Après Portraits de singe, Jill Greenberg récidive. Son sujet cette fois : les ours. Les photos sont toujours magnifiques, les prédateurs magnifiquement mis en valeur. Mais il manque quelque chose par rapport au précédent tome, un petit plus. L'animal est plus difficile sûrement, les poses moins travaillées et il manque ce côté "humain" qui surprenait tant dans le recueil précédent. Je crois que cela tient plus à l'animal qu'au talent du photographe, incontestable dans le cas de Jill Greenberg.
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Jill Greenberg interview (en anglais)