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Critiques de Svetlana Kirilina (49)
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

Aujourd'hui, je vais vous parler du dernier roman auto-édité de l'auteur Svetlana Kirilina : Comment j'ai tué sept personnes avec une agrafeuse, qu'elle m'a généreusement confiée pour que je le lise en avant-première.





Alors de quoi parle ce nouveau roman ? Eh bien, il est question d'un commissariat dans un monde légèrement (ou complètement) barré où un individu décide de venir avouer un terrible crime, qui va entraîner de très nombreuses discussions. A-t-il vraiment tué sept personnes avec une agrafeuse ? Est-il seulement fou ? Est-ce que le détective aime vraiment faire de la dentelle ? La légiste finira-t-elle par succomber au charme de la collection d'un individu bien mystérieux ? Refuser des cookies d'un inconnu, est-ce vraiment possible ?





Autant le dire tout de suite Comment j'ai tué sept personnes avec une agrafeuse est dans la lignée de son précédent ouvrage Quand la Mousse Pousse. Les personnages ne sont pas totalement nets, ils ont des idées étranges, des collections qui le sont tout autant et certains sont légèrement stupides. Personnellement, j'ai beaucoup aimé la légiste et le technicien de surface. D'ailleurs, le tout est en full dialogue. Il n'y a donc pas de descriptions, mais un enchaînement de discussions où le sujet finit toujours par dévier, où l'on raconte plus de rien que de tout et où certaines passages ne manquent pas de faire sourire.





Mon seul regret, c'est le retournement final. Je m'attendais à quelque chose de nettement plus barré, plus surprenant mais au final, ce n'est pas le cas. . J'espérais aussi une autre chute pour la légiste, mais ça c'était mon petit cœur de shippeuse. Au final, j'ai quand même passé un bon moment avec Comment j'ai tué sept personnes avec une agrafeuse, mais je lui préfère Quand la Mousse Pousse dont les dialogues sont plus mémorables et l'univers nettement plus barré. Cela ne m'empêche pas de vous conseiller le dernier né de Svetlana Kirilina tout en suggérant de jeter un œil à la Mousse par la même occasion !
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

Des fois, le destin nous dépose sur notre chemin de ces romans étranges. Tellement étrange, que nous avons l’impression d’être dans un rêve. Tellement bizarre, qu’il est difficile de s’en faire une opinion. Il y a longtemps que je n’avais pas lu un roman qui se qualifie pour être déclaré comme étant un OVNI de la littérature. On ne sait pas d’où il vient, où il va, mais nous savons qu’il est là et qu’il existe. Ce qui est bien selon moi avec ce genre de roman, c’est qu’il nous amène complètement dans des univers déjantés. Même si nous n’avons pas particulièrement accroché à ce dernier, je dirais qu’il est difficile de ne pas en ressortir avec une sensation d’avoir passé un bon moment de lecture. «Comment j’ai tué sept personnes avec une agrafeuse» fait sans aucun doute parti de cette catégorie.



L’auteure Svetlana Kirilina, nous transporte dans un drôle d’univers, et ce, à tous les niveaux. De par son étrangeté, mais également par l’humour qu’elle a octroyé à ses divers personnages complètement éclatés. Entre un «meurtrier» pas toujours facile à suivre, un enquêteur qui n'est pas très aimé par ses confrères de travail, un stagiaire pas vite vite et un concierge obsédé par le sang, on finit par se demander si nous ne sommes pas atterrie dans une parodie de Beetlejuce.



Chose certaine, on sourit tout au long de notre lecture et l’on passe assurément du bon temps ! L’humour est plus qu’au rendez-vous même si l’histoire peut nous paraître décousue par moment tellement les personnages sont confus en apparence. Dès le départ, nous rentrons dans le vif du sujet avec ledit meurtrier qui se rend tout simplement au commissariat pour être arrêté. Il s’en suivra d’étranges rencontres ainsi que des conversations que je qualifierais des plus « weird ».



Bref, malgré son étrangeté, je vous le recommande, car on finit par aimer le style de l’auteure. On referme le tout et on se dit : «Et bien… Drôle de lecture» avec la bonne humeur et le sourire en coin. Avec un titre aussi rigolo et qui pique autant notre curiosité, comment pourrait-il en être autrement ?
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

_ T’es bien assis ?



_ Quoi ?



_ Je te demande si tu es bien assis ?



_ Ah je croyais que tu me demandais mon nom !



_ Non, pourquoi, c’est quoi ton nom ?



_ Huguetin Bienassis !



_ …



_ Oui et je suis le héro de l’histoire que tu viens de lire, tu ne te rappelles plus ?



_ Si bien sur, comment oublier un personnage pareil, un nom pareil, une situation pareille ?! Drôle de livre d’ailleurs.



_ Ah bon ? comment ça drôle de livre ?



_ Et bien, j’ai d’abord été déroutée par la construction : il y a bien une histoire, mais elle n’est pas raconté par un narrateur, ce sont uniquement des dialogues. J’ai fais la rencontre d’un Objet à Lire Non Identifié !



_ Des dialogues ?



_ Oui, pas de « il était une fois, un elfe qui allait danser le jerk dans la fôret etc.. ». Non, des chapitres courts, et je suivais les conversations entre un tueur, enfin toi, et les diverses personnes qui animent le commissariat. Sincèrement, je me suis vraiment demandé où cela allait me mener.



_ Et ensuite ?! l’histoire est chouette non ?!



_ Ensuite.. la couverture aurait du me mettre la puce à l’oreille car je m’attendais un polar, un thriller : tu as tué 7 personnes avec une agrafeuse, la scène de crime est sanglante : je m’attendais à du lourd et du terrifiant. Au lieu de ça…



_ Au lieu de ça quoi ?



_ Je tombe sur des personnages loufoques et perchés, dans un village au pays des nuages, Jauneprairie, des conversation parfois absurdes qui finissent toujours par dévier du sujet initial. Drôle de surprise, mais c’est agréable.



_ C’est vrai ? cool, Et sinon, mpi tu m’as trouvé comment, j’ai assuré hein ? et mes potes protagonistes, sont sympas aussi non ?!



_ Ben euh.. sincèrement les gars, plus déjantés, y a pas ! Toi Huguetin, t’es quand même un brin bavard, tu parles, tu parles, et quelquefois pour ne rien dire ! Parce que c’est bien beau mais entre les histoires d’araignées à 8 pattes, les recettes de cookies, les plantes vertes en guise de porte-manteaux et les histoires de bouteille, j’aimerais bien savoir ce qui t’es passé par la tête pour avoir massacrer ces 7 personnes ? Et ce pauvre détective, un peu perdu lui aussi, qui ne suit rien de la conversation et s’en va dans des contrées lointaines, se déstresser avec de la dentelle au fuseau.. C’est d’un sérieux déconcertant !



_ Tu trouves que Svetlana Kirilina a fait du bon boulot ?



_ Je ne connaissais pas du tout l’auteur, je découvre donc un style très surprenant, toujours actif, pas de temps morts. En fait j’avais l’impression que vous parliez tous en même temps, sans arrêts, que vous étiez tous dans ma tête. J’étais essoufflée du cerveau ! Le final est dans la même lignée, égal au reste du livre : décalé.



_ Mais alors son livre, si n’est fait que de dialogues, t’es sure que c’est pas le script d’une pièce de théâtre ?



_ Et bien écoutes, pendant toute ma lecture, c’est ce que je me suis dis : ayant fait du théâtre dans mon adolescence, c’est parfaitement adapté à une pièce déjantée, burlesque et hilarante. Franchement !



_ Donc tu as aimé ou pas ? je comprends plus..



_ Difficile à dire, pour moi il y a deux livres : j’ai été bousculée avec ces dialogues interminables, bien que déjantés et quelquefois ridicules. Mais comme je fonctionne au feeling, j’ai pendant toute ma lecture imaginé ce texte sur un plancher.. Les personnages méritent de vivre hors des pages, car ce livre est vivant, il est écrit pour être joué. Autant il m’a paru long et « plat » à lire, autant il serait Excellent au théâtre !



_ Ok merci de ton avis, je retourne à mon agrafeuse, j’ai du nettoyage à faire. Salut Félicie !



_ Bye Huguetin Bienassis ! n’oublies pas ta plante verte..
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

J'ai découvert ce livre sur SimPlement et j'ai d'abord été attirée par sa couverture gentillette et douce. Puis j'ai été intriguée par le titre, parce que potentiellement loufoque, et la notion de meurtre ne cadrait pas avec ladite couverture. Après lecture, je peux dire que les deux sont en parfaite adéquation ! :D



Avant de m'attaquer à la chronique, je voudrais tout d'abord ne pas oublier de remercier Sveltana Kirilina qui a gentiment accepté ma demande de SP.



Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre avec ce livre, et je dois dire que je suis partie loin, très loin de ma zone de confort (qui est plutôt centrée autour des thrillers et de l'horreur) !

Avez-vous déjà lu La cantatrice chauve de Eugène Ionesco (que j'avais détesté) ou En attendant Godot de Samuel Beckett (que j'avais adoré parce que j'avais assisté aux répétitions et à la pièce de théâtre avec l'école) ?

Si oui, vous commencez à comprendre de quoi je veux parler, les didascalies en moins.



Ici, nous avons du dialogue. Uniquement du dialogue. J'ai été surprise par ce style, mais il ne m'a pas déplu pour autant. C'est différent de ce que je lis d'habitude, mais vraiment pas désagréable de temps en temps. Ce qui fait aussi que ça se lit très vite et comme le livre est court (132 pages en ebook et 160 en broché), il se lit encore plus vite.



Idéal entre deux gros pavés bien noirs. ;-)



Quant au contenu des dialogues (qui finissent toujours inévitablement par dévier du sujet principal, ce qui est normal pour du burlesque :p ), on touche le policier et l'humour, le suspense et l'absurde, une histoire de meurtres et d'arcs-en-ciel.

Un homme rentre dans un commissariat à Jauneprairie pour avouer le meurtre de sept personnes... avec une agrafeuse. Mais il est tellement bizarre, est-ce vraiment lui le coupable ?

De là, nous allons côtoyer un détective blasé addict de dentelle, une médecin légiste reconvertie accro aux cookies, un agent secret qui collectionne les araignées séchées, une rougette, un portemanteau, des arcs-en-ciel, une agrafeuse (bien entendu !)...

L'univers imaginé par l'auteure est complètement loufoque et donne lieu à des dialogues complètement barrés, déjantés, décalés (enfin vous aurez compris l'idée) dont certains m'ont fait sourire.



Concernant la fin, sans vous en dire trop, je la trouve parfaitement en accord avec l'ensemble de ce livre et je ne la voudrais pas autrement.



En résumé, c'est un petit livre qui me restera en mémoire de part son côté atypique, même si je n'ai pas été transportée. Ne vous fiez pas à ma note comme référence, car c'est vraiment un ressenti tout à fait personnel pour un style littéraire qui n'est pas fait pour moi. Cela n'enlève absolument rien à la qualité du livre ni à celle de la plume maîtrisée de l'auteure et je suis certaine que les fans du genre sauront se régaler entre ses pages.
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

J'ai reçu ce livre en cadeau pour mon anniversaire et il m'intriguait : la couverture comporte un bel arc-en-ciel avec des nuages suspendus pour le titre, ce qui contraste avec le meurtre de 7 personnes dont il est question dans ce livre !

Chaque chapitre a un titre, ce qui est original mais permet de comprendre où on va. Car… il n'y a QUE des dialogues : absolument pas de description ou de texte, hormis des dialogues. Du coup, ça va vite, très vite. J'aime beaucoup en principe les dialogues, je trouve que ça fait avancer l'histoire, mais là on passe directement en avance très très très rapide. J'ai eu l'impression que parfois ça partait dans tous les sens (car on ne sait pas qui parle à qui en fait, ce qu'on comprend par contre grâce aux textes, mais des fois seulement à la fin du chapitre).

Voilà pour le contenant, passons au contenu !

On découvre petit à petit qu'on se trouve dans un monde semblable au nôtre mais un peu différent. On y rencontre la population hétéroclite d'un commissariat : du détective à la légiste en passant par le stagiaire de la réception et la personne chargée du nettoyage. Les personnages sont tous un peu givrés et on les découvre pages après pages avec plaisir. Chaque discussion dévie inévitablement de son origine. L'histoire est bien menée car on veut savoir pourquoi il l'a fait et surtout avoir le fin mot de l'histoire, qui finalement va se révéler au lecteur et sera riche en rebondissement !

C'est une lecture un peu en demi-teinte pour moi : j'ai bien aimé le rythme et le côté un peu loufoque de la situation et de l'histoire, mais la construction du récit (dialogues) m'a un peu bloquée car il m'a parfois fallu un peu de temps pour me mettre dans le chapitre, car les protagonistes changent à chaque chapitre. Je regrette aussi quelques petites coquilles dans le texte.

Je suis rentrée, ou plutôt j'ai fait un agréable premier pas dans l'univers de Svetlana Kirilina mais pour m'y plonger vraiment et me faire un avis plus tranché sur cet auteur, je vais peut-être avoir besoin d'en lire d'elle (si j'en trouve par ici…)
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

Naviguant dans un style oscillant entre le policier et l’absurde, je prendrais ce roman comme une petite sucrerie, car même si ce n’est pas un roman qui restera dans mes favoris, je pense que l’auteure a juste voulue que ses lecteurs passent un bon moment, quel dommage que ce soit si court !
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

Huguetin Bienassis se rend à la police pour confesser avoir tué 7 de ses collègues de la fabrique d'Arc en ciel avec une agrafeuse.



Rien que ce petit résumé plante le décor de ce livre complètement loufoque.

Le récit est sous forme de dialogue, un peu comme une pièce de théâtre, mais sans les noms des personnages.

Toute l'action du livre se passe dans le commissariat où M. Bienassis a décidé de se rendre pour alléger sa conscience. Car 7 meurtres, ce n'est pas rien. Mais il se trouve que M. Bienassis est un fieffé bavard et son interrogatoire vire à l'absurde.

Petit livre rapide à lire, qui m'a bien fait sourire.
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

Que dire de ce livre ? Déjà, c'est un OVNI littéraire qu'il faut absolument avoir lu ! Pourquoi OVNI ? Mais parce que l'on trouve rarement des livres uniquement composés de dialogues, et qui plus est bien écrits et très TRES drôles !

Alors, voilà, attaquons par le point principal : Les dialogues. La base de ce livre, entre différents personnages que l'on apprend à connaître à travers des discussions déjantées, décalées, et délicieusement tordantes.

Les personnages, justement. Ils sont amusants, attachants, et ont tous des petites particularités qui m'ont fait mourir de rire. Particulièrement concernant de la dentelle et un porte-manteau qui n'en est pas un... lisez, vous comprendrez !

L'intrigue est bien trouvée et très originale. C'est une oeuvre créative, où l'on rit du début à la fin, et où l'on a cette joie certaine de découvrir quel personnage a fait quoi, parle avec qui, a quel hobbies...

Pour résumer, ce livre est vraiment très original, très drôle et très bien écrit. Je le conseille vivement !
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Comment j'ai tué sept personnes avec une agra..

Monsieur Bienassis a un problème de conscience. Il va donc au commissariat pour se rendre. Il avoue avoir assassiné sept personnes avec une agrafeuse. Tout devrait rouler sur des roulettes pour le détective en charge de prendre son témoignage, car Monsieur Bienassis est très bavard, il souhaite raconter son histoire. Le problème c’est que Monsieur Bienassis est peut être trop bavard, et le détective pas très patient, cet interrogatoire ne va donc pas se passer tout à fait comme on pourrait l’imaginer.



La particularité de ce roman est qu’il uniquement composé de dialogue. Des dialogues complètement loufoques qui vont vous faire découvrir des personnages pas très nets dans un univers totalement déluré. Ainsi au cours des dialogues nous pouvons apprendre, entre autre, que des personnes travaillent à faire des arc-en-ciel (bah oui, il n’arrive pas tout seul comme par magie). Et parmi les personnages, je ne sais pas ce qui doit faire le plus peur : que nous avons potentiellement un tueur qui aime utiliser les agrafeuse ; que l’agent d’accueil du commissariat semble avoir un problème de bouteille ; que le médecin légiste semble avoir des cases en moins ; ou que le détective a une folle passion pour la dentelle…



Vous l’aurez peut-être compris, mais les conversations de nos personnages ne vont pas seulement se concentrer sur les aveux du tueur à l’agrafeuse. Dès qu’une conversation commence, elle finit toujours pas dévier, nous laissant perplexe devant ces personnages compléments dingues. Pourtant nous ne pouvons oublier ce qui a motivé la venue de Monsieur Bienassis, nous souhaitons savoir comment il a fait pour tué sept personnes à l’agrafeuse.



Je me suis régalée avec ces dialogues complètement barrées. Je suis juste un peu déçue de la conclusion, je m’imaginais quelques choses de plus loufoques… N’empêche que si vous souhaitez passer un bon moment burlesque, je vous recommande ce roman.
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Derrière le désert

Aujourd’hui, je vous propose d’explorer les plaines arides avec le dernier né de Svetlana Kirilina, qui me l’a gentiment confié.





Ai-je aimé ? Oui. Dans cette histoire, la question est simple : qu’est-ce qu’il y a derrière le désert ? Cette question hante pas mal d’habitants, qui vivent dans des villages où le marron domine, où le vert est désespérément absent. Ces habitants décident souvent d’aller jeter un œil au désert, de tenter de marcher dans l’espoir de découvrir le bout de ces dunes et d’y contempler un véritable jardin d’Eden. Personne ne sait s’ils l’ont déniché. Personne ne les a jamais vus revenir. Alors certains pensent qu’ils sont morts tandis que d’autres imaginent qu’ils ont trouvé leur paradis sur cette planète.





Du coup, on se retrouve à suivre plusieurs personnages. D’un côté, il y en a qui marche dans le désert. De l’autre, on fait la connaissance de Mara, une jeune fille qui voudrait s'en aller, mais qui hésite à cause de ses proches. Avec elle, on découvre l’appel du désert tandis que chez notre voyageur, il y a l’espoir, mais pas forcément celui auquel on croit. En une centaine de pages, Svetlana nous raconte l’histoire de ces personnages dont l’existence morne et difficile les pousse à rêver d’un autre lieu où la vie serait meilleure. Il est question d’espoir, ou peut-être de désespoir quand on voit l’appel ronger certains. Ce n’est pas joyeux, mais c’est bien écrit. C’est une belle histoire empreinte de poésie où il faudra faire attention à chaque mot pour en saisir la fin.





Après tout n’est pas parfait dans ce livre, mais l’auteur a prévu d’arranger cela. Oui, quelques coquilles sont à prévoir au sein de ce texte, mais quel livre n’en possède pas ? Oui, parce que j’ai de très jolis livres de maison d’édition, de très belles éditions qu’une coquille ou deux vient briser joyeusement. C’est le seul bémol que j’ai trouvé à cette histoire. Le seul.





Donc si vous voulez une histoire empreinte de poésie, une histoire où l’espoir et le désespoir sont étroitement liés, Derrière le désert devrait pouvoir vous combler.
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Derrière le désert

Cette terre est à l’agonie, le sable et la sécheresse recouvre le monde connu, le désert se posant en frontière infranchissable… Quelques courageux tentent l’aventure afin de découvrir si une vie luxuriante se cache aux yeux des hommes. Aucun ne revient.



Pourtant les ressources n’ont pas manqué avant cette lente décrépitude, verdure, eau, oiseaux, villes blanches, pétulance recouvraient la croute terrestre.



Svetlana Kirilina concentre son récit sur un village en particulier, à la bordure de cet horizon infini et sablé. Y vivent Mara, son frère Ned et sa grand-mère Becka.



La structure narrative est particulière et amène un plus à cette histoire. Chaque chapitre débute par un très court dialogue avec la question sans cesse renouvelée : « Qu’est-ce qu’il y a derrière le désert?« . Ce point d’entrée donne le ton, une introduction à la litanie lancinante du récit.



S’ensuivent deux trament l’une au présent de l’indicatif, l’autre au passé.



Suite de ma critique sur mon blog
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Derrière le désert

Il m'est très difficile de catégoriser ce roman qui est plus proche de la nouvelle. J'avais besoin de m'évader, de voyager dans un monde inconnu. Je l'ai lu assez rapidement et je le recommande à tous les curieux de dystopie sans effet de style alambiqué. Je remercie Svetlana qui m'a permis de découvrir son univers et qui, en en plus d'écrire s'adonne au dessin.

Si vous rechercher de l'action, passez votre chemin. Derrière le désert est un récit immersif, calme, dénué de violence, assez nostalgique. J'avoue être restée un peu sur ma faim quant au dénouement du récit. J'aurais voulu en savoir un peu plus, que l'auteure nous donne un peu plus d'éléments, s'attarde un peu plus longuement sur le dénouement. Nous en donne davantage sur le mystère de ce désert qui occupe la place centrale de ce récit et de ces fameuses chimères.
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Derrière le désert

Ce livre est une vraie perle de l'auto-édition, et pour moi est une très bonne définition de ce qu'on peux y trouver : des ovni, des histoires qui ne ressemblent à aucune autre, et qui, ne rentrant pas dans les carcans classiques de l'édition, s'y font mettre sur le banc de touche. Sans l'auto-édition, on ne pourrait sûrement jamais lire ce genre de perles. Alors, franchement, lisez ce livre. Vous soutenez une excellente auteure et vous aurez le genre d'histoire qu'il manque sûrement à votre bibliothèque. Un livre poétique, onirique, et qui ne demande que votre regard. Un coup de cœur.
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Derrière le désert

Une histoire douce-amère sur l'obsession et la nostalgie. On finit par le connaître, ce désert, et quand on referme le livre il fait un peu partie de nous aussi. Les personnages nous entraînent dans leur quête entêtante, guidés par un espoir qui malgré tout refuse de mourir, jusqu'à une fin surprenante. A lire au coin du feu un soir d'automne.
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La septième face, tome 1

Machin Schauze vit sur le Cube, lieu où la faune et la flore sont bien différentes que sur notre Terre. Des plantes capricieuses, des criquets à dents de sabre et des grenouilles avec une aura mystique. Cet univers original et très visuel m'a tout de suite plu, j'avais envie de m'y rendre et de découvrir toutes ces belles plantes vénéneuses capables de vous tuer avec leur poison et leurs crocs.



À la mort de son oncle, Machin Schauze se voit attribuer une dernière requête, qui est la plus grande aventure jamais achevée par le défunt : trouver la septième face du Cube, une légende dont personne n'a réussi à prouver son existence. Sans aucune envie de débuter cette quête, notre personnage maladroit et grognon va être accompagné du Crapaud, un fanatique des plantes. Les deux hommes ne vont cesser de se chamailler, et cette relation est bien une des choses que j'ai préféré avec l'univers. Seuls, ils pourraient se montrer parfois agaçants, mais ensemble, ils se complètent parfaitement et nous amusent par leurs pics et remarques respectifs. Lors de cette quête, de nouveaux personnages vont faire leur apparition et vont se montrer très amusants notamment Crézette.



Ce parcours entre les différentes faces du Cube se montre très intéressant et drôle. Absurde, voire même burlesque à certains moments, vous ne pourrez pas rester de marbre face à ces personnages loin d'être parfaits et/mais attendrissants et à cette aventure haute en couleurs. J'ai une grande envie de lire à sa sortie le deuxième tome et d'en découvrir davantage sur les six (sept ?) faces du Cube, sur la grande Coasseuse, déesse de cet univers, et sur les personnages. Certains moment et caractéristiques m'ont fait penser à La Passe-miroir de Christelle Dabos, ce qui n'a pu qu'amplifier mon plaisir à lire ce premier tome.
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La septième face, tome 1

Voici un livre d’un genre que je n’avais encore jamais essayé, et je peux d’ores et déjà vous dire que je n’ai pas du tout regretté mon voyage !



La Septième Face 1 nous embarque dans un monde totalement déjanté où le seul personnage qui possède un peu la même logique que le lecteur se retrouve propulsé dans une quête à laquelle il ne peut pas se soustraire. Machin Schauze est en effet un bien grand peureux qui va être obligé d’aller chercher un truc qui n’est pas supposé exister, sous l’ordonnance de son oncle décédé il y a peu. Au programme ? Mh, des plantes qui mordent, des sauterelles qui en font autant, et autres réjouissances tout à fait rocambolesques !



Bon, déjà, le terme de fantasy burlesque donnait le ton de l’ouvrage. Je n’en avais encore jamais lu, et ça a été un vrai plaisir que de palier à ce manque ! Les règles ne sont pas du tout les mêmes que dans notre monde, et j’avoue que je suis admirative de l’imagination que possède l’auteur ! C’est incroyable !



Nous suivons Machin Schauze tout au long de l’histoire, et le pauvre, il n’a pas fini d’en voir des vertes et des pas mûres. En fait, ce personnage, hormis son prénom peu commun et très attrayant à mes yeux, a tout de l’anti-héros : il n’est pas aventurier pour trois sous, il a peur de tout, surtout ce qui peut ressembler à un végétal, et pourtant, il se retrouve soumis par bien des choses à cette quête à laquelle il ne croit même pas. Et nous, lecteurs, nous sommes ravis et parfaitement amusés de suivre son périple.



Les personnages secondaires, eux aussi, font de l’histoire quelque chose de très agréable. Il y a Kras Poth, aussi nommé le Crapaud, avec son impassibilité et sa logique à toute épreuve (ou presque), qui fait le pendant de Machin, et là, ça devient juste génial. Il est un peu le rabat-joie et il a toujours le bon mot pour remettre notre héros à sa place.

On pourra aussi faire un clin d’œil à l’oncle qui connaît tellement bien son neveu que sa lettre posthume est juste délectable au possible : on le croirait encore vivant !



En dehors des personnages aussi atypiques que charmants, il y a la plume tout à fait adaptée : elle est à la troisième personne, mais la connivence est tout de suite de mise entre le lecteur et l’auteur. Auteur qui prend d’ailleurs un malin plaisir à torturer son personnage, je crois. Elle nous narre ses aventures avec beaucoup de dérision et c’est un énorme plus pour moi ! C’est fluide, ça se lit très vite et sans pour autant s’adresser directement à nous, on a la véritable impression que tout ceci n’est conté que pour celui qui tient le livre entre ses mains.



Au niveau de l’intrigue, je trouve que c’est très bien fait. L’univers est certes loufoque et surprenant, il n’en reste pas moins que la quête et tout ce qui tourne autour semblent remarquablement bien construits et tout se goupille parfaitement bien, ce qui fait qu’on se laisse porter sans se poser de questions ! C’est épique, tout ça, épique !



Et puis, ne parlons même pas de l’univers dans lequel tout nous fascine et est susceptible de nous effrayer aussi. Je dis bien susceptible, parce qu’à la place de Machin, j’aurais sûrement pété une durite. Toutefois, comme c’est lui qu’on suit, ça reste très drôle et on se demande quelle entourloupe va encore lui arriver. Les propres règles de cet univers sont juste extraordinaires et on sent que l’auteur a quand même buché dessus pour que ça ait un minimum de cohérence !



En conclusion, puisque je ne m’attarderai pas plus longtemps, ce premier tome est une vraie réussite. C’était la première fois que je lisais de la fantasy burlesque et j’ai sincèrement apprécié mon voyage. Machin est un personnage agréable à suite, même s’il n’a rien d’un héros : c’est ce qui fait qu’on l’aime, je crois. Ça et ses « arg » perpétuels ! La plume de l’auteur est parfaite, pleine d’humour et on a l’impression d’être des spectateurs privilégiés… au milieu d’un univers parfaitement incroyable, drôle et loufoque ! Je vous recommande chaudement ce roman !

Ce sera un 17/20 pour moi et un tout grand merci à l’auteur !
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La septième face, tome 1

https://erikia.wordpress.com/2016/02/28/la-septieme-face-tome-1-et-la-grande-coasseuse-crea-le-cube/



Lorsque l’auteur m’a proposé son livre j’ai étais réellement intrigué par le résumé du livre. Ce livre m’a semblé se différencier des autres par son univers totalement loufoque et cocasse et je ne m’étais pas trompé ! On démarre l’histoire avec Machin Shauze, le nom m’a tout de suite fait sourire et on a très vite des explications sur l’origine de son prénom. Je dois avouer qu’au début l’auteur a créé un univers si atypique et unique en son genre que j’ai étais facilement perdu et un peu déstabilisé, mais au fil de la lecture j’ai réussi à me familiariser avec l’univers et les termes. Mais je n’aurais pas été contre à de petites explications au premier chapitre. Si le décor a été un peu complexe, on arrive facilement à s’immerger dans l’histoire grâce au point d’humour que l’auteur dispose tout au long du Roman et en commençant par son héros ou plutôt antihéros.



Machin est tout sauf l’image même du héros que l’on peut se faire avec ses reprises verbales continuelles et son attitude à l’opposé du valeureux sauveur on comprend tout de suite le personnage, il est râleur et a peur de tout. Mais on s’attache à lui à ses dépens car il a réussi à me faire sourire plus d’une fois ainsi que les personnages secondaires. Son fidèle équipé c’est d’ailleurs un crapaud ! Kras Poth qui lui non plus n’a pas vraiment le profil d’un héros nous charme par sa personnalité unique. Concernant l’histoire, j’ai bien aimé ce principe de retrouver la septième face d’un cube alors que normalement il en possède six. Tout au long de cette quête on rencontre des créatures étranges et farfelues. On est donc embarqué dans une histoire vraiment surprenante car on va alterner entre cours de botanique, des rencontres aussi folles les unes que les autres et des moments d’humour.



J’ai bien aimé le style de l’auteur, mais encore une fois j’aurai préféré un peu moins que certains passages soient chargés d’information et d’autres ou on est dans le flou total car je me sentais un peu perdu par moments, mais les touches d’humour étaient là pour me remettre dans le bain.



En conclusion, ce livre a été une bonne découverte car c’est une histoire tout à fait originale et remplie d’humour !
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La septième face, tome 1



Je me suis laissée porter par cette histoire loufoque où l'auteur dresse un décor étrange pour un univers totalement déjanté et cubique. Une chose est sûre, Svetlana ne manque pas d'imagination. Elle en a même à revendre. Son héros, ou plutôt anti-héros, Machin va en faire les frais puisqu'il va devoir exécuter la dernière volonté de son oncle, et tuteur. Alors bien sûr, s'il n'était question que d'arroser les Mordantes, charmantes plantes, notre anti-héros n'aurait sans doute pas râler (quoique…). Hélas, il est plutôt question pour Machin de faire un tour sur les six faces du cube sur lequel il vit dans l'espoir de pénétrer dans la Septième Face…



Résultat, Svetlana nous entraîne dans une chasse au trésor où il faut trouver les six clés nécessaires à l'ouverture d'un coffret, nécessaire pour pénétrer dans la Septième Face. Si au départ, l'histoire nous emporte dans un tourbillon un peu fou où Machin fait preuve d'un immense courage, où il insupporte son compagnon de voyage, la seconde partie ne s'avère pas aussi palpitante. En fait, la Septième Face souffre d'un léger problème de rythme. Au bout d'un moment, l'intérêt n'est plus aussi fou, il s'essouffle car une sensation de tourner en rond nous anime à l'idée de ne chercher que des clés. Il ne reste dès lors qu'à espérer que l'auteur fera preuve d'imagination dans son second tome pour créer de la surprise afin de ne pas tomber dans une chasse au trésor routinière, qui pourrait bien provoquer un ennui certain à plus ou moins long terme.



En conclusion, ce premier tome de la Septième Face réussit à intriguer grâce à son univers déjanté, ses personnages atypiques. Il ne reste plus qu'à espérer que le second tome saura effacer le défaut du rythme du premier car cette saga a tout pour devenir une référence en matière de fantasy burlesque. A découvrir !


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La septième face, tome 1

Un livre que j'ai beaucoup aimé même si le personnage principal m'agace un peu parfois. Je retiens surtout que j'ai très envie de connaître la suite car il y a trop de mystères dans cette histoire. J'ai développé des soupçons sur tout et tout le monde mais je n'arrive pas encore à trouver des explications à certaines choses. Ça me plaît beaucoup d'avoir ces petits questionnements. Et je vais tout de suite arrêter d'y penser parce que ça me tracasse vraiment de me demander ce qu'est cette Septième Face, si elle existe. La seule réponse est l'attente des prochains tomes.



Une lecture que je conseille à tout le monde. Je pense que c'est aussi intéressant quand on est grand qu'amusant quand on est petit.
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La septième face, tome 1

Merci à l’auteur de m’avoir proposé de donner mon avis.



C’est une bonne surprise. Je me posais pas mal de questions au début et surtout j’essayais de m’habituer à l’écriture ainsi qu’à la tonalité du roman.

C’est burlesque, je n’ai pas arrêté de sourire en suivant Machin Schauze, notre personnage principal. Son caractère est attendrissant. Dans un certain contexte il aurait pu, peut-être énerver mais ici, HA HA je l’adore !



Lors de la mort de son oncle, Machin doit partir chercher la Septième Face car c’est la dernière volonté du mort. Malheureusement, on ne peut pas déroger à cette règle, il va partir contre son gré en compagnie de Crapaud, euuuh Kras Poth. =P

Entre l’un qui ne sait rien et l’autre qui sait pas mal de choses, ha ha on rigole. On aurait pu croire que ça ne fasse lourd et pourtant pas du tout. =p Rigolade en vue !



Comme vous le voyez, avec le nom du héros, Machin Schauze, on se dit que ça promet à l’intérieur du roman. Eh beh oui ! Ces « jeux de mots » n’arrêtent pas et j’ai adoré les découvrir tout au long de ma lecture.

Au début, tu te dis : « mais dans quel monde tu t’es mise ? », « Qu’est-ce qu’est cet univers particulier et ce héros râleur qui fait sourire » ?

Machin râle tout le temps. Jamais content c'est pour ça qu'on se prend d'affection pour lui.

C'est un peureux courageux. Oui, courageux car il y va quand même. Il s’interroge beaucoup et d’ailleurs ça énerve Kras. Leurs dialogues sont cocasses et ça évolue bien. Kras, c’est un peu monsieur « je-sais-tout » et si on n’est pas dans sa logique ou cultivé, il te descend. Ha Ha ! Mais c’est drôle. J’avoue que je râlais car je disais pauvre Machin mais on sourit assez souvent. Machin très peureux au début va s’affirmer au fur et à mesure.

D’autres personnages vont arriver qui sont toujours uniques mais je n’en dis pas plus. Chuuuut !



Le début est un peu long car on se demande ce qu'il se passe et surtout on essaye de comprendre cet univers appelé Cube avec ses Faces. Chaque Face est un peu comme un pays voire un continent mais pas ronde comme la Terre. En tout cas c'est comme ça que je l'imagine. Puis, je rentrais de plus en plus dedans. C'est « doux », ça se lit très facilement et les personnages sont mémorables.

L'univers est très intriguant et fascinant. L'auteur a créé un monde original et burlesque. C’est très différent de ce qu’on connaît mais tellement entraînant, captivant et mordant. MOUHAHAHA ! =D Chaque Face a son propre fonctionnement, son propre environnement. L’imaginer est quelque peu difficile mais c’est bien décrit donc on peut imaginer approximativement.



On s'aventure dans le Cube (le monde), on découvre la faune en partant à la recherche de la mystérieuse Septième Face. Quand on s'approche de la fin, déjà qu'on se posait vaguement des questions. Là l'histoire prend un tournant et ça devient de plus en plus mystérieux. Une aventure qui a ses péripéties avec ses obstacles prend des proportions. Ça se lit très facilement. Svetlana Kirilina a une écriture agréable et dynamique. Ce style d’écriture nous emporte dans ce burlesque tout en étant pas pesant voire pénible. C’est un très bon point. On se laisse entraîner dedans avec Machin et ses péripéties qui nous amusent et nous font découvrir tout un monde qui demande à nous dire bonjour.





Première fois que je mélange la fantasy et le burlesque et je ne suis absolument pas déçue. J’ai adoré découvrir la plume de l’auteur ainsi que cet univers qui nous laisse pas indifférent. C'est particulier, comique avec un monde pas commun, drôle, mordant et unique. Il nous attire et nous laisse tourner les pages pour qu’on sourie tout le temps. Je lirai volontiers la suite surtout que je commençais vraiment à m’éclater.
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