V.M. Zito

J'ai vraiment aimer ce roman. L'approche du temps des fêtes me rappelle toujours des souvenirs de la série Walking Dead, alors la lecture de ce livre m'a plu. J'ai embarqué immédiatement dans l'histoire. L'action ne manque pas. En fait il y a de l'action de bout en bout. Un bon roman de zombies. Standard, mais efficace et plaisnat à lire. Un bon 4 sur 5 facilement pour moi.

Chaque personnage possède un passé chargé, qui est dévoilé tout au long du roman. L’auteur joue la carte de l’horreur en distillant un côté affectif incontournable qui donne vie et sens à ses personnages pour les rendre sympathique ou antipathiques.



Ce n’est pas juste une énième histoire de morts-vivants, c’est une histoire de survie avec des enjeux politiques bien amenés.



Après il y a les les zombies ! Ils sont omniprésents et font partie du quotidien de notre héros qui a appris à les connaître. Le comportement des zombis est disséqué, décrit avec un réalisme étonnant. J’ai souvent grimacé, tant les détails étaient bien décrits et la terreur palpable.



On a aucun mal à se projeter avec les morts dans la Zone occupée.



Une écriture agréable, un suspense mené crescendo de main de maître, avec des phases d’action intenses tout au long du roman.



C’est un pur produit Zomb’s, donc pour les adeptes du genre vous ne serez absolument pas déçus.



Dans les passages les plus gores, mes pensées allaient directement vers Walkind Dead
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C'est l'histoire d'un chasseur de prime de zombie en zone infestée. Ce dernier se voit imposer une quête par le gouvernement existant en zone protégée et il devient tout à coup une cible pour pleins de morts vivants et de vivants. Surveillé et à la fois protégé par l'impitoyable Wu, ils vont apprendre à former un duo pour s'en sortir...



Ce que je n'ai pas aimé;

C'est truffé des descriptions superflues; bon sang a -t-on besoin de savoir que le héros a les "voies aériennes respiratoires supérieures bien dégagées???"

Il y a des scènes incompréhensibles ou des justifications un peu légères, la fin n'est vraiment pas à la hauteur, elle tombe comme un cheveux sur la soupe.



Ce que j'ai aimé;

J'ai aimé Wu, ce personnage antagoniste et protagoniste à la fois a l'air tout droit sortit d'un Tarentino. Il est à la limite de la caricature, mais il est est extra - La relation entre les deux protagonistes n'est pas mal du tout.

Le tout début le chapitre d'exposition est super bien.



La trame de l'histoire est très banale et l'écriture n'est pas d'une qualité homogène. Mais cela reste divertissant et les fans de zombies trouveront leur compte.

Des zombies, mais pas que ! Parce que L'Homme des morts n'est pas seulement un roman de survie. Vous ne trouverez pas non plus d'apocalypse et d'invasion zombie détruisant tout sur son passage. En bref, ce n'est pas une histoire comme tout ce qu'on a pu lire jusque là. Attention, je ne dénigre pas le genre, j'ai moi-même pu apprécier certains titres du genre, que ce soit en comics, dans la littérature, au cinéma ou à la télévision.



Ici, on suit le quotidien d'un homme qui s'est donné pour mission (et métier) d'assurer aux vivants restés dans les zones civilisées que leurs proches sont morts et le restent. En gros, il tue des zombies en particulier contre de l'argent. Mais cela serait trop simple si le roman ne racontait que sont histoire… Son travail est découvert par un organisme officiel chargé de faire respecter la loi, et cela va le plonger dans une situation pour le moins... dangereuse. Accompagné d'un mystérieux asiatique dont il ne sait rien, Henri Marco devra retourner à la source de l'infection ' »zombiesque » pour prélever un échantillon qui servira à créer un antidote.

Car oui, Henri Marco, ancien chirurgien, cet homme tourmenté par la disparition de sa femme et de sa fille, est le seul à connaître celui qui possède le possible antidote... Avouez que vous préférez rester bien au chaud chez vous !:)



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Rien de mieux qu’un roman Z pour se détendre et s’estimer heureux qu’une apocalypse zombie ne soit jamais arrivée ! Cette fois-ci, j’ai jeté mon dévolu sur « L’homme des morts » qui rentre dans le cadre du Challenge ABC sur Babelio. J’ai ressenti quelques longueurs, mais dans l’ensemble, je suis plutôt satisfaite de ma lecture, d’autant plus que j’ai trouvé que le scénario changeait un peu des ouvrages habituels grâce à une approche différente. En effet, on ne va pas découvrir le début de l’épidémie : elle est déjà là et certains pays ont réussi à se mobiliser pour survivre. Il existe des zones de sûreté. Le reste n’est qu’un no man’s land hanté par les goules… Or, Henry Marco, le héros, est resté dans cet endroit peuplé de morts ! Il y est de son plein gré, car il cherche quelque chose afin de calmer ses démons intérieurs. Oui, on a encore le droit à un personnage principal au passé torturé, cependant on le comprend. Les nombreux flash-back ou ses réflexions au fil de l’aventure permettent au lecteur de cerner son mal-être, voire de faire preuve d’empathie. Au bout d’un moment, j’ai fini par le trouver attachant… Mais Marco n’est pas uniquement là pour affronter ses vieux démons, il est également chargé d’abattre définitivement les cibles qu’on lui indique (moyennant compensation, évidemment). Il finit le travail, remet les choses dans l’ordre et fait en sorte que le mort ne se relève plus. Ainsi, si votre mari/femme est un zombie, vous pouvez vous payer les services de ce mercenaire pour qu’il laisse définitivement votre conjoint six pieds sous terre…



L’ouvrage commence avec une belle tension dès le départ, puisque l’on assiste à la traque d’une des cibles à abattre. Bien sûr, survivre parmi les morts n’est pas facile. Ces monstres peuvent aisément se cacher ou ne pas être vus de suite… Or, si on ne perçoit pas le danger, celui-ci ne se gêne pas pour vous voir et ramper dans votre direction. J’ai trouvé la scène du lac très haletante ! Même si je me doutais de la tournure qu’allait prendre ce début, cela m’a donné des sueurs froides… La tension a continué de grimper avec l’intégration de nouveaux personnages, à commencer par un étrange commanditaire qui exige que Marco aille retrouver un scientifique ayant un rapport avec ce fléau. Notre cher héros n’a pas de chance, car tout le monde veut lui mettre la main dessus : en plus des goules qui veulent le déguster, le gouvernement, le sergent Ken Wu et des groupes armés sont à sa recherche. Ces trois derniers souhaitent l’utiliser pour retrouver le fameux scientifique… Chacun espère l’attraper avant l’autre. Une véritable course contre la montre mouvementée et détonante ! Le rythme est donc plutôt prenant et on s’attache lentement, mais sûrement à Wu qui se révèle être un espion chinois. Cette révélation nous est offerte dès le départ et j’étais régulièrement sur le qui-vive en me demandant comment Marco allait remarquer et réagir à ce traître qui aspire à le doubler ou à se servir de lui…



L’action est assez bien dosée et le scénario coule de lui-même. Le voyage ne se fait pas dans le calme et les dangers sont nombreux. Le passage du train m’a fait frémir. L’auteur propose vraiment de bonnes descriptions que ce soit les lieux, les scènes d’action ou les zombies répugnants. On imagine bien… Et on en redemande ! Avec une telle ambiance, je m’attendais à plus de rebondissements : on a finalement quatre gros événements qui chamboulent ce road trip infernal. Sur les cinq cent pages, je pensais trouver plus de petites rencontres. Tant pis ! Au moins, j’ai été charmée par cette idée de souvenirs dans le cerveau des zombies qui les guide instinctivement dans un endroit familier. La plume de V. M. Zito est prenante, toutefois le langage assez cru voire vulgaire peut déranger certains. Ce n’est pas mon cas, toutefois je tenais à le signaler. C’est vraiment une histoire de « mec » et de testostérone. Une femme n’aurait malheureusement pas sa place dans ce roman… Au moins, ça bouge et tout s’enchaîne. Bon, certes, les habitués du genre ne seront pas étonnés par le scientifique ni par ce qu’il a fait ou représente pour l’humanité. On n’innove pas, mais ça se lit bien. C’est l’essentiel !


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Le roman débute sur un Henry Marco en pleine mission, sa mission tuer le zombie qu'une cliente lui a désigné. Henry Marco a fait le choix de rester en zone occupé, zone abandonné aux morts il y a 4 ans. De part sa position il s'est construit son petit business avec l'aide de son beau-frère Ben, qui lui est en zone libre. Le business ; permettre aux personnes en zone libre de faire leur deuil en renvoyant le mort désigné là où il devrait être. Évidemment, ce deal n'est pas très légal, s'ils se sont fait repérer par Owen Osbourne directeur de la BCO ( bureau de coordination des opérations), bref Osbourne a une main mise sur tout la gestion de la zone libre. Osbourne, lui confie une mission qu'il ne peut refuser, menaçant Ben afin qu'il tienne le contrat. Ce contrat, retrouver Roger Ballard, neurologue mort au début de la contamination et qui aurait développé un vaccin. Roger Ballard qui n'est autre que l'ancien collègue de Henry Marco lui même neurologue avant la pandémie. Il prend donc la route pour la Californie convoyé que par un seul soldat, seul survivant d'une attaque zombie, envoyé par Osbourne, le sergent Wu.

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L'homme des morts est un zombies like qui ne fait pas dans la dentelle, action non stop, pas de répit ou presque et se lit très vite malgré ses 500 pages.



Attention certaines scènes sont très sanglantes, il y a un côté vraiment horreur que paradoxalement on ne trouve pas souvent aussi élevé dans un roman de zombies. Il faut avoir le cœur, ou non, plutôt l'estomac bien accroché.



Pour ce qui est de l'histoire c'est du classique, rien d'extraordinaire, l'auteur fait le job et s'en contente. Les personnages eux sont déjà un peu plus recherchés que le scénario, de forts caractères et de la testostérone.



Un récit tout de même impossible à lâcher à la façon d'un blockbuster américain, les amateurs de zombies seront ravis.



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J'ai bien apprécié le roman et le plus cool il n'y aura pas de suite l'histoire est terminée, on a pas à attendre 6 mois à un an voir plus pour poursuivre sa lecture, l'histoire une espèce de road rage, en train, en jeep, en quad avec un américain et un asiatique à travers la Californie pour retrouver un docteur ayant peut être trouvé le vaccin contre l'épidémie de Resurrection qui à ravagé l'Amérique de l'Ouest, pour moi tous les ingredients d'un roman post-apocalytique sont réunis, un bon, des méchants, du 9mm, de l'Ak, des cervelles qui explosent, des tripes qui se répandent, enfin pour finir ça gicle de partout et c'est bon !

Je ne suis vraiment pas fan des zombies. Aussi c'est avec une appréhension certaine que j'ai entrepris ce livre dans le cadre d'un défi. Mes doutes n'étaient qu'en partie fondés. Ça ne deviendra jamais mon genre préféré, mais ce livre de zombies est bourré d'action, la trame principale est quand même assez bien, mais on n'évite pas les trop nombreux affrontements avec les dégoulinantes créatures... La fin est vaguement prévisible. Correct, sans plus à mon humble avis.

La vie n'est pas tranquille en territoire zombie. Le matin les zombies nostaliges du jogging partent courir pendant que d'autres érrent dans un lieux évoquant une période de leur ancienne vie (bon ou mauvais moment). A la moindre trace de viande grouillante ils accourent tous attirés par leur estomacs.La traversés d'anciens états US, devenus zone de quarantaine suite a l'épidémie est donc délicate. Surtout pour rechercher le cadavre d'un type (s'il existe encore).

C'est dans ce contexte que ce déroule l'histoire bien divertissante du livre; écrit de manière cinématographique (trop? l'auteur a t-il écrit son livre pour en voir une adaptation cinéma?)

Les personnages sont attachants, le rytme est rapide et l'on se dépèche de tourner la page pour savoir commentr nos protagonistes vont se tirer des situations délicates dans laquelles ils mettent les pieds. A lire si vous aimez bien les zombies, n'ayant lus aucun autre roman du genre je ne peut comparer ce livre a un autre. Bonne lecture.

Du post-apo efficace et sanglant, agencé autour d’une intrigue assez crédible. Le monde zombie est le terreau parfait pour les manigances humaines, politiques ou autres. Sans surprise, l’homme se révèle plus monstrueux que les morts-vivants, mais ce pavé se dévore malgré tout avec bonheur !

Attention, certains passages sont très gore

Après avoir lu quelques bonnes critiques (et notamment celle de fnitter que je salue au passage) je me suis décidé à tenter une expérience de lecture dans le contexte des morts vivants.

J'avais fait quelques incursions dans le post apocalyptique, mais jamais sous cet angle, alors qu'en dire ?

J'ai trouvé le scénario très bon et la narration parfaite dans le tempo, c'est une sorte de huis clos si ce n'est que pour le coup on bouge énormément, objectif oblige. Il n'y a que deux personnages principaux et ils sont bien brossés, ils ont une histoire intime qui justifie une volonté et une énergie hors norme, c'est crédible et on avance dans l'histoire sans arrières pensées.

Et puis bien sûr il y a les zombis, leur "psychologie" est bien expliquée, et très vite on apprend à les côtoyer, il vont être omniprésents tout au long du récit, et ce dès le premier chapitre.

Bon, pour en venir à mon ressenti, je pense que je ne renouvellerai pas l'expérience, je comprends bien qu'il était impossible de s'affranchir des attaques, des risques de morsures fatales et tout et tout mais c'est justement ce que je n'ai pas vraiment apprécié, le prétexte au massacre, au ball-trap, je ne suis pas sûr qu'il en fallait autant, même malgré un propos qui se voulait humaniste.

J'aurai donc fait mon expérience et je ne le regrette pas car c'est un bon bouquin qui je le pense pourrait plaire aux amateurs du genre.

Dans une Amérique séparée en deux parties : l'est libre et inaccessible et l'ouest envahi par les zombies, Henry Marco, ancien médecin-chercheur tue des zombies pour le compte de familles qui veulent faire leur deuil. Il est contacté par le gouvernement pour retrouver un ancien collègue susceptible d'avoir fabriqué un vaccin. Entre le road movie et le livre de zombies, tout est bien fait : les personnages sont complexes et crédibles, notamment le héros qui recherche sa femme, l'assassin chinois qui l'accompagne en se faisant passer pour un membre de l'équipe US gouvernementale qu'il a tuée, le professeur recherché, devenu un peu fou qui teste le virus sur lui-même... L'histoire est bien ficelée et conduit le héros dans des lieux dévastés (le désert, des petites villes, une gigantesque prison d'état) toujours bien décrits. L'action est très savamment dosée, très bon livre.

Ce petit livre sur les zombies sur lequel je suis tombée par hasard m'a paru parfait pour faire une bonne lecture détente. Je n'en attendais pas grand chose, et j'ai été agréablement surprise.

Il s'est avéré bien distrayant et j'ai passé un bon moment.

j'ai surtout apprécié que le concept du livre de zombie soit un peu différent de d'habitude et ne consiste pas en un enjeu survivaliste.

De plus, pour une fois, le "happy end" n'est pas forcément au rendez-vous, ce qui change agréablement la donne.

les personnages m'ont beaucoup plus que ce soit Henry ou Wu, plus complexes qui n'y parait aux premiers abords.

Une chouette lecture, sans prise de tête.

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Alors voilà on est ici dans le genre de situation qui typiquement m'énervent ! Ce livre devait me faire hyper envie puisqu'il était dans ma wish list noël 2018 et que je prépare ma liste en général un peu en avance …

Et puis une fois que je l'ai ben je le laisse de côté pour des raisons obscures mais sûrement du genre : ce livre me fait un peu peur, au premier abord et au vu de la couv j'ai peur de me retrouver dans un monologue de 500 pages bourré de longueurs !

Mais l'avantage de l'avoir laissé traîner 18 mois c'est que j'ai pû le mettre dans ma PAL d'avril 2020, PAL de confinement …

Et quoi de mieux qu'un bon livre qui parle d'apocalypse, virus, zombis en ces temps de fin du monde ? RIEN !

De quoi ça parle ? «La civilisation a disparu. Un homme est resté. Pour tuer les morts. Depuis le début de l’infection zombie, il y a quatre ans, le fleuve Mississippi sépare les États-Unis en deux zones. À l’Est, la zone saine est sous le joug d’une dictature féroce ; l’Ouest, des contrées interdites et infectées, est le territoire des morts-vivants et de quelques groupes de survivants incontrôlables. Henry Marco, un ancien neurochirurgien, est resté dans le Nevada. Mercenaire au service des familles de l’Est, il traque et tue les zombies qu’on lui désigne, permettant aux proches de faire leur deuil. Mais Marco, qui a compris que les zombies reviennent toujours sur les lieux qu’ils ont aimés, espère surtout retrouver sa femme, disparue après la catastrophe. Un jour le Ministère de l’Intérieur engage Marco pour une mission particulière : retourner en Californie, où tout a commencé, et retrouver un scientifique aperçu avant l’épidémie dans une prison de haute sécurité. Cet homme pourrait détenir, peut-être, un remède à l’infection. »

J'avais mis ce livre dans ma PAL d'avril mais en toute franchise je n'étais pas certaine de le lire ! Et c'est absolument pas la lecture que je m'étais prévu à ce moment là … Mais voilà il était posé en haut de ma pile face 4ème … Alors je ne lis JAMAIS les 4ème de couv, c'est comme ça j'ai horreur de ça, souvent je les trouve hyper spoilante en plus bref c'est un TIC de lecteur !

Et là mes yeux se sont posés dessus, et machinalement je l'ai lu et là direct ça a fait tilt et j'ai eu envie de le lire direct ! Du coup je me suis empressée de finir la lecture que j'avais en cours pour pouvoir sortir celui là ! Comme quoi ça a vraiment du bon parfois de les lire ces fameuses 4ème !

Mais qu'est ce que j'ai bien fait de sortir ce livre ! Faut avouer que le couv du livre et la petite phrase devant « la civilisation a disparue. Un Homme est resté avec les morts » fait un peu peur quand même ! On se demande vraiment si il va se passer grand chose dans ce livre ! D'où l'intérêt sur ce coup là de lire le résumé ;)

Et je peux vous dire que oui il se passe des choses ! Amateurs du genre zombis / tripes et boyaux ce livre devrait vous plaire ! L'auteur n'hésite pas à nous mettre quelques descriptions très précises digne des meilleurs films de Roméro ! Parfois même les descriptions olfactives étaient si précisent que j'arrêtais de respirer par le nez !

J'ai trouvé l'écriture de l'auteur très cinématographique, c'est quelque chose que j'aime beaucoup surtout dans ce genre de roman où l'imaginaire joue un rôle assez fort.

Il n'y a pas beaucoup de personnages dans ce roman, on s'en doute un peu dès le départ ! Il est du coup important de bien jouer cette carte et de nous amener des personnages forts, avec des personnalités intéressantes pour accrocher le lecteur et créer une attache.

Pari réussi ici avec un personnage principal, Henry Marco, hyper attachant ! Dès les premières lignes l'auteur arrive à nous faire ressentir beaucoup de compassion et d'intérêt pour cet homme.

Un Deuxième personnage central, Wu, personnage qui va beaucoup évoluer au fil des pages, détestable au premier abord il s'avère bien plus complexe qu'il n'y paraît !

L'auteur ponctue son histoire de pas mal de souvenirs, sous forme de pensées des personnages et on découvre qui ils étaient, pourquoi ils sont là, petit à petit on apprend à les connaître à travers leur vie d'avant et ça fonctionne, le lien se créé, on est ferré !

J'ai beaucoup aimé aussi la manière de l'auteur de nous amener sa vision de l'apocalypse zombis, une vision originale avec une Amérique coupée en 2 avec une zone non contaminée et une zone peuplée de morts vivants, interdite !

J'avais peut être vu venir certains éléments du final mais les 120 dernières pages sont quand même sacrément haletantes et surtout bien gore par moment ! L'auteur n'hésite pas à y aller de détails digne du film zombi, c'est bien amené, c'est bien dégueu et franchement ça fonctionne !

Mon plus gros regret concernant ce roman c'est de me rendre compte que c'est le seul que l'auteur ait écrit … Avec un premier roman aussi bon, c'était plus que prometteur pour la suite !

Amateur d'apocalypse et de zombies je vous conseille de vous jeter sur cette pépite si vous ne l'avez pas encore lu !

C'est une énorme claque pour moi ! J'ai vraiment adoré !



Note 10/10 MÉGA COUP DE COEUR

Bon c est vrai, il faut dire que je suis un fan de la série the walking dead et avec ce livre L homme des morts nous sommes dans l ambiance, l horreur, la cruauté, la peur tellement caractéristiques de ce genre. Un livre pour les adeptes des zombies. Dans cette aventure post humanité on suit un homme qui travaille seul pour donner la paix aux zombies, un job payé par les familles ayant échappées à l'épidémie pour offrir une digne mort à leurs proches transformés en mort vivant. Mais il se retrouve obligé d accomplir une mission périlleuse pour le gouvernement en place. Un road movie à la mad max en territoire Zombies. Pour moi c'est un bon moment de lecture pour s endormir avec les zombies.

Aucun temps mort dans l’intrigue garantie 100% adrénaline, l’auteur nous ferre dès les premières pages et ne nous lâche plus avant le clap de fin.



Outre les USA coupés en deux zones, une saine et l’autre infectée, séparées par le fleuve Mississippi, la touche d’originalité de ce bouquin tient au fait que seuls les Etats Unis aient été contaminés, dommage que l’auteur ne nous explique pas comment l’épidémie a pu être ainsi confinée (par contre on apprendra comment tout a commencé).



Au niveau des personnages le roman repose pour beaucoup sur Marco. Un chasseur de zombie en proie au paradoxe de son existence, il remplit ses contrats de renvoi avec une redoutable efficacité et pourtant il n’a jamais réussi à localiser la personne à qui il souhaite accorder un juste repos : Danielle, sa femme. Un personnage attachant, profondément humain, avec ses forces et faiblesses.



Dès le début de la mission il va se retrouver escorté par Wu, un agent de la sécurité intérieure chinoise qui se fait passer pour un soldat de l’UAR (Unité Anti Résurrection) afin de gagner la confiance de Marco. De loin le personnage le plus difficile à cerner, implacable quand il s’agit de lutter pour survivre, toutefois on le sent partagé entre sa mission et un certain attachement (pas seulement professionnel) à Marco.



Reprenant les ingrédients de la recette, maintes fois éprouvée, du duo improbable les échanges entre les deux hommes sont parfois hauts en couleur, et apportent çà et là une touche de légèreté histoire de détendre l’atmosphère. Bien entendu il faudra aussi compter avec de nombreux morts vivants affamés qui rêvent de s’offrir un Mc Marco ou/et des Wu Nuggets. Mais dans la Zone Occupée les morts ne sont peut être pas les ennemis les plus dangereux…



La fin me laisse sceptique (pas déçu, loin s’en faut) : suite ou pas suite ? Certes toute cette histoire semble cacher encore bien des secrets, mais d’un autre côté les choses se jouent à un niveau qui dépasse largement les compétences du Dr Marco.
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Décidément, j'adore les histoires de zombies ! Et si vous êtes comme moi, je vous recommande vivement la lecture de L'Homme des Morts!

L'action se produit plusieurs années aprés la Résurrection : c'est dans un paysage véritablement dévasté qu'on évolue.

Henry Marco est resté en Arizona au lieu de fuir à l'Est : il a refusé d'être évacué parce qu'il veut retrouver sa femme, ne pouvant supporter l'idée de la savoir errante, cadavre pourrissant sur pied... Il en a d'ailleurs fait son nouveau "métier" : jadis médecin, le voilà chasseur de zombies, travaillant sur contrats pour "renvoyer" ad patres un être cher zombifié.

Il termine son 27è contrat quand nous le rencontrons. Quatre ans qu'il erre en zone infestée, et toujours pas de trace de sa femme.

Epuisé, il n'aspire qu'au repos en rentrant chez lui. Mais c'est un nouveau contrat qui lui tombe dessus, un qu'il ne peut pas ignorer : le gouvernement lui demande de « renvoyer » un de ses anciens confrères et amis. Sinon ? Son beau-frère, qui vit dans la zone libre, sera exécuté... Marco n'a pas le choix : il va devoir reprendre la route vers les zones infestées de zombies, avec une escorte plutôt...inattendue !

J'ai dévoré ce roman : l'atmosphère y est remarquablement oppressante, les combats sont très bien décrits. Nous croisons de bons zombies bien crades, suintants et puants , affamés, tenaces : un bonheur !

Les lieux traversés sont si bien décrits que j'ai souvent eu la sensation d'être devant des images . Une lecture que je conseille à tous ceux qui aiment, comme moi, se projeter dans un univers post-apocalyptique où seule la loi du plus malin existe, où la seule préoccupation de la journée est de trouver de quoi manger sans se faire bouffer, le tout dans un décor de civilisation brisée, dévastée.

Bref, un coup de cœur total.

Un premier roman de l'auteur dans l'univers zombie.



Malgré un cerveau reptilien primitif régi par la rage, la peur, la survie et la faim, il reste une trame de souvenir dans le cerveau zombie qui le guide, par instinct dans un endroit familier pour y rester. Une sorte de géographie émotionnelle. Marco, ex-neurologue mais désormais abonné aux revues de chasse et carte topo, est resté dans la zone occupée pour traquer et tuer les proches zombifiés des riches familles de la zone libre. Pour qu'ils puissent faire leur deuil. Il est contacté par le ministère de l'intérieur pour un dernier contrat, un scientifique, qui pourrait bien être la clé de tout. Mais ce graal intéresse aussi les puissances étrangères (qui n'ont pas été touchées par l'épidémie), ce qui va lui compliquer la tâche.



Nous avons là un classique road movie, bien géré, sombre, bien sanglant, bourré d'action et relativement dénué d'humour. On glisse facilement sur quelques invraisemblances (ou en tout cas insuffisamment expliquées) pour se concentrer sur les scènes d'action (le scénario reste au final très mince malgré un background assez original).

Et heureusement que les projections de sang, y compris sur blessures superficielles ne suffisent pas à transformer en zombie notre héros, parce qu'il mange le gars. On se demande même parfois comment il a réussi à survivre quatre ans à ce rythme.



Ce livre ne prétend pas révolutionner le genre, mais il contient exactement ce que je viens chercher dans ce type de roman, action noire et sanglante, dézingage de zombies dans un univers post-apocalyptique crédible.

Un bon divertissement.

Grosse déception que cette lecture.



J'ai l'impression que la traduction française y est pour beaucoup. Mais je n'en ai pas la certitude.



A chaque scène d'action, et il y en a beaucoup, j'avais l'impression d'être complètement perdu, les détails sont confus, l'espace est confus, les raccords sont faux... Par exemple, à plusieurs reprises, le protagoniste démarre sa voiture, fais quelques centaines de mètres, prend un virage. Puis soudainement l'auteur nous dit que la voiture est arrêtée et que dans le rétroviseur se trouve la zone que l'on a quitté précédemment...



Ou encore, je cite : "Dans un sursaut il fit patiner le quad. Le vieux pêcheur quittait déjà la Lincoln pour s'approcher d'eux (...) Il n'avait pas fini sa phrase que Marco avait déjà accéléré. Le quad bondit en avant. Le vieux cadavre se laissa tomber sur eux."



Dans l'exemple ci-dessus, le quad part en patinant, donc accélère vite. Un zombie les suit mais c'est un zombie, donc il est censé être largué rapidement. Mais non, la phrase d'après, le quad accélère alors qu'il est déjà à fond, et le zombie leur tombe dessus!!!



D'autres erreurs absurdes comme un train qui change de couleur. Dans la scène explicative, il est barré orange et bleu mais quelques lignes plus loin il devient un train Noir...



J'ai aussi été gêné par le fait que plusieurs fois ils roulent en 4x4 toute une journée sans jamais faire le plein, et au final le quad précité roule toute une nuit... (un quad a une autonomie de 200kms grand max...)



Donc j'ai au début incriminé la traduction, qui est peut-être fautive pour le manque de clarté des scènes d'actions, mais les incohérences globales sont le fait de l'auteur.



Inutile de parler du twist final très prévisible!