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Citations de Tennessee Williams (246)


In all these years, you never believed I loved you. And I did. I did so much. I did love you. I even loved your hate and your hardness. (Maggie to Brick)
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STELLA : "Je ne pouvais pas croire son histoire et continuer à vivre avec Stanley.
EUNICE : N'y crois jamais. La vie doit continuer. Quoi qu'il arrive, il faut continuer".
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... la violence ou la guerre, que ce soit entre deux hommes ou entre deux nations, apparaissent aussi comme une compensation aveugle et insensée à tout ce qui n'est pas vraiment achevé dans la nature humaine.
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Il sent qu'une part de lui-même est semblable à un mur qui manque dans une maison, à un meuble qui manque dans une pièce, et il essaye tant bien que mal de remédier à ce manque. L'usage de l'imagination, l'exercice du rêve ou des plus hautes ambitions de l'art, c'est le manque qu'il fabrique pour dissimuler ses incomplétudes.
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Lucio savait que la chatte ne vivrait plus longtemps. Elle le savait aussi. Ses yeux aussi étaient fatigués cette petite flamme vivante, lumière de la vie, commençait à vaciller, emportant le secret héroïque de la survivance. La petite flamme s'éteignait. Ses yeux se remplissaient de tous les secrets et tristesses qui sont les seules réponses aux questions incessante du monde. La solitude surtout, la faim, l'inquiétude, la douleur. Il y avait tout cela dans ses yeux. Ils n'en pouvaient plus. Ils voulaient se fermer sur le monde, ne plus rien voir.
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Lucio trouva du travail à l'usine. C'était le travail qu'il avait toujours fait : un truc qu'on fait avec les doigts et sans beaucoup penser. Une chaîne claque au-dessus de vous, vous ajustez quelque chose et la chaîne continue. Mais chaque fois qu'elle passe devant vous, elle vous prend un peu de vous-même. L'énergie de vos doigts s'écoule doucement, remplacée par une autre force qui vient du fond du corps et qui s'écoule elle aussi. À la fin de la journée vous vous sentez vide. Qu'est-ce qui est parti de vous ? Où est-ce allé ? Pourquoi ?
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BLANCHE : Je vois dans tes yeux que tu me reproches d'avoir abandonné Belle Reve ! Où crois-tu que j'ai trouvé l'argent pour soigner et enterrer tous ces morts ? Ça coûte cher, la mort, vous savez, Mademoiselle Stella ! Sans parler de la vieille cousine Josie, que j'oublie, juste après Margaret ! À croire que la sinistre Faucheuse avait décidé de camper à notre porte !… de faire de Belle Reve son quartier général ! Voilà, chérie, comment Belle Reve m'a glissé entre les doigts ! Sans qu'un seul nous laisse le plus petit héritage, la moindre police d'assurance !

Scène première.
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CATHERINE. [...] On m'a enfoncé tant d'aiguilles dans le corps qu'il suffirait qu'on me branche sur un tuyau pour que je fasse un bon arrosoir. (p.63)
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- Je ne suis pas de votre avis, dit miss Gelkes. Pas du tout ! Nous aimons penser que nous sommes seuls capables de souffrance. Mais c'est une conception humaine. Nous ne sommes pas les seuls êtres capables de souffrance. Oui, même les plantes éprouvent des sensations. J'en ai vu qui ferment leurs feuilles dès qu'on les touche !
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IL (l'homme) sent qu'une part de lui-même est semblable à un mur qui manque dans une maison, à un meuble qui manque dans une pièce, et il essaye tant bien que mal de remédier à ce manque. L'usage de l'imagination, l'exercice du rêve ou des plus hautes ambitions de l'art, c'est le manque qu'il fabrique pour dissimuler ses incompétences.
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Princesse
J'ai l'impression que nous nous sommes embarqués dans une drôle d'aventure.Je lirais cela dans un livre,ça ne me déplairait pas!Mais si c'est pour de bon,c'est une autre histoire...

(Le doux oiseau de ma jeunesse)
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Rosa
Et quelques minutes plus tard,tu m'as dit:"Ce que vous êtes belle!" J'ai dit:"Excusez-moi!" Et j'ai couru au vestiaire des dames.Tu sais pourquoi?Pour me regarder dans la glace!Et j'ai vu que c'était vrai!Pour la première fois de ma vie,j'étais belle!Tu m'avais rendue belle en me le disant.

(La rose tatouée)
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Animal joy in his being is implicit in all his movements and attitudes. Since earliest manhood the center of his life has been pleasure with women, the giving and taking it, not with weak indulgence, dependently, but with the power and pride of a richly feathered male bird among hens. […] He sizes women up at a glance, with sexual classifications, crude images flashing into his mind and determining the way he smiles at them.
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Her expression is one of shoked disbelief. Her appearance is incongruous to this setting. She is daintily dressed in a white suit with a fluffy bodice, necklace and earrings of pearl, white gloves and hat, looking as if she were arriving at a summer tea or cocktail party in the garden district. She is about five years older than Stella. Her delicate beauty must avoid a strong light. There is something about her uncertain manner, as well as her white clothes, that suggest a moth.
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But they are things that happen between a man and a woman in the dark – that sort of make everything else seem – unimportant.
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Animal joy in his being is implicit in all his movements and attitudes. Since earliest manhood the center of his life has been pleasure with women, the giving and taking it, not with weak indulgence, dependently, but with the power and pride of a richly feathered male bird among hens. […] He sizes women up at a glance, with sexual classifications, crude images flashing into his mind and determining the way he smiles at them.
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Her expression is one of shoked disbelief. Her appearance is incongruous to this setting. She is daintily dressed in a white suit with a fluffy bodice, necklace and earrings of pearl, white gloves and hat, looking as if she were arriving at a summer tea or cocktail party in the garden district. She is about five years older than Stella. Her delicate beauty must avoid a strong light. There is something about her uncertain manner, as well as her white clothes, that suggest a moth.
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