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Citations de Robert Crais (155)


Les flics et les juges étaient en général cléments avec les délinquants mineurs. Mais en cas de problèmes de comportement chroniques, certains jeunes étaient suivis par des officiers spécialement formés, surtout quand ces comportements étaient singuliers ou inhabituels, auxquels cas il arrivait que leurs dossiers soient conservés aux archives de la police locale.
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Les gens ont tendance à se laisser fasciner par ce genre de mystère et se mettent à parler de loups-garous.
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— Les gens disent toujours quelque chose quand ils déménagent, soit au revoir, soit bon débarras. Ils paient leurs factures et ferment leurs comptes en banque.
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Les gens sont capables de tout, il n’y a qu’à voir comment certains harcèlent les stars de cinéma.
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L'on devient responsable, pour toujours, de ce que l'on peut apprivoisé.
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Les bandes criminelles organisées des 15 républiques de l'ex-Union soviétique sont soumises à ce qu'elles appellent le Vorovskoi Zakon, le code des voleurs constitué de 18 règles écrites.
La première règle est la suivante : un voleur doit renoncer à ses parents, à ses frères et à ses soeurs. Il ne doit pas avoir de famille, pas de femmes, pas d'enfants.
Nous sommes sa famille. Toute violation de l'une de ces 18 règles est punie de mort.
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État d'alerte au " piège à rats "
Intervention de la brigade de déminage
Silver Lake, Californie

Charlie Riggio observa la boîte en carton abandonnée à côté du container à ordures. C'était un emballage de conserves Géant Vert dont dépassait, sur le dessus, ce qui paraissait être un sac de papier marron froissé. Une étiquette collée sur le carton portait la mention " Haricots verts ". Par précaution, Riggio et les deux officiers en uniforme qui l'accompagnaient s'arrêtèrent à l'angle du centre commercial situé là, sur Sunset Boulevard .
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Frank Meyer referma son ordinateur tandis que le soir de ce début d'hiver tombait sur sa maison de Westwood, Californie, non loin du campus de l'UCLA. Ce quartier cossu du Westside de Los Angeles, blotti entre Beverly Hills et Brentwood, est formé d'un gracieux entrelacs de rues résidentielles et d'opulentes villas. Frank Meyer - ce qui le surprenait plus que quiconque au vu de ses origines - vivait dans une de ces villas.
Son travail terminé, Frank se renversa dans son siège de bureau et écouta ses fils cavaler dans les profondeurs de la maison tels deux petits rhinocéros. Leur vacarme le rendait heureux, tout comme la généreuse odeur de viande braisée qui lui apportait une promesse de ragoût ou de boeuf bourguignon. Des voix lui parvenaient du séjour, trop lointaines pour permettre d'identifier l'émission, un jeu télévisé presque à coup sûr. Cindy avait horreur des journaux du soir.
Frank sourit, car Cindy ne s'intéressait guère plus aux programmes de jeux, mais elle appréciait d'entendre un brouhaha télévisuel lorsqu'elle cuisinait. Cindy avait ses habitudes, pas de doute, et ses habitudes avaient changé la vie de Frank. S'il possédait aujourd'hui une belle maison, une entreprise florissante et une famille merveilleuse, c'était grâce à son épouse.
Songeant à tout ce qu'il devait à cette femme, Frank sentit les larmes lui monter aux yeux. Il était sentimental et émotif, et l'avait toujours été. Comme aimait à le dire Cindy, Frank Meyer n'était au fond qu'un gros nounours, et c'était même pour cela qu'elle en était tombée amoureuse.
Frank travaillait dur pour rester à la hauteur des attentes de sa femme, ce qu'il considérait comme un privilège - reçu le jour où, onze ans plus tôt, il avait compris qu'il l'aimait et qu'il allait devoir se réinventer. Il s'était lancé avec succès dans l'importation de vêtements venus d'Asie et d'Afrique, qu'il revendait à des grossistes aux quatre coins des États-Unis. À quarante-trois ans, il était costaud et en forme, certes moins qu'auparavant. Bon, d'accord, il s'était un peu empâté, mais il faut dire qu'entre son travail et les gosses, Frank ne faisait plus de musculation depuis des années et mettait rarement les pieds sur son tapis de course. Quand il s'y risquait, ses efforts manquaient du zèle qui l'avait consumé comme une fièvre tout au long de son ancienne vie.
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Marchenko et Parsons tournèrent seize minutes autour de l'agence sniffant une bombe de Krylon bleu roi métallisé pour réguler la montée du PCP. Marchenko pensait que la peinture serait un atout dans la banque en leur donnant un air féroce et hagard, surtout que le bleu roi était une couleur guerrière.
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Bien aimé, intrigue bien menée. Pas le meilleur de Robert Crais, mais on se laisse emporter par la quête de Pike qui devient un peu moins machine de guerre, il laisse entrevoir qu'il peut avoir des sentiments.
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Wilson Brownell avait raison. J'avais mis les pieds dans un vrai merdier et j'étais en train de m'enfoncer.
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livre trouvé , merci
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