Yûgo Kobayashi

Ce plat est le fruit d'une approche théorique et de minutieux calculs.

L'alliance parfaite entre cuisine et mathématiques.

Dire exactement quoi faire n'est jamais aussi efficace que le découvrir par soi-même parce que ça, on ne l'oublie jamais.

Pour vous aussi, c'est le moyen d'apprendre à connaitre , au fil des années, la philosophie de la maison. Voilà ce que j'appelle "Former du talent". Et l'enjeu ne s'arrête à ce club. L'avenir du football japonais réside dans la formation de sa jeunesse.

Il y a ceux qui avancent et ceux qui s'arrêtent...
J'ai comme du plomb dans les jambes...

Réfléchis bien. Pourquoi Asari et Kuroda sont furieux contre toi ? Et pourquoi parmi tes coéquipiers sont-ils les seuls à t’en vouloir ? Trouve la réponse.

Pardon de ne pas avoir pu t’acheter des crampons.

Il y a plus d’actions collectives qu’à l’avant, tu devras énormément verbaliser.

- Et si tu passais au crible les matchs de Kuribayashi ?

Franchement, vous croyez qu’on sera en état de les battre ?

Au foot, quand on n'est pas en possession du ballon, tout se joue sur le placement.

Au fait, les lycéens de la dernière fois, le prix qu'ils ont gagné, je pensais que c'était de la gnognotte mais il paraît que ça ouvre les portes du monde du cinéma ! C'est le plus jeune collectif à avoir remporté le premier prix !

« Délicieux » et « savoureux », sont les deux compliments qui reviennent le plus dans le monde de la cuisine. Si on voulait les distinguer, je dirais, que « délicieux » relève de la sensibilité. C’est un mot totalement subjectif, qui dépend non seulement du goût, mais aussi de l’atmosphère du restaurant, ou des préférences du client. « Savoureux », en revanche, s’appuie sur un procédé chimique et a donné naissance au mot « umami ». On peut le prouver objectivement par des chiffres. Augmenter la part d’umami dans un plat est la clé pour satisfaire la personne qui le déguste.

- Tes mots nous ont frappé, car jusqu'à ce moment-là, on attaquait en se reposant uniquement sur notre nombre. Et t'avais raison, c'était pas ça qui comptait : le but de la consigne c'était d'avoir un jeu construit, qu'on soit en infériorité numérique ou pas !