AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Victor Hussenot (55)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Les étoiles du temps

Cette BD est plutôt une réflexion sur le temps qui passe que l'histoire d'un homme. Les moments qui passent vite, d'autres qui semblent interminables, les souvenirs qui se modifient, la notion du temps telle qu'on la perçoit et telle que le perçoit notre entourage, famille et amis. C'est très intéressant ces analogies avec le métro qui permet de voir passé et avenir. Une vision philosophie intéressante à découvrir avec un graphisme à dominante bleu qui permet d'imaginer un voyage dans l'espace...
Commenter  J’apprécie          270
Les amoureux

Ce week-end, j'ai pris beaucoup de plaisir à me laisser entraîner hors des sentiers battus par Victor Hussenot. Ses graphismes sont reconnaissables entre mille ; ils réinventent le support de la bande-dessinée en en bousculant malicieusement les codes à tous les niveaux – en s'affranchissant du texte, en faisant voler en éclat les sempiternelles cases, en proposant un dessin minimaliste au stylo bille, en entremêlant la forme et le fond…



C'est tout ce qui fait le charme et le sel de la vie amoureuse qui est évoqué ici, à hauteur d'enfant, à partir du principe simple qui a déjà fait le succès des albums précédents de l'auteur : deux personnages à peine esquissés, l'une rouge, l'autre bleu, dont les lignes se touchent, s'entremêlent, s'entrechoquent, évoluent de façon parallèle, divergent pour mieux se retrouver. le décor est réduit à sa plus simple expression, façonné avant tout par l'imagination des deux protagonistes – mais après tout : cette histoire n'est-elle pas universelle ? Avec la force des métaphores, les péripéties des amoureux restituent le partage des moments heureux et difficiles, la force de l'entraide, le bonheur procuré par les instants de complicité, la force de la relation face aux épreuves, l'envie de se lancer à deux dans des aventures un peu folles, d'inventer des rêves communs, de construire ensemble, mais aussi le besoin que peuvent avoir les amoureux les plus éperdus de ménager leur individualité…



L'espièglerie et la joie de vivre des deux amoureux sont très communicatives. Ces personnages, et d'ailleurs plus largement cette façon unique de dessiner qu'invente Victor Hussenot, sont une ode à la créativité et à la liberté qui donne envie de croquer la vie à pleines dent !



Un concentré de poésie à offrir, évidemment, aux amoureux de votre entourage. Mais aussi aux enfants qui se posent des questions sur l'amour. Et surtout à tous ceux qui aiment s'évader dans des dessins gribouillés au stylo bille dont ils sous-estiment peut-être les potentialités !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
Commenter  J’apprécie          252
Chemin des souvenirs

C’est la suite de “Au pays des rêves. Toujours aussi merveilleux, encore plus de richesse graphique, d’inventivité, un peu plus de couleurs pour encore plus de beauté, et une histoire fleur bleue qui nous émeut tellement son traitement est original, poétique et onirique.

Gros coup de coeur !
Commenter  J’apprécie          140
Au pays des lignes

Au pays des lignes, c’est un conte romantique sans paroles raconté avec un graphisme très original, ce choix graphique est en lui-même le sujet de cette histoire : Deux petits personnages, le garçon en bleu, la fille en rouge, tout est dessiné au trait, en deux couleurs, rouge et bleu, des traits jaunes arriveront par la suite. des hachures, des trait géométriques en contraste avec les formes naturelles, arbres, taillis, vallons, la circulation des personnages jouent sur les formes représentées, c’est un univers étrange simple et foisonnant à la fois, le jeu de ces traits de couleurs nous fait vibrer et rêver. C’est étonnant à quel point cette extrême simplicité de moyens arrive à provoquer autant d’émotions, grâce à cette richesse d’imagination associée à une belle sensibilité . J’ai adoré

Commenter  J’apprécie          140
La Casa

Bousculer nos repères pour insinuer la métaphore décalée et instiller un humour glacial qui confine au cynisme et à l'absurde: voilà le projet de ce jeune auteur dessinateur diplômé des beaux-arts de Nancy.



La page est dynamisée, elle devient un espace multi-dimensionnel, symbole de liberté et d'insouciance tandis que la case, c'est chez soi mais aussi le cadre qui établit les limites qui nous définissent, qui nous confinent: les modes, les habitudes, les œillères, les prisons intérieures ou pas.

On avait déjà vu des dessinateurs explorer des pistes en se servant du cadre de la BD lorsque le personnage s'y appuie, la perce ou s'y cogne: je me souviens entre autres de Gotlib qui a innové en la matière. Victor Hussenot va plus loin et utilise même la case comme une miroir sans tain. Elle voyage aussi dans l'espace de la feuille pour conquérir une position stratégique. Une sorte de mise en abîme la verra même transportée par des personnages à un autre endroit du livre. Une sorte d'hyperlien en mouvement. Ne soyez pas non plus étonné si les personnages de cette Bédé vous voient comme vous les voyez...



J'ai adoré cette double page recto verso où deux hommes regardent au-délà du bord de la feuille en déclarant: "Il paraît que de l'autre côté..." Au verso, deux autres penchés sur le même bord achèvent la même phrase "...c'est le néant". Référence existentielle.



Le dessin en noir blanc semble brouillon mais le trait est reconnaissable. À leurs débuts, des auteurs comme Reiser, Binet,... pouvaient aussi paraître peu fignolés mais leur crayon est maintenant admis et féroce.



Dans cette BD où les bords de l'image se voient bousculés, renversés, aplatis, roulés, décrochés, crevés, démontés, c'est autour de la case que se meuvent les personnages plutôt qu'en son sein réduit... Il serait difficile de faire preuve de plus d'imagination : un travail original à souligner. Si vous êtes lassé de Tintin, si êtes un peu Fluide Glacial, bref si vous voulez sortir du cadre normatif de la BD, celle-ci est pour vous.



Ajoutons encore que le livre est imprimé avec des encres recyclables et sur du papier aux normes FSC (garantie de la santé des forêts).



Mes remerciements à Masse critique de Babelio et aux éditions Warum.



Commenter  J’apprécie          120
Au pays des lignes

A partir d’un principe de base simple : une couleur = un personnage, Victor Hussenot entraine son lectorat dans une myriade d’aventures. Il construit des paysages de lignes tantôt obliques et anguleuses, tantôt rondes ou sinueuses parmi lesquelles les héros doivent se construire un chemin. Ils vont affronter des dangers, passer des étapes, surmonter des appréhensions, le tout sans qu’aucun mot ne soit retranscrit (les quelques bulles sont idiomatiques et imagées).



Un énorme COUP DE CŒUR en ce qui me concerne.
Lien : http://boumabib.fr/2015/01/2..
Commenter  J’apprécie          110
Récréation

Des jeux et des cases.



Des enfants s'amusent dans une cour d'école et aux alentours. Ils explorent une multitude de jeux de toute sorte.



Ils sont une poignée, toujours les mêmes. Le lecteur perçoit chacun avec la couleur de vêtement, mais aussi progressivement leur caractère.



Il y a ainsi un personnage qui se distingue rapidement des autres, c'est Paul. Il est grognon et très râleur. Souvent en retrait, il est le poil à gratter de la bande. Et il fume, comme pour rejeter le temps de l'enfance.



Ils vont se lancer aussi bien dans des jeux sportifs, de ballons ou de courses, d'équilibre comme 1,2,3 soleil, cache-cache ou encore des jeux de réflexion action comme "Jacques a dit" ou le chef d'orchestre.



Ces différentes scènes sont entremêlées des pauses en classe ou à la cantine ou chacun va contribuer à se singulariser que ce soit pour se fondre dans le groupe ou pour s'en détacher.



À chaque fois, l'auteur joue avec les ressorts de la bande dessinée pour apporter une dimension supplémentaire aux discours.



Les interstices sont autant de parcours rendus possibles. Nous trouvons des glissements, des ellipses et ainsi de très nombreux rebondissements. Le jeu est ici lié intrinsèquement à l'art de la BD.



Il est donc question de trouver sa place, entre exclusion, envie et coups vache. La nécessité de construire son identité va s'accompagner du besoin des personnages de se rebeller en seconde partie contre leur créateur.



Un livre joyeux et original qui évoque la liberté et ses limites et désigne l'art et la création comme outils de transgression et de jubilation.
Lien : https://www.nouveautes-jeune..
Commenter  J’apprécie          70
Clown

Un très très bel album, à mi-chemin entre la BD et l'album selon moi. Album, parce que il n'y a ni cases ni bulles et que le dessin s'organise librement, mais Bd quand même car il y a une taille des personnages, une progression narrative et des codes graphiques propres à la BD. En tout cas, j'ai adoré cette histoire. Une fois l'ouvrage lu, la couverture m'est "apparue" alors qu'au premier coup d'oeil je n'en avais pas perçu tout le sel. le travail très approfondi sur le trait, et comment celui-ci fait sens et nous fait nous imaginer un personnage, rappelle un peu la façon de Cavandoli. L'usage de la couleur uniquement pour le nez rouge et d'autres petits éléments est très finement utilisé. Quand au récit, c'est l'histoire d'un être hors norme, et qui peut voyager dans la page à son gré (ça m'évoque Imbattable, héros que j'apprécie particulièrement aussi). Il y a une ode à la joie, à la liberté, au plaisir enfantin de faire les choses "parce qu'on peut les faire".

Au final c'est le genre d'album où le créateur nous prend par la main, nous immerge dans son univers, et nous laisse penser avec lui. C'est ce qui est si jouissif. Quand à la fin, elle brise complètement le "quatrième mur", et c'est même plus fort que ça. Un bijou, à s'offrir et à offrir.
Lien : https://lireetclaire.wordpre..
Commenter  J’apprécie          70
Clown

Quelle petite merveille que cet album !

Nous suivons avec un immense plaisir les flâneries de ce clown farceur. Clown se compose de planches humoristiques en noir et blanc hormis le nez rouge du clown constituées d'histoires courtes qui liées entre elles forment une histoire. En quelques traits et avec une grande douceur, Victor Hussenot trace les aventures assez cocasses de ce clown farceur où se mêlent humour et poésie. Victor Hussenot dresse un très beau portrait du clown dans notre société. Les petites scènes croquées sont un véritable hommage aux artistes clowns.

Un magnifique album tout en poésie !



Je remercie les éditions La Joie de Lire et Babelio pour cette jolie découverte.
Commenter  J’apprécie          70
Les spectateurs

Un graphisme sublime mais je ne suis pas rentrée dans l'histoire. C'est très poétique mais ça ne m'a pas embarqué.
Commenter  J’apprécie          70
Clown

Clown est un métier, mais aussi une vie.



Un personnage, des planches humoristiques avec des histoires courtes qui liées entre elles dessinent une véritable histoire. Celle d'une rencontre, d'une famille et d'un choix d'existence.



En quelques traits et avec une ou plusieurs billes rouges, l'auteur esquisse avec finesse et dextérité des mimes. Les dessins, la plupart sans parole, sont souvent accompagnés de bruitage.



Le lecteur est fasciné par la manière dont l'artiste fait vivre et se mouvoir ses personnages, avec seulement deux couleurs.



C'est aussi un livre qui porte des valeurs. Celles de la famille avec la rencontre puis les enfants à qui sont transmis leur histoire et leurs compétences.



Mais aussi plus largement la question de la société, de la place de l'artiste, du corps et du rire.



Car Victor Hussenot semble nous inciter à voir autrement notre vie. Le personnage antagoniste contre lequel il se bat ne serait alors qu'un reflet, sérieux et ennuyeux de nous même.



À nous alors d'arriver à trouver et à porter notre propre nez rouge !
Lien : https://www.nouveautes-jeune..
Commenter  J’apprécie          60
Les amoureux

http://www.nouveautes-jeunesse.com/2019/09/les-amoureux-victor-hussenot-la-joie-de-lire-2019.html
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
Commenter  J’apprécie          60
Les étoiles du temps

Etes-vous plutôt chronophage ou vous prélassez-vous pendant les heures creuses, avez-vous peur de perdre votre temps ? Difficile à dire, pas le temps de se poser la question en fait. Arrêtons de perdre notre temps, et découvrons « Les étoiles du temps », il ne faut plus gaspiller son temps, et ne pas oublier que le seul qui a de l’intérêt est celui que nous avons envie de vivre, chaque jour, en toute sérénité.

Une BD portée par un graphisme étonnant. Celui de l’enfance est doux et chaleureux, celui de l’urgence a des dominantes de rouge et noir, celui de l’inquiétude aussi, puis de la sérénité bien sûr. Un peu perplexe au départ j’ai apprécié cette représentation de nos angoisses et de nos craintes, Victor Hussenot nous permet de les matérialiser et sans doute de les éloigner, au moins pour quelque … temps !


Lien : https://domiclire.wordpress...
Commenter  J’apprécie          60
Les spectateurs

Une poésie finit poussivement par s’extraire de cette succession de plans hétérogènes, mais sa petite musique peine à se faire entendre.
Lien : http://www.bodoi.info/les-sp..
Commenter  J’apprécie          60
Clown

Un bel album sans texte tout en noir et blanc mis à part le nez de clown et quelques balles.



Un album doux et poétique, sur un être rêveur qui ne désire qu'apporter un peu de légèreté dans la vie de ceux qui l'entourent, connus ou inconnus.



C'est simple aéré et aérien. Des scènettes sur une ou plusieurs pages, comme un spectacle de mimes qui nous fait retrouver notre âme d'enfants.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
Commenter  J’apprécie          40
Les amoureux

Victor Hussenot propose un livre qui utilise les codes de la bande-dessinée pour s’en affranchir. On peut aussi considérer qu’il a puisé dans la narration des albums pour enfants et s’en est inspiré. Tantôt utilisant la page dans son entier, tantôt sortant du cadre ou créant des bulles, l’auteur choisit de ne pas s’enfermer dans un style et exploite l’ensemble des possibilités de la page blanche.



Une ode à la création et au petit dessin de bas de page de vos cahiers qui prend vie sans que vous vous en rendiez compte.



Un véritable COUP DE CŒUR pour ma part et un auteur à découvrir si vous ne le connaissez pas !!!



[Chronique complète en cliquant sur le lien]
Lien : http://boumabib.fr/2019/11/0..
Commenter  J’apprécie          40
Les spectateurs

Élégant, mais pas totalement abouti, Les Spectateurs impressionne au premier abord, mais peine à convaincre quand l'aube point.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
Commenter  J’apprécie          40
Récréation

J'ai découvert le travail de Victor Hussenot avec sa première bd Au pays des lignes et j'aime toujours autant sa créativité et sa capacité à se réinventer au fil de ses albums.

Dans cette bd, on retrouve en première partie un catalogue des différents jeux de cour de récréation connus de tous ; le tout par le prisme d'une bande de petits personnages masculins identifiables par une couleur unique à chacun.

Puis l'histoire bascule dans la deuxième partie où les interactions entre les personnages et leur environnement ne se réfèrent plus à l'école mais à la bd elle-même. L'auteur entrave son fil rouge par une mise en abîme de la création artistique et des codes de la bd assez loufoque. On peut avoir du mal à comprendre où il veut nous emmener au départ mais on se laisse franchement gagné par le graphisme impeccable, les trouvailles sur les cadrages et l'idée qu'un personnage prenne le contrôle de la création... mais est-ce réellement possible ?

En tout cas, cette bd est à explorer de la couverture à la 4e de couv en passant par toutes ses pages et donne envie de s'amuser avec les codes de la littérature.

Une lecture que je recommande à partir de 12 ans pour en comprendre tous les tenants et aboutissants.
Lien : http://boumabib.fr
Commenter  J’apprécie          32
Les spectateurs

Étrange lecture. Entre poésie et philosophie la douceur du graphisme laisse une impression un peu en suspens. L’interrogation de l’auteur sur la ville et ses métamorphoses est multiple si bien que j’ai eu le sentiment que ça partait dans tous les sens, ça fuse sans beaucoup de cohérence, comme une évolution inachevée, flottante et hésitante. Un peu à l’image du titre je suis restée spectatrice de cette lecture, observatrice perplexe.



Commenter  J’apprécie          30
Récréation

« Récréation » est une bande-dessinée que l’on m’a offerte. Elle est réalisée par Victor Hussenot, un auteur que je ne connaissais pas. Si sa couverture rappelle l’image, justement, d’une cour de récréation, on remarque en bas un petit personnage qui marche et une bulle avec un « ha ha ha » en hors champ. Curieux. En feuilletant l’ouvrage, c’est la même chose. On voit des saynètes, parfois déconstruites et on se demande bien ce que l’on va lire. Le tout est publié à La Joie de lire et pèse 120 pages.



Tout commence par des jeux. Six enfants jouent. À chaque fois, un jeu (classique) est présenté : la marelle, le « Jacques a dit », cache-cache… En haut des pages, une description des jeux. Sur la page, leur illustration avec les personnages. Mais à chaque fois, la page en elle-même vient perturber le déroulement des événements, à la façon de « Imbattable » de Pascal Jousselin. Les entre-cases, les blancs de la page, les bords de case, tout vient perturber le bon déroulement des activités…

On pourrait croire que c’est ce va être cet ouvrage : des jeux empêchés par un détournement de la bande-dessinée. Mais lors des pauses entre les jeux, un personnage, Paul, ressent un malaise. Il s’ennuie, se met à l’écart, fume. Seul Julien voit cela et essaie de le comprendre. C’est alors que, peu à peu, tout va déraper…



« Récréation » est à prendre sous plusieurs angles. Outre l’action qui est décrite, on peut le voir comme une re-création, voire une récréation pour l’auteur ! Car cet ouvrage est à mettre à côté de tous ces ouvrages expérimentaux qui s’amusent avec les codes du genre. Si cela a déjà été fait, c’est toujours un plaisir de voir son médium préféré être détourné. Le lecteur devient complice de tout cela. Au final, « Récréation » est une réussite qui nous fait toujours nous demander comment cela va finir. La deuxième partie est haletante, virtuose même, et son suspense vous donnera envie de tourner les pages rapidement. Mais celles-ci se révèleront si riches qu’il faudra prendre le temps de les scruter.



Le dessin choisi par Victor Hussenot est assez simple. Les personnages sont petits, presque schématiques, identifiés par une couleur. C’est un peu perturbant au début, mais nécessaire pour qu’il puisse y déployer ses idées. Dans la deuxième partie, l’auteur déploie des trouvailles graphiques plus riches. Bref, le dessin est au service de la narration et c’est toujours bien quand c’est comme ça !



« Récréation » est un ouvrage surprenant. Je ne savais pas dans quoi je mettais les pieds et j’ai eu le plaisir d’être surpris et malmené. Fondamentalement expérimental, l’ouvrage a sa place parmi tous ceux réalisés notamment lors de l’avènement de l’Association (je pense à Trondheim, mais aussi Marc-Antoine Mathieu par exemple). Un ouvrage réussi, qui mériterait sans doute plus de visibilité.
Lien : https://blogbrother.fr/recre..
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Victor Hussenot (128)Voir plus

Quiz Voir plus

Le Cid (Corneille)

Que signifie "Le Cid" en arabe ?

le seigneur
le voleur
le meurtrier

10 questions
847 lecteurs ont répondu
Thèmes : théâtreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}