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Citations de Robert R. McCammon (262)


Je fus envahis d'une tristesse dont la cause m'échappais. J'avais pressenti que tout court à sa perte, même ce qu'on ne veut pas laisser partir.
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- "Vivre sans émotion était un peu comme jouer un rôle devant des critiques sans jamais recevoir la chaleur du public."
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- "J'ai appris à reconnaître les roseaux qui plient de ceux que la tempête déracine."
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Un endroit magique...
Mon enfance magique et tout ce pays de cocagne survivent en moi .
Je me souviens .
Faut que je vous raconte ça .
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Robert R. McCammon
« Des lecteurs m’ont déjà dit “Je ne veux pas que le livre se finisse.” Pour moi, c’est le plus beau des compliments. »
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Pour elle, le monde n'était qu'un vaste patchwork dont les coutures menaçaient sans cesse de craquer, et son angoisse, une sorte d'aiguille essayant sans cesse de renforcer ces coutures fragiles. Imaginer le scénario, c'était sa façon d'avoir un peu de contrôle sur les événements. Comme je l'ai dit c'était sa nature. Mon père pouvait prendre une décision sur un coup de tête, mais ma mère s'inventait une source d'inquiétude pour chaque heure de la journée. Sans doute s'équilibraient-ils, comme ça devrait être pour deux personnes qui s'aiment.
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Avec ce ragout-connard, le chalet puait comme dans un abattoir.
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Nous sommes sur le point de non-retour. Peut être l’avons nous déjà franchi, et qu’il est trop tard pour faire machine arrière. Dieu nous protège, nous volons dans les ténèbres sans savoir où nous allons.
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Ses gants étaient rouges et le devant de son manteau était couvert du sang de quelqu'un, mais il aimait cette couleur : c'était la couleur du soldat.(page 328)
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Ainsi va le monde : nous voulons croire au meilleur, mais sommes toujours à l'affût du pire. Sans doute pourrait-on décortiquer la plus innocentes des chansons et y trouver les traces du Diable, si c'est ce qu'on a décidé d'y entendre.
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Nous avons tous besoin de savoir d'où nous venons, je crois. Les Noirs comme les Blancs. Quand on perd son passé, on perd également son futur. C'est pour cela que cet endroit existe.
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Qu'est ce qui peut déformer une âme au point de la rendre capable de détruire une vie humaine aussi facilement qu'on chasse une mouche ?
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Toutes les prisons n'étaient des blocs de béton gris, cernées de barbelés et de miradors. Certaines étaient des maisons ordinaires, dont les stores refusaient de laisser entrer le soleil
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Pour elle, le monde n'était qu'un vaste patchwork dont les cultures menaçaient sans cesse de craquer, et son angoisse, une sorte d'aiguille essayant sans cesse de renforcer ces coutures fragiles. Imaginer le pire scénario, c'était sa façon d'avoir un peu de contrôle sur les évènements.
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C'était peut-être aussi une partie du problème. Peut-être qu'un vélo, quand on s'en sépare, se languit année après année des premières mains qui l'ont conduit. Peut-être qu'en vieillissant, dans sa tête de bicyclette, rêve-t-il des routes qui ont peuplé sa jeunesse. Il n'avait donc jamais été complètement à moi. Il roulait [i]avec moi[/i], mais il gardait dans ses pédales et ses poignées le souvenir d'un autre.
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Je n’avais jamais compris ce qu’était vraiment la haine avant d’imaginer quelqu’un en train de fabriquer une bombe qu’il laisserait un dimanche matin dans une église, là où elle pourrait tuer des enfants.
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J’ai vu beaucoup de garçons venir et repartir. Certains ont grandi et se sont installés dans la région, d’autres s’en sont allés. L’enfance s’envole si vite, Cory (…). Les petits garçons se hâtent de devenir des hommes, puis ils découvrent un beau jour qu’ils aimeraient bien redevenir des petits garçons. J’ai un secret pour toi, Cory (…).

Personne, murmura-t-elle , personne ne grandit jamais.

(…)

Ils paraissent grands, continua-t-elle. Mais c’est un leur. Ce n’est que le masque du temps. Au fond de leur cœur, les adultes sont toujours des enfants. ils voudraient continuer à sauter partout, à jouer, mais ce lourd masque leur pèse sur les épaules.
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Je n’avais jamais compris ce qu’étaient vraiment la haine avant d’imaginer quelqu’un entrain de fabriquer une bombe qu’il laisserait un dimanche matin dans une église , là où elle pourrait tuer des enfants.
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Vernon said "Four years. The boy stood it for four years. And he wrote this book about the town, and the people who made it what it was. And maybe there wasn't a real plot to it, maybe there wasn't anything that grabbed you by the throat and tried to shake you until your bones rattled, but the book was about life. It was the flow and the voices, the little day-to-day-things that make up a memory of living. It meandered like the river, and never knew where you were going until you got there, but the journey was sweet and deep and left you wishing for more."
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"I have seen plenty of boys grow into men, Cory, and I want to say one word to you. Remember."
"Remember? Remember what?"
"Everything," she said. "And anything. Don't you go through a day without remembering something of it, and tucking that memory away like a treasure. Because it is. And memories are sweet doors, Cory. They're teachers and disciplinarians. When you look at something, don't just look. See it. Really, really se it. See it so when you write it down, somebody can see it too. It's easy to walk through life deaf, dumb, and blind.
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