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Citations de Sidney Sheldon (124)


Il ne semble pas y avoir de mobile. Mais vous savez, il y a plusieurs années que je suis dans la police et je n’ai jamais vu de crime sans mobile.
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Elle se sentait sale, comme si chaque centimètre de son corps avait été violé. Que lui avait-il fait ? S’efforçant de ne pas y penser, elle descendit du lit, se rendit dans la minuscule salle de bains et entra sous la douche. Elle laissa couler l’eau sur son corps en essayant de se laver des ignominies qu’elle avait subies. Et si j’étais enceinte ? L’idée de porter l’enfant de Tibble lui donna la nausée.
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C’était incroyable à quel point les gens pouvaient changer en dix ans. Ils avaient grossi ou maigri… étaient triomphants ou opprimés… Mariés ou divorcés… parents ou sans enfants…
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C’était un psychologue engagé par l’entreprise pour conseiller les petits prodiges de l’informatique submergés par le stress. Sans être médecin à proprement parler, il était intelligent et compréhensif, et se confier à quelqu’un était toujours utile.
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La seule chose qui l’empêchait alors d’être complètement heureuse était de savoir que les ténèbres allaient de nouveau s’abattre sur elle et qu’elle s’y perdrait.
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Les affronts les plus insignifiants, délibérés ou non, la mettaient dans une rage folle. Un matin, alors qu’elle se rendait au travail, une voiture lui avait fait une queue de poisson. Elle avait grincé des dents en pensant : Je vais te tuer, espèce de salopard.
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Elle souffrait d’anomie, un sentiment d’aliénation dans son rapport à autrui. Ses sautes d’humeur la prenaient toujours au dépourvu et elle pouvait passer en un instant de l’euphorie la plus idyllique à l’abattement le plus noir.
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Alette Peters avait vingt ans. Elle pouvait tour à tour être terne, séduisante ou d’une beauté époustouflante au gré de ses humeurs ou selon qu’elle se sentait bien ou mal dans sa peau.

Mais elle n’était jamais simplement jolie. Son charme venait en partie de ce qu’elle était totalement inconsciente de son apparence. Elle était timide et parlait avec une douceur et une gentillesse qui avaient quelque chose de quasi anachronique.
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Agée de vingt-deux ans, elle était espiègle, vive, et n’avait pas froid aux yeux. Elle était tout feu tout flamme, mais telle la braise qui couve sous la cendre. Elle avait le visage mutin et séduisant, l’œil brun et malicieux. Née à Londres, elle parlait anglais avec un charmant accent britannique. Elle était athlétique et aimait le sport, surtout les sports d’hiver : le ski, le bobsleigh et le patin.
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Elle avait oublié à quel point son père pouvait être brutal. Il lui était arrivé, durant une opération, de frapper un interne qui avait commis une erreur de jugement. Elle se souvint des engueulades entre lui et sa mère quand elle était petite. Ces querelles la terrifiaient. Ses parents se bagarraient toujours pour le même motif mais elle avait beau faire, elle ne parvenait pas à se rappeler lequel. Elle avait recours à l’amnésie sélective.
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Quelqu’un la suivait.

Elle avait entendu parler de harcèlement mais ceux qui s’y livraient appartenaient à un autre monde, un monde violent.

Elle ignorait complètement de qui il s’agissait, qui pouvait lui vouloir du mal.

Elle faisait de son mieux pour ne pas s’affoler mais, depuis quelque temps, son sommeil était troublé de cauchemars insupportables et elle se réveillait tous les matins avec un sentiment de catastrophe imminente.
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« Les gangs russes ont de drôles de mœurs. D’abord on vous tranche les doigts, on vous laisse saigner un bon moment, puis on vous abat. »
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« T’es rien qu’une pédale, Tyler. Je ne sais vraiment pas comment mes couilles ont pu engendrer un type de ton espèce. »
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En fait, tout ce que nous pouvons penser ne compte pas. Un tribunal voudra des preuves, et c’est le test de l’ADN qui les apportera.
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« Cela ne nous avance à rien. Soyons logiques. En un sens, ici, on juge cette personne et nous, on est les jurés. C’est à nous de déterminer si elle est innocente ou coupable. Dans un jury populaire, la décision doit être unanime. Il faut que nous soyons tous d’accord. »
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« Toute chair est de l’herbe et tout ce qu’il y a de bon ici-bas est comme une fleur des champs… L’herbe se fane, la fleur se flétrit, mais la parole de Dieu demeure à jamais. »
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« De même qu’un père a pitié de ses enfants, de même le Seigneur a pitié de ceux qui le craignent. Car il sait de quoi nous sommes faits. Il n’oublie pas que nous ne sommes que poussière. »
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C’est peut-être la chance de ma vie. Ça peut mener n’importe où. Enfin, ce n’est pas qu’un simple boulot. Je vais travailler pour des architectes. Des rêveurs qui dessinent et construisent des gratte-ciel, qui créent de la beauté et font des merveilles avec de la pierre, du métal et du verre. Je pourrais même étudier l’architecture et collaborer de cette manière à leur rêve.
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Ce n’est pas juste, mère. Tu as commis une faute que tu as payée tout le reste de ta vie. J’aurais voulu te décharger d’une partie de ta souffrance. Je t’aime tant, maman. Je t’aimerai toujours. Du passage de sa mère sur terre il ne lui restait qu’une collection de vieilles photos et de coupures de journaux.
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Elle avait de splendides cheveux noirs, une bouche généreuse et rieuse, les yeux gris et lumineux de son père, une silhouette bien tournée. Lorsqu’elle souriait, on ne voyait plus que son sourire.
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