Citations de Vincent Delmas (35)
Si les gens les plus fortunés de Grande-Bretagne sont les plus heureux au monde, les millions de délaissés y sont également les plus misérables...
Les Américains ont d’immense ressources, qu’ils n’emploient pas toujours à bon escient.
La violence est la vérité de la politique.
L'Accord de Munich est une lâche capitulation. Le Premier Ministre s'est comporté en petit conciliateur, qui nourrit le crocodile en espérant être mangé le dernier. Car croyez-moi, le crocodile compte bien croquer l'Europe toute entière !
Les gens n’aiment pas la défaite, et n’aiment pas les explications qu’on leur donne, si convaincantes soient-elles. La seule réponse que l’on puisse donner à la défaite, c’est la victoire !
[Churchill] Certains hommes changent d'opinion par amour pour leur parti. Moi, j’ai trouvé plus cohérent de changer de parti par amour de mes opinions !
Je sais que mon corps est celui d'une faible femme, mais j'ai le cœur et l'estomac d'un roi !
Si un gouvernement est obligé de regarder en permanence par-dessus son épaule, de peur d’être poignardé dans le dos, comment lui sera-t-il possible de garder l’œil sur l’ennemi ?
N'importe qui peut retourner sa veste, mais il faut une certaine adresse pour la remettre à l'endroit !
Je trouve le Traité de Versailles absurde et pervers ! Absurde, parce que condamner l'Allemagne à payer un tribu qui compense les coûts d'une guerre moderne est illusoire. Et pervers parce qu'il ne peut aboutir qu'à un seul sentiment ! La rancœur !
LENINE :
La violence est la vérité de la politique.
Une reine autorisant l’exécution d’une autre reine ? N’y comptez pas !
La couronne d'un roi est plus éblouissante à regarder qu'elle n'est légère à porter. Et aucun joyau n'a pour moi plus de prix que l'amour de mon bon peuple.
- Prenez garde, Robert Dudley, ce qui autrefois était tenu pour taquinerie par la princesse pourrait bien être considéré comme un offense par la reine.
Ces variations de la foi officielle sont désastreuses. Réalisez-vous cher Comte de Bedford, que le père d’Elisabeth m’a fait emprisonner pour mes opinions… Que sa sœur m’a rétabli et qu’aujourd’hui Elisabeth me démet de mes fonctions d’archevêque d’York. Je vous assure pourtant avoir toujours été le même !
-- Joseph { Staline ], cette collectivisation forcée de la paysannerie, cette campagne qu'on affame, les villes, elles aussi gagnées par la faim...
-- La mise en place d'une nouvelle politique pose toujours quelques problèmes, mais je travaille activement à les résoudre, ne t'inquiète pas.
[Churchill] A quoi bon vivre, sinon pour lutter en faveur de nobles causes, et faire émerger un monde meilleur...
- William Shakespeare, Majesté.
- Il n’y a pas de plus grand honneur que jouer pour sa reine.
- Le registre comique vous va bien mieux. Cette pièce sur Richard II, ce roi détrôné puis assassiné. Il s’en est fallu de peu que le prenne pour moi.
- Grand Dieu, non. Bien sot serait l’artiste qui ne saurait mesurer la chance d’avoir une reine si sensible à l’art. Mon quartier compte bientôt plus de poètes que de palefreniers. Sans parler des architectes et des musiciens. Je me suis laissé dire que Sa Majesté était une virtuose du clavecin.
- Il semblerait que vous soyez tombé sur la seule rumeur fondée de tout Londres me concernant.
- Majesté, il y a un moyen imparable pour s’assurer que jamais Marie Stuart ne monte sur votre trône…
- Et y a-t-il un moyen imparable pour que vous fichiez définitivement la paix à mon bas ventre, Sir William ? C’est avec ma tête, et rien d’autre, que j’entends tenir mon royaume !
[Elisabeth Ière] Personne ne me commande, personne ne l’a jamais fait !