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Citations de Sidney Sheldon (124)


Henry l'aimait d'un amour sincère et faisait tout pour la rendre heureuse. En d'autres circonstances, elle eût été amoureuse, mais quelque chose de profond était mort en elle. Je ne ferai plus jamais confiance à un homme.
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« Vous auriez fait un bon gouverneur. Un avenir radieux s'ouvrait devant vous. Vous auriez eu de l'argent... du pouvoir. Laissez-moi vous dire une chose sur l'argent et le pouvoir, Oliver... Le pouvoir fait de vous le maître du monde... Si vous étiez gouverneur de cet Etat, vous pourriez influer sur la vie de tous ses habitants. Vous pourriez édicter des lois favorables à la population et opposer votre veto à des lois susceptibles de lui nuire. » 
Mais je n 'ai pas besoin de ce pouvoir, voulut se convaincre Oliver. Je vais épouser une femme merveilleuse. Nous saurons nous rendre mutuellement heureux. Très heureux.
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La phrase finale du journal intime de Leslie Stewart fut la suivante :
 
Cher Journal : La noce a été superbe. L'épouse d'Oliver est très jolie. Elle portait une charmante robe blanche de satin et de dentelle avec un dos nu et une veste boléro. Oliver était plus séduisant que jamais. Il avait l'air très heureux. Je suis contente.
Parce que d'ici à ce que j'en aie fini avec lui, il va regretter d'être né
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Je ne voulais pas uniquement parler de votre beauté physique, mademoiselle Stewart. Je suis au courant de la manière dont vous avez réagi à toute cette histoire sordide. Ce doit être très pénible pour vous. Moi-même, en apprenant la nouvelle, je n'ai pas voulu y croire. » Il prit un ton courroucé. « Qu'est-il advenu de notre bonne vieille morale ? Pour ne rien vous cacher, je suis dégoûté de la manière tout à fait méprisable dont Oliver vous a traitée. Et que Jan l'épouse me rend furieux contre elle. Comme c'est ma fille, j'éprouve en un certain sens de la culpabilité. Ils se valent bien l'un et l'autre et méritent d'être ensemble. »
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Mourir si jeune. Avait-elle un amant ? Un mari ? Je rends grâces au ciel d'être vivante, d'être si heureuse et tant aimée. 
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Leslie avait lu des histoires d'amour et entendu des ballades sentimentales, mais rien ne l'avait préparée à l'incroyable réalité. Elle avait toujours tenu les chansons romantiques pour de la guimauve, des bêtises, des rêvasseries nostalgiques. Elle voyait à présent les choses d'un autre œil. Le monde lui apparaissait soudain sous un jour plus éclatant, plus beau. Tout était transmué, comme par magie, et l'auteur de ce miracle, c'était Oliver Russell.
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Par la suite, elle ne sut jamais qui, d'elle ou de lui, avait pris l'initiative. Elle se rappelait seulement qu'ils s'étaient mutuellement dévêtus, qu'elle s'était retrouvée dans ses bras et qu'ils s'étaient étreints de manière fébrile, bestialement, pour ensuite se fondre lentement et en douceur l'un dans l'autre, dans un rythme intemporel et extatique. Leslie n'avait jamais éprouvé pareille sensation de félicité.
Ils passèrent la nuit ensemble et ce fut magique. Oliver était insatiable, donnant et exigeant en même temps, et il n'arrêtait pas. C'était une bête. Et Leslie pensa : Oh, mon Dieu, moi aussi j'en suis une ! 
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La première notation du journal intime de Leslie Stewart fut la suivante : Cher Journal : Ce matin, j’ai rencontré l’homme que je vais épouser. 
Le bel optimisme de cette déclaration ne laissait en rien présager le dramatique enchaînement de circonstances qui allait suivre
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Toni Prescott savait pertinemment pour quelle raison elle aimait chanter cette comptine idiote. Sa mère la détestait.
Ćesse de chanter cette chanson stupide. Tu m'entends ? De toute façon, tu chantes faux.
- Oui, maman. Et Toni continuait de la chanter en sourdine.
Il y avait longtemps de cela, mais le souvenir d'avoir ainsi défié sa mère procurait encore à Toni comme un sentiment d'exaltation.
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Tu fais une demande écrite. Les gardiennes s'en servent pour se torcher. Pour elles, toutes celles qui veulent voir le directeur sont des emmerdeuses. »
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La vie est parfois injuste, et c'est à nous qu'il appartient d'y remédier.
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Les femmes ne comprennent rien aux échecs. Elles sont incapables de penser.
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La liberté n'était plus un mot abstrait pour Tracy. C'était quelque chose de tangible, de physique, une situation à apprécier et à savourer. La liberté, cela voulait dire de l'air pur, une vie privée, ne plus avoir à se mettre en rang pour les repas ni à guetter les sonneries; cela voulait dire des bains chauds, des savons odorants, de la lingerie fine, de jolies robes et des chaussures à talons; cela voulait dire avoir un nom au lieu d'un numéro. La liberté, c'était échapper à la Grosse Bertha, à la crainte des viols collectifs et à la mortelle monotonie de la routine pénitentiaire.
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Le meilleur conseil que je puisse vous donner, c'est d'essayer de purger votre peine aux mieux. Vous vous faciliterez les choses en acceptant votre emprisonnement. Il n'y a pas de pendule en prison; il n'y a que des calendriers.
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 Le lion affamé dissimule ses mâchoires. Un jour, nous changerons tout ça. L’homme blanc accepte l’homme noir parce qu’il a besoin de ses muscles, mais il doit aussi apprendre à accepter son cerveau. Plus il nous rejette à l’écart, plus il nous craint, parce qu’il sait qu’un jour la discrimination et l’humiliation pourraient bien être inversées.
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Voilà la différence entre les riches et les pauvres. Les pauvres marchent. Les riches se déplacent en voiture.
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Elle était toutefois ravie d’être derrière les barreaux car ceux-ci la mettaient à l’abri de celui ou celle qui la harcelait. Elle s’était pelotonnée dans sa cellule comme on s’enveloppe dans une couverture, pour se protéger des forces aveugles dont elle était victime. Sa vie s’était transformée en cauchemar. Elle repensait à tous les événements mystérieux qui lui étaient arrivés : quelqu’un entrant par effraction chez elle pour se livrer à des actes malveillants à son égard… le voyage à Chicago… les mots tracés sur le miroir… et à présent la police qui l’accusait des crimes indicibles dont elle ne savait rien
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Ce qui les intéressait, c’était de s’exhiber mutuellement comme s’ils accomplissaient une sorte de danse verbale préliminaire à l’accouplement.
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C’était une dure pression, un travail de vingt-quatre heures sur vingt-quatre. C’était le bâton. La carotte résidait dans la perspective de devenir à son tour partenaire du cabinet. Cela signifiait un salaire plus important, une part des énormes bénéfices engrangés par le cabinet, un grand bureau avec vue panoramique, des lavabos privés, des missions à l’étranger et un nombre incalculable d’autres privilèges du même ordre.
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Les meurtres non élucidés. Ça me laisse un sentiment de frustration terrible. En effet, quand un crime demeure non élucidé, je n’y vois pas le signe que le criminel est particulièrement malin mais que la police ne l’a pas été assez. Enfin, jusqu’à présent, j’ai eu de la chance. J’ai résolu tous les crimes auxquels j’ai eu affaire.
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