Roger Borniche

Dossiers très privés de Borniche contient plusieurs histoires de l'auteur en tant que détective privé.

Celles ci nous entrainent en Turquie, Suisse, Maroc mais également en France.

Je n'ai pas trouvé du tout plaisante cette lecture, ce n'est pas du tout intéressant et j'avais hâte d'arriver à la fin !

Roger Borniche est un ancien policier devenu ecrivain,ce qui lui premet de donner a ses romans policiers un gout de terrain marqué car il a l'expérience des situations vecues.Ce roman nous emmène en Amérique du Sud a la poursuite d'une pointure de l'après guerre.Un peu sirane,sans doute aussi surjoue mais de bons passages.

Écrit par un vrai policier, c’est l’histoire d’une traque entre un flic (l’auteur) et un célèbre gangster. Roman témoignage écrit en 1973, avec le style qui colle à l’époque. Je l’ai lu au début, puis parcouru. Le style m’a paru lourd, le personnage du flic égocentrique et le voyou caricatural. Le roman a sans doute mal vieilli. Je ne lui ai trouvé aucun intérêt.

Dd ce livre a ete tire un film du même nom avec Alain Delon dans le rôle principal. Le livre est top surtout car son auteur est de la maison en effet Roger Borniche a exerce comme policier pendant de longues années et ses histoires sentent le vecu.Ici on est replonge dans le milieu de la pegre de l'apres guerre avec delice et on est comme dans un reportage au sein des policiers menant l'enquete.Un superbe polar.

une enquête instructive et

passionnante.

*Haedrich*



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L'enfer de Caracas



Ce qui fait la force des romans de Borniche, c'est la puissance de la réalité dans laquelle il puise. L'Archange ne fait pas exception à la règle. Dans un langage fluide et direct, parfois familier, parfois romantique , entre Audiard et Hugo, d'une voix qu'on imagine rauque et nonchalante, l'auteur nous conte à la première personne les rebondissements de cette affaire pas comme les autres, dans la touffeur des ruelles de Caracas. Une affaire brutale qui ne le laissera pas indemne, et dont le dénouement haletant aura lieu dans la grisaille parisienne.





Pace e salutu



Flic brillant, Roger Borniche affiche à son actif 567 arrestations. Flic inspiré, il a écrit 28 romans relatant les grandes affaires criminelles qui ont jalonné sa carrière. Flic IRL et flic de fiction, Borniche a connu plusieurs vies, toutes émaillées de succès. Je dirai sans hésiter que l'oeuvre littéraire qu'il nous a offerte constitue l'essence même du polar, par sa puissance, son réalisme, sa noirceur et les qualités qui la portent. Ainsi, amateurs de polars, plongez-vous avec régal dans l' Archange, l'une des oeuvres les plus palpitantes de cet auteur incroyable.

Aujourd'hui âgé de 95 ans, Roger Borniche a quitté le soleil du Venezuela pour celui de la Californie, où il coule une retraite bien méritée . Quel meilleur hommage pourrions-nous lui rendre que de lire et relire ses nombreux romans jusqu'à plus soif?

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Borniche. Le coréen. J'ai lu. 1987. 348 p. 2 étoiles.

Je me suis arrêté au 1/3 du récit.

Les personnages sont peu attachants, froids, … inintéressants je dirais.

L’intrigue n’avance pas.

Et une incohérence en début de récit. Le Coréen saute d’un cargo qui fait route en pleine nuit pour sauver un type qu’il ne connaît pas. Le cargo s’arrête…et le candidat à la noyade est repêché alors qu’il allait être happé par l’hélice.

Le cargo s’arrête…comme si un cargo en avait la possibilité. Et retrouver un corps qui plonge pour se noyer ? En pleine nuit ? Bref. Je n’ai pas aimé et/ou je ne suis pas le public de Borniche.

Pas le meilleur livre de l'auteur,pour tout dire j'ai ete un peu decu du contenu propose.Je pensais retrouver la faconde et le suspense des autres romans de l'auteur mais dans ce livre elle n'est malheureusement pas presente.L'histoire a beaucoup vieillie et le roman en pâti.

Borniche Roger

L’indic

4ème de couverture

Gestapistes en perdition, faux résistants, vrais truands, aventuriers et indics : à la Libération, le Milieu ne dépose pas les armes mais se lance dans une nouvelle guerre. Pour son propre compte. Dans une avalanche de vengeances, les Corses partent à l'assaut de Paris libéré. A leur tête, le plus redoutable gangster de l'après-guerre : Ange Malaggione, dit "l'Archange", séminariste devenu tueur, qui a découvert le goût du sang dans les rangs de la Gestapo. Face à Malaggione, face au taciturne Toussaint Michelesi, face au beau Dominique Léonelli et à un personnage nouveau, inattendu et essentiel : la ravissante Sylvia de Neyrac, l'inspecteur Roger Borniche apprend son métier de flic. Il découvre, avec une fascination mêlée de dégoût, que le tortueux maniement des indics permet seul de traquer les grands du Milieu.

C’est le genre de livre, sans dénigrer l’auteur, mais un peu livre de gare, facile à lire, il me fait penser un peu aux premier livres que j’ai lu jeune, qui souvent reprenaient les histoires de ces grands truands des années 50, de la bande à Bonot et bien d’autres, en y mêlant des histoires relatives ou après-guerre.

C’est une chasse à l’homme, des trahisons, mais aussi de l’amour. De bons ingrédients certes pour vous délasser un petit moment, c’est vite lu, bien écrit et qui pendant ce temps vous fait oublier vos petits problèmes.

Pas exceptionnel ce livre ci.Cette chasse aux caid de la drogue est un peu decousue et j'ai eu du mal a suivre l'auteur dans ses aventures qui s'enchaînent sans vrai fil directeur.L'ensemble est assez moyen et ne vous laissera pas de souvenirs imperissable.Mieux vaut lire le livre sur l'auteur et la creation de la DST bien meilleur selon moi.

Pierre Loutrel, surnommé Pierrot le fou, est au centre de cette enquête menée rondement par l'inspecteur Borniche. Peu après la guerre, avec son gang, il a ensanglanté la France, loin du soi-disant code d'honneur des truands. A bord de tractions, ils menaient des hold-up un peu partout, semant des cadavres sur leur passage. Il s'agit d'un récit vrai entré dans les annales. Borniche n'a pas son pareil pour accumuler les détails et multiplier les anecdotes. Un roman qui se lit d'une traite, sans phrases tordues et sans mots compliqués. Borniche, auteur, cherchait avant tout l'efficacité et le plaisir du lecteur.

Retour sur plusieurs grandes séries de crimes bien connues du public.



Plusieurs chroniques très bien faites si on apprécie les grandes enquêtes policières.



A lire!

L'action se situe dans l'immédiat après guerre en 1947 , mais l'influence du livre Papillon (1969), semble importante . Borniche écrit "Ce qui

m’enchante, c’est tomber sur ma proie,lui faire une clef, l’immobiliser et la ramener, tel un gros papillon, à la Maison..". Si le " papillon" Henri Charrière rêvait de liberté, celui de Borniche est pris dans les filets de l'inspecteur. Dans l'adaptation cinématographique Roger Bollec porte tatoué dans le dos un voilier symbole de liberté, et tatoué autour du cou une chaine avec un papillon en pendentif , à l'opposé du Papillon tatoué sur la poitrine d'Henri Charrière prêt à prendre son envol. La couleur verte n'est pas celle qui a le plus d'occurrences dans le livre, dans l'ordre c'est le noir, le blanc, le bleu , le rouge, puis le vert . Mais le vert constitue une sorte de toile de fond , avec les murs verts :"Mon regard parcourt le papier vert des murs, prairie sur laquelle se sont fanées des roses rouges décolorées : « Tu vas regarder le paysage longtemps ? »", des fiches, des chemises et des cartons verts. On retrouve ces murs , ces fiches...dans le film...Beaucoup de verre (s), 46 verre, 9 verres...Principalement à boire, pour finir avec le verre de rhum d'Emile Buisson condamné à mort ! De la chenille , sorte de ver, métamorphosé en joli Papillon pour Henri Carrière, contre le gros Papillon laid de Roger Borniche qui finit par boire le verre de rhum du condamné .

Le rythme de ce livre est un peu lent.

J ai lu des intrigues bien plus palpitantes que celle ci.

L histoire reste intéressante mais une issue sans surprise et quelque peu décevante.

Bien écrit mais parfois c est un peu long et on finit par s ennuyer un peu.

Roger Borniche se raconte à travers ses livres. Ancien inspecteur, puis commissaire, il a fait de l’écriture son album de souvenirs et narre ses plus prestigieuses enquêtes dans l’après-guerre. Avec « Flic Story », il revient sur la traque d’Emile Buisson, braqueur et assassin sans pitié. L'histoire se déroule principalement à Paris. Le livre est connu pour sa narration captivante et son style direct. Roger Borniche y raconte ses confrontations avec un des criminels le plus dangereux de l’époque et décrit avec attention le milieu du crime. Il partage également ses réflexions sur la vie de policier et les défis auxquels il a été confronté dans sa carrière. "Flic Story" est vite devenu un best-seller avant d’être adapté au cinéma avec Alain Delon et Jean-Louis Trintignant. Trois ans d’instruction ont été nécessaires pour éclaircir les trente-six crimes dont le prévenu était soupçonné. Condamné à la prison à perpétuité, Emile Buisson est finalement guillotiné en février 1956, faisant entrer son nom dans la légende sanglante de la pègre. Outre cette arrestation rocambolesque, Roger Borniche a également mis sous les verrous René Girier dit « René La Canne » et Pierre Corrot dit « Pierrot le Fou », des affaires qui ont bien entendu donné d’autres ouvrages à peine romancés de la plume du principal intéressé !

Un polar à l'ancienne qui revient sur l'une des enquêtes les plus médiatisées du flic Borniche, devenu auteur à succès. A la fin des années 1940, il a été chargé de mettre le grapin sur un dangereux criminel échappé de l'asile, le fameux et sanguinaire Emile Buisson. Meurtres, prises d'otage, courses-poursuites. Durant trois ans, le gangster commet crime sur crime et échappe à la traque menée par toute la police de France. Il s'agit d'une histoire vraie, menée à un rythme battant, avec une excellente description de l'après-guerre, du milieu des truands et de la vie de l'époque.

Ancien flic, Roger Borniche revient sur les affaires qu'il a traitées. l'occasion de devenir une star des librairies et de faire se succéder une série d'ouvrages qui reviennent sur les truands et les gangs de l'entre-guerre ou de la juste après-guerre. Ici, il revient sur le cas d'Emile Buisson, gangster numéro 1, voleur et assassin. Au fil des chapitres, le lecteur participe à une chasse à l'homme à travers la France de papa et découvre les moeurs de Pigalle et des bas-fonds. Au passage, l'auteur parle du quotidien des flics obligés de travailler à la va-vite et sans moyens (déjà !). Il est ici question du premier roman de Borniche. Jacques Deray l'a adapté pour le grand écran avec Delon et Trintignant.

Dans cet ouvrage, nous suivons l’affrontement entre Roger Borniche, inspecteur à la Sûreté Nationale et Rocco Messina, jeune mafieux aux dents longues. Le flic essaie par tous les moyens d’attraper le Ricain.

L’ambiance et les mœurs de l’époque sont bien restituées, de même que les modes opératoires des policiers français et américains, l’accent est bien mis sur leurs différences. Filatures, pression sur les indics, interrogatoires musclés, pièges…

Les us et coutume de la Mafia, son organisation au niveau mondial, ses figures d’alors sont crédibles et parfaitement intégrés au récit. Les plans des bandits pour réussir leurs coups, ou au contraire, les plans des policiers pour les attraper sont également parfaitement mis en scène.

Autre point appréciable, on voyage beaucoup avec ce roman, en France d’abord, mais aussi en Italie et aux USA… avec de belles descriptions visuelles, quasi cinématographiques.

Il y a aussi pas mal d’humour dans un texte assez noir ; les quelques meurtres sont vraiment atroces.

Hélas ! Deux point m’ont grandement gêné pour véritablement apprécier la lecture de ce roman. D’abord, le plus important, Borniche a du mal à rendre ses personnages (et lui-même) sympathiques. Ils manquent singulièrement de charisme, de cet élément séducteur qui fait qu’on s’attache à un personnage de fiction comme s’il existait réellement et qu’on suivrait des moments de sa vie. Or, là, le bas blesse d’autant plus que la plupart des personnages de ce livre sont inspirés de personnes réelles, le héros, Roger Borniche, en premier lieu, je l’ai trouvé un peu minable avec sa femme, Marlyse, de même qu’avec son patron, Vieuchêne. L’ennemi, « le Ricain », Rocco Messina aurait dû être un adversaire grandiose, il est présenté comme tel pourtant, mais la mayo ne prend pas. J’étais donc un peu détaché du récit, de ce qui leur arrivait. C’est vraiment dommage !

Le deuxième point, c’est l’éloge que fait Borniche de J. Edgar Hoover, sa façon de le présenter comme un flic génial et intègre, le grand protecteur de l’Amérique, l’ennemi irréductible de la Mafia. Quand on connaît le personnage réel, ça donne des boutons ! D’autant que je venais de lire Underworld USA de James Ellroy, et la comparaison me venait constamment à l’esprit. Bref, cela m’a vraiment posé problème.

Voici pourquoi, au final, malgré les qualités de ce polar, j’en suis ressorti dubitatif et assez déçu.
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Un peu décevant beaucoup de personnages et on s'y mêle les pinceaux mais ce qui compte c'est que cela se finisse bien.