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Citations de Sören Kierkegaard (334)


Sören Kierkegaard
La vie doit être vécue en regardant vers l'avenir, mais elle ne peut être comprise qu'en se retournant vers le passé.
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Sören Kierkegaard
Si la femme accomplit de grandes choses, on l'admire plus que l'homme, parce qu'on ne s'y attendait pas de sa part.
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Sören Kierkegaard
Je suis si peu compris qu'on ne comprend même pas mes plaintes de ne pas être.
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Sören Kierkegaard
L'individu, dans son angoisse non pas d'être coupable mais de passer pour l'être, devient coupable.
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Sören Kierkegaard
La nature féminine est un abandon sous forme de résistance.
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[…] L’exception pense le général en même temps qu’elle se pense elle-même pour s’examiner à fond ; elle travaille pour le général en se travaillant à fond elle-même ; elle s’explique le général en s’expliquant elle-même. L’exception explique par conséquent le général et elle-même ; et si on veut étudier correctement le général, il suffit de chercher du regard autour de soi une exception justifiée ; elle fait tout voir bien plus nettement que le général lui-même.
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Aussi longtemps que rien n’est devenu, la contradiction n’est que le besoin de l’admiration, le nisus [effort, tendance] de celle-ci, non le nisus du devenir ; quand la chose est devenue, la contradiction est de nouveau présente en tant que nisus de l’admiration dans la passion qui reproduit le devenir.
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La nature, en tant que détermination de l’espace, n’existe qu’immédiatement.
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La contemporanéité directe ne peut être que l’occasion. a) Elle peut être pour le contemporain l’occasion d’acquérir un savoir historique. A cet égard, le contemporain de ces noces impériales est plus heureux que le contemporain du maître ; car ce dernier n’a que l’occasion de voir la forme du serviteur, et au maximum quelque acte excentrique duquel il ne peut savoir avec certitude s’il doit l’admirer ou s’indigner d’avoir été mystifié […]. b) Elle peut être l’occasion pour le contemporain de s’approfondir socratiquement en lui-même, par quoi cette contemporanéité disparait comme un néant vis-à-vis de l’éternité qu’on découvre en soi-même. c) Enfin […], elle devient pour le contemporain –en tant qu’il est la non-vérité- l’occasion de recevoir du dieu la condition et de voir la magnificence avec les yeux de la foi. […] En tant que croyant, il est le contemporain dans l’autopsie de la foi. Mais, dans cette autopsie, tout non-contemporain (au sens immédiat) est à son tour le contemporain.
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[…] L’homme […] doit d’abord savoir qu’il est différent [de Dieu], absolument différent de lui. D’elle-même, l’intelligence ne peut pas le savoir […] ; si elle doit le savoir, il faut qu’elle l’apprenne du dieu, et si elle l’apprend, elle ne peut même pas le comprendre et ne peut donc pas le savoir ; car comment comprendrait-elle l’absolument différent ? […] Si le dieu est absolument différent [de l’homme], ceci ne peut avoir sa raison dans ce que l’homme doit au dieu (car sous ce rapport, il lui est évidemment apparenté) mais dans ce qu’il se doit à lui-même, ou dans ce dont il s’est rendu coupable.
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Le moi n’est pas le rapport, mais le retour sur lui-même du rapport.
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Dès que je parle, j'exprime le général, et si je me tais nul ne peut me comprendre.
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Sören Kierkegaard
Dès que je parle, j'exprime le général, et si je me tais nul ne peut me comprendre
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Elle est donc au premier stade des fiançailles, elle l’aime - c’est bien possible, mais son amour voltige librement autour de lui en cercles vastes et spacieux ; elle possède encore ce manteau de l’amour qui peut en envelopper beaucoup d’autres…
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Le fond éternel de l'amour, c'est que les individus ne naissent l'un pour l'autre que dans son instant suprême.
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Il est révoltant qu'un homme dirige sur des sentiers faux un voyageur ignorant le chemin à prendre et le laisse ensuite seul dans son erreur. Cependant, n'est-il pas plus révoltant encore d'amener quelqu'un à se fourvoyer en lui-même ?
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Adieu donc, toi le plus malheureux ! que dis-je : le plus malheureux ; je devrais dire : le plus heureux ; car le malheur le plus suprême est un présent de la fortune, que nul ne peut se donner. Mais voici que le langage devient insuffisant et que la pensée se trouble ; car qui est le plus heureux sinon le plus malheureux ; et qui est le plus malheureux, sinon le plus heureux ; et qu’est-ce que la vie, sinon démence ; la foi, sinon folie ; l’espérance, sinon délai de grâce, et l’amour, sinon vinaigre sur la plaie !
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Mon dilemme ne signifie surtout pas le choix entre le bien et le mal ; il désigne le choix par lequel on exclut ou choisit le bien et le mal. Il s’agit ici de savoir sous quelles catégories on veut considérer toute la vie et vivre soi-même. Il est bien vrai qu’en choisissant le bien et le mal, on choisit le bien, mais cela n’apparait que par la suite ; car l’esthétique n’est pas le mal, mais l’indifférence, et c’est pourquoi j’ai dit que l’éthique constitue le choix.
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La jeunesse vit dans l'illusion, attendant l'extraordinaire de la vie d'elle-même: par contre, chez les vieux, l'illusion touche souvent leur façon de se rappeler leur jeunesse. Une vieille femme, qui devrait par son âge en être dépouillée, baigne souvent, autant qu'une jeune fille, dans les illusions les plus imaginaires, quand en souvenir elle se représente ses années de jeune fille, comme elle était heureuse alors, comme elle était jolie, etc. Ce fuimus si fréquent sur les lèvres des vieux vaut bien comme une illusion celle des jeunes tournés vers le futur; chez les uns et les autres: mensonge ou poésie.
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A la lettre [l'idée de "maladie mortelle"] signifie un mal dont le terme, dont l'issue, est la mort et sert alors de synonyme d'une maladie dont on meurt. Mais ce n'est point en ce sens qu'on peut appeler ainsi le désespoir ; car, pour le chrétien, la mort même est un passage à la vie. A ce compte, aucun mal physique n'est pour lui "maladie mortelle". La mort finit les maladies, mais n'est pas un terme en elle-même. Mais une "maladie mortelle" au sens strict veut dire un mal qui aboutit à la mort sans rien après elle. Et c'est cela le désespoir.
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