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Citations de Sara Wolf (180)


Je pousse un petit cri et esquisse un geste de défense.
- S'il te plait, fais en sorte que mon cadavre soit identifiable !
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1. Ne pas parler d'amour.
2. Ne pas penser à l'amour.
3. Penser à l'amour et parler d'amour conduit à le ressentir, et l'amour est l'ennemi.
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On m'a embrassée'
La chose qui n'était jamais censée arriver s'est réalisée.
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Tout le monde s’arrêtait de respirer au passage des frères Blackthorn, même les garçons.
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- Tu t'es bien amusée ? Avec combien de garçons es-tu sortie ?
- Soixante-dix, au bas mot.
- Et combien de shots tu as bu ?
- Quatorze. Du coup, j'ai laissé le volant à Jésus pendant un petit moment pour qu'il conduise à ma place.
Maman me tapote la tête en riant
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Sara Wolf
Mme Hunter nous regarde rugir, tournant la tête d'un côté puis de l'autre comme si elle suivait un match de ping-pong. Avec des épées à la place des raquettes. Et une météorite en flammes en guise de balle. Nos cris attirent Dark Vador, qui revient dans la cuisine en aboyant.
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Le temps passe vite. La vie est tellement courte. Des trucs bizarres arrivent tout le temps, tellement que je ne sais plus quoi faire, du coup. À part être moi-même.
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-Vivre est vraiment bizarre, par moments. Je trouve qu’on ne s’y habitue jamais tout à fait. Mais on vit quand même. Et parfois, on tombe sur des trucs qui rendent l’existence un tout petit peu plus confortable, et on s’y accroche. Mais plus on le fait, plus ces trucs vous échappent.
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- J'ai les billets, dis-je en me garant sur le parking. Tu auras donc l'honorable privilège de m'offrir toute la nourriture que je veux, ce soir.
- Toute la nourriture ? Femme, ton appétit couvre l'équivalent des rations mensuelles d'un pays du tiers-monde.
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Dans ce haut rose, quelqu'un m'a dit que j'étais magnifique pour la première fois de ma vie. Une personne que je respectais. Que je respecte. Quelqu'un que j'aimais.
Que j'aime.
Aime ?
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Elle était sans doute naïve et confiante, avant de le rencontrer. Mais il a débarqué, il lui a arraché ses pétales l'un après l'autre, et l'a contrainte à s'entourer d'épines pour survivre.
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Parfois on a besoin de faire n’importe quoi. Pour se rappeler qu’on est en vie.
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Parfois quand la vie vous flanque un coup de pied aux fesses, mieux vaut lui rendre.
Dans les c***.
Avec des bottes aux bouts renforcés.
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Pleure, ma chérie. Et ensuite, relève-toi. Trouve ce qui te rend heureuse. La vie est trop longue pour être triste.
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C'est dangereux les souvenirs. Parfois, ils vous emprisonnent. Mais le seul fait de pouvoir revivre les moments de bonheur quand la vie devient trop dure... Ça en vaut la peine.
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Lorsque j'ai levé les yeux, Wolf me regardait.
L'embarras m'a brûlé les joues.
— Une dernière fois ? a-t'il demandé tout bas.
Il a retourné la main, paume offerte, comme s'il attendait la mienne.
— Mais...
— Je n'arrête pas d'y penser..., a-t'il chuchoté.
Il s'est interrompu et a secoué la tête
— Laisse tomber.
Sa main était si proche. Je l'ai prise très vite. Wolf eu l'air stupéfait.
— Une dernière fois, ai-je répété comme un point final.
Il a souri.
— Une dernière fois.
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- Vous n'êtes pas au courant ? L'amour est une maladie contagieuse qui se guérit seulement avec la mort. Et des chansons tristes.
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- C'est parce que personne n'en valait la peine, je déclare avant de jeter un dernier coup d'œil par la fenêtre. Jusqu'à maintenant.
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Peut-être que j’ai été heureux, mais à quoi bon ? Le bonheur n’a rien de très intéressant. Une chose qui ne dure pas n’a pas de valeur.
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- Je suis un peu perdue. Et un peu triste. Mais je… j’apprends. J’apprends à m’aimer de nouveau. Lentement. Je ne m’en serais jamais crue capable. Tu vois ce que je veux dire ?
Elle acquiesce. Je poursuis.
- Mais c’est pas facile. Entre mon père, qui n’en a strictement rien à faire de maman et moi. Toi, la seule personne qui m’ait jamais comprise, qui vit à des milliers de kilomètres. Et mes amis qui vont tous dans des facs différentes l’année prochaine… La fac… Oh, mon Dieu ! Je vais devoir passer quatre années à me remplir la cervelle avec des trucs à la con tout en apprenant à survivre à une camarade de chambre en résidence universitaire, à partager ma douche, à être boursière, à rédiger des dissertes et à subir la pression d’une future carrière indéterminée. C’est vrai, quoi ? Qu’est-ce que je vais faire ? Comment est-ce qu’on fait pour trouver un appartement et payer son loyer ? Comment est-ce que je vais gagner de l’argent ?
- Moi, j’ai fait du strip-tease, à dix-neuf ans…, suggère tante Beth.
- Le strip-tease semble définitivement la voie, je lui accorde. Mais ne dis rien à maman.
Elle fait semblant de zipper sa bouche, et reprend la parole en souriant.
- Ne fais pas de strip-tease.
- Euh… J’avais pigé.
Le vent soulève alors sa jupe. Je lui propose ma veste, qu’elle refuse.
- Je ne vais pas tarder à retourner à l’intérieur. Garde-la.
- Quoi ? Je n’ai pas le droit de me sentir concernée par ton bien-être ?
- Non. (Elle se tourne vers moi, l’air soudain sérieux.) Occupe-toi de toi, assène ma tante d’un ton grave.
Elle expire doucement.
- Je ne plaisante pas, Isis. Tu dois commencer à prendre soin de toi. Pas de moi, pas de ta mère, pas de tes amis. De toi. Tu es quelquun de précieux. Il n’y a pas deux personnes comme toi sur cette planète. Si jamais tu te retrouves à plat ou blessée parce que tu n’auras pas pris soin de toi-même, je ne te le pardonnerai jamais.
Ce n’est pas une menace, ça ne peut pas l’être lorsque des petites larmes brillent dans ses yeux. J’enfile ma veste. Sa chaleur fait du bien, vu la fraîcheur de l’air.
- J’essaie.
- Non, tu n’essaies pas, me reprend ma tante. Pas vraiment. Mais si tu apprends à t’aimer de nouveau comme tu me l’as dit, alors ça finira par venir. Et il faudra que tu laisses faire, quand ça arrivera.
Ne comprenant pas tout à fait ce qu’elle veut dire, je hoche la tête.
- OK.
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