Virginie Lloyd

Tout d'abord, je tenais à remercier l'auteur pour sa gentillesse ainsi que la confiance qu'elle a eu envers moi en m'envoyant son service presse.

Je referme ce livre à l'instant avec beaucoup d'émotion.

Dans ce roman, Virignie Lloyd aborde plusieurs sujet tels que la misère, l'orphelinat, , la prison pour les enfants, et nous allons donc suivre trois personnages principaux Gabrielle, Eliott et Alexander qui vont tisser un lien très particulier et auxquels, nous lecteurs allons nous attacher très rapidement à eux.

Dés les premières pages, l'auteur vous emporte dans cette époque de 1900 à Paris où des choses horribles se passent, une partie de l'histoire que nous ne connaissons pas, et que nous apprendrons dans ce livre.

Je ne voudrais pas en dire plus afin de pas spoiler mais aussi parce qu'il faut lire ce livre qui est un roman noir totalement addictif.

Virignie Lloyd signe ici son 3ème roman. Cette auteur écrit d'habitude des feel-good, avec la valse des éphémères elle a signé un tout autre registre et je ne peux dire whaouhh, quel livre touchant, poétique.

Un livre à lire absolument, je vous assure que vous ne pourrez plus lâcher ce livre, une fois entamée.

Alors bravo à Virignie LLoyd pour cette réussite et merci pour ce bon moment de lecture ainsi que de m'avoir appris des choses sur l'histoire que je ne connaissais pas.

Le commentaire de Cathy :



Cette histoire que nous propose Virginie Lloyd m'a touchée en plein cœur.

Elliot et Gabrielle, âgés de douze ans, se rencontrent dans ce Paris du début du XXe siècle.

Les deux enfants vont devoir faire face à une grande injustice, sous prétexte qu'ils sont fragiles, certains sont incarcérés, soi-disant pour leurs éducations, mais surtout pour servir de main-d'oeuvre gratuite.

Alexander Clayton, un entomologiste passionné, va tout faire pour les aider, face à cette injustice.

C'est un excellent roman noir que je viens de lire, tout ce qui touche aux enfants m'émeut toujours énormément, mais cette histoire m'a retourné encore plus sachant que l'auteure s'est inspirée de faits réels.

Les personnages sont très attachants, sa plume est magnifique, ses mots touchent en plein cœur.

J'étais loin de me douter que de telles choses aient pu exister, le sort des enfants vivant à cette époque est injuste, la justice de l'époque est inhumaine, c'est terrifiant de découvrir que cela a réellement existé.

Cette histoire je ne suis pas prête de l'oublier, mon cœur va s'en souvenir longtemps.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...

Par sa poésie et son grand cœur. Virginie traite un sujet douloureux, inadmissible avec douceur, humour et beauté.

Auteur à suivre absolument

Bonjour à vous Bande de Lecteurs Fous, aujourd'hui avec Alfred nous allons partager avec vous notre avis sur LA VALSE DES ÉPHÉMÈRES de Virginie Lloyd, un roman auto-édité.





Au menu, plongez dans Paris des années 1900, de L' Exposition Universelle, saisissez cette ambiance des rues, sentez la pauvreté des quartiers, apprenez à connaître ces gamins que la société décide d'abandonner.





Bon Alfred, deuxième roman de Virginie Lloyd que nous lisons et deux romans totalement différents.



Dans LA VALSE DES ÉPHÉMÈRES, on plonge directement dans univers plus historique qui met en lumière une partie de l'histoire que l'on a tendance à vouloir effacer. Mais l'auteure ne s'appesantit pas sur le contexte, ce qu'elle souhaite transmettre ce sont les pensées et les ressentis des personnages centraux. Des personnages très réalistes, attachants dont j'ai aimé suivre les aventures. L'auteure embarque totalement avec ce récit poignant. 



Mais comme je te le disais, Virginie LLoyd ne s'attarde pas sur le contexte historique, et cela m'a manqué. Tout comme j'aurais aimé un peu plus de description, de détails. 









Alfred emmène moi valser, mais avant ça donnons notre ressenti  :



LA VALSE DES ÉPHÉMÈRES reste un beau roman, empreint de poésie et plein de bons sentiments.

C'est toujours difficile de donner mon avis sur les livre de cette autrice.



Les personnages sont super attachants. L'histoire n'est vraiment pas mal, mais il y a toujours un petit moment "mou" au milieu qui me fait demander: Mais où elle veut m'emmener! Et au final, tout explose et pour cette fois, c'est une bonne leçon de la vie. En fait, tout ce roman nous donne une bonne leçon sur les gens qui sont différents.



Un gros merci pour ce joli roman.

Bonjour a tous. Ces jours-ci, j'ai eu la preuve que Virginie Lloyd savait tout faire. Je connaissais ses livres en matière de polar et de Feelgood, et c'est avec une grande curiosité et beaucoup d'enjeu que j'ai découvert son nouveau roman noir, la valse des éphémères. J'ai mis la barre haute, d'une part car le sujet des enfants en disgrâce au début du siècle m'intéresse, d'autre part car j'aime le roman noir, avec l'idée qu il doit faire passer un message. Je me suis fait embarquer par ces personnages hauts en couleur, aux personnalités bien trempées et aux hesitations si humaines. Je me suis plongée dans l'ambiance de l'époque, bercée par la poésie des mots et la souffrance qu'ils expriment. J'ai imaginé plusieurs fins, et celle qu'elle a choisi et sans doute la meilleure. J'ai surtout voguė à travers les mots de Virginie qui emploie des expressions imagées, bien à elle et qui font mouche. Allez-vous, vous aussi, valser avec ses éphémères ?

Troisième lecture faite grâce à simplementpro, le service de presse accessible à tous, et seconde lecture de l’auteure Virginie Lloyd, voici ce que je vous propose dans l’article suivant. Publié récemment, le roman Cher bonheur, j’ai pris la liberté de t’écrire, dépêche toi de me répondre entre dans la catégorie des romans feel good.

Après l’étonnante Lily, cette fois l’auteure donne les premiers rôles à deux personnages masculins, Augustin et Victor. Ils sont tous les deux des abîmés de la vie, Victor par son passé de délinquant et Augustin par son autisme qui le rend différent dans une société qui se veut toujours plus normée.

Voici la présentation de ce roman :

« Augustin est autiste et ça le gonfle ! Comme les chewing-gums collés sur les trottoirs, l'odeur de patchouli de sa voisine, le mensonge et le boucan des rues.

Il aime les anecdotes, les framboises et la douce caresse des boîtes aux lettres sur ses mains.

Victor n'aime pas les flingues et les portes fermées à clé.

Il adore le café, la rosée du matin et la musique des années 80.

L'un rêve de devenir champion du monde de Air Guitar. L'autre... qu'on lui foute la paix, lui et son jardin potager.

Mais, au 7, rue Lamartine, tous les deux ont une vieille habitude : squatter le hall de l'immeuble ! »

Au 7 rue Lamartine, il s’en passe ! Et surtout il se passe une belle rencontre, celle de Victor et Augustin. On ne peut que trouver attachante et pleine d’amour cette relation inattendue entre le jeune Augustin et Victor. L’histoire est tout à fait agréable à lire et elle diffuse de la bonne humeur, de la bienveillance et de l’ouverture aux autres. [ à titre personnel, je suis particulièrement touchée par les récits qui évoquent la maladie d’Asperger car j’ai eu la chance et je dis bien la chance d’être l’enseignant d’un élève Asperger et il m’a beaucoup apporté ! ] Certes parfois l’intrigue est un peu rocambolesque mais après avoir lu le premier roman de Virginie Lloyd, j’ai compris que les intrigues délirantes ne lui faisaient pas peur !

Si j’ai beaucoup aimé le fond de ce roman qui permet à chaque personnage de renaître, d’apprendre à être heureux après les blessures que la vie nous inflige, j’ai moins été emballée par l’écriture de cette auteure. Je n’arrive pas à l’expliquer mais je trouve, et c’est mon jugement tout personnel, l’écriture un peu trop saccadée à mon goût… comme s’il manquait un peu de liant entre les phrases…

Néanmoins malgré ce léger bémol, j’ai pris du plaisir à lire ce roman qui s’accorde parfaitement avec ma thématique de vacances : des personnages attachants, de la bienveillance et beaucoup d’amour !

En résumé : un roman qui saura vous apprendre à accepter la différence et à profiter des petits moments de la vie !

On suit donc Lily, une jeune fille un peu casanière, discrète, qui a su mettre en avant son organisation particulière, sa petite routine, et s'en contenter. C'est sans compter sur l'arrivée inopinée d'un congrès quelque peu spécial, celui qui ouvre les portes du rire et du bonheur. Lily, qui jusque là nous paraissait comme un vrai Monk en puissance, se montre habile et joueuse. D'un tempérament plutôt jovial, elle se défend avec humour contre les petits tracas qui forgeaient son quotidien et se prend en main. Dès lors, c'est l'escalade. On la voit tantôt solitaire dans un travail qu'elle aime mais qui ne l'enthousiaste plus, tantôt au travers des yeux de ses amis, des résidents de la maison de retraite avec qui elle va passer des goûters ensoleillés une fois par semaine. le joli trio que représentent Hubert, Jacky et Henriette lui apporte le petit plus qui manque à sa vie. C'est autour de viennoiseries et pâtisseries qu'ils se réinventent un monde, un univers rien qu'à eux.



Elle rencontre dans sa quête du bonheur plusieurs personnages qu'on imagine hauts en couleur. La pouffe des soldes… qui lui donnent des envies de meurtres. Jusque là… bah j'avais peur : je me suis dis que j'allais me faire chier (excusez moi le terme mais je n'en trouve pas d'autres 🙂 ). Et puis voilà, au détour d'une écriture vraiment agréable et d'une plume fluide, je me disais que pourquoi pas ?



Et, surprise, j'ai bien fait ! Je suis vraiment satisfaite d'avoir continué ce livre, car on se laisse prendre au jeu et on suit cette femme à laquelle on peut tous s'identifier : qui n'a jamais eu envie de casser une mâchoire, de donner un coup de poing ou encore une gifle ? Au final, on l'aime bien Lily. Même si elle est perchée et qu'elle s'imagine des choses un peu louches suite à ses émotions trop vives, on se rend vite compte que c'est une chouette fille, pleine de bons sentiments qui fera souvent passer ses proches avant elle… Jusqu'à quel point et à quel prix ? C'est une autre histoire, et il faut lire le livre pour le savoir.



On découvre bien plus tard dans l'histoire une sorte de chassé croisé, que le monde toulousain est petit et c'est alors qu'on voit tout une toile de liens qui se tisse. Au gré du hasard qui n'en est pas forcément un, nous évoluons avec elle dans le cycle de la vie, tantôt magnifique, tantôt grisâtre. Parce que non, tout n'est pas toujours rose, Virginie Lloyd nous montre d'une belle et attachante façon que tout ne tient qu'à un fil, que tout est fragile et que, si le coeur nous en dit, il n'est pas si difficile de voir un petit bout de bonheur dans chaque chose.



Du coup, ce bouquin, c'est une ode, sublimée par une superbe plume… des mots simples, efficaces, mais souvent tournés en poésie ou quelque chose qui y ressemble !

Je me suis surprise à plusieurs reprises à me dire que je me sentais moins seule, déjantée ou pas, Lily est avant tout humaine, et c'est ce qui la rend belle et attachante.



Je regrette presque de ne pas pouvoir m'épancher un peu plus sur cette intrigue qui, comme vous l'aurez compris, s'avère somme toute banale au début (à mon goût), mais se profile comme une vraie bombe aux milles éclats pour, au final, ne donner que du bonheur. C'est une perle entre la comédie et le drame, un feel good avec une épée de Damoclès au dessus de la tête.



Une lecture rapide pour un sourire vrai, empreint de sentiments sincères et dont tout le monde connaît le sens. Quitte à tout se dire, autant le faire dans l'ordre : lisez-le ! Et donnez-moi votre recette du bonheur. Car si celle-ci ne l'est pas, elle y ressemble. Peut-être ne pas emprunter le même chemin que Lily, mais les sentiers autours me semblent être de bonnes pistes ! 🙂
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✔️Mon ressenti : Ce roman est le premier de l’auteure.



On rencontre Lily Brooks. Elle est rédactrice de notice. Eh oui, c’est un métier pas banal ! Elle voue un culte aux post-it. C’est vous dire si le personnage est loin d’être commun. C’est pourtant tout ce qui fait son charme ! Lily a surtout des contacts avec ses collègues mais aussi avec les pensionnaires d’une maison de retraite (déjantés) auxquels elle rend visite régulièrement. Et, une chose est sûre, il s’en passe des choses dans la vie de Lily !



Un roman plein d’humour avec une dose de suspense. L’auteure sait entretenir notre curiosité et on suit avec impatience les rebondissements de l’histoire. C’est un feel-good noir, terme que je n’avais jamais entendu mais qui décrit on ne peut mieux le roman. Lisez-le et vous comprendrez !



L’héroïne est attachante et assez atypique. Les personnages, et en particulier ceux de la maison de retraite, m’ont fait beaucoup rire !

Le style de l’auteur est agréable. Mon seul petit bémol est le fait que j’ai parfois eu l’impression de passer du coq à l’âne. Mais cela reste un premier roman très prometteur, et puis le second arrive très bientôt, je suis en pleine lecture, et une chose est sûre Virginie est une auteure à suivre !



🎯Mots Clefs : Post-it/ Notice / Collègues / Retraités / Humour



🏆Ma note : 17/20

Pas tout à fait un thriller, pas tout à fait un feel good book, le premier roman de Virginie LLoyd déjante (« grav’ sa mère ») !





La toulousaine (adoptée …. en même temps ce n’est pas trooop important !), m’a plongée dans une aventure aussi euphorique qu’étrange à coté d’une héroïne atypique et extrêmement flippante.





Lily Brooks est une pro de la notice avec un penchant excessif et maladif pour celles que tu peux retrouver chez Ikea. Lily Brooks et les notices, s’est toute une vie : du matin au soir, elle la côtoie, elle la façonne, elle y déniche les petites erreurs, elle la cajole, la chouchoute, lui parle. En bref elle file le parfait amour avec la notice. Et quoi de mieux que d’utiliser les Post-It pour être au top et surtout ne rien oublier. Lily Brooks est comme ses post-it, bien organisée, par couleur, par emplacement, taille… Petite anecdote du bureau : tel le fin limier qu’elle est, elle est capable de retrouver l’auteur d’un post-it égaré. Ce n’est-il pas génial ! Bref Lily vit une vie bien rangée, bien ordonnée, sans fil qui dépasse de la manche, au poil près tout roule ! Bien sûr son patron « le hamster » lui met des bâtons dans les roues, et chose extrêmement importante à savoir, le jour où tu rencontres Lily aux soldes, surtout (oui surtout) laisse lui le pauvre pull que tu voulais absolument au risque de finir aspirer par un escalator trop méchant ! Voilà, Lily, c’est une chouette femme certes névrotique, mais attachante, passionnée, attentionnée et gentille. Mais Lily rêve de goûter au bonheur. Le vrai, le pur, le bon, celui qui met des étoiles dans les yeux et qui permet d’oublier tous les points négatifs de sa vie. Lily le cherche et va le trouver dans une situation plutôt inattendue : le meurtre. Celui où le sang ne gicle pas, celui qui est maquillé et qui ne laisse pas de traces. Oui, voilà, le meurtre est euphorisant. Le sera t-il assez longtemps ?





Pas à pas, j’ai suivi Lily dans sa drôle de quête de bonheur. Elle flirte sans le savoir avec l’amour et entourée du « gang des vieux » (avec tout le respect que je leur dois), elle s’ouvre à un monde inconnu où la haine et la colère ravagent. En espérant qu’elle ne se perde pas en cours de route.





Virginie Lloyd, de sa plume habille, invite son lecteur dans un univers complétement barré. Humour fracassant, répliques assassines, verbe pimentée, personnages atypiques et extraordinaires, meurtres en tout genre, l’histoire ne manque pas de rebondissements et de piquants. Même si parfois j’ai trouvé que la trame s’enlisait, qu’il y avait trop d’insistance sur certains points, j’ai passé un agréablement moment de lecture. J’avoue que j’ai même crié au scandale au point final, j’aurais voulu que la dynamique des dernières pages continuent.





Virginie Lloyd ancre la vie toulousaine dans les périples de son héroïne et c’est juste merveilleux avec toutes ces petites références à « mon païs »!





Ce premier roman m’a permis de découvrir une autrice au talent indéniable qui aime la douce folie. Autrice à suivre absolument !
Lien : https://lesmisschocolatinebo..

Ce matin j’ai fini de lire un ovni 🛸 oui oui un ovni littéraire. Inclassable parmi mes autres lectures. J’ai lu que c’était un « feel good noir » oui ça me va bien comme définition. J’achète!

Lily est particulière, esprit matheux et scientifique (vous apprendrez quelques trucs sur le corps humain et certaines substances...), très organisé avec ses post-its (pas trouvé de rouge ou bleu pétrole, ça existe?), excellente mémoire, observatrice , très direct (trop directe?), mais tout ça va être chamboulé

Malgré le fil conducteur qu’est la mort c’est un roman humoristique et complètement déjanté, et philosophique aussi. Et oui il pousse à la réflexion sur la vie, sur les liens invisibles qui nous unissent les uns les autres, on ne se connaît pas tous et pourtant... pourtant tout est lié.

A la fin la boucle est bouclée. C’est ça l’effet papillon 🦋

Virginie nous embarque dans un roman noir, bouleversant , et très émotionnel . Elle traite sur le sujet la vie des enfants pauvres principalement du début du 20 ème siècle.

leurs conditions de détentions inhumaines , de la violence gratuite, sans aucune raison valable de pratiquer cela, la perte de soi même ,ces enfants n'ont plus de nom mais sont identifiés par un numéro.

Nous avons de mal à réaliser que ce roman relate des faits réels, je ne connaissais absolument pas cette partie de l'histoire. Suite à de nombreuses recherches, Virginie Lloyd nous décrit cette période d'une façon magistrale; Le sujet est vraiment ure mais écrit d'une façon remarquable une fluidité du texte , une lecture addictive.

les personnages sont tellement attachants que l'on a envie de les aider dans le malheur.

Un livre à lire absolument, un véritable coup de cœur.

J’ai profité d’une promotion de la version numérique de ce roman pour découvrir la plume de @virginie.lloyd.ecrivain que je suis déjà sur Insta. Ses publications sont souvent parsemées d’humour et j’ai retrouvé ces graines dans ce roman et surtout un thème qui me tient à cœur, la différence.



Dans ce roman, Virginie propose aux lecteurices de suivre Augustin un jeune de 12 ans, autiste, mais surtout « autiste power »… Car cet enfant a le pouvoir de sa différence invisible, le pouvoir peut-être d’être lui-même et de considérer ce que les autres ne voient plus, ou tout simplement pas. Une liaison directe depuis le cœur que le cerveau ne filtre pas.

Augustin va rencontrer Victor, un homme abîmé mais profondément résilient que les fleurs et la terre réparent, comme une connexion à l’âme du monde.



Ces deux êtres m’ont touchée, même si parfois le rythme m’a paru lent (ce n’est que mon ressenti qui n’engage que moi et n’enlève rien à la lumière de ce roman).

C’est une histoire douce qui nous rappelle de garder le lien avec une grande beauté de ce monde, l’authenticité. Et aussi de trouver la force de donner une seconde chance, nous avons tous le droit à l’erreur…



Merci Virginie pour cette histoire et pour la lumière sur les trèfles à quatre feuilles.

C'est le premier roman que je découvre de cette autrice et quelle plume ! J'ai aimé découvrir le Paris des années 1900, les personnages, l'intrigue. Au delà des mots, on devine le travail phénoménal de recherche pour retranscrire ces lieux, cette époque, les protagonistes, avec le souci du détail. Je me suis facilement laissée embarquer dans cette histoire contée avec poésie et une note d'espoir, malgré la noirceur ambiante. Un roman que je vous recommande sans hésiter.

J'ai beaucoup aimé !!!!

Une histoire d'amitié mais aussi d'amour!!!!!

Ces enfants toujours en train de se battre pour sauver leur peau sont touchants !

C'est un roman super documenté... Comment imaginer que des enfants puissent vivre un tel calcaire !!!

C'est un roman noir mais tellement bouleversant !!!!

Je recommande...



📖

Eliott et Gabrielle vivent leur vie de gosses des quartiers populaires. Petits boulots, coups tordus et rêves éphémères. Alexander Clayton, entomologiste passionné et solitaire, tente de renouer avec le monde qui l'entoure. Mais dans ce Paris surveillé par des flics enragés et une Justice prédatrice, leur monde est sur le point de se faire écraser. Dès lors, les instincts se révèlent.D'un côté, la loi. De l'autre, ceux qui n'ont plus rien à perdre. Un roman noir inspiré de faits réels, qui nous plonge dans le Paris du début du XXe siècle et qui nous pose cette question terriblement d'actualité : Supporteriez-vous de vivre dans un pays où la pauvreté est un crime ?

Une lecture qui m’a touché coulé.

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J'ai succombé dans un premier temps au titre évocateur eet à la couverture attirante.

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Sous l’histoire attrayante se révèle une vérité qui dérange : la différence fait peur !

En 2021, dans le monde actuel, la différence dérange encore. Certes moins qu’il y a une décennie en arrière, mais quand même. On ne devrait même plus parler de différence. Qui a décrété que la différence existait ? Qui a dit que ce jeune garçon au trouble autistique était différent ? Et si c’était les autres les différends ?

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Ce jeune garçon et son ami m'ont ému. Je les ai adorés tout au long de ma lecture. J'ai été fière d'eux!

J'ai reconnu la force de cette maman, et son désarroi. Elle se bat pour faire de son mieux, elle aussi je l'ai admirée.

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Laissez une chance d'exister à tous ceux que vous croisez ! Soyez ouvert, bienveillant !

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Merci à @virginie.lloyd.ecrivain pour cette belle découverte et cette mise en lumière :-)

« Quitte à tuer autant le faire dans l’ordre » - Virginie LLOYD



RÉSUMÉ :



Lily Brooks est rédactrice de modes d'emploi. Elle mène une vie bien rangée jusqu'au jour où elle découvre le développement personnel. Chouette ! Une notice du bonheur ! Pas vraiment. entre crimes et bienveillance, Liliy va devoir affronter les effets secondaires de sa nouvelle vie.



MON AVIS



Croyez-le ou nous, mais Virginie est une amie et finalement je la connais bien mieux que ses écrits. Je m’étais promis de la lire et c’est chose faite avec ce livre complètement inclassable.

Sachez-le, Virginie est barrée et il y a beaucoup d’elle dans ce livre. Je l’entendais presque me raconter les aventures de Lily.



Lily Brooks n’est pas une héroïne, non, c’est même le contraire ! Lily est incroyablement banale, elle ressemble à notre voisine de palier, à notre meilleure amie rêvée. Liliy, elle-même en quête du Bonheur va vouloir faire le bien autour d’elle, mais ça ne va pas se passer comme prévu. Jamais. Et c’est en cela qu’elle est attachante et qu’on a envie d’entrer dans son univers. Diantre ! Qu’est-ce qu’elle est touchante !



Vous vouliez du thriller ? Raté ! Ici malgré la couverture aux teintes orangées et ornée de Post-it de couleur bleue qui met la patate, vous allez lire du sombre... en vous marrant à chaque page ! Lily est torturée mais adorable. Les situations sont aussi loufoques, qu’émouvantes voire horribles. Virginie a une plume poétique qui se marrie à un langage courant. Le résultat ? Un livre super agréable à lire qui une fois terminé fait qu’on en redemande, encore !



Bilan ? J’ai adoré ma lecture. J’ai aimé être bousculé hors de mes sentiers battus. J’ai kiffé le pied de nez fait à ces méthodes de développement personnel vendant le bonheur à tout prix. Au travers de Lily, Virginie nous fait prendre conscience que le bonheur réside parfois dans des choses simples et qu’il nous arrive si souvent de passer à côté tant notre insatisfaction chronique nous aveugle. Un livre délicieusement et nécessairement cynique !

La valse est un roman noir. Mais pas que !

Virginie, comme dans tous ses livres, y met de la poésie, de la beauté.

On découvre avec plaisir le Paris des années 1900, sublimé par l'écriture de Virginie.

Ce livre est beau, pas seulement la couverture que j'aime beaucoup, mais aussi tout le roman.

Virginie m'embarque dans tous ses romans, qu'ils soient déjantés comme "quitte à tuer", plus histoire d'amitié comme "cher bonheur" ou la valse des éphémères plus noir qui traite d'un thème pas simple : les prisons pour enfant du début 1900.



Bref, une vraie réussite ....



Cécile

Voilà une histoire différente de mes lectures habituelles. Un pan de notre histoire de France que nous découvrons à travers l'histoire d'Eliott et Gabrielle, épaulés par Alexander. On retrouve une réalité bouleversante sur les conditions de vie des enfants dans les années 1900 en plein cœur de Paris.

Très souvent, j'ai eu le cœur serré, j'ai tremblé, j'ai eu peur, je me suis sentie révoltée par l'injustice... jusqu'à la fin, ce roman à su me tenir en haleine. Et quelle fin magnifique !

L'écriture est fluide, travaillé et on ne peut être que happé par cette histoire, sombre, reflétant une réalité passée et pourtant encore présente dans certaines parties du globe...

Un roman où, on constate les efforts de recherches de l'autrice - d'ailleurs elle en note ses sources à la fin-.

Bref, une histoire bouleversante, touchante, émouvante, vibrante de vérité et parfaitement maîtrisée!

Paris, nuit de réveillon du 1er janvier 1901, Elliot et Gabrielle 13 ans, sont victimes d’une des nombreuses rafles que la police organise pour « faire du chiffre » en purgeant les rues des gangs qui sévissent, des orphelins qui traînent, des vagabonds, des enfants rejetés par leur famille, ou de ceux qui ne se trouvent malheureusement pas au bon endroit et au bon moment. Si Gabrielle échappe à la justice prédatrice de l’époque qui trouve ses victimes dans les rues, Elliot deviendra malheureusement l’une d’elles.



Injustice penserez vous ? Oui, mais avant de prononcer votre verdict, apprenez d’abord à connaître Elliot et Gabrielle et surtout Alexander Clayton. Ce dernier est un entomologiste arrivé à Paris en septembre 1900 pour rejoindre son ami Thomas. Il ne connaissait ni Gabrielle, ni Elliot. Pourtant c’est le jour de son arrivée que son destin s’est lié à celui de Gabrielle et Elliot, pour le meilleur et pour le pire.



Si je ne souhaite pas en dire plus sur ce roman qui m’a prise aux tripes, c’est pour vous laisser le plaisir de découvrir cette belle et sordide histoire. Il y a certes une part de fiction, mais elle s’inspire de faits réels qui vont vous mener dans l’enfer de ce que notre pays a fait de pire à ses propres enfants. L’auteure dédie son roman "à tous ces enfants, héros oubliés".



Après l’avoir terminé, j’ai lancé des recherches sur internet pour en savoir davantage. (Vous rechercherez vous aussi, soyez en sûrs). J’ai appris, que nous devons retenir un nom, Alexis Danan. C’est grâce à une lutte sans relâche s’étalant sur plusieurs années de ce journaliste de Paris soir, qu’un gouvernement a un jour, été contraint de reconnaître la réalité des faits et prendre les premières mesures qui s’imposaient.



N’ayez pas peur de vous lancer dans cette lecture qui enrichit notre culture et nous donne ce que nous venons y chercher, de l'émotion, de l'espoir, du savoir..... Virginie Lloyd a pris soin de nous restituer cette histoire, mais elle ne nous y abandonne pas. Même dans les pires situations, il faut toujours garder espoir.