Citations de Tony Cavanaugh (97)
J'étais, depuis presque trente ans, un flic qui cherchait essentiellement à faire le bien. J'avais été formé et éduqué. J'avais été guidé, distingué, affaire après affaire, le désir de justice des victimes avait été assouvi.
Car c'était ce que nous étions : trois justiciers solitaires. Je ne pouvais me tourner vers aucun autre inspecteur de la criminelle, pas même ceux en qui j'avais confiance.
Une ville de meurtres. C'etait ça, Melbourne. Et c'était là que Copeland voulait que je retourne.
Comme tant de personnes, elle considérait les anniversaires comme des moments d'échec, des moments de regret. D'autres les considéraient comme des moments de célébration. Pour Nick, c'étaient des moments à ignorer.
Parlez-nous Brian et vous serez à l'abri. Gardez le silence et vous êtes un homme mort.
Et qui suis-je censé avoir tué?
The politics of granting parole are complex. Not in every case, but certainly in high profile ones like that of Jennifer White. It is neither the role nor an obligation of the parole board to inform the public-or, indeed, the families of the victims-of an impending release. Vigilantism is never far from the veneer of a cultivated society, so on my watch, when a murderer is to be paroled back into the community, it is managed as quietly and unobtusively as possible.
Mais ce nouveau détail, le fait qu'elle portait une bague, signifiait que nous avions désormais une nouvelle possibilité inattendue et encore plus troublante à envisager.
Celle que l'assassin d'Isobel ne soit aucun des hommes auxquels nous nous étions intéressés.
Plus ils sont acculés, plus ils sont dangereux. Si l'agresseur avait été engagé par un flic, je devais rendre la pareille, et même frapper plus fort.
Si je voulais obtenir la coopération et le respect des autres flics _ et afin de rouvrir une affaire classée sans suite dans laquelle les suspects étaient des flics, c'était précisément ce dont j'avais besoin_, je devais être perçu comme le type important que j'avais été par le passé, pas comme un loser, un type qui se la jouait, pas come un héros oublié qui était désormais à côté de la plaque et rouillé.
Dieu est grand: il a fait en sorte que ce soit facile d'enlever quelqu'un. je vous l'accorde, ce n'était peut-être pas son intention. Mais merde, c'est tellement simple. Ecoutez un peu, les amis. Ecoutez et apprenez du plus grand de tous. Au cours de nos leçons, vous découvrirez de nombreux secrets sur le métier tel que moi, Mister Super, je l'ai perfectionné. Il y a eu de nombreuses morts et j'ai donc beaucoup appris. C'est avec un grand plaisir, mes frères et mes sœurs, que je suis maintenant avec vous.
J'ai pensé à ce que j'avais laissé derrière moi. Une existence définie par la sauvagerie de tueurs qui désintégraient la vie, qui la fermaient comme on claque une porte, arrachant le souffle des souvenirs, annihilant le son des pas; une sauvagerie sanglante de chairs tranchées...
Au début, c'était un jeu. C'en était vraiment un, se disait_elle. Ces derniers temps, elle se disait beaucoup de choses, que son rôle dans tout ça était innocent, qu'elle s'était fait piéger, manipuler, abuser. Elle n'avait jamais eu l'intention de participe à ce trafic. Elle n'avait jamais voulu faire de mal à qui que ce soit.
Elle avait raison, et elle venait d'établir ce point non en se basant sur une hypothèse, mais à partit d'une observation froide et précise. De l'excellent travail de police.
Je ne peux pas lui demander pardon. Ce serait trop cruel. Je ne peux pas lui demander de comprendre. Ce serait trop égoïste.
...le mal existe, que vous le croyiez ou non. Il y a des gens qui commettent des actes maléfiques et ceux qui ne le font pas. Simple. Une des lois de base du genre humain.
Un bon flic arrive lentement, il essaie de saisir tout ce qui l'entoure. Un pas-très-bon flic débarque à toute allure sur une scène de crime en éclaboussant tout sur son passage, et notamment la présence du tueur qui est une goutte dans un océan de paramètres.
Ses yeux d'un bleu saisissant brillaient d'intelligence et de ravissement. Une gamine de dix ans dans un corps de femme mûre avec la rouerie d'un diplomate de l'O.N.U.
Elle défit les derniers boutons de sa chemise et la laissa glisser à terre. Elle était, comme elle le savait, à mourir. Stupéfiante. Des mecs partiraient à la guerre pour avoir un corps pareil et certains devaient l'avoir fait.
Tout se base sur la trahison et la trahison laisse une trace vilaine et profonde. Qui ne s'efface pas vraiment avec le temps, mais seulement par la vengeance.