Susan Payne

Livre que j'ai découvert en version audio. Bon j'avais chargé le tome 2 par erreur, donc j'ai corrigé en prenant le tome 1. Ca fait pas de mal de commencer par le début ^^.

L'accent Canadien est tellement agréable à entendre, je me suis régalée sur l'écoute de la voix.

Mais que dire de l'histoire.

J'ai eu un peu de mal au début car l'autrice divise son histoire sur plusieurs personnages et surtout deux femmes, Annabelle et Valérie. le problème, c'est que dans un même chapitre elle passe de l'une à l'autre sans le signaler au préalable.

Après, l'histoire est assez addictive. Je me serai un peu passer de l'histoire un peu romancée et je me suis même posée la question de savoir si c'était Harlequin qui l'avait édité, mais rien de trop long sur l'ensemble.



Annabelle est retrouvée dans son appartement défigurée et entre la vie et la mort. Un homme est mort à côté d'elle. Ses chats sont également morts. Une étrange phrase est notée sur le mur.

Valérie vient de quitter son mari qui l'a trompée dans leur propre chambre. Cette chambre à coucher qu'elle a donné à un organisme et qu'Annabelle s'est offerte.

L'inspecteur Hamelin et sa coéquipière Joëlle mène l'enquête sur Annabelle et très vite, ils vont arrêter une personne.



Tabarouette, j 'ai été très surprise par la chute. Il est bien certain que jamais je n'aurai pu trouver le coupable.

Les dernières phrases amènent à une suite puisqu'il y a 3 tomes en tout.

Je ne sais pas encore si je les lirai. D'un autre côté, comme le tome 2 est déjà dans ma PAL ... je me laisserai peut-être tenter par cet accent qui m'enchante tant.

Troisième et dernier tome de la série que je fais en version audio pour faire plusieurs choses à la fois.



On inverse et on passe plus de chapitres sur Joëlle que sur le personnage de Valérie.

On reste dans le glauque et on en découvre encore d'autres, plus terribles alors même que l'autrice avait mis la dose sur le second tome.

Comme pour les deux premiers tomes, c'est la lectrice qui a su me tenir en haleine tout le long, malgré tout, grâce à son accent et sa manière de changer sa voix pour interpréter les différents personnages.



Moi qui trouvais qu'il y avait de la romance sur le premier tome, je cherche dans ce dernier tome qui reste encore en couple 😅 et en vie ! Mais il y a quand même un rebondissement sur deux des personnages.



Au final, c'est une histoire très tordue que l'autrice a écrit en trois étapes. Sans vraiment de suspense puisqu'à chaque fois, l'autrice nous donne l'info et développe ensuite son histoire.

Je ne me suis pas attachée aux personnages car leurs histoires personnelles et professionnelles sont bien trop compliquées.

Finalement, il n'y en a aucun qui a une vie "normale".

C'est dépaysant, c'est certain et si c'est ce que vous cherchez, vous pouvez vous pencher sur le premier tome et tabarouette, vous pourrez venir me donner votre avis.

Second tome de la série que je fais en version audio pour faire plusieurs choses à la fois, c'est tellement pratique.



On reste sur le personnage de Valérie mais Joëlle prend bien plus d'importance dans ce tome.

C'est beaucoup plus glauque que le premier tome et c'est, je pense, le fait que la lectrice a une lecture de l'ensemble très agréable qui rend cette histoire addictive.

Dans le premier tome, on savait que c'était le livreur de meuble le responsable, et en début de ce second tome, l'autrice fait comme si nous n'étions pas au courant, nous lecteurs !



Tout ne tient pas toujours la route et l'équipe d'enquêteurs passe pour des nazes.

Certaines parties me donnent envie de vomir ou de secouer certains personnages mais il n'en reste pas moins que j'aimerai savoir comment l'autrice va faire terminer son histoire.

Sur ce tome, on est loin de la romance que j'ai ressenti sur le premier tome. Les cadavres s'entassent à une rapidité telle que même le médecin légiste jette l'éponge !

Le problème de passage d'un personnage à l'autre dans le même chapitre reste toujours sur ce tome également. Il vaut mieux rester attentif sous peine de s'y perdre !



Comme je suis beaucoup sur l'audio en ce moment, le troisième et dernier tome ne devrait finalement pas tarder.

Il était une fois… non, non. Il était… sept fois, sept auteurs qui ont écrit sept nouvelles basées sur sept histoires vraies. Sérieusement, j’en ai eu des frissons dans le dos!



C’est lors du dernier Salon du livre clandestin que je me suis procurée ce bouquin à l’entrée. J’étais curieuse et puisque j’aime bien encourager les auteurs de mon petit coin de pays, je n’ai pas hésité longtemps avant de l’acheter.



Et puis, je savais que j’allais sortir de ma zone de confort en lisant ce livre et je peux vous confirmer que ce fut effectivement le cas. Certaines nouvelles m’ont laissé voir une telle noirceur de l’être humain que ça fait peur. J’ai de la difficulté à imaginer que de tels événements ont eu lieu. J’ai bien aimé retrouver à la fin de chaque nouvelle, les liens et les preuves que les événements ont bien eu lieu.



Malgré le côté sombre et glauque de ce recueil, je dois saluer le talent des auteurs pour avoir su mettre ces événements véridiques sous un angle aussi réalistes et qui m’a permis de ressentir une panoplie d’émotions. J’écris cette chronique et je revois dans ma tête toutes les images qui me sont venus en lisant le bouquin.



Je suis bien heureuse d’être sortie de ma zone de confort. J’ai découvert des auteurs de talent et qui m’ont donné le goût d’aller voir ce qu’ils ont écrit en dehors de ce recueil. Voilà une des raisons pour lesquelles j’adore lire des recueils de nouvelles. On y découvre toujours de jolies pépites d’or!


Lien : http://alapagedesuzie.blogsp..

Déjà j’aime beaucoup la couverture de ce roman.

ci pas de suspense car on devine assez rapidement ou l’on met les pieds mais par contre on ne sait pas jusqu’à ou… La construction est assez interessante car nous sommes sur une narration multiple qui nous fait basculer du point de vue d’un suspect, à celui de différents policiers en passant même par celui d’un chien … C’est ainsi que l’on détricote l’histoire de ce roman, et c’est cela qui m’a fait fait beaucoup apprécié cette lecture.



J’ai pu découvrir ce livre dans le cadre de la deuxième édition de la masse critique Québec, pour laquelle je remercie Babelio et la maison d’édition Perce Neige.

Je me léchais déjà les babines en contemplant cette mare de sang sur la couverture… tout cela pour qu’au final, Annabelle, premier tome de la trilogie « Pour toi mon amour pour toujours » ne s’avère être qu’une histoire plan-plan d’adultère. Bon, peut-être aurais-je dû tiquer sur le nom de la série, mais tout de même.

Entre une héroïne affreusement lente à la détente (ce qui amène à des confrontations délicieusement inutiles avec son papounet protecteur), des flics sans aucun tact pas intéressé pour un sou par cette histoire de faux (rallongeant là aussi inutilement l’intrigue) et un méchant caricatural à souhait, que reste-t-il à sauver ?

On retrouve dans ce Annabelle toutes les ficelles d’une télénovela, le grand final étant un feu d’artifice du genre avec bien de nombreuses (mal)chanceuses coïncidences. C’était bien la première fois que j’avais envie d’abandonner un roman si près du but, tant les fameuses révélations ne faisaient aucun sens.

Modus operandiSusan Paynetous les livres sur Babelio.com



Thomas Gallant est un auteur à succès de romans policiers. Il a publié son premier roman un an après la mort tragique de sa femme Josée. L’écriture du roman a été un exutoire. L’absence de Josée demeure cruelle. Suivant les recommandations de son seul ami Olivier Foucault, il vend ses biens, aménage une vieille caravane et part avec Olivier et le manuscrit de son troisième roman.

L’assassinat de Josée n’a jamais été élucidé. L’unité spéciale des crimes Majeurs(USCM) a mis le dossier de côté mais,une nouvelle recrue, Patrick Bélanger,s’y replonge. L’USCM est sollicité pour de nouveaux crimes et des liens se font avec le meurtre de la femme de Thomas Gallant.



Le livre suit en parallèle le périple de Thomas Gallant, l’écriture de son troisième roman et les investigations de l’USCM. Tout s’entrecroise plus ou moins savamment jusqu’au dénouement final qui malheureusement, m’est apparu probable dès les pages 60….

L’écriture est fluide mais la psychologie des personnages inégale. Certains sont bien ancrés et étoffés (Ex: Jean-Remi Dubois) tandis que d’autres sont clichés et unidimensionnels ( ex: Patrick Bélanger).

Les enchaînements de certaines actions sont malhabiles et semblent avoir été provoqué pour faciliter le dénouement (ex: retour dans l’équipe de Joelle).



Ayant eu très tôt des indices sur le dénouement, ma lecture s’est passée a considérer les événements en tant que confirmation ou infirmation de mon hypothèse. Étant donné que c’est plutôt rare que je devine la fin si tôt dans ma lecture celle-ci a été particulière mais néanmoins pas sans intérêt même si le fait d’avoir compris si tôt le noyau du final m’a un peu déçu .



Je remercie Masse Critique et les éditions Perce-neige pour ce moment de lecture et la découverte de cette auteur canadienne: Suzan Payne.

Comme avoué dans le chapitre final de la trilogie, le calvaire de Valérie aurait pu être écourté si Joëlle avait accepté une vérité grosse comme le Mont-Blanc, et cela dès le tome 2.

À la place, « Pour toi mon amour pour toujours » se voit ici étiré d’un troisième et dernier tome, ne relaçant malheureusement pas mon intérêt. C’est dommage, parce que ce tome 2, en dépit de ses défauts, tenait quelque chose. À la place, voilà que nous retombons dans les travers de la télénovela (dont je faisais déjà mention dans le tome 1), avec, pour toute conclusion après ces trois romans, une révélation sur la sexualité d’un personnage secondaire. Une révélation apportant d’ailleurs une stupéfaction pas très alliée de la part de Joëlle, à base de « Eh bien, on n’aurait pas dit ! », avant de tenter de se rattraper en utilisant cette personne comme token. Soupir. Je ne doute pas de la bonne intention de l’auteure, mais l’exécution a de quoi mettre mal à l’aise.

Une bien drôle de manière de conclure cette série, mais qui est toutefois bien à l’image également de son sens du suspense. Tout cela pour cela.

Je me répète, mais je crois du fond du cœur que le final aurait eu plus de force si les tomes 2 et 3 avaient été raccourcis en un seul roman.

On reprend là où l’on s’était arrêté dans Annabelle.

Côté pile, si le duo de policiers manque de subtilité, il est néanmoins intéressant de suivre leur travail d’enquête, même si, une fois encore, je trouve peu satisfaisant la manière dont ils s’expriment face aux journalistes, ou aux suspects.

Côté face, l’enlèvement et la captivité de Valérie offrent cette fois une expérience plus excitante pour le lecteur, avec une menace palpable. Une véritable course contre la montre, qui fait à mes yeux de Valérie le roman le plus réussi de la trilogie. Malheureusement, ce tome n’est, une fois encore, pas exempt de nombreux défauts.

Je trouve ainsi dommage que la psychologie du ravisseur de Valérie soit si limitée. Il est fou, et puis voilà. D’où son infinie méchanceté. Voilà, voilà.

Pareil, quelques grosses ficelles sont toujours présentes, comme ce fameux compte en banque secret. Celui-ci amènera à une scène grotesque (à mon sens) à la suite de laquelle je n’explique pas la raison pour laquelle les policiers n’examinent pas les caméras de la ville.

Bref, le scénario n’est malheureusement pas toujours des plus solides, mais une forme de tension est enfin présente.

J'ai beaucoup apprécié cette lecture. Une fois la dynamique et les différents personnages découverts, je me suis prise dans cette intrigue bien ficelée sans savoir qui était le coupable.

Les révélations sont surprenantes et l'action justement dosée.

La fin donne envie de se plonger rapidement dans le second tome, ce que je compte bien faire !



Ce n'est pas un coup de cœur mais je vous recommande cette lecture si vous êtes adaptes du genre !

J'avais hâte de me plonger dans la suite de "Annabelle" qui s'était terminée sur un cliffhanger et je n'ai pas été déçue ! Pour moi, c'est dans ce tome que toutes les révélations se passent et c'est un véritable page turner je n'ai pas réussi à le lâcher sur les dernières actions !



On en apprend bien sûr davantage sur les différents protagonistes et les relations entre eux.

Comparé au premier tome dont les révélations sont inattendues, on devine rapidement qui est l'auteur des crimes mais attendons de connaître le déroulement de l'intrigue avec impatience, notamment la réaction de certains personnages en particulier.



La fin de ce tome se termine de manière à vouloir tout de suite se plonger dans le dernier de la série afin d'en connaître le dénouement, ce que j'ai tout naturellement fait !



J'ai donc hâte de continuer ma lecture de cette trilogie addictive pour avoir le fin mot de l'histoire !

Cet épisode clôture cette saga thriller que j'ai particulièrement apprécié.



Bien que dans ce tome, la plupart des révélations soient déjà faites auprès du lecteur, il n'en est pas de même au sein des personnages et le dénouement de l'intrigue a été bien mené.



J'ai eu beaucoup d'empathie et d'admiration pour la résilience des personnages féminins victimes.



La fin m'a relativement bien convaincu et je n'ai pas eu le sentiment que la série s'essoufflait.



De ce fait, je vous la conseille si vous n'avez pas eu l'occasion de la découvrir .

Je ne sais pas pourquoi je suis allée au bout. Je pense que si ça n'avait pas été un audiobook et que je ne l'avais pas essayé lors d'une nuit blanche où j'essayais en vain de m'endormir, j'aurais abandonné.



Une majorité des éléments du livre m'ont simplement semblé ridicules.



J'ai détesté les personnages. 99 % des hommes sont exécrables, en dehors d'Alexandre (je crois que c'est son nom.) qui a la personnalité du protagoniste cliché d'une très mauvaise romance. Enfin, personnalité, c'est un bien grand mot. Les femmes sont insupportables aussi et ça me fait encore plus mal, lorsque c'est une autrice qui écrit de tels personnages féminins. Valérie m'a énervé une bonne partie du roman et au lieu de m'attacher à elle au fil des pages, je la supportais de moins en moins.



Les relations femmes/hommes m'ont tout autant filé de l'urticaire, mais vu les personnages ce n'est pas étonnant.



L'intrigue m'a donné l'impression qu'on avait piqué des éléments à une telenovela, dans l'espoir que ça donnerait l'illusion que l'histoire est complexe alors que ça ajoute au ridicule de l'ensemble.



Je ne suis pas contre les coïncidences et les connexions un peu trop faciles, mais là, c'était beaucoup, associé à tout le reste.



On devine quasiment tout très vite (dès le début pour pas mal de choses), non pas, car les indices nous y amènent, mais parce que c'est là, dès le départ, en gros sous nos yeux avec une pancarte au cas où et des flèches clignotantes. Zéro subtilité.



Puis le "méchant" de l'histoire, c'est une blague ? Si je n'avais pas été aussi agacé, j'aurais ri, c'était un peu la cerise sur le gâteau raté. Plus caricatural et ridicule, ça aurait été impossible, je pense.



J'ai l'impression que l'auteur avait plus envie d'écrire une romance entre un "gentil mâle fort" qui sait cuisiner et une "pauvre héritière" fâchée avec ses vilains parents, qu'une enquête, mais dans tous les cas, pour moi, c'est un échec.

Terminer « Il était…7x ». D’excellentes petites histoires, reliées à de terrifiants faits vécus 😱. CEs histoires, de style très variées, nous font passer par toute une gamme d’émotions! J’ai vraiment aimé ma lecture, et aussi d’explorer les liens vers les informations réelles! Merci aux auteurs pour ce livre!

Bien entendu j'ai lu ce livre sans même voir que c'était le Tome 1 !

Je ne suis pas vraiment fan des séries à Tome mais bon pour le coup... trop tard !



Toutefois super écriture, super intrigue, parfois on s'y perds un peu, mais l'histoire est bonne !