Un petit volume lu avec un double objectif (donc loin des lectures "plaisir"): une étape dans le traitement de ma phobie des reptiles, et la recherche de renseignements dans le cadre d'études. Je n'irai jamais vérifier si les conseils prodigués sont justes, ils correspondent aux recommandations d'autres ouvrages de la même époque, aux descriptions lues ailleurs. C'est tout ce qui m'importait, et je suis bien en peine de savoir si j'ai aimé ou non: il a rempli son office, c'est déjà beaucoup. L'objet lui-même est agréable, le papier luxueux, la typographie et les illustrations délicates.
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Un livre qui est hélas rempli de bêtises écrites à une époque ou celle-ci étaient hélas trop répandues et ancrées dans les moeurs. L'ouvrage est composé de plusieurs parties dont celles sur les serpents est hélas ridiculement courte, le reste, parle en majorité d'oiseaux. Ouvrage dépassé et désuet, se lisant en moins d'une heure.
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Avec un peu d'entraînement, le chasseur de vipère reconnaît tout de suite un paysage vipérin. Il n'est d'ailleurs pas nécessaire d'errer au hasard à la recherche d'un terrain de chasse approprié car tous les endroits hantés par les vipères sont bien connus des gens du voisinage, toujours très disposés à vous renseigner.
Quelle était cette chose merveilleuse, où et quand je la verrai, je n'en avais aucune idée : tout ce que j'avais à faire était d'être toute la journée dehors pour attendre patiemment en gardant l'œil aux aguets !