Sakura Fujisue

Sans compromis est dans la même veine que 3D Matérial de la même auteure. C'est toujours des témoignages de jeunes filles sur leur vie sentimentale et sexuelle. Nous n'apprendrons pas grand chose. Toujours cette quête du bonheur, de désir de liberté et de besoin d'amour le tout sans aucune moralité ou de sens des responsabilités. C'est trop léger pour séduire d'autant que ces histoires restent ancrées dans le quotidien.



Au niveau du dessin, le trait est léger et c'est plutôt agréable à regarder. Cependant, les personnages se ressemblent d'une nouvelle à l'autre et d'ailleurs également d'une œuvre à l'autre. On a l'impression d'avoir toujours la même chose. Bref, la monotonie nous guette assez rapidement. Les dialogues restent toujours aussi insipides. Je pense avoir fait le tour des œuvres de cette auteure, nouvelle égérie auto proclamée du manga pour femmes.

Un peu déçue du final, je m’attendais vraiment à autre chose et en même temps, je trouve cela assez mignon. Je ne vais pas trop m’attarder sur ce tome, le résume parle parfaitement du tome sans trop en dire et je vais plus me tourner vers l’ensemble de la série pour faire un bilan de cette aventure palpitante. J’ai adoré lire cette histoire, le fait de suivre deux jeunes filles complètement différente face à l’amour et aux événements de la vie. Même si j’ai souvent été énervée et choquée par l’une, j’ai aussi souvent été peinée et triste pour l’autre. On s’attache finalement facile à ce petit monde, même le plus détestable comme Ena, et oui après l’avoir critique et détesté le personnage tourne assez bien sur la fin, grâce à Kazumi ou pas, il n’y a que l’auteur qui le sait… L’auteur expose plein de sujets divers comme l’amour, le viol, les peines de cœur, le divorce, le sexe, les erreurs, le mensonge, la trahison, le dégoût de soi et j’en passe, sans aucune retenue et en ne les rendant pas plus supportable afin de faire passer la pilule. Je garde surtout un très bon souvenir du couple Kanori et Kôta qui a su me faire vibrer de plusieurs façons tout au long de ma lecture, même si je n’ai pas mon happy end voulu, je n’en veux pas forcément à l’auteur.





En conclusion, la série dans son ensemble est une belle découverte même si j’ai eu des tomes avec beaucoup de lenteur et de tourne en rond. Mais l’auteur a su en faire autre chose qu’un shôjo cucul la praline, elle a su le rendre plus réel par le fait que dans la vie tout n’est pas rose et qu’il y a des événements sur lesquels on ne souhaiterait pas tomber mais qui sont là. Elle montre aussi la force de deux jeunes filles et leur évolution. C’est un manga à découvrir après on accroche ou on n’accroche pas, mais si vous accrochez, je vous conseille de vous préparer, cette histoire ne vous laissera pas de marbre et vous fera vivre plusieurs émotions à la fois.
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On sent que la fin approche et en même temps, il ne reste que deux tomes. D’un côté, nous avons Kazumi qui a enfin fait face à Ena et qui décide de mettre fin à leur histoire de manière définitive, mais cela ne l’empêche pas de panique quand elle le voit en, mais surtout de l’aimer encore et d’avoir peur de flancher et de revenir vers lui. Et d’un autre côté, nous avons Kanori, qui subit le divorce de ses parents et qui va devoir déménager loin de Kôta. Et bien sûr, la bombe tant attendue arrive en fin de tome, certes hyper prévisible vu que je l’attendais depuis un moment. Mais je reste quand même très touchée et stressée par ce qui va arriver. Mais surtout que va devenir le couple de Kanori et Kôta ?





En conclusion, un tome qui amorce parfaitement la fin pour l’une des filles, mais qui m’angoisse énormément pour mon couple chouchou. J’ai vraiment hâte de lire la conclusion à cette histoire et voire ce que l’auteur va nous donner au final.
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On retrouve un peu l’esprit du premier tome, on retrouve l’amitié un peu plus mise en avant, qui a été légèrement oubliée à un moment. D’ailleurs la fin finit sur une jolie note qui va dans ce sens. Mais surtout, il met en avant le grand pas de Kazumi, même si j’ai failli l’étriper à un moment, mais elle a fini par lâcher prise même si cela la blesse. Après nous avons l’épée Damoclès qui est toujours présente sur la tête de Kôta. Kanori continué à se lier d’amitié avec Suzuki, la jeune femme avec qui Kôta l’a plus ou moins trompé. Et on commence à découvrir une facette assez sympathique de Suzuki, même si en deux tomes, j’ai peur que l’auteur n’ait pas le temps de développer ce côté-là pour conclure son histoire. Il ne reste que deux tomes, donc j’avoue que le moment explosif entre Kanori et Kôta est attendu. Mais j’ai surtout hâte de voir ce qui va arriver avec Kazumi, mettant qu’elle s’est débarrassée de son vaurien.





En conclusion, une suite vraiment sympa et que l’on attend forcément surtout pour Kazumi. En ce qui concerne Kanori, j’ai un peu l’impression de l’avoir perdue de vue au profit de Kazumi. Mais j’espère vraiment que les deux derniers tomes de cette série seront assez explosifs pour conclure cette belle histoire d’amitié, pas toujours facile, mais vraiment proche de notre réalité.
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C’est enfin le tome que j’attendais pour Kazumi, il y en fallu du temps à la jeune fille pour voir les choses en face et faire enfin le bon choix. Mais ce qui m’énerve le plus c’est qu’à aucun moment Ena prend la défense de Kazumi, qu’il aime soi-disant, devant son ami. Ce tome est vraiment centré sur Kazumi, par le fait qu’elle remette tout en cause et ouvre enfin les yeux. Nous allons croiser Kanori, mais de façon assez peu présente, elle va essayer d’être là pour Kazumi, mais aussi pour Kôta, dont le beau-père est à l’hôpital, ce qui nous permet de découvrir un peu plus sur ce personnage au travers des liens familiaux, mais aussi à leur entente. Ce que j’aime dans ce manga et il me semble l’avoir déjà signalé, c’est que l’auteur se rapproche vraiment de la réalité et enjolive beaucoup moins les choses, qui parfois nous font réagir de façon excessive comme c’est le cas pour moi.





En conclusion, le tome que j’attendais enfin pour Kazumi, j’espère vraiment qu’elle restera sur sa lancée, ce qui fait que j’ai vraiment hâte de lire le tome suivant. On voit beaucoup moins Kanori sur ce tome, mais le peu nous permet de faire plus ample connaissance de Kôta et de découvrir un peu plus sur ce personnage.
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Bon je retrouve du plaisir à lire, je trouve surtout du plaisir à voir Kôta suer un peu même si cela me touche et m’affecte aussi, parce que je sens que quand cela va éclater, Kanori va être blessée. Kôta a fait un faux pas et la nénette liée à ce faux pas à l’air de vouloir lu faire payer son refus. Mais on ne sait pas vraiment, je pense qu’elle veut juste être près de lui et se sert de ce secret pour le faire chanter en se rapprochant de Kanori, je sens aussi que tout cela va mal tourner. Le tome se centre vraiment sur Kazumi et ses méchantes copines. L’une d’elles se rend à une soirée pour célibataire dont raffolent les personnages de shôjo. Elle y rencontre Ena, qui la drague et la met dans son lit. Sa soi-disant amie sait parfaitement qui est Ena et ne s’en cache pas. Je trouve d’ailleurs les deux amies de Kazumi vraiment ignobles, cela me fait énormément de peine pour Kazumi et en même temps, j’espère vraiment que cela va lui faire ouvrir les yeux sur la véritable nature d’Ena. J’ai l’impression de retrouver un peu les premiers tomes où tout va bien entre Kanori et Kôta malgré une petite ombre et qu’Ena prend toujours Kazumi pour une idiote, même si parfois il a des actions qui démontrent le contraire. J’ai vraiment hâte de poursuivre et voir si la vérité va éclater dans les deux couples.



En conclusion, un tome vraiment plus intéressant, parce que l’on a plein d’actions et d’intrigues, mais surtout beaucoup d’angoisse. Enfin pour ma part. Comme toujours, je me laisse facilement amadouer par les personnages donc forcément je finis par être touchée. J’espère vraiment que la suite sera aussi palpitante et intrigante. J’adore revoir Kanori et Kôta, même si on a une épée Damoclès sur Kôta. Et j’espère que le bouffon d’Ena finira au fond d’un caniveau, je sais, je suis méchante avec lui, mais lisez les tomes et on en reparlera.
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Kanori décide de venir mettre au clair les choses avec Kôta, le lendemain de son faux pas. Ce qui a l’air de le faire paniquer et en même temps, on le voit comme un lâche faire comme si ça n’était pas arrivé et reprendre sa petite romance avec Kanori. Mais je me laisse attendrir vu que l’on voit sa culpabilité le ronger, puis ce qui se passe durant leur séparation peut-être elle considérer comme une faute ? J’espère que l’auteur ferra ressortir cela dans les prochains tomes afin de faire un peu baver Kôta, même si cela blesse Kanori au passage. Je deviens sadique avec ses personnages… Mais je suis contente de les revoir ensemble, ils sont mignons. Kazumi n’est pas réellement présente dans ce tome, on la retrouve à la fin avec ses « amies », qui lui disent des choses pas forcément sympathiques et qu’elle ne veut sûrement pas entendre, mais si cela l’aide à ouvrir les yeux pourquoi pas… Mais au vu de l’action de fin, ça ne m’a pas l’air le cas. On n’avance pas assez vite !!!



En conclusion, un tome un peu moins tourne en rond, parce que je lisais rapidement les pages pour savoir si Kôta aurait le courage d’annonce son faux pas à Kanori, bon ce n’est toujours pas le cas… Je trouve que l’on n’avance encore pas assez vite. Et en même temps, je trouve un peu moins d’action inutile comme j’ai pu le voir dans le tome précédent. J’ai vraiment hâte de lire le prochain surtout au vu du résumé.
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Kanori soupçonne ce qui est arrivé à Kazumi, mais ne sait pas comment, ni même si elle doit aborder le sujet dans ce quatrième tome de Comme elles. Quant à son ancienne meilleure amie, elle n’est malheureusement pas au bout de ses peines.



Cette critique sera courte, puisque je n’ai rien de plus à écrire au sujet de ce manga qui ne se trouve pas déjà dans les précédentes. C’est toujours confus, toujours très plat, et toujours raconté avec ce même ton détaché qui me laisse perplexe depuis le début.



On parle de viol (et même de tentatives de viol en série, désormais), de violence conjugale et autres joyeusetés, et… Rien. On a une Kanori qui se préoccupe légèrement du sort d’autrui, et puis… Bah c’est tout. Mais elle y pense, donc j’imagine que c’est mieux que rien.



Et Kazumi… Je ne sais pas. Un type qui vous a déjà violée une fois vous donne rendez-vous tard le soir loin de chez vous, vous avez une petite alarme qui se met à clignoter dans votre tête ou vous y allez quand même, « parce que » ? D’accord, il ne faut pas blâmer les victimes, mais à un moment, tu ne cours pas au bord d’une falaise avec un couteau dans chaque main, ça s’appelle du bon sens.



Je n’aborderai même pas le sujet d’Ena, je ne comprends toujours pas pourquoi Kazumi s’accroche autant à lui (parce qu’elle ne veut pas être seule, sauf qu’en fait elle veut être seule, mais lui, le connard de service, lui suffit à ne pas se sentir seule et aimée… Oui, logiiiiiiiiique !).



Ah, et j’allais oublier le petit dernier. Le type dont je n’ai pas retenu le nom qui est amoureux d’elle. Ou peut-être pas tant que ça, du coup. J’hésite entre « c’est pas hyper clair » (à l’image du reste du manga, vous me direz) ou lever les yeux au ciel dans un soupir.



C’est donc ce que je vais faire. Lever les yeux au ciel en soupirant. Et laisser Comme elles derrière moi. Je suis allée suffisamment loin pour savoir qu’il est inutile que je m’acharne.
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Un tome enfin un peu plus intéressant que les autres.

Sakagami a fait un grand bon de maturité, bien fait si Ena s'en mord les doigts.

Kanori a été un peu bouleversée, ce qui est normal, par l'annonce du divorce de ses parents et son futur déménagement à Kobe. Mais par la suite je trouve qu'elle a eu un comportement réfléchi et mature dans sa manière de gérer les choses.

J'ai beaucoup aimé cet esprit d'amitié entre les Kanori, Kazumi et les autres filles. Ça manquait dans les premiers tomes.

Dans ce tome, Sakagami a enfin pris une putain de bonne décision (excusez moi du terme, mais il n'y a pas d'autre mot). Et en plus elle s'y tient ! Incroyable ! Elle fait preuve d'une force que beaucoup de filles n'auraient pas eu ! Pour le coup, elle m'a impressionné ! De plus, elle s'ouvre enfin à ses anciennes amies (surtout Kanori) et ça fait du bien car ça la rend plus sociable et plus appréciable. J'ai beaucoup aimé qu'elle rentre dans le groupe de Kanori et Rei. Ca met un peu de gaieté dans le ton habituellement morose de la série.

Quand au couple Kanori / Kôta, il continue à se renforcer. Même si je sens que ça ne va pas durer. L'obsession de Suzuki pour Kôta devient malsaine du coup je me demande où tout ça va mener.

Ça doit être le premier tome de la série que j'apprécie un peu. Incroyable !

Quel dommage...



Une fois encore des failles trop présentes gâche le récit, gâche le peu de rebondissement que tente de mettre en place l'auteur, ce qui est cruellement dommage, car le côté sombre et tortueux de l'intrigue est plutôt intéressante et il y aurait de quoi exploiter cela.



Alors que dire, une fois encore, ça part dans tous les sens, ça brasse de l'air et finalement on brode sur les rebondissements du tome 1. Le récit a parfois des allures décousues et manque de punch. Quant aux personnages certains sont caricaturales, d'autres manquent cruellement de charisme.



A cela s'ajoute le fait que j'ai la cruelle impression que l'auteur nous propose une comparaison : relation parfaite versus relation merd.... Tout est blanc ou noir, et les nuances sont bien mal choisis je pense notamment au viol, qui au lieu d'être présenté comme tel, est nuancé, avec notre personnage qui accepte de se plier à ce viol et l'auteur qui tente d’atténuer cet acte.



En bref, ça ne prends toujours pas avec moi, si bien que je vais lire les deux tomes suivants qui sont dans ma PAL, mais si rien ne change je lâcherais cette saga sans regret.



Bonne lecture à tous.

Encore un tome où j’ai l’impression de tourner en rond, surtout avec Kazumi qui retour vers Ena et que j’ai envie de baffer. Enfin bref, l’amitié entre Kanori et Kazumi se renforce de plus en plus. Kazumi s’est trouvée un petit boulot, mais ne peut s’empêcher de ramper devant Ena et ce dernier la traite de nouveau comme un déchet… Et du côté de Kanori qui se prend la tête avec ses sentiments envers Kôta. Mais ce dernier a lâché prise bien trop vite et commet l’irréparable. C’est peut-être cela au final qui m’énerve le plus dans ce livre, c’est que finalement, on n’est pas seulement spectateur des filles, mais nous voyons aussi les deux garçons agir, et de ce fait, on voit l’ensemble de leur faux pas et celui de Kôta m’étonne et m’irise le poil au plus haut point. Mais ça vient surtout du fait que cela entache la belle bulle rose que je souhaitais fortement retrouver dans la suite… J’ai quand même hâte de lire les tomes suivants pour voir comment cela va évoluer.





En conclusion, beaucoup de colère sur ce tome au final. Et en même temps, cela montre que je suis beaucoup plus touchée par ce qui arrive du fait que je me suis trop attachée aux personnages et à leurs histoires. Je me demande comment va réagir Kôta quand il verra que Kanori est devenu déterminée à reprendre leur histoire et j’espère sincèrement que Kazumi ouvrir les yeux sur Ena. Vivement la suite.
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Je n’aime pas particulièrement la façon dont les choses prennent forme. Surtout entre Kanori et Kôta. Elle l’accuse et le met dans le même sac qu’Ena, c’est limite agaçant, vu que l’on voit Kôta faire de son mieux pour s’expliquer et en même temps, il tient sûrement à son amitié avec Ena. Le début du tome met Kôta dans une situation un peu complexe, vu que son passé et son erreur, si l’on peut dire cela, ressortent. Mais cela n’entache en rien ses sentiments pour Kanori, par contre cela montre qu’il a gagné un peu en maturité. En ce qui concerne Kazumi, que j’ai vraiment du mal à comprendre et à apprécier cette fille. Elle file le parfait amour avec son vaurien de petit ami Ena, je ne l’aime pas non plus au vu des actions qui se sont passées et qui vont se passer dans ce tome. Kazumi passe vraiment pour la potiche de service qui ferme les yeux sur tout par amour, alors qu’Ena se dit amoureux de Kazumi, mais cela ne l’empêche pas de la tromper ou de la traiter comme de la merde. La fin a d’ailleurs de quoi me faire bondir et encore plus haïr Ena.



En conclusion, un tome que je n’aime pas particulièrement par le fait que la belle bulle rose de Kanori et Kôta est entachée par le comportement des copains de Kôta. Mais aussi par le fait qu’Ena est vraiment un BIPPPPPPPPP et que Kazumi n’est pas capable de voir les choses en face. Mais cela ne m’empêche pas d’apprécier le manga en lui-même, l’auteur aborde des sujets vraiment délicats et les maîtrise parfaitement.
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Ce tome est un peu plus tourné vers Kazumi et ses drames. La pauvre elle aime Ena, mais celui-ci a une drôle façon de la traiter. Et dans le but de ne jamais le décevoir et que ses actions ne se sachent pas, elle est prête à tout pour que rien ne vient aux oreilles d’Ena. Mais cela lui joue beaucoup de tours, parfois un peu à l’extrême, mais malgré cela et le fait qu’elle m’énerve, je ne peux pas m’empêcher d’avoir de la peine pour elle. Avoir la même réaction de Kanori, qui essaye plusieurs fois de lui montrer qu’elle est là et qu’elle sait. Mais cette dernière a aussi ses propres démons à affronter. Elle doit faire face à la réalité qui se passe entre son père et sa mère, mais elle va aussi faire en sorte que Kôta se rende compte que son ami Ena n’est pas un choix judicieux, elle ne peut s’empêcher de penser qu’ils sont sûrement pareils. Beaucoup de mouvement et en même temps, l’univers ainsi que les personnages de l’auteur se dévoilent toujours un peu plus. Je n’ai pas lu le bonus pour cette fois, mais je ne pense pas que je loupe grand-chose.



En conclusion, un tome assez intéressant malgré l’impression que l’auteur me tire vers le fond en se centrant sur Kazumi, mais aussi en me montrant les problèmes de Kanori. Mais cela ne m’empêche pas d’apprécier de plus en plus ce manga, par le fait qu’il soit beaucoup plus adulte que d’habitude et un peu moins gnian-gnian. J’ai vraiment hâte de découvrir de nouveau ce manga, dont j’ai complètement oublié l’histoire.
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Il ne faut pas se fier à la couverture rose bonbon de ce manga, car il ne s'agit pas d'un shôjo classique, tant par le graphisme (pointe de modernité appréciable dans les traits des personnages) que le récit.



3D Material est un recueil de deux récits réalistes, centrés autour de jeunes filles (l'une préparant les concours d'entrée aux universités, les deux autres étudiantes). Au sein d'une société japonaise stricte, elles ont du mal à trouver leur place et érigent des barrières pour se protéger. La rencontre de deux garçons va à la fois les sortir de leur torpeur, puis les engager sur la voie de la maturité.

C’est une histoire d’amour un peu à l’eau de rose mais elle est un peu longue, j’ai eu du mal à cerner les transgressions entre passé et présent, j’ai décroché plusieurs fois, car les textes n’ont pas toujours réussis à garder mon attention soutenue. Les dessins sont assez agréables, ils s’adaptent bien à l’histoire. Mais dans l’ensemble, ça semble une chouette série. Je ne compte pas l’acheter, mais la lire à la bibliothèque me suffit amplement. ^.^

Comme elles est un shojo en treize tomes centré sur deux protagonistes, Kanori et Kazumi. Après une soirée rencontre, les jeunes filles se rapprochent chacune d’un garçon, l’une avec circonspection, l’autre avec aveuglement, et s’éloignent mutuellement.



Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce manga change des shojos habituels. Kanori, l’héroïne principale, n’est pas une petite chose niaise et rougissante qui connaît ses premiers émois, et le ton est résolument plus mature que dans la plupart des œuvres que j’ai lues jusqu’à présent.



Malheureusement, c’est le seul compliment que je concéderai à ce premier tome, qui est un fouillis magistral tant au niveau de l’histoire que du dessin. Non pas qu’il soit foncièrement repoussant (même s’il y a bien mieux), mais les personnages sont nombreux et se ressemblent beaucoup (jusque dans leurs noms, comme Kanori et Kazumi l’annoncent d’entrée), ce qui n’aide pas à s’y retrouver.



Les scènes s’enchaînent de façon décousue, on revient parfois en arrière en plein milieu, on change sans transition de temporalité, de point de vue… À maintes reprises, j’ai dû tourner les pages en sens inverse pour essayer de comprendre où j’en étais, et avec qui.



J’ai les tomes suivants dans ma PAL, je verrai donc ce que ça donne, en croisant les doigts pour que ça s’améliore, parce que celui-ci a été un véritable pensum. En général, je lis les mangas d’un traite, mais là, j’ai dû le reposer plusieurs fois tellement c’était laborieux !
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Ayant déjà lu la série une première fois il y a très longtemps, je connaissais déjà la fin. Je n'ai donc pas été surprise. Néanmoins, je dois avouer que ça m'a quand même fait un petit pincement au cœur. Je ne suis pas fan des fins nostalgiques qui se basent sur le temps qui passe et les bons moments qui finissent en souvenirs. Mais au moins cette fin m'a fait ressentir quelque chose.

La relecture de cette série de mon adolescence a été très compliquée. Avec le recul et mon regard d'adulte, j'ai vu les défauts de certains personnages qui m'ont vraiment excédé. Je pense que c'est quand même une série assez mature dans l'ensemble. Malheureusement, je n'ai pas réussi à m'attacher plus que ça aux personnages et j'ai trouvé l'histoire plate la plus grande partie du temps.

Dans ce tome Kazumi s'enfonce toujours plus dans l'idiotie. J'ai cru qu'elle avait touché le fond, mais non elle creuse encore. Enfin, j'entrevois peut-être une lueur d'espoir avec le final du tome.

Petit point positif dans ce tome : Rai qui est beaucoup trop mignon ! Il fait deux petites apparitions mais il m'a donné le sourire que je n'ai jamais eu depuis le début de l'histoire.

Suzuki était un personnage que j'aimais bien dans les tomes précédents. Je m'identifiais pas mal à elle. Mais là, elle commence à devenir pathétique et son kiff sur Kôta commence à tourner à l'obsession. Au moins ça donne un peu plus d'intrigue à l'histoire que je trouvais plate.

Pour Sakagami, ça va de plus en plus mal, mais au moins elle est consciente de son manque d'intelligence. On a fait un peu vers le mieux.