Jean-Pierre Bloch a d'abord aimé
De Gaulle. Il a ensuite été déçu par la "morgue" du personnage, n'hésitant pas à le traiter de dictateur. C'est la scie, le leitmotiv de ce témoignage, qui devient vite lassant. Son argumentation, truffée d'anecdotes censées accabler sa cible, ne m'a nullement convaincu ; je l'ai même trouvée d'une rare inanité. Un curieux passage du livre raconte comment un émissaire du Mouvement wallon, François Simon, a essayé (vainement) de rencontrer le Général à Alger.