après "le puits solaire", comme le titre l'indique, mais qu'ici on assiste à la formation de la "compagnie" qui va faire la quête ! Bref, du grand classique JdR ! Les personnages sont caricaturaux, (le nain chasseur de dragon, notamment, lol, il en est comique), mais en fait ce n'est pas choquant, dans cet univers. C'est juste que c'est ultra-léger pour faire tout un tome là-dessus.



Le gros plus, de mon point de vue, ce sont des dessins absolument magnifiques, certes classiques pour un manga, très soignés, très détaillés, un très grand plaisir des yeux, des miens, en tous les cas, et comme ça se laisse lire tout seul, bah j'ai même ajouté une demi-étoile, voilà... :)

J'ai la trilogie (achetée pas cher d'occasion, en fait), je m'en vais lire la suite.

On est reparti dans l’univers d’Azeroth et de Warcraft ! « Le puits d’éternité » est un roman écrit par Knaak, auteur qui nous avait déjà compté les aventures de Rhonin et Krasus. Cela tombe bien car il s’agit ici de la suite ! Estampillé « Warcraft » et non « Wow », les mauvaises traductions sont moins gênantes car ici, peu de clans orcs. L’histoire se déroule après la troisième guerre, ainsi il se lit chronologiquement après les bouquins sur Arthas et Thrall. Enfin… C’est une chronologie un peu spéciale ici.



En effet, Krasus et son jeune apprenti se retrouve propulsés dans le passé. Bien avant les événements décrits dans les précédents livres. On se retrouve 10 000 ans plus tot, au cœur de la grande cité elfique du puits d’éternité. Le peuple est gouverné par Azshara, elle-même corrompu par Sargeras (on prend les mêmes et on recommence, la vie est un cycle, l’ami Sargeras est vraiment décidé à détruire Azeroth).



Alors le bouquin est bon ? Et bien on retrouve pas mal d’éléments déjà découverts : Les dragons, les orcs, les humains… Mais surtout, on découvre un univers complétement absent du jeu : l’âge d’or des elfes de la nuit. On rencontre des personnages cultes de la saga et on découvre avec plaisirs leurs débuts dans cette aventure. Je pense à Malfurion, Illidan ou encore Cenarius. L’action est omniprésente même si elle se déroule toujours dans cette même région elfique. On se demande vraiment comment cela peut terminer.



Bien entendu, la fin est provisoire tant les trames sont nombreuses. Il va falloir que je me penche sur le second tome de cette trilogie de la « Guerre des anciens » pour savoir ce qu’il advient de nos voyageurs du temps perdus. Un bon bouquin donc !

Dans ce nouveau tome, nous retrouvons Rhonin le magicien et Krasus le mage dragon dont on avait suivi les aventures dans le premier tome (Le jour du Dragon).



Des 4 tomes lus, celui-ci est de loin le meilleur d'entre eux. L'intrigue est dynamique et la maîtrise du suspens est assez impressionnante. L'ensemble est très visuel grâce à de nombreuses descriptions (sans lourdeurs cependant) et on se fait rapidement un film dans notre tête. Une ambiance magique et mystérieuse plane sur l'ensemble du roman ainsi qu'une atmosphère sombre et inquiétante.



Côté créatures, on découvre pour la première fois l'univers des elfes de la nuit. J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce royaume avec une place importante de la magie et des forces de la nature. Le demi-dieu Cenarius est un personnage très intéressant qui m'a rapidement fait penser à Merlin ou Gandalf. J'ai également aimé le Temple d'Elune et ses disciples qui utilisent une magie directement liée à la Lune, la protectrice des elfes de la nuit. C'est pourquoi le personnage de Tyrande est vraiment agréable à suivre. L'orc Brox sort des clichés liés à cette créature (comme dans le tome 2) censée être uniquement mauvaise et belliqueuse. Ici, l'orc fait confiance aux elfes pour sa survie et les aide à combattre les démons de la Légion.



Le principal problème de ce tome c'est la traduction qui a été grandement bâclée: fautes d'orthographe, de frappes, oublis de mots, problème de vocabulaire et de grammaire… Enfin bref, aucun effort n'ont été fournis.



Dommage également que la guerre contre la Légion Ardente vaguement évoquée au début (elle s'est donc déroulée entre le 3ème et 4ème tome) ne soit pas mieux expliquée. On arrive lorsque tout est finit et l'on distingue vaguement le carnage de cette guerre. Rien de grave, mais il est quand même un peu difficile de plonger dans ce tome, car on a l'impression d'avoir loupé quelque chose.



La fin de ce tome 4 est ouverte puisque les tomes 5 et 6 sont des suites directes. A voir donc pour la suite…
Lien : http://faeries.unblog.fr

Depuis le temps que je voulais lire cette trilogie, je viens de finir le 1 volume, ce qui est bien c'est que ça pourrait éventuellement s’arrêté là pour les novices de world of warcraft....



La fin laisse donc comme dis précédemment plusieurs interprétation, je trouve ça très sympa, nous sommes pris tout le long par les personnages principaux qui sont assez nombreux et on a toujours envie de savoir ce que ça va donné pour chacun d'entre eux....



Je commence donc avec plaisir le deuxième chapitre qui j'espère me plaira autant que celui si

Suite directe de Warcraft : La Guerre des Anciens, Tome 1 : Le Puits d'Eternité, ce tome consacré à la genèse de l’âme du dragon et au monstre « Aile-de-mort » nous est offert par le même auteur, bien connu des lecteurs de la saga. On retrouve ainsi Rhonin, Brox et Krasus en plein voyage dans le temps, avec les soucis de paradoxe que cela peut engendrer…



Pas de perte de temps, on entre direct dans le vif du sujet. La guerre fait rage et malgré la petite victoire, Archimonde, personnage bien connu depuis le premier tome (voir liste Warcraft) , débarque en Azeroth. Autant vous dire que la légion ardente ne compte pas rester sur sa défaite et va véritablement se déchainer pour permettre la venue de ce cher Sargeras.



Les personnages charismatiques du l’univers de Warcraft sont bien sur de retour pour notre plus grand plaisir. Le trio Illidan/Malfurion/Tyrande prend plus de profondeur avec des relations très complexes entre les personnages que je vous laisse découvrir. C’est même un tome primordial pour le personnage bien connu d’Illidan. Le trio Brox/Rhonin/Krasus fait également part belle à ce livre. Ici, c’est surtout Krasus et sa relation avec son soi du passé qui donne du cachet à l’histoire.





Puis surtout, ce tome est l’occasion d’en savoir plus sur la genèse du dragon noir et de son « Ame du dragon ». On nous en avait parlé de nombreuses fois dans les tomes précédents, sans trop détailler. Mais c’est maintenant chose faite et on comprends beaucoup mieux l’histoire des dragons d’Azeroth.



Il est évident que ce bouquin comporte quelques longueurs, quelques lourdeurs de traduction. C’est la marque de fabrique des livres « Warcraft » mais pour un passionné de l’univers, c’est un livre à ne pas manquer ! Le cliffhanger donne envie de se plonger directement dans le tome 3 qui s’annonce épique. Du moins je l’espère.

Voilà que se termine la lecture de ce cycle de 6 tomes. Même si vous n'avez pas été convaincu(e)s par mes différentes critiques, j'aurais au moins essayé…



Ce tome est certes moins bien réussi que les premiers, mais beaucoup mieux que le précédent. Une grande partie du roman est de nouveau une redite quant aux actions qui s'y déroule, mais la fin est assez incroyable. Illidan s'avère être très complexe et sa trahison n'est pas si évidente que ça. La récupération de l'Âme du Démon dans le repaire de Deathwing est un des meilleurs passages du livre. Ce qui est décevant dans ce tome c'est l'abandon presque complet de Rhonin. Le sorcier est très peu présent dans ce tome final ce qui n'est pas vraiment justifié (surtout que c'est d'abord lui qui est au centre de l'intrigue avec Krasus). Malfurion est certes toujours attachant, mais il n'évolue pas beaucoup et la conclusion de son histoire avec la prêtresse Tyrande est courue d'avance. Les lieux n'ont pas changé depuis le tome 4 (toujours le même champ de bataille entrecoupé de scènes dans le palais) ce qui ralentit nettement le rythme de l'intrigue au risque d'ennuyer certains.



La fin est haletante voire stressante et les dernières pages sont vite dévorées. Sans spoiler la fin, je dirais tout de même que le dernier chapitre est un peu expéditif.



CONCLUSION

Le cycle Warcraft nous présente un univers typique d'héroïc-fantasy. Parfois le genre poussé à son extrême fonctionne (les 3 premiers tomes), parfois un peu moins (tomes 4 et 6) et parfois pas du tout (tome 5), mais l'ensemble reste divertissant. De plus l'écriture est très soignée et les descriptions à la hauteur d'un univers de fantasy. Les créatures ne sont pas très originales (démons, elfes, humains, mages, orcs et dragons), mais la lecture s'avère tout de même sympathique. L'intérêt de l'univers s'essouffle peut-être au bout d'un moment et 6 tomes ce n'étaient certes pas une bonne idée. Espérons que l'adaptation cinématographique de l'univers Warcraft évitera un peu certains clichés…
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Dernier tome de la trilogie de la « Guerre des anciens », Apocalypse n'en est pas pour autant le meilleur ! Ceci dit, après avoir commencé, il faut bien finir ! Pour rappel, la guerre des anciens est une guerre opposant les elfes vivant en Azeroth il y a 1000 ans de cela (par rapport à la trame temporelle actuelle) et la légion ardente sur fond de dieux très anciens. C'est LA bataille qui a façonné la géographie de l'actuelle Azeroth. La chronologie des bouquins warcraft est disponible dans ma liste !



Bon revenons au bouquin. On en est toujours dans cette satanée bataille opposant les elfes aux démons. Ce cher Sargeras tente encore et toujours de passer par son portail pour débarquer et tout détruire histoire d'ajouter un monde dévasté au compteur. Mais c'est sans compter Krasus, Rhonin, Malfurion, Brox et compagnie qui souhaite déjouer les plans des forces démoniaques ! N'oublions pas que ce cher Aile-de-mort possède également l'âme du dragon, ce bijou qu'il a confectionné en la faisant à l'envers à ses semblables dragons.



Bref un beau bordel à démêler et heureusement, on s'y retrouve à la fin ! Mais a quel prix ? Oui parce qu'il faut bien dire que ce n'est pas fluide du tout… C'est même bien lourd ! Les lourdeurs qui sont apparus dans les batailles du deux sont ici généralisées… Car ce livre EST une bataille. On se retrouve donc rapidement à survoler des passages parce qu'un énième démon fait gueguerre avec un énième elfe. Enfin non, heureusement de nouveaux combattants débarquent mais je n'en dirais pas plus.



Un bouquin indispensable pour qui s'intéresse à l'histoire de warcraft tant il explique de chose sur l'univers actuel. Mais un bouquin également bien lourd, qui mériterait un bon lifting…

Il parait que c'est le moins bon de la trilogie, ce n'est pas mon avis; j'ai vraiment bien aimé ce dernier tome et surtout les 150 dernières pages qui sont insoutenables !

« Le jour du dragon » écrit par Knaak est l’un des premiers romans comptant l’univers de Warcraft. L’histoire se déroule durant la seconde guerre, s’inscrivant comme une suite annexe du roman « World of Warcraft : L'heure des ténèbres ».



La horde est repoussée au sud du Royaume de l’Est mais certains clans se sont isolés dans la forteresse de Grim Batol, se servant d’un mystérieux talisman pour diriger les dragons rouges, derniers espoirs de victoire. Dalaran envoie un sorcier mal-aimé pour déjouer le tout. On retrouve dans ce roman, des personnages charismatiques déjà rencontrés par les joueurs comme Aile de Mort, Rhonin ou encore une sœur Coursevent.



Comme la plupart des livres catalogués « Warcraft » et non « World of warcraft » la traduction est très approximative. Les néophytes auront du mal à passer du roman précédent à celui-ci et c’est dommage. Une nouvelle traduction ne serait pas de refus, notamment pour les noms de clans et de personnages…



Au-delà de cela, l’histoire est cette fois ci plus romancée, plus posée. On prend son temps à découvrir les personnages, les paysages. L’action n’est pas omniprésente alors que les précédents romans nous ont habitués à des courses folles et des batailles épiques. Toutefois, le scénario n’en est pas moins intéressant ! Comme son nom l’indique, l’histoire se focalise sur les aspects ou dragons de la mythologie Warcraft. Un livre qui plaira donc aux joueurs comme aux fans de fantasy ! L’écriture est de qualité (si on oublie la traduction foireuse) et casse les codes de la série Warcraft. Un bon roman donc pour ne pas se lasser de cet univers.

Livre tiré d'un jeu vidéo ça peux donner une trés bonne histoire cela ???



Et bien oui ayant adoré ce livre, certe je ne suis pas habitué à lire un livre de ce genre là, mais je me suis laissé prendre.



L'histoire de Warcraft est trés bien fiscelé, on voit que cela à été murment réfléchie et analysé.

Qui a dit que le monde de Warcraft était destiné aux mâles? Qui a dit qu'on devait être un pur geek pour pénétrer cet univers ? Et bien ceux qui ont dit ça mieux vaut ne pas les écouter du tout.



Ce premier tome de Warcraft adapté du jeu vidéo est bien sympathique. Bien sûr ce n'est pas de la grande littérature et il manque beaucoup d'originalité, mais c'est un pur livre d'héroïc-fantasy. On rentre très facilement dans l'histoire grâce à une écriture fluide tout en n'oubliant pas les détails. L'ensemble est dynamique et entraînant. Suspens, aventures et magie sont au rendez-vous! La caste des dragons est très bien représentée avec différentes créatures ayant chacunes leurs caractéristiques. Un p'tit coup de coeur pour les nains qui restent marqués par l'imaginaire commun de cette race. Nombreuses sont les références au Seigneur des Anneaux: parfois c'est bien et parfois ça va un peu trop loin dans la copie, mais ça reste cependant complètement différent.



Certains passages sont épiques et plein d'action, mais le tout manque parfois de pauses et d'émotions. Les hommes sont un peu trop “bad boys”, mais la seule femme du livre (l'elfe) n'est pas caricaturée et ça fait du bien! Les derniers chapitres sont un peu plus mous et la fin est plus ou moins attendue (ça dépend si vous vous laissez prendre au jeu…).



CONCLUSION: Ce premier tome est donc une bonne surprise. C'est un roman divertissant qui finira de vous détendre avant la rentrée. Alors, les filles, n'hésitez pas à plonger dans le monde de Warcraft!



Quant à moi je vous retrouve vite pour le deuxième tome…

Riche en détails qui peuvent perdre le néophyte en HF. L’auteur commence de façon abrupte dans le début du récit. De nombreux personnages foisonnent. Il n 'est pas indispensable de jouer au jeu pour entrer dans le vaste univers de Warcraft...Mais pour les joueurs, c'est un avantage certain car il permet de savoir l'histoire du jeu (WARCRAFT-WOW) et de savoir pourquoi on doit affronter tel monstre...Pourquoi un tel est devenu méchant qu'il faut l'éliminer pour le bien de l'Alliance et de la Horde...A conseiller vivement aux amateurs de HF et aux gameurs et gameuses de Warcraft, Wow. De plus, Il y a tout les personnages que peuvent proposer les livres d’HF : elfes, nains, dragons, sorciers, trolls en tout genre. Si vous avez l'âme d'un aventurier, lisez-le, sinon passez votre chemin

Le jour du dragon est un roman d'heroic fantasy se situant dans le monde d'Azeroth tiré du célèbre Mmorpg World of Warcraft.

On ne va pas se mentir c'est loin d'être de la grande fantasy et ça plaira principalement aux fans du jeu vidéo mais ça reste pas mal pour des jeunes qui voudraient se lancer dans la lecture de ce genre si particulier.