Je dois, à la lecture de ce livre rédigé par le regretté
Ernest Mandel (économiste marxiste de renommée mondiale et dirigeant de la IVème Internationale) et très intelligemment préfacé par le tout aussi regretté
Jean-François Vilar, mes premières approches du monde littéraire du roman noir, du polar.
J'avoue humblement, qu'auparavant, ce domaine m'était non seulement étranger mais surtout interdit.
Pour faire court, c'était, à mes yeux, la mise à l'index ("l'enfer" en quelque sorte) mais également un univers à forte odeur de soufre "réactionnaire".
Depuis, je suis accroc (ma bibliothèque en atteste) et continue inlassablement ma recherche de nouvelles pépites.
Encore merci camarade !