Sandy Bizzozero

Coup de cœur ❤



Dans cette histoire nous suivons Cléa, une jeune fille passionnée de peinture venue chercher l'inspiration dans le village reculé d'Ombelle en Savoie. Elle va très vite comprendre qu'elle n'est pas la bienvenue mais pourquoi ?



J'ai adoré me plonger dans cette histoire qui m'a complètement ensorcelé. J'avais du mal à m'arrêter de lire pour m'occuper de mes enfants et de la maison. C'était vraiment envoûtant et angoissant.



La fin m'a vraiment surprise, je ne l'avais pas vu venir. C'était plein de poésie, de légendes et de beaux messages.

Une belle découverte que ces Larmes des Nymphes, qui nous emporte dans une forêt interdite, puisant sans réserve dans les mythes et les peurs ancestrales liées à ce qu'on n'explique pas. Face à ces mystères de la Nature, certains préfèrent s'émerveiller alors que d'autres se heurtent et se braquent ; ainsi naissent les sociétés modernes, avec leurs œillères et leurs jugements.

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Cléa débarque à Ombelle sans préjugés et avec la volonté de retrouver le goût de la peinture, attirée par le calme pittoresque que ce village perdu dans la verdure a à lui offrir... Mais est-ce la seule raison ?

Non, tu t'en doutes, lecteur curieux que tu es...

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On y aborde avec délicatesse les thèmes universels du respect des traditions et de la Nature, à travers un groupe d'amis unis par un terrible secret. On y parle de passion, de la douleur qu'elle peut engendrer malgré tout le cœur qu'on peut y mettre ; on se demande comment se forger, comment grandir et comment trouver sa place, celle qui nous rendra heureux pour le reste de notre vie...



Et surtout, on s'émerveille des mystères qui gravitent autour de cette Ombelle, jadis ornées d'ombelles virginales, aujourd'hui recouverte du voile sombre de l'amnésie.

J'ai aimé m'y perdre, même si la surprise finale n'en fut pas vraiment une ; j'ai aimé me prendre au jeu des énigmes nimbées de la lumière diaphane des êtres éthérés ; j'ai aimé les questionnements lié à l'égo et à la vie que l'on veut s'offrir, aux difficultés rencontrées, aux barrières que l'on se met.

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Un récit tout en douceur, qui se sert de la tragédie pour étayer son propos, et qui me laisse un sourire aux lèvres.

Ohlala quel coup de cœur ! Déjà que la fin m’a fait pleurer, j’en ai aussi eu des larmes d’émotions de refermer le livre… autant dire que ce n’est pas souvent que ça arrive.



C’est bien simple, j’ai absolument tout aimé dans ce roman. Pourtant, c’est un récit jeunesse écrit à la première personne, donc ce avec quoi j’ai le plus de mal habituellement, mais c’est passé tout seul tellement c’était bien écrit, bien narré et fluide. En quelques mots et hop, j’étais aux côtés de Cléa.



Il faut dire que les thèmes me parlent beaucoup : la forêt omniprésente, son côté mystérieux, sa magie incompréhensible, son aura… et puis parallèlement, les différents thèmes, notamment de l’art qui plane un peu sur tout, qui propose un fil conducteur à l’histoire, puis la quête de soi, les questions identitaires et sociétales, le sujet de la différence, du fait d’être à part…



À côté de ça, les personnages sont vraiment bien écrits, légèrement intrigants tout en étant attachants. Quant au récit, il est très équilibré dans son ton, tout en proposant quelque chose de riche, surtout émotionnellement. On passe d’un début plutôt coloré, avec une dominance assez vive et joyeuse, beaucoup d’humour, sans pour autant effacer le mystère présent dès le départ et qui prend peu à peu possession de l’intrigue.



C’est très très prenant, à ne plus en lâcher le livre, tout m’a semblé bien exploité, très juste dans le traitement, et pour finir, je soulignerais une dernière petite chose : bien sûr que j’avais envie de savoir la fin, mais en même temps, j’aimais tellement là où j’étais que j’aurais préféré que ça ne s’arrête jamais pour rester à Ombelle quitte à ne pas avoir la résolution de l’énigme ; et ça, c’est quand même sacrément fort.

Ebook reçu en service presse, merci @gulfstreamediteur pour l’envoi !



Rien qu’en lisant le résumé et en voyant la couverture j’étais hypée ! Cette histoire me tentait bien et je trouvais qu’elle convenait parfaitement à cette période. Je peux vous dire que j’ai adoré. Pourtant c’est une histoire assez lente mais l’ambiance est juste parfaite et se ressent très bien.



Dès que Cléa arrive dans le petit village, on sent qu’il y a des choses étranges mais on ne sait pas vraiment quoi penser vu que certains personnages agissent bizarrement avec elle mais que d’autres réagissent tout à fait normalement. Il y a aussi cette forêt qui semble parfois belle parfois pesante. On est toujours à se douter de choses mais sans vraiment savoir concrètement ce qu’il se passe et quels secrets nous sont cachés. L’ambiance est vraiment prenante.



Autant on ressent l’ambiance, autant on ressent ce que vit Cléa. Elle aussi se sent perdue, elle ne sait quoi penser des habitants et surtout des autres personnages qui la traitent bizarrement. Petit à petit, certains changent de comportements et les choses évoluent, en mieux enfin c’est ce qu’on croit mais ça ne l’est peut-être pas réellement… Je dois dire que j’ai beaucoup apprécié ces personnages particulièrement Jude et Alice. La légende du village est belle et triste. Tout ce qui en découle m’a touché.



Autre point important au niveau de l’histoire, c’est que beaucoup de choses tournent autour de l’art, la créativité mais aussi la confiance en soi. J’ai beaucoup aimé ces aspects et cela m’a même donné envie de me remettre au dessin. Après avoir lu ce bouquin, on a l’impression d’avoir été dans une bulle qui faisait du bien, un endroit où chacun avait sa place et pouvait créer ce qu’il voulait mais aussi être lui-même.

Un roman dont j'avais entendu beaucoup de bien et honnêtement je ne suis pas déçue. Je ne savais pas à quoi m'attendre, mais pas à ça. C'était très sympa 😊

J'ai trouvé le récit touchant, addictif et intrigant où plane le mystère jusqu'au bout. L'ambiance est énigmatique. La présence de l'art et en particulier de la peinture, du dessin est très présent et apporte du réalisme et de la douceur à l'histoire. La magie et la nature sont omniprésents. La lecture est facile, simple et onirique. La plume est fluide et poétique. Amitié, enfance, rêve, mensonge, forêt, animaux, drame, deuil, sacrifice, quête de soi. La fin est inattendue en partie. J'avais deviné certaines choses mais pas toutes. C'est surprenant. Le côté thriller n'est pas hyper présent, je trouve. Après c'est peut-être le fait que je suis habitué à lire des thrillers adultes 😅

Les personnages sont mystérieux et énigmatiques par leurs nombreux secrets. Cléa se recherche, recherche qui elle est et cherche son inspiration. Elle est assez touchante dans de nombreux aspects. Dan est un personnage antipathique mais ça a son charme. J'ai bien aimé Alice, qu'on découvre pas à pas 🙂

J’ai vraiment apprécié cette petite lecture. C’était tout doux et pourtant assez poignant pour me laisser sans voix à la fin du roman. Un thriller fantastique jeunesse qui fait très bien son taff, même si les plots sont prévisibles. Il est très bien ficelé, l’écriture est fluide et on tourne les pages, avides de connaître le dénouement de l’histoire.

Attirée par ce livre, intriguée par l'histoire mêlant le fantastique aux arts, et en même temps ayant un peu peur du côté thriller, je me lance à la découverte de ce roman. La couverture est assez surprenante: mise sur le côté on a vraiment l'impression que les larmes coulent!



Le roman commence par un passage appelé Réminiscence: intriguant et intéressant, il se lit facilement. On en retrouvera plusieurs dans le livre.

Par la suite, l'histoire se déroule de manière assez inégale avec peu d'actions. L'autrice aborde plusieurs thèmes de société tout au long du roman. L'art y est abordé à travers la peinture, la couture et rapidement le cinéma.

La fin, enfin, était une possibilité à laquelle on avait pensé mais surprend tout de même en partie.



En conclusion, il est difficile pour moi de rédiger cette critique car je n'ai pas aimé l'histoire (j'ai lutté pour ne pas l'abandonner même). Je pense que ce livre n'était pas fait pour moi! D'une part, le côté fantastique était trop peu présent pour moi. D'autre part, plusieurs points ne m'ont pas convenu: déjà pour moi c'était long (il fait qu'environ 300 pages pourtant): il y avait trop de passages descriptifs, je ne me suis ensuite pas du tout attaché au personnage (comme si je les voyais de loin, un mur imaginaire entre...) et moi qui aime l'art je n'ai pas accroché ou ressenti d'émotion pendant les périodes où c'était évoqué... enfin pour le côté thriller, je n'y connais rien mais en tout cas, je n'aurais pas su dire que cela en était un... Une des partie où j'ai pris plaisir réellement à lire ce livre c'était les quelques pages de Réminiscence (ainsi que lorsqu'elle évoquait le fait de croire et de se battre pour ses rêves). Dommage, mais au vu des autres avis sur Babelio, peut-être vous vous y trouverez votre bonheur...

Bien que la qualité de la plume avantageait ce récit, je n'ai pas été transportée comme je m'y attendais.



Peut-être que j'en attendais trop au vue du résumé, une enquête plus prononcée avec des intrigues plus marquées. Cela dit, j'en retiens tout de même des points très positifs.



L'amour de l'art et de la nature se ressent beaucoup dans cette histoire. Il y avait des moments où j'avais envie de me retrouver dans cette forêt si enchantée et à la fois, il y avait ce côté sombre, la méfiance des habitants. Une ambiance un peu comme Haunting of Hill House, Pretty Little Liars, et la touche personnelle de la fantasy autour des nymphes.



Cléa est un personnage très intéressant, son évolution est un peu moins crédible au fil des pages, mais on comprend pourquoi quand l'intrigue revient sur les dernières pages.



Chaque personnage à son importance et son authenticité. Rien n'est laissé au hasard, et j'ai adoré les caractères de Jude ou Alice qui ont une belle sensibilité.



J'ai beaucoup aimé cette parallèle avec la liberté, une métaphore cachée dans cet ensemble, cette enquête fantastique. Un côté toxique en ressort, surtout au niveau des amitiés étouffantes, mais j'apprécie la manière dont l'auteure l'a exploité. Avec un touche d'espoir vers des nouveaux départs.



Et la plume était très agréable.

J’avais tellement hâte de lire ce roman ! Il était tellement prometteur ! Alors maintenant la question que l’on se pose tous c’est : est-ce qu’il a tenu toutes ses promesses ? Et bien j’ai le plaisir de vous annoncer que oui ! Il était incroyable, je ne m’en remets toujours pas. C’est un one-shot, il est court et pourtant je me suis beaucoup attachée aux personnages, j’étais à fond dans l’histoire. La plume était envoutante, poétique et entre les passages d’actions il y avait des moments juste de descriptions de la nature, de l’art et c’était tellement beau. On n’avait pas l’impression de s’ennuyer. Dans ce roman l’action ne tourne pas à plein régime (même s’il y en a bien sûr) mais on est sans cesse confrontée à de multiples interrogations comme il se doit dans un thriller et à de nombreux éléments fantastiques où l’on se pose toujours des questions sur la réalité des événements. Mais pour de vrai tout ne s’éclaire qu’à la fin. On comprend certaines choses petit à petit (personnellement j’ai fini par me douter du dénouement en m’approchant de la fin, mais je suis nulle pour deviner les intrigues en avance...). C’était addictif parce qu’on avait constamment envie d’avoir le fin mot de l’histoire. J’ai adoré les personnages, notamment Cléa (forcément) qui me ressemblent en beaucoup de points (mais je suis nulle en peinture par contre !). J’ai bien aimé Alice même si je la trouvais très étrange au début. En ce qui concerne Jude, j’ai trouvé que c’était un personnage vraiment touchant et Dan m’a exaspéré mais j’ai fini par l’aimer à la fin... Et parlons de Blanche ! Elle est juste emblématique, dès le début elle m’a fait rire malgré son mauvais caractère ! Les paysages aussi étaient incroyables, j’avais l’impression de me perdre dans la contemplation de la nature. Mais je suis obligée d’évoquer la fin... Je suis anéantie par cette fin que j’ai trouvé à la fois belle et bouleversante. J’ai juste pleuré toutes les larmes de mon corps mais à part ça tout va bien (je pense juste que certains auteurs sont sadiques avec leurs lecteurs...). Je n’ai qu’un défaut à dire : c’était trop court ! Pour résumé, c’est une histoire poétique, lyrique, une ode à la nature et à l’art, un thriller bouleversant aux nombreuses interrogations, un roman fantastique aux événements étranges et des personnages attachants. Je vous le recommande vivement !
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Très belle surprise avec ce roman à la sublime couverture et à la plume de l'autrice que j'ai trouvé plutôt poétique.



Il s'agit d'un récit mélangeant fantastique (avec les nymphes où encore les divinités de la forêt) et thriller (avec le drame que l'on découvre au fur et à mesure). C'est une lecture à la fois cosy et mystérieuse où l'on ressent une certaine mélancolie et tristesse, autant chez les personnages (principalement Cléa) que dans le village d'Ombelle. Le récit est vraiment intriguant et on se laisse facilement embarqué par l'histoire. Des thématiques fortes sont abordées avec délicatesse et justesse tel que l'acceptation de soi, la quête de soi, l'homophobie, les préjugés, le féminisme ou encore l'écologie.



Concernant les personnages, j'ai beaucoup apprécié le personnage de Blanche Blanchet, qui aux premiers abords parait plutôt froide mais qu'on finit par apprécier en la découvrant. Cléa est également un personnage que j'ai apprécié de par son développement. Elle dégage quelque chose de mystique, est maladroite, passionnée et doute beaucoup d'elle. On ressent ses angoisses, ses craintes mais également ses espoirs. C'est un personnage très vivant et humain, je me suis attaché à elle au fil des pages et ça a été un plaisir de la suivre. En fait, tous les personnages ont quelque chose de touchant même s'ils sont différents, j'ai apprécié la profondeur que leur a donné l'autrice.



Le mystique, le mystère, les secrets et la nature sont présents tout au long de cette lecture ensorcelante où les amitiés se font, l'art se libère, les rêves apparaissent et où nous découvrons la légende d'Ombelle.



Une lecture donc forte en émotions et en thématiques qui m'a transporté et émue.

Coup de cœur pour ce roman en un seul tome de Sandy Bizzozero publié par les éditions Gulf stream. Déjà la couverture de Celi'arts est canon ! Ensuite, le côté thriller fantastique qui vous happe dès les premiers pages m’a complètement emportée. Et pour finir, les dimensions écologiques et ésotériques, avec une réflexion sur notre rapport à la nature, ont fini de me convaincre.



C’est un roman qui se lit vite car on veut savoir de quoi il retourne. L’atmosphère est pesante, alternant entre la vie quotidienne de Cléa à Ombelle où les habitants sont plus qu’étranges et désagréable avec elle, et ses songes qui la conduisent, nuit après nuit, au cœur d’une forêt menaçante. L’autrice sème des indices qui permettent d’assembler la vérité petit à petit jusqu’à la révélation finale que, personnellement, je n’ai pas vu venir du tout...
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J'avoue que je ne savais pas trop à quoi m'attendre quand j'ai commencé ce livre mais je me suis senti attiré par ce livre comme Cléa s'est sentie attirée par Ombelle (bien que par pour les même raisons) .



Au final, je n'ai pas été déçu j'ai découvert dans ce livre une histoire toute en tendresse et en émotion avec un superbe final. des personnages attachants.



Je crois que ce livre sera l'une de mes meilleures découvertes de cette année.

Je remercie Louise et les Éditions Gulf Stream pour l’envoi de ce service presse ! La sublime illustration de couverture de Celi’arts, artiste dont je suis le travail sur Instagram, ainsi que les thématiques de ce roman font éminemment écho à mon propre univers, aussi je ne pouvais qu’aimer ce récit !

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Mon retour : Nous suivons Cléa, qui débarque dans le village d’Ombelle pour renouer avec sa créativité et peindre les animaux de la forêt. Tout comme la pluie sous laquelle elle arrive floute le paysage et délite les contours, nous ne savons pas grand-chose de notre narratrice. Elle a 19 ans, vient de Paris et a décidé cette retraite artistique suite à une année désastreuse en école d’Arts. Le genre de personnage transparent ? Eh bien pas vraiment.



Si elle se décrit à peine physiquement, Cléa nous place aux premières loges quant à ses émotions tourbillonnantes. Son désir presque désespéré de renouer avec sa créativité, sa frustration face à ses aquarelles ratées, son incompréhension face aux comportements des jeunes de son âge d’Ombelle, son attirance fascinée pour la belle Alice, sa colère face au comportement tempétueux de Dan…



À peine arrivée à Ombelle, on exhorte à Cléa de ne pas aller en forêt, sans explication. Quel est ce tabou qui englobe la sylve ? La jeune fille aimerait avoir le fin mot de l’histoire, mais auprès de qui ? Blanche Blanchet, chez qui elle séjourne en échange d’aller faire ses courses, se trouve être un personnage haut en couleur, mais fuyant, qui a établi des règles strictes quant au partage des pièces de la maison, jusqu’aux objets minés de post-its.



Cléa tente de prendre son mal en patience. Et quel meilleur moyen que de découvrir l’Atelier, cet espace ouvert à tous les artistes pour y travailler leur art ? Là, elle tombe de nouveau sur Alice, cette artiste diaphane aux somptueuses tenues. Alors qu’elle souhaite se rapprocher d’elle pour nouer des liens, Cléa fait fuir Alice, pire, elle a la nette impression qu’elle lui fait peur ? Elle n’est pas mieux accueillie par Dan et Jude, le premier s’emportant directement à sa vue, et le second l’ignorant. Mais Cléa n’a pas dit son dernier mot, et elle parvient à débuter une amitié avec Alice.



Cela aurait pu être l’histoire toute cosy et enchantante de deux jeunes filles devenant amies et partageant une passion commune pour la peinture, s’il n’y avait eu la forêt et les rêves. Entre le passé flou de Cléa, l’étrange comportement des jeunes Ombellois de son âge à son égard et les légendes de la forêt, ses émotions sont mises à rude épreuve. Est-elle somnambule ? A-t-elle des hallucinations ? Ou est-elle confrontée à la part mystique de la sylve ?



Alors que le temps passe, au gré du changement de saison, son esprit s’embrouille, entre ses visions nocturnes, le trio Alice, Jude et Dan, la réelle raison de sa venue à Ombelle. Tout est étrange et l’oppresse de plus en plus, malgré les moments partagés avec Alice, son rapprochement avec Jude et la présence bienveillante de la truculente Blanche (si vous avez lu la formidable bd La Marche Brume de Stéphane Fert, Blanche ressemble à Blanchette).



Je ne vous dirai pas la légende d’Ombelle, je vous laisse la découvrir, mais sachez qu’elle apporte une touche écologique au récit. Mais pas que, car c’est aussi une histoire mélancolique, triste. Toute cette mélancolie se ressent à travers le personnage de Cléa, mal dans sa peau, au corps mal coordonné, comme ceux d’Alice, Jude et Dan, ces artistes aux rêves enchaînés car ils ne peuvent pas quitter Ombelle. Qu’est-ce qui les retient ? Tout est lié à un drame, duquel découle la légère ambiance thriller du récit.



Sandy Bizzozero ne se contente pas de survoler la personnalité artistique de ses personnages : elle leur offre toute leur profondeur, loin des clichés, apportant des réflexions riches sur la création en général. Que ce soit la peinture, la couture, l’écriture, l’art s’exprime ici à travers divers médiums. La création est aussi vitale que l’air que les personnages respirent. Notamment chez Alice, qui peint tous les jours, travaille ses contenus féministes sur Instagram, et parvient à vendre des peintures. La facette artistique s’entremêle à la quête de soi, aux rêves et aux mensonges. Le tout étroitement imbriqué au mysticisme de la forêt et au drame qui réunit Alice, Jude et Dan.



J’ai adoré Blanche et Alice ! Dan aurait mérité, à mon sens, plus de présence et de profondeur, mais cet infime bémol ne désert en rien le récit. Les Larmes des Nymphes m’a ensorcelée, et même si j’avais pressenti certains éléments, j’ai été saisie par la mélancolie prégnante, par les thématiques autour de la création, de la nature, de la quête de soi et l’acception de soi.

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En bref : Les Larmes des Nymphes est une lecture automnale, entre ambiance cosy et mystérieuse, nuancée d’une touche mystique et de valeurs et thématiques fortes. Infusé à l’âme d’artiste, ce récit va vous ensorceler ! Il m’a saisie par sa mélancolie prégnante et ses thématiques autour de la création, de la nature, de la quête de soi et l’acception de soi.
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Les larmes des nymphes, c'est un récit ado envoûtant, touchant et prenant qui nous embarque dans une histoire fantastique. Un récit poétique, une ambiance mystérieuse, secrète et une quête de soi.

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Nous suivons Cléa, une jeune fille qui a besoin de trouver sa place, car justement, là où elle est, elle ne se sent pas du tout à sa place. Ayant vécu sa première année désastreuse en école d'art, elle compte se ressourcer. Elle veut réussir dans sa passion, elle va donc quitter la grande ville et s'orienter vers la campagne. Elle décide donc d'aller vivre à Ombelle, un petit village éloigné de tout, elle pense trouver son inspiration dans la nature et la forêt qui bordent le village. Mais voilà, le souci est que, dans ce village, la forêt est un tabou, il ne faut pas en parler, et encore moins y aller.

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C'est un récit qui a vraiment de très beaux sujets. Tout en étant entraînant, bien détaillés et poétiques, nous y abordons la vérité, le mensonge, l'inspiration, la solitude, l'amitié, l'amour, l'espoir, les désillusions, la nature, la sororité, les rêves, la création artistique, la quête de soi. Mais aussi le féminisme, l'homosexualité et l'écologie, tout abordé d'une simplicité et d'un naturel stimulant.

Il faut " croire en nous, créer, osez rêver, ça en vaut la peine. " petite citation du livre qui est tellement juste.

Cette quête d'inspiration qui commence, ce finit en quête de vérité.

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J'ai énormément aimé Cléa, Alice, Jude, Dan et Blanche. Ce sont des personnages très touchants et très authentiques. Qui, chacun vit en ayant quelque chose qui le pèse, comme un drame, un rêve qui ne peut pas être réalisé, la perte d'une personne ou qui vit dans le mensonge et ne montre pas sa vraie personnalité, ce voile la face par peur de décevoir. Des personnages touchants et tellement humains.

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L'art occupe une bonne place dans le récit, mais les descriptions faites sont vraiment intéressantes. La lecture est très fluide et j'ai bien aimé cette enquête et ce mystère qui flotte tout au long de l'histoire. Le côté thriller et fantastique a un joli mélange envoûtant. On y voit ce que l'homme inflige à la nature. Je n'ai pas du tout vu venir les révélations à la fin, une belle surprise.

C'est une très belle histoire 🤗

Dès les premières lignes, le lecteur se retrouve plongé au cœur d’Ombelle. Un petit village rempli de mystères et d’étrangetés. Sandy Bizzozero manie à la perfection les mots et, malgré un texte plutôt poétique, on ressent toutes les tensions que recèlent de cet endroit incompréhensible -au premier abord-. J’ai été conquise par l’ambiance qui se dérange du récit : un côté très mystique et lyrique. Tous les éléments qui régissent l’univers étaient construits de façon à accentuer cette ambiance-là. C’était très immersif et très agréable à lire.



Ne vous attendez pas à lire un roman bourré d’action et de rebondissement. Il y en a, mais pas des tonnes. Et j’ai trouvé cela très en adéquation avec la plume poétique de l’autrice. Un roman rempli de péripéties l’aurait desservie. Cependant, ne vous inquiétez pas. Il y a suffisamment d’action pour piquer la curiosité et avoir envie de tourner les pages. L’enquête est bien amenée. Elle est progressive, les éléments ne sont pas révélés trop rapidement et le dénouement était vraiment beau, profond, et même un petit peu triste. J’ai été beaucoup touchée.



Côté personnages, je me suis tout de suite attachée à Cléa, jeune parisienne qui se retrouve plongée au cœur de cette campagne hostile. Je l’ai trouvé bien construite. Elle vit une belle évolution. Le lecteur suit du début à la fin tous ses états d’âmes, ce qui permet de mieux la comprendre et d’évoluer en même temps qu’elle. Peu de personnages sont présents, mais ils m’ont tous marqué à leur manière. Mention spéciale à Blanche, qui au premier abord peut paraître très bourrue et ingrate, mais qui m’a énormément fait rire. Ce personnage était haut en couleur et ce fût un plaisir de la voir se dévoiler petit à petit.



C’est un roman qui a été, pour moi, plutôt bouleversant, percutant et passionnant. Je le recommande à toutes les personnes qui aiment les plumes oniriques et qui souhaitent percer les mystères de la petite ville d’Ombelle.

« 𝑱𝒆 𝒏’𝒐𝒖𝒃𝒍𝒊𝒆𝒓𝒂𝒊 𝒑𝒂𝒔. »

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Quand Cléa arrive à Ombelle, petit village perdu dans les montagnes, elle compte bien s’y ressourcer après une première année désastreuse en école d’art.

Mais ce qui devait être au départ une quête d’inspiration se mue en quête de vérité face aux nombreux mystères auxquels elle est très vite confrontée : pour quelles raisons les rares habitants de son âge l’évitent-ils comme la peste ? Pourquoi ne semblent-ils pas pouvoir quitter le village ? Et c’est sans compter les injonctions à ne pas s’approcher de la forêt qu’on lui adresse dès son premier jour.

Les craintes des habitants auraient-elles un lien avec les légendes locales mentionnant l’existence d’une créature ancestrale qui errerait dans les bois ?

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Incroyable, époustouflant, haletant : j’ai absolument adoré ce livre ! Au premier abord je doit avouer c’est la couverture qui m’a intrigué, je la trouve absolument magnifique, mais j’ai plongé immédiatement dans le coeur de l’histoire.

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J’ai aimé chacun des personnages - chose VRAIMENT très rare - ils sont tous attachants et intrigants à leur manière. Le personnage de Cléa était génial, j’ai adoré la manière dont elle nous retransmettait ses émotions et dont elle nous faisait vivre sont histoire. Moi qui adore l’art, j’ai vraiment été comblée.

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J’ai aimé le coté thriller, j’ai essayé au début de mener ma petite enquête mais au final j’ai été tellement happé par l’histoire que j’ai préféré me laisser border et tout découvrir au fur et à mesure. Et quelle fin ! Elle m’a plus touchée qui surprise, et je me suis même retrouvée à verser une petite larme.

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Petite lecture mignonne, plume assez fluide, on rentre immédiatement dans l'histoire, c'est un one shot donc pour un entre deux pavés, il est parfait.

Sur le thème des nymphes et de la forêt, jolie young adult qui saura transporter les plus grands.

On y suit Cléa, adolescente, parisienne, orpheline et artiste qui se rend dans le petit village d'Ombelle, qui possède en son patrimoine la plus jolie forêt de la région, en manque d'inspiration pour son travail, un séjour dans cette contrée ne peut lui être que bénéfique, mais un grand mystère pèse sur ce village et ses habitants. Cléa va alors mené son enquête pour découvrir ce que cache véritablement cette forêt et découvrir le lien unissant Ombelle et son passé.

J'ai reçu cet ouvrage dans le cadre de la dernière masse critique et j'ai beaucoup aimé.

Déjà l'ouvrage en lui-même est juste magnifique. Le travail sur la couverture est superbe.

L'histoire est très agréable et originale. Cléa arrive à Ombelle, on ne sais pas trop comment ni pourquoi, mais certains personnages le savent ou s'en doute. Mais elle ne sait pas... ou plus.

Tout le long du récit, le lecteur comprend qu'il y a quelque chose d'étrange, de secret, mais quoi.

J'ai beaucoup aimé cette lecture et, même si j'avais compris certaines choses, je n'avais pas compris l'essentiel de l'histoire.

Si vous aimez les histoires un peu surnaturelles, d'amitiés, de secrets... ce livre est pour vous.

🌲Il y a quelques semaines sortait en librairie Les larmes des nymphes chez @Gulfstreamediteur dans la collection écho que j’apprécie énormément de par ses thématiques. Je remercie la maison d’édition pour sa confiance et l’envoi de ce magnifique roman.



🎨C’est donc avec un plaisir non dissimulé que j’ai lu ce thriller puissant et envoûtant teinté d’accent gothique qui m’aura transportée à Ombelle, petit village perdu dans les montagnes.



🪻J’y ai suivi Cléa, jeune peintre à la recherche d’inspiration et avant tout en quête d’elle-même.



Ce qui devait être une retraite inspirante va vite se transformer en une quête de vérité face aux nombreux mystères auxquels elle se retrouvera confrontée.



Alors qu’elle est venue pour s’inspirer précisément de la forêt accolée au petit village montagnard, elle reçoit l’injonction de ne pas s’en approcher. De nombreuses légendes locales semblent mentionner l’existence d’une créature ancestrale errant dans les bois énigmatiques…





🪻J’ai beaucoup aimé la plume fluide et gracieuse de l’autrice qui nous porte jusqu’à un dénouement inattendu et qui incite à la réflexion sur notre rapport à la nature et ses conséquences. Chaque petit détail a son importance et l’univers est très bien décrit. On est de suite transporté à Ombelle et captivé par le mystère qui en émane au travers de ses habitants et de ses légendes.



🎨Ce récit fantastique, mystique et inclusif, traite de thèmes forts tels que l’art, l’homosexualité, l’amitié, la nature, la quête de soi, les rêves, l’amnésie, le deuil et c’est très bien amené au travers de l’intrigue qui ne s’essouffle pas et nous plonge dans des réminiscences intrigantes.



🌲J’ai énormément apprécié que plane sur toute cette histoire, légendes ancestrales et divinité antique. Une ambiance opaque, mystique et sibylline comme je les aime !



🪻Le fait que le récit alterne entre la réalité et les songes énigmatiques et envoûtants de notre protagoniste est vraiment plaisant et donne un côté onirique qui m’a totalement conquise.





🎨On y retrouve des personnages hauts en couleur, secrets, ambigus et porteurs de valeurs. On y parle d’art, de légendes, de la nature, de sentiments et on passe un moment lecture agréable entre chimères et réalisme bercé par l’ambiance allégorique et pesante qui nous envoûte tout en nous ouvrant l’esprit et les yeux sur des sujets d’actualité.



🌲Je suis ravie par cette découverte que je vais mettre à disposition de mes filles dans la bibliothèque familiale puisqu’il s’adresse à un lectorat de 13 à 15 ans mais dont je recommande la lecture à tous les amateurs du genre. Les illustrations magnifiques et la mise en page soignée apportent un réel plus à ce beau livre objet.



🎨Un thriller fantastique, mystérieux et percutant, à déguster sous un plaid avec quelques cookies, les yeux rivés sur la forêt…



✨️Si ce n’est déjà fait, découvrez le secret des larmes des nymphes et plongez dans ce récit où amitié et merveilleux côtoient mystères et mensonges !



🌲Tenté-es ?





🗝 adolescents, quête ,homosexualité, art, forêt, légende, nymphe, amitié , diversité

Ce roman m’a beaucoup touchée, il parle d’Art sous toutes ses formes, sans préjuger, sans reproche et avec beaucoup de profondeur. C’est une quête à la recherche de soi qui commence, de lourds secrets partagés et une réalité difficile à affronter. Les personnages sont touchants et attachants, c’est un texte fort et mélancolique qui nous tient en haleine jusqu’à la fin. Le mystère plane, les questions se posent et le mythe se renforce… J'adore



En bref, c’est une lecture parfaite pour la saison ! Des personnages attachants où l’on découvre leurs passions artistiques avec envie. Une plume fluide qui tient le mystère jusqu’à la fin.



Une magnifique histoire avec une couverture plus que sublime !