L'effet papillon

Si le début m'avait fait croire à un effet "Dossier 64" bis, j'ai très vite déchenté...
Nous passons de longueur à des scènes abracadabrantesques en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.
Qui plus est, un enfant de 15 ans qui échappe à des tueurs entraînés, des mafieux, etc... Disons que ça manquait vraiment de réalisme...
Déception également pour les personnages. Il y a quelques changements, mais dans le fond, nous n'en savons toujours pas plus sur le côté mystérieux d'Assad, Carl retourne à la case départ. Il n'y a bien que Rose qui "évolue". Même si les échanges verbaux restent drôles à bien des égards.
J'ai eu l'impression de suivre un blockbuster américains, où tout explose et où il faut à tout prix se cacher et courir pour survivre.
Le scénario typique, indémodable certes, mais décevant pour moi...

MARCO EFFEKTEN
L'EFFET MARCO

Quelle déception...

"L'Effet Papillon" donne surtout un effet de "déjà-vu"...

Une rengaine...

Adler Olsen nous entraîne dans un imbroglio indigeste qui traine en longueur comme un jour d'hiver.

On ressent une impression d'une caricature.... un sentiment qu'Adler Olsen a soudain répondu à une envie commerciale.

C'est raté ? Non pas tout de même
Pas réussi ? Oui...

Mais, soyons optimistes : Adler Olsen en a réussi, avant ...

Proust disait : "Il n'y a pas de réussite facile ni d'échecs définitifs".

Quelle joie de retrouver l'équipe du Département V !
J'aime toujours autant suivre Carl, Assad et Rose. Que ce soit entre eux ou avec d'autres personnages, chaque ligne de dialogue est toujours percutante.

Dans l'Effet Papillon de Jussi Adler Olsen, nous allons suivre durant l'ensemble des 650 pages, le jeune Marco, 15 ans, qui appartient à un clan mafieux dont il ne supportait plus les méthodes.
En s'enfuyant, il va découvrir un lourd secret.
Ce personnage a véritablement été un vrai coup de coeur. Son honnêteté, sa ruse et sa débrouillardise couplé à son enfance si particulière en font le point fort de ce cinquième tome.

Par contre, je n'ai pas du tout apprécié l'enquête qui tourne autour d'un détournement de fond sous couvert d'aide humanitaire en Afrique.
Je me suis ennuiée ferme dès que je n'étais plus avec Carl ou Marco.
Trop de répétitions dans le schéma narratif, beaucoup trop de longueurs et aucun intérêt pour le sujet fait que j'ai été très déçue par ce tome.

J'espère retrouver une nouvelle enquête captivante (comme l'incroyable Dossier 64) lors du prochain tome.

C'est avec empressement que je me suis lancée dans la suite de la série Département V.

Au sein de chapitres multifocaux, l'auteur nous fait de nouveau profiter de son style plaisant et fluide et d'un rythme convenable. Toutefois les descriptions sont nombreuses et cassent la dynamique établie. La course-poursuite contre Marcogitan qui essaie de s'émanciper, dure plus de la moitié du roman, sans réel rebondissement et sans grand intérêt à mon avis.

Malgré cela, l'intrigue reste intéressante et aborde plusieurs sujets dot la fraude financière, les sociétés écrans, la vie des gitans (sans que ce soit représentatif de la réalité) et le rejet de cette communauté. Ce qui rend l'ambiance oppressante et fugitive. le développement du récit reste, quant à lui, bien ficelé.

Le Département V n'est pas non plus en reste puisque nous faisons connaissance avec Gordon, un grand benêt qui se révélera bien plus utile qu'il n'y paraît, et un ennemi d'Assad qui nous permet de mieux appréhender ce curieux personnage.

Ce roman aborde des thèmes captivants, même si parfois le regard de l'auteur semble restrictif (mais peut aussi refléter un sentiment général de la société occidentale). J'ai été happée dès le départ mais me suis vite ennuyée avec un manque flagrant de rebondissements au cours de l'histoire. La fin rattrape ce ressenti et me laisse avec un avis mitigé sur ce cinquième volet.
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L'Effet papillon de Jussi Adler-Olsen me paraissait prometteur lors du début de lecture. Les vies de personnages semblant toutes différentes, reliées par certaines circonstances. Un pays qui m'est inconnu : le Danemark. Certes, l'écriture est intéressante, mais le scénario est creux. La magie des premières pages s'est rapidement envolée pour n'être plus qu'une enquête fade, avec des événements que j'ai devinés avant même qu'ils n'arrivent. Cela traîne en longueur avec un personnage, que l'on suit pendant quatre cents pages, qui court, se cache, court, se cache, re-court, et se re-cache. Seuls les personnages de Carl et Assad rendent la lecture moins longue et les retours en arrière m'ont paru intéressants. Bref, une lecture sans saveur.

J'ai moins accroché à cette histoire du Département V, qui est moins glauque que les précédentes. le rythme est soutenu, c'est toujours un plaisir de mener une enquête aux côtés de l'inspecteur Mørck mais bon c'est bien là que le problème puisque l'enquête était sympa mais je n'ai pas été plus emballée que ça. Heureusement que l'équipe est là pour rendre l'histoire intéressante à suivre. D'ailleurs il y a encore une nouveauté avec un dernier arrivant !

En bref, j'ai été plus intéressée par les histoires des persos et les déboires du commissariat que par l'enquête.
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Dire que j'aime cette série est un doux euphémisme. Que dire alors de la déception que j'ai connue avec ce cinquième opus. D'abord il est truffé d'invraisemblances. On a souvent bien du mal à croire à la possibilité des évènements tels qu'ils sont décrits, sans parler de l'attitude de certains personnages. de plus, un certain nombre de phrases sont répétées à quelques pages d'intervalle, comme si l'auteur avait oublié de les avoir déjà écrites. Ce n'est pas bien méchant, mais ça fait désordre. Ensuite l'intrigue est assez quelconque et pas mal brouillonne. On ne sait pas ce qui ce passe à part qu'il s'agit d'histoire de gros sous. le texte est bien trop long et aurait certainement gagné à être resserré. le plus gros du récit est basé sur la fuite du jeune Marco. Au début, ça va, mais au bout d'un moment, ça lasse. D'autant que la facilité avec laquelle les hommes à sa recherche le retrouvent laisse pantois. A croire que tous les habitants de Copenhague font partie de la bande. Une des invraisemblances à ajouter au dossier.
Bref, ce roman à toute l'apparence d'un texte bâclé et pas relu. C'est du moins l'impression qu'il donne. Reste à espérer que l'auteur n'a pas tout donné dans ses premiers romans et qu'il ne va pas désormais nous livrer du sous-Adler-Olsen. C'est ce que je verrai avec Promesse, le sixième opus. Que je lirai quand même, bien entendu. Mais faudrait pas que l'accident se reproduise.
Lien : http://aruthablog.blogspot.fr/

Je n'avais jamais lu cet auteur très populaire
600 pages pour un roman policier, c'est un peu surprenant
Je viens laborieusement de le terminer
J'avoue ne pas comprendre l'engouement pour cet écrivain
C'est de la littérature de plage .
Beaucoup d'invraisemblances dans le scénario, beaucoup de longueurs aussi
Le personnage de Marco,adolescent de 15 ans, petit voleur ,clandestin ,figure importante du roman n'est pas crédible ,l'intrigue est un peu confuse et la fin franchement bâclée
A réserver donc pour une lecture estivale au bord de la mer car sitôt lu,sitôt oublié

beaucoup moins bien que ses premiers et comme souvent la fin est baclée ainsi que la traduction grosse déception