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Citations de Victoria Schwab (1139)


-Je me souviens de toi.
Cinq mots assez puissants pour faire basculer le monde.
« Je me souviens de toi. »
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— J’ai un visage fait pour la sépia , a-t-il plaisanté.
— C’est toujours mieux qu’un visage fait pour la radio, a répondu Addie.
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Certaines gorges sont faites pour être tranchées.
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Quand absolument personne ne nous comprend, c'est souvent le signe qu'on fait fausse route.
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- Ca ne te déranges pas, que tout le monde ait des croyances différentes ?
- Non, pourquoi ? En réalité, nous croyons tous les mêmes choses, mais nous les désignons simplement sous des noms différents. Rien de bien méchant …
Lila poussa un grognement désabusé. Si seulement les habitants de son monde se montraient aussi indulgents …
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Les Arnésiens avaient le choix entre une dizaine de façons de dire "bonjour", mais ne disposaient d'aucun mot pour "au revoir". Quand ils se quittaient, ils disaient parfois vas ir- en paix, ou plus souvent anoshe- à bientôt.
Anoshe convenait pour des inconnus dans la rue, les amants entre deux rendez-vous, les parents et leur enfants, les amis et la famille. Souvent accompagnée d'un signe de tête prudent face à la certitude du jour présent et au mystère du lendemain, la formule atténuait l'impact de la séparation et apaisait les tensions. Quand un ami partait avec peu de chances de revenir, les Arnésiens disaient anoshe. Quand un être cher mourait, ils soufflaient anoshe. Quand des cadavres étaient incinérés, leurs corps rendus à la terre et leurs âmes aux flots, les endeuillés disaient anoshe.
Anoshe apportait du réconfort, de l'espoir, la force de lâcher prise.
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Je suis plus fort que ton que ton diable. Je suis la nuit privée d'étoiles, les racines sous la terre. Je suis à la fois promesse. et potentiel. Quand il sagit de jouer, c'est moi qui dicte les règles, choisis les pions et décide quand commencer la partie. Et, ce soir, je dis non.
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Ils sont Orphée et elle, Eurydice. Chaque fois qu'ils se retournent, elle est fichue.
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Il n'a pas assez de temps devant lui et il sait, bien sûr, qu'il n'en aura jamais assez. Que tout s'arrête toujours trop tôt, une seconde avant qu'on ne soit prêt. Que la vie, c'est toujours une minute de moins que le temps qu'on aurait voulu avoir.
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Comment marche-t-on jusqu'au bout du monde ?
[...]
Pas après pas.
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Que tu sois un monstre ou un humain, la vie est une expérience douloureuse.
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Tout le monde pense que la photographie reflète la réalité, mais non : elle n’est qu’un mensonge très convaincant.
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Tout s'arrête toujours trop tôt, une seconde avant qu'on ne soit prêt. La vie, c'est toujours une minute de moins que le temps qu'on aurait voulu avoir.
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À quoi bon planter des graines ? Pourquoi s'en occuper ? Pourquoi les faire pousser ? Puisque tout finit par se désagréger. Par mourir. P.581
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Ils tentent de sauver son âme, comme si elle ne l'avait pas déjà vendue.
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Même si survivre n'était pas simple, ni facile, ni juste. Bien qu'il ne puisse jamais être humain. Il voulait avoir une chance de compter. Il voulait... vivre.
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— Je vous prie de m’excuser pour mes actes de ce soir-là. Je n’étais pas moi-même.
— Quant à moi, je vous prie de m’excuser de vous avoir tiré dans la jambe. J’étais moi-même.
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Il existe toutes sortes de silences.
Il y a le silence épais des lieux fermés depuis longtemps et le silence étouffé des oreilles bouchées. Le silence en creux des morts et le silence pesant des mourants. Il y a le silence vide de celui qui a cessé de prier, le silence éthéré d'une synagogue déserte et le silence retenu de quelqu'un qui se cache de lui-même.
Il y a le silence gêné qui remplit l'espace entre deux personnes n'ayant tout bonnement rien à se raconter. Et le silence tendu enduré par ceux qui, au contraire, ignorent par où commencer.
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Être à l'abri n'est pas synonyme de bonheur, ni de bien-être, ni de bonté.
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Son coeur est fêlé. Il laisse entrer la lumière. Il laisse entrer les tempêtes. Il laisse tout entrer.
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