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Citations de Samantha Bailly (479)


Dans une relation, chacun est entre les mains de l'autre. On peut prendre soin de son hôte, le saisir avec délicatesse, lui prodiguer de l'affection. Parfois, on ne réalise pas à quel point ce que l'on tient est précieux et fragile... On le malmène, on l'écrase. C'est seulement lorsque sa possession est partie, laissant les doigts ensanglantés, que l'on prend conscience de sa propre cruauté. De ce que l'on a perdu.
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Un peu de neige, et l'enfance revient comme un boomerang.
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« Il n’existe rien de constant si ce n’est le changement. »
Bouddha
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Décidément, je ne suis convaincu ni par sa teinture blonde ni par sa nouvelle coupe dégradée. À croire qu’il n’y a rien de plus vieillissant que d’essayer de se rajeunir.
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Il y a deux mondes à Paris : celui de ceux qui se déplacent à la surface et celui de ceux qui se déplacent en souterrain.
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Certains ont besoin d’être à deux pour former un tout. Mais il faudrait d’abord que je forme un tout moi-même…
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- Tu ne sais pas laisser le silence s'installer. Pourtant, c'est dans le silence qu'on arrive à dire certaines choses.
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Il n'y a plus ta silhouette devant le citronnier ou arpentant les couloirs. Ton visage crispé par l'épuisement a retrouvé sa sérénité dans cette chambre d'hôpital.
Quelques jours auparavant, nous étions ensemble. Cette semaine où tout allait bien. Où il ne fallait pas avoir peur.
Tes souvenirs filaient comme le sable entre les doigts. En voici un qui restera quelque part. Celui de cette pièce que nous répétions toutes les deux sans que tu le saches. Où chaque minute était nouvelle pour toi. Où tu me disais de temps en temps avec un sourire : "Je suis contente que tu sois là."
Ta mort me brise le coeur. C'était pourtant la seule solution pour que l'on te tire enfin de ce cauchemar de tous les instants, de cette vie où même le sommeil n'était pas un refuge.
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Je me relève toujours. Aussi durs que soient les coups, aussi amères que soient les déceptions... J'ai une boussole, là, contre mon cœur, qui m'inonde chaque jour de sérénité. Rien ne reste jamais noir trop longtemps.

Je grandis.

Et je souris.

Avec toute ma lumière.
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Aujourd’hui, j’embrasse les possibles qui se dessinent, mes élans vers les autres sont simples, naturels. Sans faim, sans nécessité.
Pleins de liberté.
Les autres me sauvent.
Par les morceaux de leurs existences saisis au vol, par ces fils qui se nouent et se dénouent.
Le multiple et l’unique.
Ces pensées me bercent. Le sommeil m’emporte.
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- Tu aimes avoir l'ascendant sur ceux que tu croises, quoi, conclut-elle.
- Toi qui es soi-disant littéraire, ce n'est pas de ça dont il s'agit toujours , Un rapport de force ? Une hiérarchie ? On vit tous avec cette distribution inégale du pouvoir, avec l'envie d'en avoir plus. Les gens veulent être désirés. Veulent être un... centre.
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Parfois, j’ai envie de tout balancer, de partir faire un road trip en Amérique du Sud. Après, je me dis que c’est super cliché : quel étudiant d’école de commerce blindé ne fait pas sa crise pseudo-aventurière avant de signer bien sagement un CDI ? Je les vois bien, ceux des promos au-dessus, qui postent leurs photos de voyage sur Facebook. Ce sont toutes les mêmes : une bande de potes chaussés de lunettes Ray-Ban, sur un fond de paysage à couper le souffle. Le must : le saut dans les airs, captation de l’unique moment où ils ont tenté de toucher le ciel, avant de retomber les pieds vissés au sol. Dans trois ans, leur statut passera de « Célibataire » à « En couple », et ils mettront des clichés Instagram de leur super déjeuner entre collègues à New York.
Flippant.
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Le chômage sans indemnités, ça craint. Je crois que c'est ça le pire, après un stage : avoir bossé avec acharnement durant des mois, mais n'avoir droit à rien par Pôle Emploi. Je passe mes journées ici, à chercher des offres, à rédiger des lettres de motivation sans... motivation, justement.
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Dans le monde quantique, une fois que deux choses sont entrées en relation, elles savent toujours ce qui arrive à l'autre. Même quand elles sont très éloignées, elles se comportent comme si elles étaient rassemblées.
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Les histoires répétées sont notre faiblesse. La difficulté c'est de les identifier, puis d'en sortir.
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- Hey ! Mademoiselle ! Vous êtes charmante ! Belle comme tout !
Il n’y a rien que je déteste plus que les hommes qui accostent dans la rue. Leurs compliments sonnent comme des insultes. Quand on est une femme, on dirait que le simple fait d’aller d’un point A à un point B nous met dans une zone de non-droit.
- Surtout réponds pas, salope !
Ces mots me brûlent. La rue est le lieu où l’on peut être agressée verbalement pour ne pas avoir répondu à des avances.
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« La famille se doit d’agir comme une entité unique au service des astres. Elle obéit aux valeurs les plus élémentaires : subordination, prière, solidarité. Chacun a son rôle à jouer, et si un membre ne peut tenir le sien, alors le chef de famille doit prendre les mesures qui s’imposent. »
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Garder son confort et mentir, voila la solution la plus répandue. Ne pas bousculer les habitudes, surtout pas. Mais chercher ailleurs ce qui manque, plutôt que de se demander simplement d'où ce manque peut bien provenir.
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Je me plains souvent du manque de poésie de ce qui nous entoure, de cette grève de l'enchantement. Mais c'est à nous de créer un peu de cette beauté qui fait défaut.
Par notre art.
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"Une règle se confirme au fil du temps,
Que j'aurais aimé connaître à l'époque.
Les tendances s’inversent avec les années.
Les populaires deviennent impopulaire.
Les impopulaires deviennent populaires."
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