AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Roland Godel (245)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


C'est moi qui décide!

Safiyé ne vient plus au cours de piscine. Elle a systématiquement mal au ventre ces jours-là. L'école s'inquiète de son absence, mais aussi Estelle, sa meilleure amie...



La question des cours de piscine est une vraie problématique pour les écoles et leurs enseignants.



Un certain nombre de jeunes filles ne peuvent plus s'y rendre en raison de l'interdiction familiale d'exposer son corps devant des hommes ou des garçons.



Tout comme Eve serait à l'origine du péché, certaines interprétations religieuses reportent sur les femmes la faute originelle : le corps serait source d'excitation pour les hommes, d'où l'obligation de se couvrir.



Or l'école française est mixte et laïc et beaucoup de maître nageur sont des hommes. Alors que faire ? Peut-on accepter cette exclusion des filles de certaines activités ?



Le récit montre bien la difficulté de la jeune fille à se voir appliquer les principes de la république : liberté, égalité, fraternité. Mais aussi le déchirement familial que cela produit.



J'ai apprécié que l'histoire présente avec justesse les faits et ouvre le questionnement. Il reste encore à trouver comment faire en sorte que les droits de l'enfant soient toujours respectés, en France comme ailleurs.



A lire !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Commenter  J’apprécie          200
Le sens de l'honneur

Une rivalité amoureuse entraîne la mort d'une jeune fille. Mais Yvan, le grand-frère ne voulait pas vraiment taper Sandra... Nous entendons tour à tour les différents protagonistes de l'histoire. Pour quelle raison est-elle morte ?



Un roman qu'il est difficile à noter et même à commenter tant il fait écho à une histoire vraie. L'intérêt du livre est qu'il montre la complexité des événements qui ont abouti à la survenue du drame. Le milieu familial est ainsi mis en question mais c'est surtout le hasard qui semble être le maître du jeu. L'auteur tisse au milieu de l'intrigue un secret qui me parait en trop. Dommage !
Commenter  J’apprécie          190
Dans les yeux d'Anouch : Arménie, 1915

Anouch a 13 ans lorsque sa famille apprend qu'elle va être déportée de Turquie. S'en suivent cinq années d'exode, de faim, de peur, de souffrance mais aussi d'espoir grâce aux rencontres faites sur le trajet...

Un roman poignant puisqu'il s'inspire de la vie de la grand-mère de l'auteur, Roland Godel.

Comme beaucoup de personnes j'avais entendu parler du génocide arménien mais je ne connaissais pas les détails de cet enfer. J'ai trouvé très intéressant qu'un roman jeunesse aborde ce sujet à l'occasion du centenaire de cet événement marquant du XX° siècle.

J'ai suivi avec beaucoup d'émotions le parcours de la famille Melikian, les épreuves terribles qu'ils ont dû subir, leur courage mais aussi la solidarité de certains pour essayer de sauver ces arméniens de la mort.

A lire !
Commenter  J’apprécie          172
C'est moi qui décide!

Estelle a remarqué que sa meilleure amie Safiyé ne venait plus à la piscine. Quand elle comprend que c'est parce que le père de son amie ne veut pas qu'elle s'expose ainsi aux regards des garçons et hommes, Estelle cherche à aider Safiyé qui aimerait bien que son père lui laisse davantage de liberté...



C'est moi qui décide ! de chez Oskar Editeur s'inscrit dans une collection destinée à aborder avec les plus jeunes les droits de l'enfant. Le thème de C'est moi qui décide ! est assez épineux par rapport à d'autres romans de cette collection. En effet, comment parler de la religion musulmane et de laïcité aux plus jeunes, sans tomber dans les travers des clichés ? Le sujet est en effet assez délicat en ce moment... Roland Godel s'y essaye, même si le roman prend vite le parti d'opposer un père à la vision ( de mon point de vue) assez radicale de l'Islam à sa fille qui ne rêve que de pouvoir à nouveau retourner à la piscine. Plus largement c'est l'autorité parentale qui est remise en cause dans le roman avec cette jeune fille qui décide de montrer à son père que ce qu'il lui impose va trop loin et qu'elle a des droits.

Le sujet est délicat, en tant que non musulman on peut aussi avoir d'emblée un parti pris, et les revendications du père peuvent nous échapper. Néanmoins le débat posé est intéressant et Roland Godel tâche de donner les deux points de vue, nous invitant dans l'intimité des familles de Safiyé et d'Estelle, même si à mon sens le père de Safiyé est un peu trop caricatural. Pas simple cependant de parler de cela avec les plus jeunes mais l'auteur donne quelques arguments dans les deux sens, afin de permettre à chacun de se faire sa propre opinion. La fin, assez ouverte, est aussi une bonne idée pour ne pas trop orienter.
Commenter  J’apprécie          150
Vis ton rêve

Parce qu'il est orphelin et sans attache, Hamidou quitte l'Afrique et part pour l'Europe.



Après un voyage éprouvant, il lui faut encore tâcher de survivre tout en devant prouver son statut de mineur isolé.



Son placement dans une famille de Bretagne est pour lui comme une renaissance. Il se sent proche notamment Nolween, la jeune adolescente du couple qui l'héberge avec d'autres enfants plus jeunes.



Mais c'est sans compter sur les préjugés et le racisme ordinaire qui vont voiler rapidement le rêve d'Hamadou de devenir médecin et d'être intégré...



Les idées fausses circulent vite dans le petit village et c'est forcément celui qui a le plus de différences par rapport au groupe qui en fait les frais.



La famille tente de le protéger et Nolween de le réconforter. Mais le jeune garçon sent bien que trop de compromis risquent de lui ronger les ailes de ses rêves.



J'ai beaucoup aimé la manière dont l'orientation professionnelle est traitée. Elle rappelle les difficultés pour réaliser le métier que l'on souhaite quand on n’a pas les codes et qu'on n’est pas dans la bonne filière.



Le fait que la narratrice soit la jeune fille apporte aussi beaucoup d'émotion à l'histoire.



Un roman à lire !


Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Commenter  J’apprécie          140
C'est moi qui décide!

Estelle s'inquiète pour son amie, Safiyé, qui n'assiste plus au cours de natation et semble être gênée quand elle lui en demande la raison...



Les enfants n'ont pas à subir les convictions des adultes, même s'il s'agit de leurs parents. Le contexte religieux de cette histoire est sensible car le lecteur peut déjà avoir des idées préconçues, mais l'auteur a su présenter les choses de façon neutre. Ce n'est pas la religion qui est pointée du doigt mais bien le comportement du père.



Chaque enfant doit pouvoir disposer de son corps et de sa vie comme il l'entend, peu importe le contexte social ou religieux, peu importe son genre. Il faut qu'ils le sachent et ce court roman leur montre avec efficacité.
Commenter  J’apprécie          142
Dans les yeux d'Anouch : Arménie, 1915

Dans les yeux d’Anouk nous relate le parcours d’une jeune arménienne déportée avec toute sa famille en 1915. L’exode durera des années : des années à endurer les camps, le froid, les maladies, les dénonciations et ces massacres de masse qu’ont perpétrés les turcs. Une histoire qui fait froid dans le dos quand on sait qu’elle est très peu romancée. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur le premier génocide du 20e siècle dont on célèbre le centenaire cette année. Une lecture à la fois instructive et romanesque avec une jolie histoire d’amour entre anouch et le jeune Dikran. Je le conseillerai à partir de 15 ans.
Commenter  J’apprécie          110
Dans les yeux d'Anouch : Arménie, 1915

Nous sommes pendant l’été de 1915, en Turquie, Anouch et sa famille vivent tranquillement en province dans la ville de Bursa. A la nuit, la police fait irruption dans leur maison et leur ordonne de prendre la route. C’est la début de l’exode, de la déportation.

A travers les yeux de cette jeune fille, Anouch, nous vivons de l’intérieur la fuite des familles, la peur, les tensions, la faim, le froid, la mort et les massacre, sur les routes, dans le trains. Mais nous avons également une vision de la solidarité, de l’entraide, du partage, des soutiens si faibles et disparates soient-ils, qui vont permettent à certaines familles de s’en sortir. Et malgré les difficultés, malgré les traumatismes de l’Histoire, les amours adolescentes, le partage des sentiments, les premiers émois, la fidélité dans l’amitié. Autant de moments qui montrent que la vie est également quelque chose de beau qu’il faut vivre à fond.

Ce roman évoque cette période dramatique et souvent passée sous silence de l’histoire de la Turquie, la déportation de milliers d’Arméniens, et leur mort programmée. Il y a cent ans, le premier génocide de masse d’un peuple, anéanti pour sa religion, ses croyances, par un autre peuple avec qui il avait vécu jusque-là en bonne intelligence. Il y a beaucoup d’intelligence, de sentiment, et parfois de la joie dans ce récit, il nous monte qu’on doit toujours croire en l’homme, qu’il faut garder espoir et avoir foi en l’avenir.

Commenter  J’apprécie          100
Vis ton rêve

Un petit roman facile à lire qui évoque encore explicitement les droits de l'enfant même s'il ne fait pas partie de la même collection que Je ne suis pas ton esclave, très apprécié des élèves pour le défi Babelio de l'an dernier.



Le racisme ordinaire est clairement ciblé et les difficultés rencontrées par les mineurs isolés pudiquement exposées par petites touches. Du haut de ses 13 ans, Nolwenn exprime ses sentiments face à cet ado si différent d'elle que sa famille accueille, sa curiosité naïve fait écho à celle que d'autres éprouvent très certainement ; elle peine parfois à analyser ce qu'elle ressent et son rôle à la fin ne me semble pas indispensable, c'est presque trop facile.



La parenthèse bretonne d'Hamidou est enchâssée entre prologue et épilogue qui se répondent, j'aime moyennement qu'on me révèle une partie de l'histoire dès le début mais je trouve néanmoins ce livre intéressant par les thèmes qu'il aborde.
Commenter  J’apprécie          80
C'est moi qui décide!

Un court roman très important, qu'on a envie de faire lire à tous. Très facile d'accès et vite lu.

Mais j'ai un peu de mal à donner un avis.



Safiyé est en CM2. Contrairement à son amie Estelle, elle adore nager, mais ne va plus à la piscine avec l'école. Avec réticence, elle confie à son amie que son père le lui interdit.

Malgré les efforts de l'entourage, parents, école, le père campe sur des positions qu'il estime juste, en accord avec sa religion.

Les jeunes lecteurs découvriront ici que si les filles doivent se voiler, ne pas se montrer en maillot, etc, c'est parce que cela donne des idées sales et impures aux hommes. Ce sont donc elles qui sont punies, privées de liberté.

Ce roman montre bien les différents avis. Le père explique les raisons de son attitude, et qu'il fait cela pour le bien de sa fille. Ses interlocuteurs, malgré toute leur bonne volonté, ne peuvent pas grand chose pour aider Safiyé : la maman de sa copine est bien consciente qu’elle ne peut la garder chez elle en cachette de ses parents. Les enseignants peuvent brandir l'obligation de scolariser, avec le danger que le père la retire de l’école pour l'envoyer chez un autre maître plus intégriste que lui.

La fillette de la couverture, qui s'affirme et décide, n'est absolument pas celle du roman (qui a eu l'idée d'une telle illustration ?). Safiyé est terrorisée, même si elle essaie, à l’initiative de son amie, de s'affirmer face aux interdits qu'on lui pose.

Le père est réellement intégriste, la famille turque conforme à ce qu'on en attend : la mère très soumise, le grand frère qui seconde le père pour faire obéir sa soeur, même si on sent qu'il l'aime et qu'il est parfois partagé. Hélas, on sait que c'est le quotidien de beaucoup, et que le trait n'est pas forcé.



La présence du père d'Estelle, assez rigoureux lui aussi, mais dont les idées parfois un peu étroites sont bien contrebalancées par la mère, qui elle ne se soumet pas, apporte un autre côté bienvenu à l’histoire.



D'où vient qu’après l'avoir lu d'un trait, je suis assez mal à l'aise pour donner un avis ?

Même si on donne la parole à tous, j'ai l’impression qu'on nous donne à entendre ce qu'on a envie d'entendre. Il est clair que l'auteur se positionne nettement. Tout aussi clair qu'on ne peut qu'avoir cette position là, celle des droits de l'enfant.

Mais présenter les gentils d'un côté, les méchants de l'autre va-t-il faire avancer la juste cause ?



La fin est à la fois encourageante pour l’évolution qu’elle entend. Et après réflexion on se dit que rien n'est résolu.

Mais le roman a le mérite de poser le problème avec de bonnes explications.



Je ne connaissais pas cette collection, je pense que ce thème n'est pas le plus facile.
Lien : https://livresjeunessejangel..
Commenter  J’apprécie          80
La sorcière de Porquerac

Honnêtement, j'ai été un peu déçue.. Enfin je m'attendais pas à ça ! Mais l'histoire à quand même été prenante, et j'ai été triste à la fin, je ne pensais pas qu'autant de monde mourrait... ce récit prouve bien que cette société s'en prenait à quiconque sans preuves bien fondées, principalement aux femmes.
Commenter  J’apprécie          80
Frissons suisses : Soleil noir

Tout d'abord, je tiens à remercier chaleureusement la maison d'édition pour l'envoi de ce service-presse. La couverture et le résumé m'ont intrigué et je me réjouissais de découvrir ce tome.



J'ai directement été prise dans l'histoire de Louise. L'auteur aborde avec brio les thèmes de l'enlèvement et de la secte et fait en sorte que son texte reste accessible pour les plus jeunes.



Les illustrations sont sublimes et dégagent un réalisme qui permet au lecteur de pleinement s'immerger dans le récit.



La lecture est frissonnante et palpitante, les rebondissements s'enchaînent et vous voudrez absolument connaître le fin mot de l'histoire. Tout cela avec une plume à la fois simple et fluide.



Si vous cherchez un roman jeunesse captivant et que vous avez envie de frissonner pour le protagoniste, je vous recommande cette lecture.



J'ai rapidement lu les 128 pages de ce tome. Les chapitres sont courts (environ une dizaine de pages entrecoupées d'illustrations) et le style d'écriture est grand et aéré pour permettre une lecture fluide.



Pour le prix, vous pouvez vous procurer ce roman pour 13,90 francs.



C'était une belle découverte littéraire et j'ai vraiment apprécié les illustrations, je donne donc la note de 9 sur 10 à ce livre.
Lien : http://devoreusedelivres.ekl..
Commenter  J’apprécie          60
Dans les yeux d'Anouch : Arménie, 1915

En 1915, Anouch, 13 ans, vivant à Bursa en Turquie surprend une discussion entre son père et le chef de la Police. Ce dernier leur apporte un ordre de déportation. Pour la famille d'Anouch, c'est le début d'une terrible aventure : la violence les compas de fortunes, les morts, la peur, la faim ... La rencontre de la jeune fille avec Dikran, un jeune déporté arménien de son age est une occasion d'espérer.

Un roman inspiré d'une histoire vraie, l'histoire du premier génocide du XXème siècle.



Un roman poignant, un témoignage des horreurs perpétrées et encore trop méconnues. Cette publication vient à point pour les 100 ans du génocide arménien.

Une écriture simple, comme le fil du récit lui-même, accessible dès 10 ou 11 ans.

Le personnage d'Anouch est touchant de même que sa famille. Ce sont des personnes simples qui ont eut la chance de faire les bonnes rencontres et de bénéficier des bonnes occasions.

La relation entre Anouche et Dikran est aussi très belle et poétique, simple et pleine d'émotions.

Un récit très émouvant pour moi qui suis d'origine arménienne.
Commenter  J’apprécie          60
Jai ose dire non !

Un livre,sur l'harcelement,tout comme un eleve de trop!!!



Quentin et Pedro sont les terreurs de l'école. Et leur nouvelle victime , c'est Thomas , l'un des meilleurs élèves de la classe . Chaque jour, ils l'obligent à faire leurs devoirs. Et tous les soirs enfoui sous sa couette , c'est le même calvaire. Thomas souffre car il a peur des représailles s'il dénonce ces deux voyous. Comment le garçon arriva-t-il à mettre à ce harcèlement ?

Le heros,Thomas,est tout comme Danny!!!
Commenter  J’apprécie          50
C'est moi qui décide!

Résumé : Estelle se rend compte que sa meilleure amie, Safiyé, a changé depuis plusieurs semaines, car elle ne vient plus aux cours de piscine. Quel secret cache-t-elle ?



Mon avis : Ce roman met en avant le combat d’une jeune fille, Safiyé, contre l’intégrisme religieux de son père qui ne veut plus qu’elle aille à la piscine, car elle grandit, et ne doit pas se montrer en maillot de bain aux yeux des hommes.



Safiyé va se confier à Estelle, sa meilleure amie, et Estelle va soutenir Safiyé dans sa lutte pour la liberté. Mais le chemin va être difficile, car le père de Safiyé pense que ce qu’il exige est bon pour sa fille, car respectueux de sa culture religieuse, et n’imagine même pas qu’on puisse le contredire. Estelle en parlera à ses parents et à sa maîtresse, mais c’est Safiyé qui devra mener le long combat pour accéder à sa liberté, et avoir le choix de prendre ses propres décisions.



Le texte est court et incisif, et montre les points de vue sur le sujet, permettant de comprendre l’ampleur du travail à faire pour convaincre que les enfants aient la liberté de choix. Un beau texte à partager pour en discuter.
Lien : https://docbird.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          53
Vis ton rêve

CRITIQUE BABELIO



Sûr le livre vis ton rêve :



Ce livre raconte la vie d'un jeune garçon Hamidou à son arrivée en France quand il avait 15 ans. Avec des pages marquantes du passé et du présent L'aide sociale à l'enfance où il a été proposé de vivre dans une famille d'accueil 15 ans plus tard Hamidou est devenu médecin .



LE SUJET ?



Le sujet revient au passé , il y a 15 ans en arrière et quand Nolwenn voit débarquer Hamidou dans sa famille, Mais Hamidou a un rêve et compte s'y accrocher et ce livre revient au présent dont aujourd'hui il est devenu médecin .



Ce n'était pas intriguant de mon point de vu , ni intéressant selon moi les sentiments qu'on éprouve c'est un sentiment simple .

Un très bon vocabulaire, une bonne construction de phrases c'est un vocabulaire employé de façon de nos jours .



Je conseille ce livre pour ce qui aiment être prolongé dans une lecture et qui s'intéresse au sujet .



Le thème du livre parle d'harcèlement et d'un jeune garçon qui compte accomplir son rêve en étant accueillis par une famille d'accueil, en Bretagne ( en France ) et qui crée une amitié entre Nolween et Hamidou et que leurs amitiés vont se former . Hamidou, il veut croire en ses rêves .



Léa



Commenter  J’apprécie          50
C'est moi qui décide!

Mon avis



C est moi qui décide est roman écrit par Roland Godel, l' éditeur est Oskar

Estelle et Safiyé sont inséparables et n'ont aucun secret l'une pour l' autre.

Estelle s‘interroge et se demande pourquoi son ami n'assiste plus au cours de natation alors qu’elle adore nager. Mais c’est parce que son père ne veut pas que sa fille soit en maillot de bain devant les hommes. Elle doit suivre le règlement imposé par son père. Mais Safiyé ne veut plus obéir au règlement de son père. Donc son amie Estelle va l’aider pour qu’elle puisse venir au cours de natation sans que son père le sache!

Ce roman est passionnant est très intéressant.

Cela nous parle d'amitié et des liens qui unissent ces deux filles.

Cela nous parle des droits de l'enfant car comme les adultes, les enfants ont des droits par exemple celui de pouvoir dessiner ,jouer et s'amuser .

C'est une histoire un peu triste mais j'aime bien ce livre

Je le conseille à ceux qui aiment bien lire les romans et qui aiment beaucoup lire les livres tristes.

Fiona
Commenter  J’apprécie          50
Je ne suis pas ton esclave !

Loïc est un collégien qui a redoublé 2 fois. Après la mort de son père, sa mère retrouve un homme, Roger, contrebandier

de marques. Le beau père de Loïc le fait travailler jusqu'à tard pour l'aider à plier les vêtements de contrebande. Heureusement la petite Flavie soutient avec courage Loïc. Un jour il voulut partir chez sa tante car il se sentait pas bien. Pour dénicher l'argent il vola de la contrebande à Roger et les revend au collège sauf qu'un agent le surprend. Loïc fut interrogé et a tout raconté. Roger va en prison et sa mère est envoyé dans un hôpital spécial où on soigne les gens déprimé et Loïc va au foyer.

Ce livre est génial il explique les droits de l'enfant. A la fin on trouve la convention international des droits de l' enfant.

Maloé 6A
Commenter  J’apprécie          50
Je ne suis pas ton esclave !

Un petit garçon nommé Loïc n'arrivait pas à bien travailler à l'école. Il avait perdu son père. Son père adoptif l'obligeait à travailler le soir jusqu'à plus de 00h00 pour emballer des cartons avec des vêtements de fausses marques pour gagner de l'argent. Une des élèves de sa classe voulut l'aider à faire ses devoirs. Un jour, son père adoptif se fit arrêter par la police. Loïc

arriva à faire ses devoirs et tout redevint normal.

J'ai aimé ce livre car il y avait de l'action, il était triste.

Mélodie



C'est l'histoire d'un garçon qui s'appelle Loïc.

Il a redoublé plusieurs fois de classe parce qu'il n'avait pas le temps pour aller à l'école ni pour faire ses devoirs. Il devait s'occuper de sa mère parce qu'elle était toujours saoule.

Il rencontre une fille qui lui demande ce qu'il avait. Il lui raconta et elle lui demande s'il voulait qu'elle l'aide à faire ses devoirs. Il réfléchit et il accepta.

J'ai aimé le livre parce qu'il devait s'occuper de sa mère et c'était très dur pour lui mais il rencontre une fille qui l'aide. Et il réussit à se sortir de ce pétrin.

Tim



C'est l'histoire de Loïc qui vit avec sa mère et son beau-père après la mort de son père. Sa mère est dépressive et alcoolique, son beau-père aussi.

Loïc est triste, il fait beaucoup de travail avec Rogers son beau-père. Il ne travaille plus à l'école.

Loïc va être dans un foyer. Il explique à son ami Flavie que cela se passe bien. Sa mère va être aidée et va dans un hôpital.

Je l'ai pas bien aimé parce qu'il n'y avait pas beaucoup d'action.

Loïc



Loïc est dans un mauvais état. Il ne fait pas ses devoirs, s’endort en classe, ne dort pas beaucoup. Flavie, son amie, veut savoir ce qu'il se passe …..

Je n'ai pas trop aimé ce livre car il n'y a pas beaucoup d'action.

Et je l'ai bien aimé car Loïc a une amie qui ne lâche rien.

Alaïs
Commenter  J’apprécie          51
C'est moi qui décide!

C’est l’histoire de deux petites filles : Estelle et Safyé. Estelle aime la natation.

Son père ne veut pas qu’elle y aille à cause de sa religion. En effet, elle n’a pas le droit de dévoiler son corps. La directrice convoque le père de Safyé. Mais ça ne se passe pas bien! J’ai aimé ce livre car il y avait beaucoup d actions. Elisa



Commenter  J’apprécie          50




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Roland Godel (401)Voir plus

Quiz Voir plus

C'est moi qui décide !

Comment s'appelle le personnage principal ?

Chloé
Estelle
Garance

13 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : C'est moi qui décide! de Roland GodelCréer un quiz sur cet auteur

{* *}