Veronica Rossi

Une très très agréable surprise....

Habituée aux dystopies, je m'attendais à retrouver les mêmes thèmes, la même trame narrative.... je ne m'attendais pas à être surprise en somme.

C'est là que je me trompais....

Si le début rejoint nombre romans actuels - un univers hautement technologique coupé du vrai monde , celui-ci étant considéré comme délétère et toxique - la suite apporte une fraîcheur et une nouveauté euphorisantes. L'originalité absolue de Never Sky est d'avoir planté son décor non dans le monde futuriste d'Aria mais dans celui de Perry, un monde tribal, primitif aux valeurs ancestrales.

Un monde un peu sorcier où les habitant privilégiés sont dotés de pouvoirs suprasensoriels; un monde gouverné par des sentiments bruts à l'opposé de l'univers virtuel et technologique d'Aria.....

La rencontre de ces deux êtres opposés, de ces deux mondes opposés donne magie, mystère et tension au roman.

Aria et Perry sont des personnages intéressants, touchants, qui évoluent au contact de l'autre, en s'adaptant à l'univers et aux habitudes de l'autre.

Une alchimie romanesque qui finira par une alchimie amoureuse.

Un roman de survie, de tolérance; de combat, d'initiation faisant l'apologie de la nature....

Un roman intelligent qui fait mouche

Je me suis vraiment prise au jeu de ce roman, je l'ai littéralement dévoré !



Je suis pourtant bien en peine de vous dire pourquoi, il y a une certaine alchimie difficile à exprimer qui est en œuvre et à laquelle j'ai succombé.

La narration alternée entre Aria et Perry n'y est certainement pas pour rien, j'aime avoir les points de vue des deux protagonistes. Surtout que j'ai bien accroché avec les deux parties, et pour une fois à parts égales et sans déséquilibre. Les deux personnages sont aussi intéressants et attachants l'un que l'autre à mes yeux.



J'ai apprécié aussi cet univers dystopique qui s'éloigne un peu de ce que l'on a pu voir jusque là. Le monde en dehors des Capsules où vivent les privilégiés est vraiment rude et pas seulement à cause des conditions de vie dans la nature ou du climat, il y a de vrais dangers et un aspect sauvage même chez l'homme qui donnent une belle tension durant le périple des deux héros.

Ce n'est donc pas aussi gentillet que certaines autres dystopies jeunesse et c'est appréciable.



Ajoutons qu'entre Perry et Aria il y a vraiment quelque chose de particulier et que c'est assez addictif. Ils sont à la fois si différents et si faits pour être ensemble qu'on ne peut que savourer !



La fin nous donne envie de nous jeter sur la suite pour prolonger le plaisir et savoir ce qu'il advient de nos deux héros mais on risque d'attendre le second tome n'est paru qu'en janvier en VO :s
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Dans never sky , il y a deux mondes bien distinct , celui d'aria ( et des autres comme elle) qui habite dans capsule ( une sorte de bulle protectrice) , où les personnes sont protégées de l'ether , des maladies et peuvent aller d'un univers à un autre grâce à leur SmartEye où tout est beau , possible et réalisable mais ce n'est qu'illusion ...

Celui de Perry ( et des autre comme lui )est bien sûr l'opposé de celui d'aria , ils ne sont pas protégé de l'Ether mais le subissent , il y a beaucoup de dangers et ne sont pas épargner des maladies ...



J'ai beaucoup aimé suivre à tour de rôle le point de vu d'aria et de perry , j'aime quand je lis un livre où on peut avoir plusieurs points de vue et pas qu'un seul , je trouve que ça donne beaucoup plus à l'histoire ...



On rentre dans un monde post- apocalyptique , intrigant, captivant et passionnant avec de nombreux rebondissements et des personnages très attachants , il n'y a pas de temps mort dans l'histoire, il se passe toujours quelques chose .



Aria est un peu naïve et fragile au début mais au fil des pages , on va la voir apprendre à être plus forte et à s'adapter à un monde qui lui est totalement étranger et hostile.. un monde où la technologie est inexistante , où il va falloir qu'elle apprenne à survivre ...



Perry a un fort caractère , c'est un dur a cuir avec beaucoup de courage, il voue une haine envers les personnes comme aria et va être assez hostile envers elle lors de leur rencontre ... mais sous sa carapace dure se cache un tout autre homme : sensible , attachant et prêt à tout pour sauver son neveu et c'est grâce à aria que nous le découvrirons...





J'ai énormément aimé leur histoire d'amour , l’évolution de leurs sentiments n'est ni trop vite , ni trop lente.. j'avais hâte à chaque fin de chapitre de lire le suivant , c’était une torture de le lâcher



Ce que j'aime dans les dystopies c'est de découvrir à chaque fois un nouveau monde imaginaire. Dans never sky, le côté dystopique n'a pas été assez mis en avant mais cela ne m'a pas empêché de me plonger à fond dedans.



L'ether qui altère le climat et à priori bien d'autres choses a beaucoup attisé ma curiosité et j 'espère en découvrir plus sur les tempêtes d’Ether et ses origines dans le tome 2
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Cette série me faisait de l'oeil depuis un moment déjà, de par sa couverture qui a attisé mon envie mais aussi de par un résumé alléchant.

Je ne suis pas déçue de ce 1er tome qui nous offre un univers intéressant et intrigant.

Si le récit souffre de quelques longueurs, il n'en n'est pas moins addictif.

Le reproche que je peux faire cependant est que l'environnement dans lequel Aria vit, "Les Domaines", n'est pas assez exploité : que font-ils, comment se déroule leur journée, quelles relations ont-ils les uns les autres...on ne sait pas grand chose et c'est bien dommage.

Néanmoins, les personnages sont intéressants. Si certains qualifieront Aria de prime abord comme quelqu'un de trop naïf ou trop sensible, n'oublions pas qu'elle a toujours évolué dans un milieu stérile de questionnement, tout est contrôlé, et elle ne connaît rien du monde extérieur. Mais je trouve qu'elle évolue plutôt bien, et fait preuve d'un courage assez remarquable.

Perry est un personnage que j'aime beaucoup, tout comme Roar mais je veux connaître davantage ces marqués, et j'attends de voir comment Cinder fera face à son don.

J'espère avoir des informations supplémentaires quant à l'origine des sens, de la pluie d'éther, des relations entre les tribus, comment certaines personnes ont été amenées à être des Freux ? encore beaucoup de questions en suspens, mais une bonne impression générale pour ce 1er tome.

Ce troisième tome conclut les aventures d’Aria et de Perry sur les chapeaux de roues. Comme dans les premières opus, leurs voix alternent le récit et permettent de se faire une vision plus globale de la situation. On suit leur recherche du Calme Bleue, leurs multiples péripéties, leurs erreurs comme leurs joies.



(Suite de la chronique en cliquant sur le lien)
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Rêverie n'existe plus, détruite par une tempête d'éther. Les Sédentaires et les Sauvages sont obligés de vivre, plutôt survivre ensemble.

Les rescapés de Rêverie et ceux de la tribu des Littorans ont trouvé refuge dans une grotte proche de la mer. Ils n'ont plus le choix et doivent à tout pris trouver où se cache le Calme Bleu. Et les seuls qui savant où ils se trouvent sont Sable et Hess qui détiennent Cinder.

Perry, Aria et Roaor mettent au point une mission pour le délivrer, trouver les coordonnées du Calme Bleu et des aéroflotteurs.

Mais la vengeance est tenace et Roar fait capoter la mission. Ils vont devoir faire des concessions pour arriver à leur fin.



J'attendais avec impatience ce dernier tome pour savoir la fin des aventures de Perry, Aria, Roar et Soren. Malgré une intrigue toujours en mouvement, j'ai eu l'impression de tournée un peu en rond dans ce tome. Je l'ai trouvé moins prenant. Toutefois, il se laisse lire avec plaisir et offre une vraie fin à cette trilogie.

cela faisait longtemps qu'il était dans ma wish list et j'ai profité de ces vacances pour débuter la saga.

J'ai vraiment beaucoup aimé, surtout le personnage de Perrygrine qui est assez complexe et évolue au fur et à mesure de l'histoire. L'histoire dystopique est assez originale et finalementt plutôt réaliste.

Je me suis arrêtée au tome 2, qui m'a plu également mais est un peu plus longuet au niveau de rythme je trouve...

Je suis sure au final que le lirai ce 3ème tome, ce n'est qu'une question de motivation, hein ??

Après avoir dévoré le premier tome en deux jours, j'ai fait lu celui-ci, d'une traite en 8h.

L'histoire est encore plus riche que dans le premier tome en action, rebondissements, sentiments et découvertes. Elle ne se déroule quasiment qu'à l'extérieur à part quelques mini escapades dans les domaines et j'ai beaucoup aimé. Je pense que j'y ai retrouvé tout ce que j'aime dans ce genre de roman: un monde post-apocalyptique (tempêtes d’éther, famine, attaques,...), des capacités particulières chez nos personnages (vive l'évolution :p ), des aventures, de l'amour...



Aria à déjà beaucoup évolué dès les premiers chapitres, toujours aussi courageuse mais beaucoup plus dangereuse, elle est devenue une excellente guerrière et a pris beaucoup plus confiance en elle tout en étant perdue et en cherchant sa place dans ce nouveau monde. Perry, lui, à du mal à trouver sa place en tant que Seigneur de sang et il aura beaucoup d'épreuves à traverser, j'ai aimé son caractère fougueux et têtu, qui agit sans réfléchir et fonce tête baissée peut importe le danger. Un homme en qui on peut avoir confiance, mais un bon chef pour autant?? Roar mon préféré est toujours fidèle à lui même, drôle, insouciant. Enfin c'est ce qu'il laisse paraître parce qu'on découvre une autre facette de sa personnalité qui rappelle un peu Perry. Son amitié avec Aria m'a énormément touchée, ils sont devenus tellement proches! Pareil pour Perry et Aria, leur histoire d'amour m'a paru naturelle avec des hauts et des bas mais très forte, ils sont très liés et on le ressent bien.



Comme pour le premier tome, celui-ci ne s'arrête pas non plus à un moment crucial ce qui permet d'attendre avant de lire la suite. Mais j'ai quand même déjà hâte de me replonger dans leur monde, j'y suis tellement bien qu'il est dur de revenir à la réalité ensuite.



Que dire de plus à part que c'est un coup de cœur (au cas ou vous ne l'auriez pas compris), que la lecture est encore plus addictive et encore meilleure que celle du premier tome et que si vous avez aimé le premier tome, vous ne pourrez qu'adorer le deuxième!
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J'ai attendu que les 3 tomes de cette saga soient sortis avant de l'attaquer parce que je sentais que ça se lirait vite et j'ai bien fait!! Ce premier tome est exactement comme je l'attendais, divertissant, addictif et très facile à lire: je l'ai dévoré en moins de deux jours!!



J'ai beaucoup aimé l'originalité de personnes vivants dans des capsules et passant la plupart de leur temps dans des domaines virtuels, mais j'aurais aimé les visiter plus avec Aria avant qu'elle ne soit expulsée pour mieux ressentir son manque.



Je pense que les personnages, surtout Aria manquent un peu de profondeur mais ça ne gène pas tant que ça la lecture, j'ai de suite aimé Perry mais j'ai adoré Roar, un personnage qui apparait plus loin dans l'histoire et qui est très charmant. La romance entre les deux personnages principaux est sympa, pas niaise du tout.



L'histoire reste simple, en dehors du monde post apocalyptique (pas si horrible que je m'attendais), l'intrigue n'est pas très complexe, juste ce qu'il faut pour se distraire. N'empêche que je n'ai pas pu décrocher du livre avant de l'avoir terminé.



En conclusion, malgré quelques petits défauts que je n'ai remarqué qu'après la lecture et seulement en réfléchissant à ma chronique, j'ai vraiment beaucoup aimé ce 1er tome. La fin laisse présager un voyage intéressant que j'ai hâte de découvrir. Une dystopie sympathique mais trop rapide à lire.
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C'est un coup de coeur que j'ai eu pour cette trilogie captivante et distrayante! Un tome 3 à la hauteur les 3 tomes sont super, les personnages attachants. Une bonne trilogie, un bon auteur. Une écriture fluide, j'ai apprécié suivre ces personnages dans leur aventure et j'ai aimé le parti pris de l'auteur de faire un chapitre sur deux ; le ressenti d'Aria puis celui de Perry c'est très sympa d'avoir les deux point de vue! Ma seule petite déception est qu'il n'y a pas vraiment de surprise sur la fin.

L'histoire est sympathique, ainsi que le monde, mais me laisse loin du coup de coeur. On ne peut pas dire que l'originalité berce ce roman, ainsi que le suspens. Ceci étant, j'ai tout de même passé un bon moment de lecture et lirai certainement la suite.

Une écriture fluide et agréable ainsi que des personnages sympathiques font la force de ce roman, en revanche, le manque d'action et d'originalité ainsi qu'une romance trop présente le font faiblir...
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Aria et Perry sont à nouveau réunis et prêt à vivre leur amour au grand jour. Mais l'ether est de plus en plus menaçant, il faut absolument gagner au plus vite le grand bleu. Nos deux héros sont bien décidés à sauver tout le monde aussi bien les Litorans dont Perry est le seigneur que la centaine de sédentaires qu'ils ont sauvé lors de la chute de Rêverie.



Pour rejoindre le grand bleu, il faut en connaitre la position, trouver des vaisseaux pour transporter tout le monde et retrouver Cinder, leur ami qui contrôle l'ether. Toutes choses détenues par Hess, l'ancien consul de Rêverie et Sable le chef des cornans. Les deux s'étant allier.

La mission ne sera pas facile d'autant qu'Aria est blessée et que Roar et Perry n'ont pas encore fait le deuil Liv tuée par Sable.



J'ai dévoré ce troisième tome. Impossible de m'arrêter. Je l'ai trouvé très complet.

Il y a beaucoup d'aventure, ça n'arrête pas. Les événements et les rebondissements s'enchainent à toute vitesse d'autant que tout le roman est placé sous le signe de l'urgence. Il n'y a que quelques jours pour sauver tout le monde.

Comme dans les tomes précédents, j'ai beaucoup aimé les personnages. Tous sont bien campés avec leur caractère, leurs forces et faiblesses. Tous évoluent au cours du roman.

A l'exception de Sable qui est présenté comme un vrai méchant, je trouve que les autres personnages sont très nuancés, pas du tout manichéens.

Aria et Perry vont être bien mis à l'épreuve plusieurs fois séparés... mais par les événements pas par des hésitations, un triangle amoureux ou autre comme trop souvent dans les romans pour ados.

Là, les personnages ne compliquent pas inutilement les choses : ils s'aiment mais ils doivent aussi rejoindre le grand bleu et permettre à toute la population des grottes de le faire avec eux. Ils savent que cela nécessite des sacrifices. Le plus grand sacrifice étant celui de Cinder seule personne capable de contrôler l'ether.

J'ai beaucoup apprécié les autres personnages. Roar, avec son chagrin furieux, est très intéressant à suivre. De même que Soren qui est peut-être le personnage qui évolue le plus, présenté comme totalement insouciant et très violent dans le premier tome, il prend une dimension nouvelle dans le troisième.



Une petite critique : comme très souvent dans la SF pour ados, je trouve qu'on ne se préoccupe que d'une toute petite partie du monde : on a connaissance des habitants de deux capsules et de deux tribus, est-ce que ce sont réellement les seuls survivants de la première apocalypse ? C'est peut probable. Que deviennent les autres, que se passe-t-il sur les autres continents ?



Je pense que ce troisième tome est le dernier. Bien sûr, tout ne finit pas bien pour tout le monde. Ca m'aurait plus mais ça aurait été plus réaliste mais on quitte les personnages en sachant ce que chacun va devenir. Pourtant, j'aurais aimé en savoir plus sur la nouvelle société qui va se construire.





J'ai beaucoup apprécié cette trilogie, chaque tome est différent. Les personnages évoluent beaucoup? Les situations aussi. Après un premier tome où j'avais surtout retenu une impression de déjà-vu, je suis revenue complètement sur cette première impression pour relever surtout les cotés originaux.



Je retiens surtout que j'ai dévoré les trois tomes. Faisant passer le deuxième et le troisième tome sur le haut de ma PAL dès que j'ai pu mettre la main sur les romans.



S'il y avait un quatrième tome, ce qui est peu probable, je me précipiterai dessus aussi vite.


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Une nouvelle trilogie fini, et j'ai de nouveau le cœur brisé. Never Sky est vraiment une superbe trilogie, qui m'a happée pendant ces trois tomes.

On sent bien que les personnages changent, qu'ils gagnent en maturité. Veronica Rossi décrit ces changements à merveille, et elle a même réussi à me faire aimer les "méchants" : ils prennent en humanité, et on comprend pourquoi ils agissent d'une certaine manière.

Perry et Aria deviennent encore plus proche, et j'adore leur relation. Elle est simplement magnifique.

J'ai eu le souffle coupé pendant ces 350 pages, que je n'ai pas vu passer. Ce dernier tome est riche en rebondissements et coups de théâtre. Il y a juste un petit truc à la fin qui m'a gênée, que j'a trouvé trop simple, mais j'ai tout de même adoré cette fin.

J’aurais aimé que cela dur plus longtemps, mais tout a une fin... Never Sky est une trilogie que je ne suis pas prête d'oublier.

Une bonne lecture.

J'en attendais beaucoup de ce roman au vu de son succès mondial et avait hâte de le lire. Et pourtant, j'ai eu beaucoup beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire au début, ce n'est qu'après 100 pages que j'ai commencé à accrocher.Le point de vue à la 3ème personne m'a aussi beaucoup perturbée pour un roman dystopique. Petit à petit, l'histoire est devenue plus prenante et les dialogues entre Aria et Perry m'ont amusés. L'humour de l'auteur fait du bien et rend l'histoire plus vivante. Cependant, après beaucoup d'action, l'histoire s’essouffle et les longueurs sont de retour, c'est bien dommage. Je lirai certainement la suite mais la fin du roman ne m'a pas rendue impatiente de poursuivre.

Ce tome est le dernier de la série et j’avais très envie de connaître la suite La Perry et d’Aria. Sitôt arrivé, sitôt dévoré.



Je ne vous fais pas de résumé perso, la peur du spoiler tout ça, vous commencez à être habitué maintenant.



J’ai retrouvé Aria et Perry avec plaisir, et pour une fois je n’ai pas eu trop de mal à me remémorer ce qu’il c’était passé dans les tomes précédents. Je me souvenais où ils en étaient arrivés, et où ils voulaient aller. Bon dans ce genre de livre on sait qu’ils vont y arriver mais on ne sait pas comment ni avec quelle perte, oui parce qu’il y a toujours des pertes.

J’aime toujours autant les personnages du livre, autant les principaux que les secondaires, qui sont tous très complexes et attachant, j’ai donc adoré les suivre, les voir évoluer, et faire des hypothéses sur comment allait changer leurs relations. Et j’ai eu le temps de le faire parce que j’ai trouvé le tome un peu long. J’ai eu l’impression qu’il traînait un peu en longueur, avec des événements dont j’aurai personnellement pu me passer. Par contre je n’ai pas été déçue par la fin, elle correspond à ce que j’attendais de ce livre, même si j’aurai bien aimé qu’un point se passe différemment mais que malheureusement on ne pouvait pas éviter.

Dans l’ensemble ce livre clôture bien la saga, il est fidèle à l’esprit des la série, aux caractères des personnages et j’ai été contente de sa fin.

Une série que je recommande vraiment.
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J'avais bien accroché avec le premier tome de cette saga dystopique et j'ai donc été ravie de replonger avec Aria et Perry pour ce second volet.



Au niveau de l'intrigue on reprend au moment où l'on avait refermé le tome précédent et on enchaîne donc sans coupure.

Aria doit repartir dans le monde sauvage sous mission contrainte ce qui va l'éloigner de Perry aussi bien par dissimulation que par buts qui divergent ensuite.

De son côté Perry doit assumer sa tribu et le quotidien de celle-ci tout en gagnant sa place de chef aux yeux des membres.



Ce tome nous permet également de mieux découvrir Roar, personnage attachant qu'on a déjà croisé dans le tome précédent. Pour ma part j'ai pris plaisir à comprendre son passif et la situation délicate qui le préoccupe.

Pour le reste la relation entre Perry et Aria est difficile et même souvent tendue. Leurs objectifs à courts termes divergent et les éloignent un temps ce qui engendre pas mal de frustration et d'incompréhension entre eux.



Nos deux héros ont bien évolué, Perry a plus de responsabilité et perd de son mystère avec ce tome pour montrer un visage plus humain et plus accessible et Aria s'est endurcie en gagnant en maturité.

Le monde lui aussi change et la situation climatique s'aggrave de jour en jour ce qui accentue la pression de toute part, la survie humaine est en jeu et l'enjeu s'accélère avec ce tome.



Sans vous en dire trop je me suis régalée avec ce second tome comme avec le précédent. Si l'heure n'est plus à la découverte de l'environnement et des personnages on est toutefois bien accroché par l'intrigue et la tension mise en place. Ce tome voit naître une belle amitié entre Roar et Aria alors que la relation entre les deux héros est plus stagnante.

Reste à espérer que le final sera à la hauteur !
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Si je devais décrire Never Sky en un mot, ce serait "palpitant". Et pour cause, je n'ai fait qu'une bouchée de ce livre : en une journée, il avait été dévoré ! L'action est omniprésente et il est difficile de s'arrêter une fois qu'on l'a commencé. Il y a seulement quelques passages tranquilles, qui nous permettent de mieux comprendre les personnages principaux. Il y a vraiment un bon rythme.



La façon dont est écrite ce livre est assez spéciale : il est entièrement écrit à la troisième personne du singulier mais, à chaque chapitre, l'un des deux personnages principaux, Aria et Perry, est mis en avant. Ainsi, à chacun de ces chapitres, on se concentre davantage sur l'un des personnages et on a accès à ses sentiments, ce qui n'est pas le cas lorsque l'on suit l'autre personnage. J'ai beaucoup aimé cette manière de "mener" l'histoire. C'est très original.



Les personnages m'ont énormément plu. Aria est une Sédentaire. Habituée à la vie dans les Capsules, elle ne connaît ni la maladie, ni la douleur. Sa vie semble avoir toujours été bien protégée, jusqu'à qu'au moment où elle ne reçoit plus de messages de sa mère, qui a dû partir pour son travail dans une autre Capsule. Pourtant, dans le monde extérieur, appelé "L'Usine de la Mort" par les Sédentaires, elle réussira à s'adapter. Tout au long du livre, on suit son évolution, autant physique que mentale. De l'autre côté, on trouve Perry, un Sauvage, comme dit Aria. C'est un personnage tellement sensible et intéressant ! J'ai adoré le suivre. Les quelques autres personnages secondaires, Marron, Roar et même Lumina qui n'est pas physiquement présente, sont également très attachants.



La fin m'a entièrement satisfaite, car c'est une "vraie" fin, qui ne finit pas sur un cliffhanger. J'ai vraiment hâte de lire le tome deux !



En conclusion : Un premier tome qui m'a définitivement donné envie de lire la suite. J'ai passé un super moment de lecture !
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Il y a des dystopies sympathiques, intéressantes, mais pas forcément crédibles. Celle-là si! Car voyez-vous, l'ambiance générale est parfaite et le monde futuriste pourrait très bien exister. Car avec le trou dans la couche d'ozone, qui sait si nos descendants ne finiront pas par devenir eux aussi des Taupes, vivant dans des capsules à l'abri de ce ciel meurtrier? Ajoutez à cela des personnages qui ont une vraie personnalité, une vraie sensibilité, et une histoire qui leur est propre, et vous obtenez un récit d'une rare qualité! Alors, bien sûr, la romance entre Perry et Aria était plus qu'évidente dès le début, mais j'ai adoré la façon qu'a eu l'auteur de la faire apparaître, petit à petit, goutte à goutte, pour nous faire mourir d'impatience de la voir enfin apparaître! Bref, une excellente histoire, et maintenant j'attends la suite avec impatience!
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Oh, comme je suis déçue … d’avoir déjà terminé Nerver Sky ! Pourtant, au départ, ce n’était pas vraiment gagné ! J’aimais bien l’histoire, oui, mais sans plus. Puis, au fil des mots, je me suis sentie peu à peu captivée. Et à la fin du livre, j’étais tellement absorbée par l’univers de Veronica Rossi que je ne voulais absolument plus le quitter !



Souvent, quand je découvre une nouvelle saga dystopique, je ne peux m’empêcher de penser à celles que j’ai déjà lu … Et bien, ici, avec Never Sky, pas une seule seconde, je n’ai fait de comparaison avec ce que j’avais déjà pu lire ! Je dois dire que ça fait un bien fou de vivre pleinement une histoire sans en avoir d’autres en tête.



De plus, j’ai été vraiment étonnée de découvrir à quel point Never Sky était un récit d’une grande maturité. Il pousse le lecteur à réfléchir sur le monde, sur nos relations avec les autres et sur la vision qu’on peut avoir d’eux. Il nous montre que même dans un monde dévasté, il reste toujours une petite lueur d’espoir. Mais, attention, tout ça ce fait en subtilité, sans jamais tomber dans la niaiserie !



Pour ce qui est des personnages, ils m’ont (pratiquement) tous comblé ! Ils m’ont semblé terriblement vivants : ce ne sont pas que des personnages bourrés de qualités, ils ont aussi leurs défauts et s’en servent pour avancer ! Voici, en quelques mots, ce que j’ai pensé des principaux acteurs de cette histoire :



Aria : dès le départ, alors qu’elle se trouve toujours à Rêverie, j’avais senti qu’Aria était une rebelle dans l’âme. Selon moi, son exclusion n’est pas une renaissance mais est plutôt une sorte de déclic. Elle est forcée de révéler qui elle est réellement et se dévoile peu à peu. Ce que j’ai le plus aimé chez elle, c’est son entêtement. Un gros défaut, vous allez me dire ? Et bien, non ! Pour moi, c’est ce qui fait d’elle une véritable battante !



Perry : ah, Perry, humm … Grand, musclé, cheveux bonds en bataille, yeux vert d’une extrême intensité, … Comment voulez rester de marbre face à une telle description ? Sans oublier qu’en plus il a un côté Bad boy qui ferait craquer n’importe quelle fille (moi, j’ai bien craqué !). Évidemment, faire craquer les filles, c’est bien mais ça fait de Perry un coureur de jupons … Mais bon, on a tous nos défauts après tout.



Roar : plus haut dans ma chronique, je vous disais que pratiquement tous les personnages m’avaient comblé. Et bien, quand je vous dis « pratiquement », c’est à Roar que je pense. Il est sympa, c’est un bon ami et c’est voilà … Je n’ai tout simplement pas ressenti d’attache pour lui. Peut-être que ça s’arrangera dans la suite et que je le verrais différemment, je croise les doigts …



Cinder : d’apparence frêle, il cache, en réalité, un sacré mystère. J’attends énormément de réponses le concernant dans le prochain tome. Et j’espère bien qu’elles seront à la hauteur de mes espérances !



Bref, après une critique aussi positive, je ne pense pas vous étonner en vous disant que Never Sky est un coup de cœur ! En tout cas, à votre place, je guetterais les rayons de ma librairie préférée le 13 septembre. Et oui, on ne sait jamais, vu que ce livre est une petite pépite, il ne faut pas perdre une minute pour l’acquérir ! Néanmoins, il faut quand même que je vous prévienne : attendre la suite (prévue pour septembre 2013) ne sera pas du tout une partie de plaisir …
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Never Sky avait été un coup de cœur inattendu — inattendu car les romans jeunesse suscitent rarement mon enthousiasme à un tel degré —, et je trépignais donc à l’idée que le tome 2 sorte pour m’immerger de nouveau dans cette terre futuriste où l’éther meurtrier a conduit l’humanité à s’organiser pour survivre, certains, les Sédentaires, ayant eu le privilège (tout relatif) d’intégrer des capsules où ils surfent dans des mondes fictifs appelés Domaines, tandis que d’autres, les « Sauvages », doivent vivre dans une nature hostile.



La confrontation de ces deux manières de vivre conférait au récit une double appartenance, à la fois SF, avec la technologie de pointe des Sédentaires, et Fantasy du fait de ce retour à l’état de nature qui a contraint les exilés à se regrouper en clans et à adopter des us et coutumes tribaux.



Ajouté à cela, nous avions droit à une touche de surnaturelle avec les dons développés par de rares individus vivant hors des capsules, dont les sens s’étaient affûtés, faisant du peu d’élus des Marqués appelés Vigiles, Olfiles ou Audiles en fonction du sens exacerbé qui peut respectivement être la vue, l’odorat ou l’ouïe. Pour finir, une histoire d’amour remarquable s’était mise en place entre Aria la Sédentaire et Perry le Sauvage doublement Marqué. Ces deux personnages avaient chacun une belle profondeur ainsi qu’une maturité surprenante, leurs ressentis respectifs étaient magnifiquement dépeints par une alternance de points de vue portée par un style qui était une véritable poésie des sens.



Dans Ever Dark, on retrouve avec joie tous ces éléments, et l’histoire prend un nouveau tournant puisque Aria et Perry, qui avaient dû se séparer, sont réunis, mais doivent malheureusement prendre sur eux pour ne pas dévoiler leurs sentiments, car la tribu du jeune Seigneur de sang, les Littorans, éprouve une haine viscérale pour les Sédentaires. Perry, qui a acquis ce titre en versant le sang de son frère Vale, doit affirmer son autorité au sein de son clan, ce qui va s’avérer délicat malgré le soutien des Six, ses gardes personnels. En parallèle, Aria, qui a découvert qu’elle n’était qu’à moitié Sédentaire, et qui a développé un talent d’Audile, doit s’habituer à cette nouvelle existence en même temps qu’elle cherche le Calme Bleu, cet endroit utopique épargné par l’éther, qu’elle doit absolument retrouver pour sauver Talon, le neveu de Perry, des griffes du Consul Hess, celui-là même qui l’a bannie de sa capsule, Rêverie, en la faisant injustement passer pour une meurtrière.



Veronica Rossi n’a pas choisi la facilité dans cette suite, car au lieu de faire tomber les héros dans les bras l’un de l’autre, alors que ce n’est pas l’envie qui manque, elle les contraint à refouler leurs sentiments, et c’est une véritable torture à lire, d’autant qu’on sait que Perry est en symbiose avec Aria, que la moindre de ses émotions ne lui échappe pas. L’histoire d’amour est là, bien réelle et réaliste puisque la survie d’un clan entier doit passer avant ce lien particulier qui unit les deux protagonistes. On découvre l’organisation des Littorans au quotidien, le manque de nourriture dont ils souffrent à cause des orages d’éther qui détruisent leurs champs et brûlent les alentours. On se frotte à leur rudesse, à leur étroitesse d’esprit dont Aria fera les frais. C'est l'occasion de revenir sur les raisons abjectes qui ont conduit les dirigeants à mettre seulement une partie de la population en capsules.



Aria est une jeune femme vraiment touchante, elle a gagné en indépendance et elle est devenue plus dure ; c’est très agréable de la découvrir ainsi, d’autant qu’elle a conservé la gentillesse qui nous la faisait apprécier. Perry, lui, est un très beau personnage masculin, toujours aussi volontaire, qui fait passer l’intérêt des siens avant tout, même avant ses propres désirs. C’est un chef au sens noble du terme. Outre ces deux protagonistes, on retrouve Roar, l’ami d’enfance de Perry, un Audile, qui a gagné l’amitié d’Aria puisqu’ils ont passé plusieurs mois ensemble chez Marron qui les avait recueillis dans le tome 1. Leur relation est touchante, autant que celle amoureuse qui lie Perry et Aria. Roar est mis en lumière ici, et on apprécie de vivre par procuration ses retrouvailles avec Liv, la sœur de Perry qu’il aime plus que de raison.



L’action ne manque pas, et encore une fois la violence est explicite, pas atténuée pour épargner la sensibilité des jeunes lecteurs, ce qui ne servirait à rien tant on la conçoit sans mal dans un univers aussi sauvage. La quête d’Aria la conduit à s’éloigner de Perry, à rejoindre le territoire de Sable qui semble détenir le secret de la localisation du Calme Bleu. Jusqu’à la fin, les enjeux ne cessent de s’affiner, et des alliances improbables sont conclues. Tout cela promet un troisième opus formidable, Veronica Rossi sait indéniablement jouer sur la corde de l’émotion sans en abuser et elle a créé un monde menaçant qui rend tout plus intense, de la plus infime marque d'affection à la plus grande trahison.
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