Soledad Bravi

Coup de coeur

Album pour les tout tout petits !

Double page avec une de texte et une illustration du bruit.

Un bon moment de partage avec le parent (qui fait le bruit) et l'enfant

les bruits : objets, animaux, personne.

Soledad Bravi est l'illustratrice !

Lorsque que, comme moi, on ne connaît pas vraiment la mythologie grecque, c’est une excellente entrée en matière, plaisante à lire, autant qu’un sacré coup sur la tête. Pire que ce qu’on croyait savoir. Quel monde inique et cruel !
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Petit BD sympathique qui replonge le lecteur dans les années 70/80 avec des dessins humoristiques. Emissions de télé, appareils devenus obsolètes, modes et objets du quotidien , de quoi raviver les souvenirs des plus nostalgiques. A titre personnel certains dessins ont fait mouches (écrire un mot sur sa calculatrice par exemple).

Je n'ai pas trouvé le dessin magnifique mais j'ai pris grand plaisir à me replonger dans l'univers de mon enfance.

La mythologie grecque est un Dallas revisité par les Feux de l’amour. Zeus, un chaud lapin a en prime la foudre facile. Alors suivre sa vie sentimentale c’est aussi, avec l’humour et le trait minimaliste de Soledad Bravi, s’embarquer pour des aventures où tout n’est pas très net sur le fond mais sacrément rigolo quand même sur la forme.
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Ce roman de 2021 dont la couleur de la couverture m'évoque soit un peppermint rose ou une bouteille de Peptobismol ( ce truc liquide rose bonbon) aborde avec humour un thème un tantinet chatouilleux: le décès d'une personne détestée.



C'est que, voyez-vous, tante Aimée n,a d'aimable que le nom pour le petit Jarvis, 10 ans, et sa famille. D'ailleurs, elle l'appelait "Morvis" en raison de sa tendance nasale à se prendre pour un robinet qui fuit. Et elle a même appelé son chien ( un caniche blanc) "Débile". Bref, la typique madame pas sympa qui râle et rouspète tout le temps, mais qui aux yeux d'un enfant prend la forme du "Méchant absolu" dont le manque de cœur est corroboré par l'absence de l'âme. Pourtant, c'est Jarvis qui va se charger de faire les préparatifs: faire les invitations, monter une couronne et un bouquet de fleurs, se trouver un bel ensemble de vêtements, une annonce de décès dans le journal,etc. Mais comme arrive le jour de l’enterrement, le jeune garçon pourrait avoir une surprise.



Un petit roman qui permet de faire une petite réflexion sur notre perception des enterrements. Si certains sont en effet très douloureux quand il s'agit de gens qu'on aime, qu'en est-il de ceux qui nous sont soit indifférent soit détesté? Devrions-nous hypocritement afficher de la tristesse sous prétexte que c'est le décès de quelqu'un?



Ici, Jarvis est surtout fasciné par l'enterrement en soi, la cérémonie, les préparatifs, les textes. Pour lui, tout ça a un côté plutôt festif. C,est néanmoins à la cérémonie qu'il va constater que. peut-être Aimée était-elle appréciée modérément par certaines personnes. Peut-être n'était-elle pas l'infâme méchante? Peut-être même que son décès et la cérémonie s'ensuivant ont été des moyens pour mieux la connaître?



Un roman rempli d'humour aussi, avec des constats d'enfant, une logique naive et un enthousiasme touchant.Et qui interroge sur notre rapport à la mort. Après tout, nos coutumes mortuaires sont très sinistres comparées à certaines Nations et peuplades.



Un roman court qui aborde avec légèreté et humour un évènement qui va forcément être vécu dans une vie et qui contraste beaucoup avec la plupart des romans traditionnels sur le deuil, généralement graves, sérieux et lourds. Et ponctué des dessins de Soledad Bravi, connue pour ses albums jeunesse pour la petite enfance.



Pour un lectorat du second cycle primaire ( 8-9 ans).

Format intéressant ! Cependant j’ai trouvé que les parties bd étaient trop brèves et j’ai souvent eu l’impression qu’il manquait la fin. J’aurais aimé également plus de diversité parmi les auteurs, au mois 50/50 seulement 6 femmes sur 24 auteurs. Les premières pages (partie biographique) étaient les plus intéressantes au final

Brillamment illustré par l’humour cash de Soledad Bravi, le roman détonne et finalement convainc. Pour un jeune lecteur déjà capable de second degré.
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Ce décès d’une grand ’tante détestable, qui affublait humains et animaux de noms méprisants ou ridicules, est l’occasion d’aborder les us et coutumes d’une cérémonie d’enterrement

Le petit Jarvis est vraiment attachant et la gravité du sujet est balayée par un joli vent de folie et d’imagination débridée !

Jarvis vient de perdre sa grande-tante Aimée. Ses parents lui ont dit qu'elle était partie mais en vrai, elle est décédée. Jarvis n'est pas si triste que cela car au final, tante Aimée, il ne l'appréciait pas tellement, tout comme le reste de la famille qui se batte pour ne pas assister à son enterrement. Mais notre jeune garçon a bien envie d'y aller lui ! Il n'a jamais assisté à ce genre d'événement ! Mais qu'est-ce qu'on peut bien y faire? Un roman jeunesse sur le thème tragique de la mort. Abordé avec beaucoup de légèreté et d'humour par l'autrice et les illustrations de Soledad Bravi, on y découvre pas à pas les coutumes qui tournent autour de cette organisation, la naïveté de Jarvis qui veut bien faire pour rendre un dernier hommage à sa tante malgré son ressenti envers elle peu joyeux. J'ai aimé l'originalité de l'histoire, un thème triste abordé avec le sourire, les traits d'humour et la bienveillance de notre jeune personnage. Ouvrage à découvrir sans aucune hésitation ! Il pourra vous être bien utile pour aborder le sujet des enterrements avec les plus jeunes.
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Après avoir bu son bib, nous avons regardé les pages de cet abe𰇎𰇚ire illustré des animaux par Soledad Bravi. Un ouvrage très coloré et complet : j'ai moi même de〜ouvert certaines espe𰃎s !

Un livre aux pages acidulés et cartonne〞s permettant de laisser l'enfant les manipuler sans les abîmer. Ravie d'apprendre avec Soledad.

Mon petit Chez Moi

Livre ludique pour de〜ouvrir les habitats de chacun : de la niche du chien, à la maison de l'enfant en passant par l'igloo de l'esquimau mais aussi la prison des voleurs et les bras de Doudou...

Cette double page a de〜lenché un élan de douceur car ma fille a d'un coup cherché son doudou pour lui faire un gros câlin comme dans le livre. Une jolie surprise et un moment de tendresse très mignon.

Bravo Soledad Bravi pour ces livres et leurs dessins plein d'humour et de tendresse qui accompagnent les tout petits.

Parce que j'avais moins envie de lire ces derniers temps, je me suis dit qu'un album graphique pourrait m'aider... Cet album fait du bien !! C'est drôle, nostalgique, ça rappelle plein de souvenirs d'enfance : la cagoule, la ceinture non obligatoire à l'arrière des voitures! Lecture plaisir assurée !

Avec « Quand on était petits », Soledad nous offre un regard original et intime sur des épisodes inoubliables de son enfance.

Dans ces chroniques autobiographiques, pastilles en bichromie glanées dans sa mémoire auxquelles viennent s’entrelacer les souvenirs des jeunes années de ses filles, l’écriture singulière du récit fait résonner, au gré des pages, nos propres aventures en un écho universel.

Une tendre madeleine concoctée avec amour, à savourer jusqu’à la dernière miette.

Entre la chambre des parents surnommée « La rue de Bagnolet » à cause du Monopoly, les souvenirs de la boîte du petit chimiste, les bouillons, les tours de maison, … de nombreux souvenirs s’emmêlent, avec à la fin du livre le plus tendre d’entre eux, celui des grains de sable coincés entre les doigts de pied.
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Le livre des petits bonheurs porte merveilleusement bien son nom !!!!!!!



C’est le livre à offrir aux parents autant qu’aux enfants parce que c’est un livre qui rapproche, qui fait sourire et qui fait simplement aimer la vie. Les textes d'Hervé Eparvier autant que les illustrations si caractéristiques de Soledad Bravi sont simples et tellement efficaces........................
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Soledad nous offre ici un aperçu personnel de ses souvenirs d'enfance en famille. Chroniques sont tendres, autobiographiques qu'elle complète avec les anecdotes de l'enfance de ses filles. Ses souvenirs sont intimes et lui appartiennent, mais je me suis retrouvée aussi dans ses histoires cocasses faites des joies et des petits drames enfantins.

Elle croque ainsi des moments de vie en bichromie et cela sous un rythme rapide propre à l'enfance où on veut toujours être plus grand qu'on ne l'est ...

J'ai souri, ri aux larmes devant certaines situations et cela m'a replongé dans mon enfance avec ma fratrie et mes cousins-es...

Un beau moment de lecture doux, tendre, drôle et mélancolique à la fois. Et ces dessins sont toujours très justes et fins !

Bienvenue dans les années 70!

Des années où tout était plus simple, où les héros des dessins animés avaient de drôles de voix et de drôles de formes, où tout était plus coloré!

Si vous êtes nostalgiques de cette époque alors ce livre est fait pour vous! Vous vous écrirez: "Ah mais oui, je me souviens, j'avais la même tapisserie!" ou bien "oh ce générique, ce dessin animé, toute mon enfance!"

Si vous n'avez pas connu cette époque alors ce livre est fait pour vous! Vous pourrez constater tous les progrès qui ont été fait, mieux comprendre vos parents et envier cette époque où finalement tout était plein de charme.

Pour ma part, je suis née la décennie suivante mais beaucoup d'éléments de cette bande dessinée me font écho comme le téléphone filaire où il fallait tourner un cadran pour composer un numéro, la déco criarde, l'inspecteur gadget... Je pense souvent à mon enfance et mon adolescence maintenant que je suis devenue maman. Parfois, c'est vrai, je me dis que "c'était mieux avant". J'aime bien ce genre de livre car cela fait sourire et apporte de la bonne nostalgie. Celle qui fait rire et qui permet de mesurer le chemin parcouru.

Les illustrations sont simples et efficaces. Le format du livre pratique pour emmener de partout pour échanger avec vos proches.


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Prêté par une collègue de français, j'ai découvert ce titre de Soledad Bravi (j'en connaissais déjà d'autres). J'aime beaucoup l'humour et le dessin de Soledad Bravi, je trouve qu'elle a bien retranscris les histoires d'Homère.
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Reçu dans le cadre d'une opération Masse Critique (merci Babelio et les éditions Rue de Sèvres !!)



C'est la 2e BD de Soledad Bravi que je lis, après L'Iliade et l'Odyssée que j'avais beaucoup aimé. On retrouve les mêmes traits, drôles et en toute simplicité. On aborde des classiques de la littérature, comme son nom l'indique, en 2 ou 3 pages maximum, ce qui permet d'en tirer l'essentiel de la trame. Pour introduire l'histoire, une page qui parle de l'impact de l'oeuvre de l'auteur et une petite biographie. Le tout nous donne un aperçu assez rapide et général des différents titres.

J'ai bien aimé l'humour légèrement décalé, sans en faire trop. La façon simple, mais intelligente, de résumer les oeuvres. Le rappel du contexte de l'auteur. Ce livre permet vraiment de se faire une idée de grandes oeuvres dont on a généralement entendu parler, sans pour autant prendre le temps de les lire.



Mais, c'est certainement dû à mes études littéraires, je trouve dommage de découvrir des oeuvres de façon aussi condensée. J'ai beaucoup apprécié cette lecture, mais en grande partie parce que j'avais lu la plupart des titres évoqués : cela m'a replongée dans des plaisirs de lectures, sans pour autant me spoiler l'histoire, puisque je la connaissais. Le paradoxe, c'est que cette BD donne envie de lire les classiques tout en dévoilant les rebondissements principaux... En même temps, c'était attendu.

L’ensemble des titres présentés permet de saisir rapidement le fil rouge de chacun des romans, de prendre le pouls des personnages et des valeurs, le tout sur fond d’humour. [...] [Une] très astucieuse façon de plonger paresseusement dans les classiques.
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