V.M. Zito

Je viens de terminer ce roman, plutôt haletant ! Des passages bien gores comme ceux que l'on peut trouver dans "the walking dead".

L'intrigue est pas mal ma foi mais avec des petits passages un peu longs (pour ma part, le chapitre quand Marco et Wu sont dans le train).

J'imagine très bien ce roman adapté au cinéma.

J’avais ce roman de V.M. Zito dans ma PAL depuis plusieurs années et je me suis dit qu’il était vraiment temps que je le sorte ! C’est chose fait, mais malheureusement, cette histoire a été une déception pour moi.

Etant une grande fan du genre zombie (Walking Dead, Wolrd War Z etc..), le résumé de ce roman m’a de suite attiré. Il est catégorisé dans le genre horreur. Oui, je pense que pour ceux qui n’aiment pas avoir peur, ni les zombies, l’histoire peut vous faire des sueurs froides. Mais sur moi, pas du tout. Pendant les scènes où le lecteur est censé être dans l’angoisse, moi, je me suis juste ennuyé..

Par contre, l’auteur arrive très bien à décrire ses scènes de gore/trash ! Certaines scènes sont bien dégueu. Mais, ça ne m’a pas suffi ! Par moments j’étais à fond dans l’histoire, mais ça n’a duré qu’un très court moment. Je pense que ce qui n’a pas fonctionné avec moi, c’est le trop de descriptions. Arrivé à la moitié du roman (non sans difficulté), j’ai lu la suite en diagonale. La suite ayant encore plus de description et encore moins de dialogue, était longue et ennuyeuse. Pourtant l’histoire de base était bonne, avec le fait d’avoir une Zone Libre et une Zone Occupée, mais l’univers n’est pas développé du tout.

Parlons un peu personnages, on suit Henry Marco qui est resté dans la Zone Occupée et qui est devenu un mercenaire de zombie pour les familles étant en Zone Libre. On apprend au fur et à mesure ce qui l’a poussé à rester. Après, je me suis plusieurs fois demandé, pourquoi il faisait ce boulot de mercenaire, alors qu’il ne verrait jamais l’argent qu’il gagne pour ça ! Vous l’aurez compris, il y a plusieurs incohérences durant tout le long de la lecture. Ensuite, nous avons l’espion Chinois, le sergent Wu. Je l’ai limite préféré à Henry. Plus de caractères, parce que franchement, Henry était vraiment mou ! Donc si je n’accroche ni à l’histoire, ni aux personnages, c’est un peu problématique pour continuer ma lecture, mais j’ai persévéré !

Pour en conclure, je m’attendais à tellement mieux que ça a été une déception pour moi. Trop de descriptions qui ne servent pas à grand-chose. L’histoire de base pas assez développé et puis des personnages auxquels je ne me suis pas du tout attachés. Evidemment, je vous invite quand même à le lire et de vous faire votre propre avis !
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Zombs Zombs !!

Suite à une infection de zombies les États-Unis se retrouvent divisés en deux parties. A l’est la Zone Libre où les derniers étasuniens non contaminés vivent. Et a l’ouest la Zone Occupée où les morts-vivants règnent. Henry Marco a décidé de rester en Zone Occupée, là-bas il est engagé par des familles pour tuer leurs proches morts-vivants. Un jour, il se fait contacter par le ministère de l’Intérieur ; il lui demande de retrouver un homme, Roger Baillard, un chercheur qui travaillait sur un vaccin avant qu’il disparaisse lors de l'évacuation. Ainsi il va devoir traverser des zones infectées de zombies où tout est possible. Parviendra-t-il à accomplir sa mission ? Que découvrira-t-il dans cette zone où ce sont les morts-vivants qui sont maître ?

Ce livre nous met les nerfs à vif. Il y mêle action, suspense et frissons. L'histoire nous tient en haleine jusqu’au bout, avec de nombreux rebondissements qui nous font tressaillir. Quand tout va bien cela veut dire que tout va mal. On pense que les personnages vont réussir mais un problème surgit. Il faut avoir le cœur bien accroché car l’histoire est composée de nombreux passages dégoûtant. Mais ce livre est très bien pour les personnes qui veulent frissonner et flipper. Je le recommande pour ceux qui aiment bien se faire peur et qui aiment bien les zombies.

C'est pas mal dans le style zombies post apocalyptique avec beaucoup d'hémoglobine, de l'action et un but. Mais le scénario est quand même un peu léger et c'est un peu pauvre en personnages.

Un agréable moment de lecture, pas inoubliable.

'Il y a quatre ans les Etats-Unis ont été séparés en deux : la Zone Occupée infestée par les zombies et la Zone Libre habitée par des humains, où personne n’a le droit d’entrer ni de sortir. Dès le début du livre nous suivons Henry Marco en pleine traque de zombie. Des familles l’embauchent pour tuer des membres de leur famille transformés en zombie. Ainsi, la famille peut faire son deuil sans avoir le regret de laisser un être proche errant à la recherche de chair fraîche. Il travaille en collaboration avec Ben, vivant en Zone Libre, chargé de trouver de nouveaux contrats. Un jour, il est embauché par l’Etat Américain qui le charge de tuer le docteur Roger Ballard transformé en zombie, un ancien collègue, se situant dans une prison de Californie. Il devra alors abandonner la recherche de sa femme et partir à la recherche de Roger. Une longue route peuplée de zombies l’attend. Un seul homme l’aidera : Wu.



J’ai beaucoup aimé cette lecture. L’auteur nous décrit très bien ce monde dévasté, que ce soit les paysages ou les zombies ; on se croirait dans un film. On vit l’histoire aux côtés d’Henry, on stresse pour lui. Une tension est présente tout au long de la lecture. Dans ce monde dévasté on voit que le comportement des humains a changé : ils sont sans pitié. D’ailleurs, même les chiens sont devenus sauvages et n’hésitent pas à se nourrir d’humains.



Nous suivrons principalement deux personnages : Henry et Wu. Je ne me suis pas attachée à eux mais j’ai apprécié Henry. Cet homme qui a survécu des années seul dans ce monde rempli de zombies, à la recherche de sa femme. Quant à Wu, on apprend vite qui il est et ce qu’il veut ; cela ne m’a pas donné envie de m’attacher à lui.



Si au début de l’histoire on ne connait rien sur l’infection zombie, on en apprend plus au fil de la lecture. On apprend également pourquoi il est important de retrouver Roger. Le dénouement final me donne très envie de lire la suite de ce roman.



Attention si vous n’êtes pas fan de zombies, passez votre chemin ; vous n’apprécierez pas ce roman à sa juste valeur et vous pourrez être écoeurés par certaines descriptions. Pour les fans : régalez vous !'
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Récit post apocalyptique au milieu des États Unis coupées en deux suite à une invasion zombiesque. 🧟‍♀️

Pas de temps mort, pleins de zombies dégueux, rythme haletant, détails bien gores bref l’essentiel pour passer quelques heures de frissons. 🧟‍♀️

Petit plus pour certaines critiques à l’égard de la politique américaine assez bien venues. 🧟‍♀️

Alors oui, le livre aurait pu être raccourci d’une centaine de pages pour gagner en intensité et je ne suis pas sûr de me souvenir de l’histoire dans quelques mois mais je recherchais avant tout un bon « page turner » gore et c’est ce que j’ai eu. 🧟‍♀️

[...] "L'Homme des Morts" de V. M. Zito est un roman que j'ai adoré lire, j'ai apprécié la façon dont le suspense est distillé par l'auteur, j'ai trouvé le héros très touchant et puis les combats contre les zombies sont géniaux. Si vous avez aimé "Je suis une légende" de Richard Matheson, vous aimerez ce titre !
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Rien de tel pour me détendre qu’un roman apocalyptique zombie… Pas vous ?



2018. Les États-Unis sont coupés en deux suite à une épidémie de zombies. D’un côté, la Zone Libre : refuge des survivants,où une société encore bien fragile tente de se reconstruire ; de l’autre côté, la Zone Occupée, où règnent les morts-vivants. C’est dans cette zone désertée que vit Henry Marco, un ancien neurochirurgien devenu tueur de zombies. Il survit en honorant des contrats un peu particuliers : tuer les morts une seconde fois au nom de leurs proches (et pour leur argent). Qu’y a t-il de plus horrible pour un survivant que d’imaginer les siens condamnés à errer indéfiniment à la recherche de chair fraiche ? Marco le sait : il recherche sa femme Danielle depuis quatre ans déjà… Sa technique est d’ailleurs aguerrie à présent, à un point tel qu’il est contacté par le ministère de l’Intérieur pour une mission qu’il ne peut pas refuser sous peine de perdre la dernière personne avec qui il a encore de rares contacts, son beau-frère. Il doit retrouver Roger Ballard, un scientifique prétendument lié au fléau, repéré en zone contaminée et ramener un maximum d’informations. Et comme vous vous en doutez, le danger n’est pas là où on le croit…



C’est un très bon roman de zombies, avec de l’action, des tripes et des boyaux, mais aussi un peu de nostalgie et un personnage central intéressant qu’on a envie de suivre jusqu’au bout. Très bien scénarisé et impeccablement dosé, on imagine parfaitement l’adaptation cinématographique qui en sera faite.



Du bon, du lourd, diablement efficace.

“L’homme des morts” de V.M. Zito suit une intrigue linéaire et un peu prévisible. Du côté “plongeon” du lecteur, l’ambiance est glauque à souhait, les détails nombreux et l’action bien présente. L’amateur de zombie version trainante-répugnante sera ravi(e) par ce post-apocalyptique qui offre une idée originelle sur le résiduel émotionnel.

(chronique complète sur le blog)
Lien : http://livrement.com/2013/07..

Je n'ai jamais ressenti les zombies autant répugnants, violents, pourris,... sur les autres supports (films, séries, jeux) que dans ce roman. Il vaut mieux avoir le cœur bien accroché pour lire l'homme des morts. Une fois commencé, j'ai eu du mal à décrocher, on nous promet au quatrième de couverture de revenir là où l'épidémie à commencer, on nous a pas mentis sur la marchandise. Une sous-intrigue que j'ai aussi apprécié pour le personnage principal de Henry Marco torturé par ces démons intérieurs, un personnage secondaire dont je ne m'attendais pas du tout et l'univers du roman vraiment original.

Je suis pourtant du genre coriace mais pour cette fois-ci j'ai baissé les bras même pas à la centième page.

Ce livre est une déception. La narration est pas du tout adaptée du coup cela rend le personnage principal sans importance. Les scènes d'actions sont mal décrites ce qui rend la chose indiscernable. On est jeté tout de go dans le post apocalyptique avec zombi sans connaître le départ de l'épidémie. Le mec est le seul être vivant dans la zone contaminée avec électricité et internet non mais ce n'est pas du foutage de gueule surtout quand on apprend que dans la zone libre c'est la déchéance??? L'écrivain a voulu profiter de la vague zombis tout en recopiant l'idée du film New-York 1997.

Les zombis n'apparaissent pas effrayant après tout à un moment donné il en a une centaine sur lui alors qu'il est protégé que d'une simple barque. De plus, l'histoire des contrats qu'il accepte pour aller achever un zombi au nom d'un membre de sa famille cela ne tient pas la route. Le pays est complètement dévasté, le gouvernement n'existe plus, les personnes essayent de survivre l'argent n'a plus de valeur et lui se fait payer pour des missions bidons... Trop c'est trop j'ai fermé le livre et basta! je passe à autre chose.

Que cela soit au cinéma ou en littérature, les histoires de zombies brillent rarement par leur originalité ou même leur qualité. En abordant « L’homme des morts », je ne m’attendais pas à un roman de haut vol mais au moins de quoi passer un agréable moment.





Et il n’y a pas tromperie sur la marchandise. Ce roman est exactement ce à quoi il ressemble, à savoir une histoire de zombie extrêmement basique avec ce qu’il faut d’action, un brin de tension et une plaisante ambiance apocalyptique. Aucune once d’originalité ici. Que cela soit les personnages ou l’intrigue et ses rebondissements, tout y est convenu.





Pas le genre de roman qui laisse une marque en nous mais cela reste une lecture divertissante. C’est déjà ça.

Marco, "chasseur de zombies", habite volontairement la zone infectée depuis 4 ans. Cette zone désertée par tous les rescapés, ne lui fait pas peur. Dans ce nouveau monde avec ses nouvelles règles, Marco exerce une drôle de profession. En association avec Benjamin, son ex beau frère habitant la zone libre, il s'emploie à retrouver les morts revenus à la vie, sur commande des familles désireuses de se libérer d'un poids et de pouvoir faire leur deuil définitivement.

Il traque sa proie, la tue une bonne fois pour toute et rapporte aux familles la preuve qu'il s'agit bien de leur défunt.

Owen Osbourne, faisant partie du ministère de la sécurité intérieure et ayant entendu parler des talents de chasseur de Marco, l'engage pour retrouver le DR Roger Ballard que Marco connait bien puisqu'il s'agit de son ancien collègue.

Il va devoir se rendre à la prison de Sasgard où officiat Ballard et s'assurer que celui ci soit "renvoyé" comme il sait si bien le faire.

Il ne sait pas dans quoi il s'engage ni qui va l'accompagner dans son périple (osbourne lui imposant une équipe).

Le danger est partout et les zombies ne seront qu'une partie du problème.

Il va devoir faire face à ses propres démons, alliant sa mission avec sa quête 1ère qui est de retrouver son épouse Danièle et de la renvoyer à son tour.



Ce roman nous met hors d'haleine du début jusqu'à la fin. Cette description des paysages désertés par la vie humaine, rappelle d'une part, la grande solitude du personnage principal et d'autre part le danger qui pèse sur les seuls êtres encore humains dans ce chaos: la proie devient l'homme et les zombies, les chasseurs.

A travers la traversée des états, on apprend à connaitre les personnages.

Le final dans la prison est suffoquant, on retient son souffle à chaque détour de couloir, craignant la rencontre avec la horde. La fin est surprenante et intéressante.

L'épilogue est un vrai point final au roman où il n'y a pas de place au doute et où le lecteur obtient toutes ses réponses.

Pour ma part j'ai bien aimé.

🧟‍♂️ L'homme des morts - V.M.Zito 🧟‍♂️

Traduction : Patrick Imbert @livredepoche



Résumé :

L'infection zombie a séparé les États-Unis en deux. À l'Est, la Zone Libre, complètement bloquée : personne n'y entre, personne n'en sort. À l'Ouest, la Zone Occupée, abandonnée aux morts. Henry Marco est malgré tout resté dans le Nevada. Mercenaire au service des familles de l'Est, il traque et tue les zombies qu'on lui désigne, permettant ainsi aux proches de faire leur deuil. Bientôt, le ministère de l'Intérieur le sollicite pour une mission délicate : aller en Californie où tout a commencé. Retrouver un homme. Rapporter un secret. Mais dans l'Ouest ravagé de l'Amérique, tout est possible. Surtout le pire…



Friande de dystopie et plutôt fan de zombies j'ai été attirée par le synopsis de ce roman. J'ai beaucoup aimé le début où l'on découvre ce monde ravagé et où l'on fait connaissance avec Henry Marco. Les choses se sont gâtées lorsqu'il est missionné par le gouvernement pour retrouver un médecin pouvant aider à trouver un vaccin contre le virus zombificateur. Tout d'un coup, tout n'est plus qu'actions et bastons, hémoglobine et fusillade, fuites et agressions. Pour le coup si vous voulez du rythme, vous allez être servi! Mais trop c'est trop, on arrive plus à suivre lol C'est au final un blockbuster en roman.



Si vous êtes fan de films d'actions et de zombies vous devriez y trouver votre compte.

Un bon moment de lecture pour ceux qui aiment l'univers zombies! Certes des invraisemblances (à mon avis inevitables concenrant ce genre de littérature) mais de l'action, de la profondeur dans les personnages (notamment Henry le perso principal) et du zombies... On tourne les pages sans s'en rendre compte, on voyage, on stress avec Henry et Ken, et on applaudit leurs exploits physiques et militaires... Bref un bon divertissement! Je recommande!!!

e début du livre met quelques pages à se mettre en place étant donné que Marco est seul et donc l’histoire est assez narrative. Mais cela permet de comprendre dès le début son mode de vie au quotidien. Puis Wu fait son apparition et l’histoire principale commence ..!



J’ai eu assez de mal à m’attacher à nos deux personnages étant donné qu’il s’agit de deux hommes très froids et loin d’aimer s’épancher sur leurs sentiments et ressentis. Mais plus la lecture file et plus on commence à en apprendre sur eux. Une des révélations sur Marco, que je ne soupçonnait pas (enfin pas entièrement on va dire) m’a, pour le coup, très touchée.



Ce que j’ai apprécié également, c’est le fait que dans ce livre les morts-vivants ont des caractéristiques que je n’avais pas encore rencontrées dans mes précédentes lectures. Je ne saurais expliquer quoi mais en gros, ils ont une géographie émotionnelle et inconsciente (il me semble que c’est plus ou moins comme ça que Marco nomme ce phénomène), et c’est grâce à cela que notre héros réussit à accomplir ses contrats et retrouver les zombies. Mais aussi, pour une fois, on en sait plus sur les origines de la « Résurrection« .



Attention, âmes sensibles, accrochez-vous l’estomac (ou ne mangez surtout pas avant ^^) car quelques scènes sont très faciles à se représenter grâce à l’écriture de l’auteur.



La fin m’a laissé un goût d’inachevé. Si l’auteur pouvait nous faire un tome 2 (même tout petit ^^) ça pourrait être cool car il me reste plein de questions en tête.
Lien : https://petitelectricedevien..

Henry Marco, ancien neurologue reconverti en tueur de zombies après une infection qui a divisé l'Amérique en 2 parties, se voit contraint à retrouver un homme à partir duquel toute aurait commencé.

Un départ plutôt accrocheur mais pas assez pour moi. Les première pages du livres m'ont semblé longues et je ne voyais pas comment l'histoire allait continuer. Je ne voulais pas d'un livre où un homme traque seul des zombies et point final. Mais ma ténacité à été bien vite récompensée. Lorsque notre héros se voit confier sa mission de sauvetage, l'histoire commence vraiment. Il fait la rencontre d'un homme dur et froid, Wu, qui cache bien des choses. Malgré son apparence austère et cruel, j'ai beaucoup aimé ce personnage. Il est très bien travaillé et à vraiment une profondeur, contrairement à Henry. Mais ce dernier se dévoile peu à peu, ce qui renforce le récit. Car le récit n'est pas vraiment compliqué. Les scènes d'attaques de zombies sont nombreuses, les morts sont violentes et très sanguinolentes. L'auteur, pour son premier roman, ne fait absolument pas dans la dentelle ! Et c'est comme ça qu'on se souvient d'un livre en général. Donc, c'est un bon point ! Autre bon point, l'action est rapide et il ne perd pas son temps en tergiversation (sauf au début...). La fin a été très riche en rebondissements et promets (peut-être) une suite que je lirais très sûrement.

En résumé un bon livre de zombies mais peut-être pas le meilleur.

L’Amérique a été la souche de l’infection zombie. Malgré cela, elle a réussi à la contenir en se coupant en deux. Abandonnant l’ouest des terres aux zombies. Ses survivants humains ont immigré à l’Est et se protègent derrière des murs qui leur garantissent la sécurité. (Du moins celle contre les zombies, pas celle contre les humains…) Sauf, notre héros, Henry Marco, ancien neurologue qui survit tout en travaillant pour l’est en exécutant certains morts. (wanted dead or dead) et ainsi apaiser les vivants en leur permettant de faire leur deuil. Un travail très dangereux, avec pour seul privilège d’être en ermite loin de la « civilisation » et de ses broutilles quotidienne et vital que la société à fait nous rendre dépendants.



Quatre longues années que Marco enchaîne les contrats sans soucis. Sauf que tout ceci n’était que le niveau facile, comparé à la mission « imposé » par Owen Osbourne directeur par intérim du Bureau de Coordination des Opérations (BCO), alias la sécurité intérieure. Cette mission va le faire retourner dans le passé. Un passé figé dans un mélange de colère, tristesse, nostalgie, mais surtout de non-dit causé par les émotions.

On dit souvent « au mauvais endroit au mauvais moment ». Mais c’est de même pour la communication → « si il où elle aurait dit ceci, ça aurait peut-être changé l’histoire, cela aurait peut-être coupé court, et il ne serait rien arrivé comme ce qui s’est passé. »

Mais les gens ne se disent pas tout, ils n’arrivent pas à s’exprimer, ou cachent des choses intentionnellement, telle une partie de cartes, dont le but est de gagner tout en gardant le maximum (de cartes) d’infos pour soi.



Un scénario post-apocalypse zombie original, très bien ficelé. L’ennui ne s’installe pas. Je me suis cru accompagnant le personnage principal dans sa traversée du désert Américain tellement que les détails sont explicites. Mais ça manque d’informations sur le comment ils ont bouclé les zombies aux USA, et qu’est-ce qui s’est passé dans les autres pays.

Le fil de l’histoire aurait pu prendre d’autre motif, tournant direct ou indirect, tel un jeu de rôles dont les dés du destin sont lancés par le maître du jeu. Tout cela aurait pu être plaisant à lire. Mais le scénario et événements choisi par V.M. Zito est excellent !!

J'ai vraiment aimer ce roman. L'approche du temps des fêtes me rappelle toujours des souvenirs de la série Walking Dead, alors la lecture de ce livre m'a plu. J'ai embarqué immédiatement dans l'histoire. L'action ne manque pas. En fait il y a de l'action de bout en bout. Un bon roman de zombies. Standard, mais efficace et plaisnat à lire. Un bon 4 sur 5 facilement pour moi.

Rien de mieux qu’un roman Z pour se détendre et s’estimer heureux qu’une apocalypse zombie ne soit jamais arrivée ! Cette fois-ci, j’ai jeté mon dévolu sur « L’homme des morts » qui rentre dans le cadre du Challenge ABC sur Babelio. J’ai ressenti quelques longueurs, mais dans l’ensemble, je suis plutôt satisfaite de ma lecture, d’autant plus que j’ai trouvé que le scénario changeait un peu des ouvrages habituels grâce à une approche différente. En effet, on ne va pas découvrir le début de l’épidémie : elle est déjà là et certains pays ont réussi à se mobiliser pour survivre. Il existe des zones de sûreté. Le reste n’est qu’un no man’s land hanté par les goules… Or, Henry Marco, le héros, est resté dans cet endroit peuplé de morts ! Il y est de son plein gré, car il cherche quelque chose afin de calmer ses démons intérieurs. Oui, on a encore le droit à un personnage principal au passé torturé, cependant on le comprend. Les nombreux flash-back ou ses réflexions au fil de l’aventure permettent au lecteur de cerner son mal-être, voire de faire preuve d’empathie. Au bout d’un moment, j’ai fini par le trouver attachant… Mais Marco n’est pas uniquement là pour affronter ses vieux démons, il est également chargé d’abattre définitivement les cibles qu’on lui indique (moyennant compensation, évidemment). Il finit le travail, remet les choses dans l’ordre et fait en sorte que le mort ne se relève plus. Ainsi, si votre mari/femme est un zombie, vous pouvez vous payer les services de ce mercenaire pour qu’il laisse définitivement votre conjoint six pieds sous terre…



L’ouvrage commence avec une belle tension dès le départ, puisque l’on assiste à la traque d’une des cibles à abattre. Bien sûr, survivre parmi les morts n’est pas facile. Ces monstres peuvent aisément se cacher ou ne pas être vus de suite… Or, si on ne perçoit pas le danger, celui-ci ne se gêne pas pour vous voir et ramper dans votre direction. J’ai trouvé la scène du lac très haletante ! Même si je me doutais de la tournure qu’allait prendre ce début, cela m’a donné des sueurs froides… La tension a continué de grimper avec l’intégration de nouveaux personnages, à commencer par un étrange commanditaire qui exige que Marco aille retrouver un scientifique ayant un rapport avec ce fléau. Notre cher héros n’a pas de chance, car tout le monde veut lui mettre la main dessus : en plus des goules qui veulent le déguster, le gouvernement, le sergent Ken Wu et des groupes armés sont à sa recherche. Ces trois derniers souhaitent l’utiliser pour retrouver le fameux scientifique… Chacun espère l’attraper avant l’autre. Une véritable course contre la montre mouvementée et détonante ! Le rythme est donc plutôt prenant et on s’attache lentement, mais sûrement à Wu qui se révèle être un espion chinois. Cette révélation nous est offerte dès le départ et j’étais régulièrement sur le qui-vive en me demandant comment Marco allait remarquer et réagir à ce traître qui aspire à le doubler ou à se servir de lui…



L’action est assez bien dosée et le scénario coule de lui-même. Le voyage ne se fait pas dans le calme et les dangers sont nombreux. Le passage du train m’a fait frémir. L’auteur propose vraiment de bonnes descriptions que ce soit les lieux, les scènes d’action ou les zombies répugnants. On imagine bien… Et on en redemande ! Avec une telle ambiance, je m’attendais à plus de rebondissements : on a finalement quatre gros événements qui chamboulent ce road trip infernal. Sur les cinq cent pages, je pensais trouver plus de petites rencontres. Tant pis ! Au moins, j’ai été charmée par cette idée de souvenirs dans le cerveau des zombies qui les guide instinctivement dans un endroit familier. La plume de V. M. Zito est prenante, toutefois le langage assez cru voire vulgaire peut déranger certains. Ce n’est pas mon cas, toutefois je tenais à le signaler. C’est vraiment une histoire de « mec » et de testostérone. Une femme n’aurait malheureusement pas sa place dans ce roman… Au moins, ça bouge et tout s’enchaîne. Bon, certes, les habitués du genre ne seront pas étonnés par le scientifique ni par ce qu’il a fait ou représente pour l’humanité. On n’innove pas, mais ça se lit bien. C’est l’essentiel !


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