J'ai envie d'aimer ce Miyamoto Usagi. Suis assez fan du concept " lapin samouraï errant qui applique le Bushido dans un Japon du XVIIe siècle" mais mais mais... après lecture du premier opus, je reste gravement sur ma faim.
Pour l'heure, je trouve que les très courtes histoires manquent de profondeur, sont un poil (de lapin) trop enfantines et prévisibles... Les personnages sont assez vides et caricaturaux...
Je vais m'accrocher et lire les second et troisième tomes pour me faire une idée plus définitive. Là, je mets un généreux 12/20 dans l'espoir d'être rassuré par la suite.
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Un grand merci aux éditions Paquet et à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la masse critique Jeunesse et jeunes adultes de novembre 2023.
Miyamoto Usagi est un Usagi Yojimbo, un lapin samouraï garde du corps itinérant et solitaire.
Il voyage et subvient à ses besoins au gré de ses rencontres.
Ce comics est divisé en plusieurs histoires courtes.
Dans chacune, Usagi remplit des missions, se bat au sabre, sauve des gens ou en aide d'autres.
Ce lapin est tellement célèbre qu'il a même pu se payer le droit d'être une guest star dans un épisode des Tortues Ninja. Cowabunga !
J'ai pris du plaisir à lire cette bande dessinée en noir et blanc.
Petit bémol pour certaines cases qui étaient trop chargées d'éléments à mon goût et qui m'ont parfois perdue pour reconnaître les personnages.
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Usagi Yojimbo est le héros d’une série culte signée Stan Sakai. Les aventures d’un samouraï sans maître allant de villes en villages pour gagner sa pitance, souvent comme garde du corps. Mais contre toute attente, la série d’origine n’était pas un manga comme présenté dans ce premier tome des éditions Paquet, mais un comics. Ce qui ne l’empêche pas de dévoiler tout son talent au format caractéristique du pays du soleil levant...
On se retrouve dans un Japon féodale, où les habitants sont des animaux anthropomorphiques pour la plupart - quelques humains apparaissent néanmoins ça et là - et bien que basé sur des récits nippons, on ressent toute occidentalisation de l’auteur ayant grandit à Hawaii et vivant maintenant en Arizona. Un humour un peu potache comme les “Pif et Hercule” qui jalonnaient les journaux d’antan. Un trait relativement simple, un peu caricatural même pour des animaux, à l’encrage épais dilué dans différents styles de tramages pour donner du contraste dans les scènes.
Alors même si maître Usagi semble sérieux sur la couverture, il s’avère un personnage attachant, droit et fier à la fois. Un code de l’honneur à toutes épreuves et des aventures en pagaille malgré le fil conducteur qui traverse tout l’album composé de 10 chapitres. Tantôt escorte d’un jeune noble allant se présenter au Shogun à cause des tentatives d’assassinat par un rival, partenariat avec un chasseur de prime, nostalgie dans son village natal attaqué par des ninjas... toutes les aventures de samouraï qui peuvent être envisagées se retrouvent d’ores et déjà dans ce premier tome.
Un héros solitaire qui aura pourtant fait couler beaucoup d’encres, non seulement dans sa série principale, mais également d’autres scénarios où le lapin se retrouve dans un monde futuriste par exemple, voire même en guest dans un tome des Tortues Ninja ! De quoi prouver la notoriété de maître Usagi... Un personnage vraiment intéressant par sa richesse culturelle derrière les aventures qui se suivent, se ressemblent souvent, mais plaisent à chaque fois !
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Reçu dans le cadre d'une masse critique, j'ai beaucoup apprécié cette lecture.
Un lapin ronin aide des citoyens en détresse, ou loué ses services de garde du corps.
Les personnages sont tous des animaux, et le récit est une succession de saynètes, sur le chemin du lapin.
L'œuvre date aujourd'hui de plusieurs décennies, et on sent la naïveté de l'époque dans ce manga. Il n'en reste pas moins agréable à lire, avec des personnages haut en couleurs.
La violence est cachée, et les sentiments sont pudiques, retranscrivant bien l'atmosphère de l'époque.
Une jolie découverte, pour les amoureux des anciens mangas.
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Toujours prêt à offrir son aide à plus faible que lui, Miyamoto prête main-forte à tout un village en lutte contre la fureur d'une rivière en crue qui menace la digue. Mais tandis que les villageois sont mobilisés contre la montée des eaux, des bandits dévalisent leurs réserves. Miyamoto pose ses seaux et reprend ses épées, mais il ne s'attend pas à l'identité des personnes qu'il rattrapera. « Les paysans aussi ont le sens de la loyauté et de l'honneur, Usagi. » (p. 173) Il doit aussi se défendre de la rage d'un kappa renégat, démon aquatique qui ne respecte pas la trêve passée avec les humains. Blessé au bras, membre indispensable à son art de guerrier épéiste, il se défend difficilement contre une ninja komori, chauve-souris impitoyable. Plus tard, alors qu'il retrouve et assiste l'inspecteur Ishida, il enquête sur les meurtres étranges commis dans un temps bouddhiste. « Comme toujours, j'ai l'esprit ouvert à toutes les explications, mais le surnaturel n'en fait pas partie... à moins que toutes les autres explications n'aient été écartées. » (p. 100) Entre un seigneur arrogant qui ne pense qu'à étendre sa réserve de chasse et une fresque fascinante sur l'enfer, la mort semble frapper par une main surnaturelle.
Au gré de ses voyages, Miyamoto croise de plus en plus de villages confrontés à la sécheresse ou aux inondations et frappés par la famine. L'auteur se saisit de l'actualité climatique pour nourrir les aventures de son héros, ce qui rend ce dernier encore plus humain (lapin ?) et proche de nous.
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« Je n'apprendrai donc jamais ? [..] Mon problème, c'est que je suis trop curieux. Je finirai par le payer cher. » (p. 23) Miyamoto Usagi ne croit pas si bien dire. Il recroise la route de Kitsune et Kiyoko, ce duo de charmantes voleuses si douées pour l'escroquerie. Une fois encore, elles sont dans de beaux draps, car elles se sont mis à dos Chizu, l'ancienne cheffe des ninjas neko. Ce pauvre Miyamoto est pris entre deux femmes de caractère qui ne sont pas insensibles à son charme. Le chemin du guerrier aux longues oreilles se rapproche surtout d'Hikiji, ennemi de longue date. « C'est Hikiji qui a tué mon maître et a fait de moi un ronin. Il veut maintenant renverser le gouvernement du shogun et prendre le contrôle du pays. » (p. 36) C'est aussi Hikiji qui a évincé Chizu du clan des neko. Il semble que l'heure des comptes se rapproche. Plus loin dans ses aventures, Miyamoto croise un ronin manchot qui rétablit une certaine justice et venge des combattants mutilés. Il s'oppose aussi à un cruel étranger, fasciné par le rituel du seppuku. Et une fois encore, il a maille à partir avec Koroshi, la ligue des assassins.
J'ai le sentiment que l'errance du samouraï sans maître pourrait prendre fin sous peu. Ou peut-être que Miyamoto Usagi réussira enfin à honorer son ancien maître en obtenant vengeance. Évidemment, je poursuis la lecture !
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Miyamoto Usagi chemine aux côtés d'un peintre formé à l'étranger et qui se sait recherché par Koroshi, la guilde des étrangers. « Certains considèrent les nouvelles idées et les changements comme une plus grande menace que les biens et les armes étrangères. Notre pays cultive une tradition artistique presque inchangée depuis des centaines d'années. [...] Ce que j'ai appris de mes voyages à l'étranger compromettrait des générations de traditions artistiques. » (p. 15) Le Japon, fermé sur lui-même, reste résolument hostile aux cultures qui ne sont pas la sienne.
Le lapin samouraï , toujours fidèle au bushido, rend hommage aux morts, même disparus depuis des siècles. Une nuit de pluie, dans une auberge, le voilà en présence de très nombreux convives. Et alors que personne ne peut quitter les lieux, deux meurtres sont commis, apparemment sans lien. Le noble ronin prête assistance à l'inspecteur Ishida, représentant du shogun. « Les lois n'ont pas été suivies, mais justice a été faite ! Cette affaire est ée. » (p. 76) Les dettes d'honneur finissent toujours par être payées.
Au fil des albums, je découvre les traditions, la culture et la spiritualité du Japon féodal. Quel plaisir d'avoir une leçon sur la fabrication du saké ! J'aime toujours autant l'expressivité du visage du lapin qui sait se montrer aussi amical que farouche. Et même enrhumé, il cabotine de manière charmante !
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Miyamoto Usagi revient aider un village aux prises avec la bande du scorpion rouge qui réclame un tribut exorbitant, et ce alors que les champs ne donnent rien à cause de la sécheresse. L'espoir des villageois, c'est que le fabricant de tambours achève rapidement un instrument gigantesque qui sera frappé en haut de la montagne pour implorer les dieux de faire tomber la pluie. Une fois encore, le samouraï solitaire vient en aide aux plus faibles et défend la juste cause contre l'avidité et la brutalité. Le guerrier retrouve aussi d'anciennes connaissances et ce n'est pas franchement de tout repos. « Oh oh... Des ennuis. Inévitable avec les combines de Kitsuné. » (p. 57) Et, de passage dans une école d'escrime, Miyamoto démontre une nouvelle fois à quel point il respecte l'honneur des samouraïs et sait le mettre en pratique.
Encore une lecture plaisante à suivre les aventures du bel épéiste. Je ne m'en lasse pas. Si l'on m'avait dit, il y a quelques années, que je passionnerais autant pour un héros de comic book, je ne l'aurais pas cru. Il faut dire que Miyamoto Usagi a un double avantage physique qui ne peut que me plaire.
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Miyamoto Usagi arrive dans le village d'Enfer. Le lieu porte bien son nom : depuis plusieurs mois, il est devenu invivable, car Higa et Komo, deux chefs de gangs, s'y disputent violemment le pouvoir. Le guerrier solitaire aurait tout intérêt à continuer sa route sans s'arrêter. « Bon ! Je n'ai jamais fait preuve d'aucun bon sens... » (p. 8) Il ne sera pas dit que Miyamoto laissera des villageois·es innocent·es faire massacrer dans les rues ! Un peu plus loin dans son périple, il nouera une alliance étonnante, mais à bénéfices mutuels entre une incorrigible bavarde et un esprit affamé.
Le samouraï aux longues oreilles fait toujours preuve de noblesse dans les affrontements, de courage face aux dangers, de bonté envers les pauvres et de patience tendre envers les enfants. Je mentirais si je niais avoir un vrai coup de cœur pour cet épéiste hors pair. Au fil des albums, j'apprécie toujours autant les combats chorégraphiés par Stan Sakai : le dessin est toujours dynamique et, même en noir et blanc, on se figure très bien les blessures et le sang qui s'écoule dans la poussière.
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L'album s'ouvre sur un épisode la vie du jeune Miyamoto, apprenti auprès de son maître. Il est ensuite question d'une terrible bataille, survenue trois cents ans plus tôt, entre les seigneurs Miyake et Hayashi, dont les fantômes hantent encore le monde. Le ronin doit se battre contre des guerriers morts depuis trois siècles, mais aussi contre des brigands ou des chasseurs de primes furieux qu'il les ait privés d'une forte récompense. Imperturbable, Miyamoto Usage poursuit son chemin à travers le Japon. « Je fais le pèlerinage des guerriers pour améliorer mes compétences en tant que samouraï et devenir une meilleure personne. » (p. 166) Il retrouve un ancien camarade qui, comme lui, était au service du seigneur Mifune, et qui cherche encore à venger leur ancien maître. À ses dépens, ce guerrier apprendra que la vengeance est inutile.
J'aime suivre le lent cheminement du samouraï solitaire. Il a le chic pour se mettre toujours dans des situations impossibles, mais fidèle à son honneur, il ne peut jamais détourner les yeux quand le bien est menacé. Ses lames sont au service de la justice, seul maître auquel Miyamoto répond.
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Miyamoto Usagi chemine avec Gen, le samouraï rhinocéros, camarade d'aventures bien connu et toujours aussi agaçant, tête brûlée et prompt à s'énerver. « Ce chemin ne m'a pas l'air d'une bonne idée. / À quoi bon vivre si on ne prend jamais de risque ? De toute façon, je préfère les raccourcis que les chemins longs. » (p. 13) Mais à prendre des sentiers détournés, nos deux compères doivent se défendre d'une bande de renards farceurs plutôt affamés. Au gré de leurs étapes, un sujet revient souvent dans leurs conversations : l'argent, ou plutôt son manque et la façon dont Gen sait si bien dilapider les ressources des autres. Ils recroisent Chien Errant, un autre samouraï qui cherche à attraper Taniguchi, criminel pour lequel une prime importante est promise. Les trois braves unissent leurs lames pour le bien commun. Et, comme plusieurs fois par le passé, Gen prouve qu'il est capable de sensibilité face à plus démuni que lui.
Cet album remet les terribles ninjas neko sur la route du ronin aux longues oreilles. Le vaillant guerrier croise aussi une tripotée de sales types, tous plus ou moins ivres de saké. Toujours fidèle au bushido, Miyamoto protège les faibles et punit les coupables.
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Le démon Jei qui possède Inazuma continue de répandre la mort : partout où il passe, les cadavres s'amoncellent, soi-disant pour purger le monde du mal. Miyamoto Usagi et Gen pensaient avoir vaincu le démon avec la lame des dieux, mais le monstre survit, passant de corps en corps pour poursuivre son œuvre macabre. Un prêtre est tourmenté par des cauchemars depuis qu'il a été confronté à Jei. Mais pour tout le monde, c'est Inazuma la coupable puisque c'est elle qui tient la lame. « Les chasseurs de primes sont précipités dans la région depuis que le patron Bakuchi a triplé la récompense pour la tête d'Inazuma. » (p. 147) Miyamoto, Gen, Chien Errant et le prêtre Sanshobo s'unissent pour exorciser le démon et sauver l'âme de la malheureuse Inazuma. Mais Jei peut-il être vaincu ?
Cet album est très sombre. Le samouraï Miyamoto est hanté par des cauchemars terribles. Il ne doute pas de ses lames, mais il ne sait pas s'il pourra sauver le pays des méfaits du démon Jei. Il m'attendrit beaucoup, portant le poids de sa solitude avec résignation, sans jamais se départir de sa loyauté envers les plus fragiles et la justice.
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Le Koroshi, la ligne des assassins, attente à la vie d'un marchand. Les samouraïs s'en prennent aux mendiants et perdent de vue le bushido. Les tueurs à gages ne peuvent pas changer de vie. Tous les habitants d'un village cherchent la fortune perdue d'un riche marchand. Le karma semble lourd sur chacun. « La plupart de ces voyous sont des paysans qui pensaient que la vie serait plus facile en tant que criminels. Ils sont trop lâches pour se faire vraiment mal. / Mais ils passeront leur colère sur les habitants de la ville. » (p. 83) Miyamoto Usagi, lui, ne peut jamais s'empêcher de venir en aide aux faibles et aux innocents. Quand Mayumi, servante d'auberge, demande à le suivre pour changer de vie, il n'ose pas refuser, mais il sait que son existence de samouraï errant n'est pas faite pour une femme. « J'attire le danger partout où je vais. Et le danger s'étend à tous ceux qui voyagent avec moi. » (p. 140)
Après de longs mois sans lire les aventures du beau ronin aux longues oreilles, je retrouve avec bonheur ce Japon féodal où les esprits et les démons marchent sur la terre. Je ne me lasse pas de suivre le noble guerrier aux deux épées, solitaire et vaillant. « Je ne peux pas être responsable de tous les malheureux de ce monde. J'ai ma propre vie. Je ne peux pas veiller sur quelqu'un d'autre. » (p. 85) La suite des péripéties, que j'ai déjà lue, donne raison à Miyamoto Usagi.
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Usagi Yojimbo est un lapin samouraï vivant au dix-septième siècle. Beaucoup d'instabilités secouent le pays, heureusement les samouraïs sont là pour appliquer le code d honneur et maintenir l'ordre.
Usagi Yojimbo tome 1 est très dynamique, en effet il y a beaucoup de combats et d action. Le personnage défend bien ses valeurs afin de respecter sa ligne de conduite.
J'ai adoré découvrir le monde des samouraïs. La serviabilité et la grandeur d'esprit m'a bien plu dans ce livre.
En revanche, je n'ai pas du tout aimé les dessins peu travaillés de Stan Sakai. Les animaux ne sont jamais heureux et font des grimaces à chaque page, ce qui peut déconcentrer fortement la découverte de ce manga. De plus, j'aurais apprecié plus de profondeur à l'histoire et moins de combat.
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Quel beau tome !
Quel plaisir de retrouver Usagi !
Nous retrouvons toujours cet hybride mange/comics au découpage intelligent et aux dessins marquants !
Le tome s'ouvre sur une partie de la jeunesse d'Usagi sur plusieurs chapitres, un must have dans votre collection pour l'univers du samouraï !
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Miyamoto Usagi profite d'un repos bien mérité dans la province de Geishu, invité du clan du même nom, auprès de Tomoé, fine lame au service du jeune seigneur Noriyuki. « Usagi est un ami du clan Geishu et nous a aidés bien des fois. » (p. 89)La remarquable épéiste raconte son histoire au ronin et la façon dont elle a gagné sa place au sein du clan. D'entraînements en repas copieux, les amis partagent de précieux moments de complicité, notamment une superbe cérémonie du thé détaillée sur plusieurs pages. Ils affrontent également un artiste démon dont l'encre peut rendre vivants ses dessins menaçants, une kitsuné (renard) démoniaque ou encore les redoutables ninjas Neko. Au gré des négociations commerciales que le clan Geishu mène avec le clan Kojima, Miyamoto et Tomoé élucident un ancien drame et retrouvent un précieux parchemin dérobé dans un temple.
Naviguant toujours entre histoire médiévale et folklore japonais, l'œuvre de Stan Sakai ne cesse de me charmer. Découvrir ainsi les légendes ancestrales d'un pays si différent du mien est un plaisir et j'ai toujours hâte de reprendre les aventures du samouraï errant. J'apprécie la façon dont l'auteur tisse des histoires au long cours qui se développent au fil des albums. Si j'en crois la bibliographie de Stan Sakai, il me reste 8 opus : je suis impatiente de savoir comment se dénoueront les intrigues menées depuis 22 albums !
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Le samouraï sans maître a rejoint la province de Geishu, dirigée par le jeune seigneur Noriyuki qu'il a autrefois sauvé d'un complot. Assisté de la vaillante et loyale samouraï Tomoe, Noriyuki administre ses terres avec justice et bonté. Aussi, quand il apprend que la peste sévit aux confins de son territoire, il envoie Tomoe se renseigner afin d'organiser les secours, sans savoir qu'l se met à la merci de l'intrigant Horikawa. Arrivée sur place, Tomoe découvre des activités illicites bien plus graves que l'épidémie et elle retrouve une vieille connaissance, cruelle et sans pitié, surnommée la princesse de sang. L'arrivée providentielle du lapin épéiste la tire d'affaire, mais la menace n'a pas disparu. « Sois prudent, Usagi ! / Tu devrais maintenant savoir que je suis la personne la plus prudente qui existe. » (p. 70)
Dans ce 21e album, plutôt que de passer d'aventures en rencontres, Miyamoto Usagi ne vit qu'une histoire, riche en rebondissements. Ce format d'album est celui que je préfère, car il pose des bases pour des développements futurs. J'ai déjà le volume 22 dans ma pile à lire. Il faut évidemment que je commande les derniers albums de cette excellente série de bande dessinée !
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