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Citations de Samantha Bailly (479)


Samantha Bailly
On a tendance à opposer le lecteur de classiques avec celui qui lirait de la prétendue mauvaise littérature. Mais ce n'est pas antinomique ! Les genres de l'imaginaire sont méconnus, alors qu'il y a des chefs-d'oeuvre, comme "A la croisée des mondes", de Philip Pullman.
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Ce que nous sommes, ce que nous avons construit tient à si peu de chose.
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Et le silence est le résidu de nos peurs profondes, un espace blanc plein de moments manqués et perdus à jamais.
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Je suis une alchimiste des mots.
Nous, les alchimistes, devont voyager... toujours avancer, ne jamais s'arrêter...
car un alchimiste n'a nulle autre maison que ses semblables.
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Le mutisme et le silence sont deux mots aux significations très différentes. Le silence ouvre le passage à la révélation tandis que le mutisme le coupe. Le silence enveloppe les grands événements, le mutisme les cache. L'un marque le progrès, l'autre une régression.
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Les gens. Ce sont eux qui me sauvent. Non pas un seul être qui serait le centre ma vie, mais la multiplicité. La carence affective est un cycle sans fin, peu importe l'homme, la maladie est la même, seul le nom change. Il faut se sortir de cette cage, prendre les choses en main, toucher de nouveau à la vie à d'autres endroits, tout aussi palpitants. ...
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Si on m'avait dit que, ce jour-là, je venais de t'ouvrir une fenêtre sur ma vie, que nos histoires seraient liées aussi longtemps, je ne l'aurais pas cru.
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coupée du reste du monde,Enfenia,cette petite île,ne connais que son univers qui s'arrête au Léviathan,un dragon des mers dit féroce.Un jour,Nel,la future héritière d'Enfenia,découvre une jeune fille de son âge étendue sur la plage.Cette jeune fille est amnésique ,mais l'on pense qu'elle ne vient pas de là .Que va t'il lui arriver?Va t'elle rentrée chez elle?Se souviendra t-elle d'où elle vient?On ne le saura que dans le 2
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On nous vend tout au long de notre existence l’idée de la vie à deux, de la prospérité, de la beauté et du travail comme des recettes du bonheur. C’est fou de constater à quel point on se sent rassuré derrière des barreaux.
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La femme c’est Babel et labyrinthe. Si vous la laissez réfléchir vous êtes perdu. Souvenez- vous en : cœur chaud tête froide. L’a b c du séducteur.
L’Ombre du vent.

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La pluie se calme, les nuages s'effilochent, permettant de saisir la terrifiante beauté de la forme sombre.
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Ces groupes d'amis sont ou ont été liés à Tim ou à John. Les revoir, c'est toujours laisser le passé refaire surface, sans crier gare. Certains sont presque mariés, d'autres se déchirent, d'autres refusent toute forme d'engagement. Ils prennent des voies souvent prévisibles, parfois inattendues. Quand nous nous revoyons, nous échangeons des anecdotes, ressassons nos souvenirs en riant. Le passé est le seul pont qui nous relie. Un pont artificiel, que l'on n'ose pas démolir.
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En fait le rapport manager-managé, c’est un mariage forcé. On doit passer au minimum huit heures par jour avec quelqu’un qui nous choisi mais que lequel on n’a pas son mot à dire.
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Les échos du Yi King et ta façon de les interpréter sont fascinants. Mais rien ne prouve avec certitude que l'on puisse accéder à la vérité grâce au Yi King. Y croire peut s'avérer...risqué.
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Ce serait pourtant mentir de dire que je me suis remise. Je repense tellement à ce jour-là, et j'ai encore l'impression que c'était hier. Il y a des souvenirs qui ne vous abandonnent jamais, qui vous poursuivent malgré vous. Quand j'étais jeune, j'avais des larmes sans chagrin.
A présent, j'ai un chagrin sans larmes.
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Nous sommes toujours plus focalisés sur ce qui aurait pu arriver que sur ce qui s'est réellement passé. Lorsqu'une porte se ferme et ne semble plus pouvoir se rouvrir, nos pensées s'égarent dans le royaume des possibles. De ce qui aurait pu être et qui ne sera plus.
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- C'est sûr que je me suis rendue compte que les gens dissimulaient bien plus que je ne le pensais, dis-je avec prudence.
- C'est normal, ils essaient de composer avec leurs désillusions. On nous vend tout au long de notre existence l'idée de la vie à deux, de la prospérité, de la beauté et du travail comme des recettes du bonheur. C'est fou de constater à quel point on se sent rassuré derrière des barreaux.

- Sûrement parce que c'est plus facile de vivre comme ça, en sachant qu'il y a un chemin tout tracé pour nous. Il n'y a plus qu'à s'y engouffrer.
- Ouais. Monter dans des wagons identiques, suivre les rails sans jamais en sortir. Les arrêts sont des étapes obligatoires, et puis, à la fin, c'est le même sort pour tout le monde.
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Avec Tim, nous nous parlons tous les jours depuis deux ans. Et, d'un coup, il faut accepter le vide. Je dois moi aussi m'imposer le silence. Faire ce que je ne supporte pas, faire ce qu'il m'a fait. Non pas pour me venger, mais pour arriver à laisser reposer cette chose qui pend dans ma poitrine, toute sanguinolente, prête à tomber. Il faut alors saisir le cœur à pleines mains, puis le replacer en douceur et le laisser reprendre vie, lentement...
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Aileen empoigna son épée, sentant son visage s'enflammer. Elle avait la rage de vaincre. Elle n'était plus la brave soeur aînée, sage et respectée, toujours prête à dispenser des conseils aux autres. Cette fille-là avait été blessée à mort en même temps que Mylianne, puis achevée par la curiosité malsaine des autres. Aileen ne voulait plus être raisonnable et morale. Car on lui avait menti. Dans cette pension, on lui mentait depuis toujours.
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J'ai toujours été seule J'ai tous fait toute seule, voilà, j'ai appris toute seule le montages, j'ai appris tous seule la retouche photo, j'ai appris toute seule l'art du maquillage. Derrière tout ça, il y avait juste moi. Maintenant, vous me connaissez.
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