Yasuhisa Hara

Qin et Zhao sont toujours redoutables car il fallait que nos jeunes capitaines "éveillent" leurs équipes et puisent dans leurs dernières ressources physiques pour combattre vu que l'alimentaire est réduit à néant en ces 13 jours de combat. On sent l'atmosphère changer. Les soldats donnent tout pour leurs chefs : solidarité, et force transparaissent à travers les dessins. J'enchaîne les tomes, c'est de la folie quand je sais qu'il ne m'en reste plus que 2 en main.....

* Kingdom comme défi



Quelque peu usé de chercher de nouvelles sorties pour ne pas être à la traîne quand je lis une œuvre, j’ai demandé à un ami de me conseiller sur un manga à lire. Si au départ, je souhaitais qu’il me fournisse une nouvelle sortie, très vite le sujet s’est porté sur Kingdom, typiquement le genre de gros morceau qui ne me donne pas du tout envie : c’est dire qu’on en compte plus de 60 tomes et 700 chapitres. Néanmoins, connaissant mes goûts, il m’a convaincu d’essayer. Et bien qu’aujourd’hui mon défi d’un chapitre par jour n’est pas du tout réussi, j’ai tout de même terminé le premier tome qui me permet de me faire un léger avis pour la suite !



* Une intrigue de cour qui n’est pas sans rappeler…



Le premier tome de Kingdom est un bon morceau narrativement parlant. On commence par nous introduire deux personnages : Shin, vraisemblablement le héros dont on va suivre l’aventure, et Hyo, son fidèle ami. Ces deux orphelins du royaume de Qin se battent quotidiennement pour espérer devenir les plus grandes généraux militaires du royaume. Mais voilà que Hyo doit s’en aller. La route qu’il a choisie le mène à la mort lorsqu’il revient, blessé, vers son ami Shin. Pris d’une colère assassine, Shin cherche les responsables et promet à Hyo de le venger. Cette colère se mêle à une intrigue de cour : Sei, le roi de Qin, encore jeune, est pris au sein d’une guerre des trônes avec son frère. Actuellement en fuite, à la recherche de son armée, il rencontre Shin qui entrevoit ici, peut-être, une occasion de réaliser son rêve.



Cette intrigue me plaît beaucoup parce que l’ambiance dans laquelle vivent l’œuvre et l’histoire n’est pas sans rappeler Arslan Senki. Cet animé – que je vous conseille au plus haut point – met en scène le jeune prince en fuite Arslan dans son épopée visant à recruter et mener une armée pour reprendre le trône de son père conquis par un royaume ennemi.



* Une histoire dont l’avenir s’annonce passionnant



Ce lancement d’intrigue s’annonce passionnant car il mêle à la fois de nombreux personnages entremêlés les uns et les autres et dont les relations ne semblent pas toujours très claires. Celle qui est la plus intrigante reste celle entre Shin et Sei, dont le premier est impulsif et surpuissant (un peu le caractère qui me saoule un peu) et Sei qui malgré les ennuis qu’il subit reste mature et droit dans ses bottes. Des morales et des émotions dichotomiques qui nous promettent une relation intrigante.



Je dirai que le plus gros point faible de ce premier tome est le dessin. Les personnages sont moyennement bien représentés, parfois de manière trop simpliste et je trouve cela terriblement dommage pour un manga. D’autant plus que le character design pointe un autre gros défaut : celui de dessiner les « méchants » d’une manière terriblement explicite qu’on ne doute pas d’un seul point du camp au sein duquel le personnage est intégré.
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Après la victoire de Ei Sei sur son frère, Shin s’en va et part accompagné de Ten vivre dans une petite cabane et attendant son jour. Car Shin, n’a pas oublié que Ei Sei veut unifier la Chine, et qu’il va avoir besoin de lui. Shin a toujours l’objectif de devenir un des plus grands généraux que la Chine aura connu. Shin s’engage comme fantassin et va rejoindre les troupes qui partent pour l’état de Wei.



J’ai tout autant apprécié ce 5e tome, qui est clairement plus calme que le dernier, mais qui nous permet une transition, dans la vie de fantassin de Shin. Il va découvrir, la vraie vie militaire, les formations, le groupe avec qui il va être, qui va devenir comme sa famille.



J’ai aimé qu’on reprenne notre souffle dans ce tome-ci après des premiers tomes vraiment intense. On a une vue un peu plus politique et stratégie militaire cette fois-ci, qui permet de mettre en place la suite des aventures de Shin, qui se promettent palpitante.



Les doubles pages sont superbes et immersives. Je suis subjuguée par le coup de crayon à chaque fois.
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Alors qu’ils trouvent refuge dans un pavillon éloigné, les personnages principaux sont attaqués par un mercenaire du nom de Muta.

Des alliés au prince font leur apparition. Ils partent alors à la reconquête du trône.



Mon avis :

Un récit aussi accaparant que dans le tome 1. Le début d’une fresque historique et épique.

Avec le tome 3 de Kingdom, on parle stratégies militaires et Chine ancestrale. J'ai beaucoup aimé mes lectures des tomes 1 et 2 qui introduisent ce seinen de grande renommée. Avec ce tome 3, le rythme déjà bien soutenu du manga s'accélère.



Je dois dire qu'à chaque tome j’aime de plus en plus le coup de crayon du mangaka. Question graphismes je ne m’inquiète jamais des cases que je lis dans Kingdom. La façon dont les yeux des personnages sont dessinés est particulièrement belle et originale ! Le tome 3 introduit un personnage féminin qui m’intrigue énormément et que je trouve très charismatique : Yôtanwa, la Reine des Montagnes. La série commence à gagner en dynamisme et en action et on entre enfin dans une vraie intrigue : l’évolution de Shin et l’élaboration de stratégies militaires.



Bref encore une lecture très intéressante qui annonce de grandes choses pour la suite de la saga, beaucoup de personnages prometteurs et toujours plus d’attachement pour ceux qu’on suit depuis le début, j’ai hâte de voir Shin gravir les échelons (et réussir à maîtriser l'art de l'équitation !)
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9e tome de "Kingdom" de Yasuhisa Hara lu. On retrouve Shin, Karyo Ten et Kyoukai dans le palais royal. J'ai trouvé que les combats duraient un peu en longueur, d'autant qu'on en connaît plus ou moins l'issue. Mais Karyo Ten est définitivement un personnage original et attachant, prompt à recueillir les confidences des autres et à s'intégrer dans le décor. Quant à Kyoukai, même si la principale révélation n'en est pas une pour le lecteur, on comprend que sa relation conflictuelle et amicale avec Shin est amenée à évoluer. Les révélations sur son passé et sur ses motivations, encore incomplètes, permettent de rajouter une sous-intrigue à l'intrigue principale.

Un tome où finalement l'action est concentrée autour des personnages principaux sans champs de bataille, sans stratégie militaire et exposition des enjeux politiques, donc un volume un peu moins rythmé que les précédents, mais qui pose des jalons pour la suite de l'histoire.
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Je n'ai finalement pas attendu longtemps avant de lire le sixième tome de "Kingdom" de Yasuhisa Hara.

Les personnages présents dans le premier arc sont tous momentanément absents sauf Shin, devenu fantassin dans l'armée de Qin. L'escouade de Shin, surnommée "l'escouade des "bras-cassés", commandée par le brave Takukai, soutient suffisamment l'intérêt pour que Karyo Ten et les autres ne nous manquent pas trop dans ce tome centré sur la bataille entre l'armée de Qin et celle de Wei, avec différents revirements, tactiques et stratégies. Le fait qu'on soit sur un champ de bataille, l'aspect sanguinaire des combats, n'empêchent jamais le rôle dévolu aux femmes dans "Kingdom", et ce, depuis le premier tome. C'est tout à fait appréciable en plus du suspense et du charisme des personnages.
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Le cinquième tome est excellent dans la mesure où il clôt le premier arc avec une belle intensité dramatique. On assiste ensuite au début d'une nouvelle histoire et à l'introduction de nouveaux personnages.

En bas à droite, le général Ouki ("Fufufu !"), un des personnages les plus charismatiques de "Kingdom" même si pour l'instant son rôle d'électron libre en fait un personnage qui regarde la situation, la commente avant sa véritable entrée en scène qui devrait arriver dans les tomes suivants (merci de ne pas spoiler : je lirai le tome 6 en septembre).

Mon avis sur les cinq premiers tomes de "Kingdom" est que si vous n'avez pas envie de vous lancer dans la lecture d'une série très longue, ne lisez pas le début, parce qu'une fois qu'on a commencé, c'est fichu : on a envie de s'y plonger (et de découvrir l'histoire de la Chine au passage. Par exemple, Wang Jian (Ouki) a réellement existé et été un des généraux les plus prestigieux des Royaumes combattants).
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"KINGDOM" volume 8 de Yasuhisa Hara. Les tomes se suivent et ne se ressemblent pas. Les volumes 1 à 5 reposaient déjà sur une histoire complète, un film d'action dans toute sa splendeur. J'ai d'ailleurs lu récemment que le film fondé uniquement sur ces cinq tomes est sorti en juillet 2019 en Asie.

Les tomes 6 et 7 nous plongent en pleine guerre : changement de décor, de personnages.

Et puis vient le volume 8, où tout est parfaitement cohérent, sans temps mort. Malgré la richesse du scénario, on n'est jamais perdu. Chaque personnage a son passé, sa personnalité. Il ne manque rien dans ce manga et on est emporté de bout en bout par une action sans cesse relancée. Parfait.


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Je continue la lecture de l'excellente série #Kingdom à mon rythme, ce qui explique que je n'en suis qu'au dixième tome. J'ai d'ailleurs relu le neuvième dans la foulée. Un personnage souvent mentionné fait enfin son apparition au début du dixième tome et les cartes sont en partie redistribuées en prévision de la suite. Stratégies, revirements, alliances ou vengeances au programme, mais aussi de grands rôles dévolus aux femmes. Généralement, elles ont des rôles secondaires dans les shonen, ou jouent les amoureuses, avec des auteurs qui essaient de leur donner des rôles équivalents à ceux des hommes sans vraiment y arriver (comme Sakura par rapport à Naruto et à Sasuke). Dans "Kingdom", les femmes sont aussi fortes que les hommes au combat voire les dépassent sans qu'on puisse parler de manga féministe. Ça semble parfaitement naturel, inscrit dans l'action, et la différence entre les genres est assez peu marquée dans un univers pourtant militaire. Ce n'est bien sûr pas le seul intérêt de ce manga, mais c'est une de ses caractéristiques que j'avoue apprécier.


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Le tome 4 nous avait laissé en pleine montée tant il était plein de tensions et de suspense. Ce tome 5 vient apporter une "clôture" qui pourrait s'apparenter à la fin d'un prologue, comme le dit l'auteur. Sans trop vouloir en dire, ce tome représente donc une fin, mais également un recommencement, enfin une nouvelle étape. Ei Sei franchi son premier cap, Shin également, et on en apprend un peu plus sur Ten (qui va d'ailleurs bien jouer avec nos émotions...). On a là un tome de transition qui nous dévoile enfin l'étendu des possibilités de cette série. "Kingdom" nous rassure enfin sur le nombre de tomes dont elle se compose, car oui c'est une série déjà assez longue, mais oui il y a un potentiel énorme, et il y a très peu de raisons pour que ça devienne lassant.



Pour conclure, après avoir lu ces 5 premiers tomes, je peux vous assurer que cette série mérite d'être découverte.



Je tiens à remercier au passage les éditions Meian qui m'ont permis de lire cette très très bonne série. Je lirai la suite avec plaisir!!



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Je n'ai jamais trop été attiré par des titres "médiévaux"; mais j'avoue que cela faisait un moment que cette série me faisait de l’œil. J'ai d'abord essayé de la lire en "scan", mais je n'avais pas réussi à me lancer; puis j'ai fini par avoir l'opportunité de lire la version papier. Je peux vous dire que je ne regrette finalement pas. Un très bon premier tome, qui démarre sur les chapeaux de roue. J'attends de voir comment va évoluer le récit, et j'ai d'ailleurs les 4 prochains tomes à la maison qui n'attendent qu'une chose: que je les lise. Je vais m'empresser de le faire, et ne manquerait pas de vous faire un retour pour vous dire si l'essaie se transforme.



Bref, si vous pouvez mettre la main dessus, n'hésitez pas!!



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Comme pour le tome 1, je trouve important de soulever la qualité de l'édition (jaquette, couleurs, matière etc...) proposée par les éditions Meian.



Côté scénario, le tome 1 avait bien planté les premières bases et nous avais permis de nous attacher aux protagonistes avec un très bon rythme.



Concernant ce tome 2, je dirai que le rythme y est toujours, il y a un bon équilibre entre les différents personnages, et le récit progresse bien tout en ouvrant le champ à diverses possibilités d'évolutions. Il y a quelques "petites" longueurs qui m'ont géné, mais elles sont cassées par certaines situations comme l'affrontement avec "Muta" ou l'arrivée des "300".. la fin du tome nous laisse sur un goût de "j'en veux encore", et ça, c'est plutôt bon signe.



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Même si je ne suis pas un grand connaisseur de manga, je trouve celui-ci très réussi, que ce soit graphiquement, au niveau des personnages, du scénario ou des petites touches d’humour qui parsèment le récit ici ou là. Pour l’instant, c’est une grande réussite pour moi, et j’attends avec impatience de pouvoir me procurer la suite de la série !
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Bon voilà publication française rattrapé et y a juste un tome de retard sur la japonaise, va pas falloir être pressé maintenant.

Tome important mine de rien, les 6 généraux sont réactivés, Shin accueille la pote de Kyoukai tout aussi dangereuse qu'elle, Kyoukai avoue ses sentiments et Shin se retrouve une nouvelle fois sous les ordres de Kanki et c'est parti pour une bataille qui s'annonce une nouvelle fois épique.

Nouveau cycle avec une nouvelle guerre et des nouveaux généraux bien badass qui vont faire face à Moubu et Tou, absent depuis 20 tomes. Un des 2 devrait y passer prochainement car l'adversité a l'air d'être montée d'un level.

Ce cycle commence sans Shin qui n'est pas sur ce front.

Comme la cover le spoil c'est le duel attendu depuis la mort de Ouki. Housen était l'antagoniste suprême, le guerrier ultime à tuer et il ne pouvait mourir que face à Shin, l'issue du combat est donc sans surprise mais le côté fantastique qui en découle est sympa, jusque là le manga flirtait avec ça mais là on y va à fond sans que ce soit gênant.

Le tome se termine aussi avec la fin de la bataille et ce bon vieux Kanki qui a rien branlé en 15 jours mais qui prend possession de la ville

Le début c'est la suite de la bataille qui en est désormais à 15 jours de fight mais c'est les derniers chapitres qui font tout avec Kyoukai puis Shin qui affrontent Houken pour la dernière fois je pense. Un affrontement qui rappelle Guts vs Zodd et ça c'est quand même de la sacrée comparaison, peut de titres peuvent être comparé à Berserk.

Presque un tome de transition (mais ils sont toujours bien dans cette série) alors qu'on est toujours en pleine bataille avec les 2 généraux qui tapent la conversation au milieu de la mêlé. Mais c'est surtout un tome qui marque définitivement le retour de Houken venu pour Shin.

La bataille est toujours pas fini et ça commence à compter ses morts. Shin perd un de ses lieutenants dans une séquence digne de John Woo. Shin continue sa montée en puissance qui fera de lui le guerrier ultime et chaque fois qu'il est au milieu de la mêlée il se dégage vraiment un truc puissant.