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3,49

sur 215 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est une lecture mitigée pour moi. Certains éléments sont géniaux et d'autres moins, je m'explique:

J'ai adoré l'ambiance, le froid, la neige typiques aux thrillers nordiques. J'ai au fil des pages toujours voulu savoir le fin mot de l'histoire. La fin "ouverte" ne m'a pas dérangée car elle appelle, à mon sens, une suite et je serais ravie de retrouver les inspecteurs. Les chapitres sont courts et donnent du rythme au livre.

Il y a beaucoup beaucoup de meurtres (Trop?) et on se demande sans cesse le point commun. Il faut être bien concentré pour suivre tous ces événements. Il y a également beaucoup de personnages et j'ai parfois eu du mal à m'y retrouver. L'intrigue est dense, ramifiée et demande aussi de la concentration. Je pense que le tout aurait pu être allégé.

Donc voilà, j'ai aimé l'intrigue, les personnages de Donja et Fabian mais j'ai trouvé l'ensemble trop dans la lourdeur et pesant. (surtout que c'est un bon pavé...) (...)

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Double enquête dans deux pays différents, l'une en Suède, Stockholm et l'autre à Copenhague, Danemark.
De part et d'autre on recherche un coupable de meurtres avec dépeçage dont le modus operandi est le même.
La police criminelle, la "crim" s'en charge dans les deux cas.
En suède il y a urgence à retrouver le coupable des faits car le ministre de l'intérieur a disparu alors qu'il quittait le parlement. Les "flics" sont sur les dents d'autant que leur patron est un copain dudit ministre, lequel a, à une époque, dirigé la crim.
L'équipe en Suède est composée de Fabian Risk et de Malin Rehnberg, qui comme son nom ne le dit pas est une femme.
Du côté danois c'est Dunja Hougaard qui s'y colle. Une femme également.
Bon on cherche, on cherche, on trouve, on se trompe, peut-être, peut-être pas car, sans se consulter les deux boss, chacun de leur côté, réfutent cette idée lumineuse.
Au bout de 600 pages et des... on trouvera, fatalement, le lecteur y a bien droit, lui qui s'est usé les yeux et ses petites cellules grises à essayer d'aider, de son mieux, ces braves policiers.
Alors dire que c'est un polar folichon ne serait pas tout à fait exact. Il y a des longueurs et ces longueurs sont longues, c'est le moins que l'on puisse dire. Et puis ces auteurs qui se sentent obligés de décrire là où passent les gens qui se déplacent, comme si le lecteur savait, précisément où se trouve le café du commerce à Stockholm. On quitte la machingatan pour la trucgatan, on continue pour arriver chosegatan en face du monument aux morts. Bon j'aurai au moins appris que rue ça se dit gatan en suédois (pas vrai,je le savais déjà). de plus comme il y a un nombre incalculable de personnages, avec des noms scandinaves, ce brave lecteur, il va virer fou à force!
Bref c'est pas le meilleur cru des bouquins scandinaves, il y a bien, bien mieux.
Ahnhem termine bon nombres de ses 118 chapitres en laissant planer le suspense et, personnellement, je trouve que cela fait Pierre Bellemarre, sur Europe1, dans les années 1980, pour laisser passer une page de pub. Enfin on n'écrit plus comme ça. Cela fait auteur qui se donne le temps de penser à ce qu'il va écrire plus tard. Je n'aime pas du tout.
Pour les égyptologues, tout laisse à penser que l'auteur s'est inspiré du mythe d'Osiris. Je n'en dit pas plus.

Merci à Babelio pour cette Masse Critique et aux Editions Albin Michel pour m'avoir fait parvenir le livre.


Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Stefan Ahnhem est un auteur de romans policiers suédois que je ne connaissais pas, pourtant je lis beaucoup de thrillers et romans policiers scandinaves.
J'ai aimé l'intrigue : il est très difficile de deviner le mobile et les finalités du meurtrier, tellement il y a de pistes secondaires et de personnages. le sujet est assez original.
Les personnages principaux existent vraiment et ont de la personnalité, notamment Fabian Risk et sa collègue Malin.
Il faut avoir le coeur bien accroché car c'est souvent gore et d'une grande violence.
Il y a aussi des longueurs, ce qui gâche un peu le plaisir.
Un bon polar mais très noir.
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L'histoire se déroule à Stockholm, en Suède. le Ministre de la Justice disparaît mystérieusement. Puis la femme d'un célèbre présentateur télé est retrouvée assassinée chez elle. Fabian Risk, en Suède et Dunja Hougaard, au Danemark mènent l'enquête conjointement pour découvrir le fin mot de l'histoire.

Les auteurs suédois sont réputés pour écrire de très grands récits policiers. Celui-ci est pas mal, avec une histoire alambiquée, ambigüe et dynamique. Meurtres, disparitions, viols… les crimes se succèdent, et une seule question demeurent dans l'esprit du lecteur : qui en est l'auteur ?

Stefan Ahnhem a mis en place une alternance de points de vue entre les inspecteurs suédois et danois, qui m'a un peu gênée. J'ai été à maintes reprises perdue au milieu de ce changement de protagonistes, n'arrivant pas à suivre l'avancée de leurs enquêtes respectives. Car oui, les deux inspecteurs sus-mentionnés mènent chacun une enquête de leur côté… sans se douter une seule seconde qu'ils recherchent le même coupable ! Parfois l'un est plus avancé que l'autre, alors notre esprit se retrouve un peu embrouillé, ne sachant plus à quel degré de l'enquête l'autre inspecteur s'est arrêté. En soit, l'idée était bonne, mais sans doute pas assez travaillée, un peu trop brouillonne à mon goût.

De plus, j'ai trouvé l'histoire un peu trop longue – le livre fait quand même plus de 660 pages, ce qui n'est pas rien. Certes, il y a de l'action, mais peut-être pas assez de rebondissements, pas assez d'adrénaline, de montée en puissance. J'avoue m'être ennuyée à certains moments de l'histoire, pressée néanmoins d'arriver au dénouement.

Le dénouement, parlons-en. Après m'être farcie près de 600 pages, je m'attendais à quelque chose d'assez spectaculaire, une fin « wahou », comme on dit, qui met des paillettes dans les yeux tant elle est inattendue et surprenante. Mais malheureusement point de paillettes dans les miens, puisqu'il s'avère que la fin n'est pas si exceptionnelle : je l'ai trouvée un peu plate, trop linéaire.

Un polar intéressant, mais qui ne m'a pas pleinement satisfaite. Trop de longueurs et d'incertitudes dans la narration, et pas assez d'originalité.
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Après un court prologue dont on ne comprendra toute la finalité qu'à la fin du récit, le lecteur se trouve plongé dans une double enquête.
Tout d'abord en Suéde, le Ministre de la Justice disparaît à la sortie du Parlement. Puis c'est au tour du fils d'un notable. C'est Fabian Risk qui est chargé de retrouver les disparus assisté de sa collègue Malin Rehnberg enceinte de jumeaux.
A des centaines de kilomètres de là, en Norvége, c'est la femme d'un présentateur de télé qui est retrouvée chez elle sauvagement assassinée. L'autopsie révélera qu'un organe a été prélevé sur la victime.
Deux enquêtes qui de prime abord non rien en commun mais qui conduisent sur la piste d'un même assassin particulièrement retors.
La résolution de cette enquête commune, sans qu'il y ait le moindre échange entre les deux pays, se déroule par alternance de chapitres. Ce qui perturbe le lecteur car parfois l'une des parties est plus avancée que l'autre. le récit s'avère un peu brouillon et on a l'impression que l'histoire n'est pas assez travaillée.
On suit donc en alternance les deux équipes centrées sur des personnages de premier plan à la forte personnalité, mais qui une fois de plus une vie personnelle tourmentée et complexe qui prend parfois un peu le dessus sur leur vie professionnelle et donc de ce fait sur l'enquête.
Les chapitres sont certes courts, mais l'histoire est un peu trop longe et les rebondissements pas assez présents. On note un manque de montée en pression ce qui à pour pour effet de faire baisser l'attention du lecteur.
Un polar qui n'est pas inintéressant mais qui comporte de nombreux défauts : trop de longueurs, une fin un peu linéaire qui manque de saveur, des personnages un peu cliché aux réactions pas toujours justes. Mais l'atmosphère nordique est bien présente.
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Merci aux éditions Albin Michel et à Babelio pour cette escapade policière en Scandinavie, genre que j'ai apprécié grâce aux romans de la suédoise Kristina Ohlsson et que j'ai actuellement le grand plaisir d'approfondir avec le danois Jussi Adler-Olsen (dont il est d'ailleurs fait mention dans le présent roman). Pure coïncidence, Stefan Ahnhem fait le lien entre ces deux pays au travers d'une enquête si complexe qu'en réalité on pourrait facilement compter cinq affaires. Y-a-t-il un lien ? Si oui, lequel ? Quelles sont les bonnes et les mauvaises pistes ? Quel est le fin mot de l'histoire ? Autant de questions dont vous trouverez la réponse au bout de six cent et quelques pages !

Une lettre sans adresse s'envole d'un fourgon en Jordanie, une femme est enlevée lors de son examen gynécologique, le ministre de la Justice suédois disparaît mystérieusement et la compagne d'un célèbre présentateur danois meurt d'une manière atroce. Si tout cela semble beaucoup pour un seul roman, ce ne sont là que les premiers chapitres sur les 117 que compte le roman. Bien évidemment, ces chapitres sont courts mais cela n'atténue en rien le caractère dense de ce récit. Comme je le mentionnais un peu plus haut, le nombre d'affaires à suivre est important et ce n'est rien comparé à la multitude de personnages qui s'accumulent au fur et à mesure que l'on avance. En dehors des protagonistes récurrents, il est assez difficile de tout retenir. Pour compliquer un peu plus la chose, les chapitres alternent constamment entre divers points de vue que ce soit ceux des deux enquêteurs principaux, Risk et Hougaard, où de personnages très secondaires que l'on ne reverra parfois plus.

Ces pelotes de laine toutes emmêlées forment un véritable page-turner, ce qui n'aide absolument pas à palier la problématique mnésique, bien au contraire ! L'auteur est agaçant mais efficace dans sa manière d'amener le suspense et la tension. En ce sens, il fait très bien son boulot pour nous amener toujours à poursuivre. En revanche, c'est beaucoup trop long ! A deux ou trois reprises, j'ai eu envie de lâcher l'affaire voire de sauter des chapitres. Mais d'un, j'étais curieux de connaître la solution de l'histoire et l'explication du titre ; de deux, j'avais peur de plus rien comprendre en faisant l'impasse sur le moindre chapitre. En fin de compte, je suis plutôt content d'être resté puisque j'ai bien aimé le fin mot de l'histoire. Par contre, avec le recul, je ne suis pas certain d'avoir tout saisi, même en ayant persisté dans ma lecture complète de l'ouvrage. Mais comme je l'ai déjà répété, il y a trop d'informations à traiter et retenir…

En dehors d'une ou deux pertes de rythme, les trois quarts du roman sont intéressants. En tout cas, ceux qui se concentrent sur les enquêtent. le contexte personnel des personnages oscille entre deux extrêmes : bien trop développé et artificiel pour Risk et pas assez approfondi pour les autres. Pour être franc, le flic qui travaille trop au risque de bousiller sa famille, c'est trop classique pour me tenir en haleine. Quand en plus ce même flic me gonfle avec ses tracklists permanentes (j'ai bien saisi que l'auteur songeait déjà à la soundtrack de l'adaptation…), j'ai du mal à m'attacher. Mais quand sur la fin il se dégonfle totalement, c'est mort pour que je poursuive une saga centrée sur ce personnage. Je lui ai préféré sa collègue Malin, un brin caricaturale en femme enceinte qui en a ras-le-bol de sa grossesse, mais elle a réussi à me faire rire et en plus elle gère ! D'ailleurs, au-delà de quelques clichés et caricatures, c'est le casting féminin qui s'en sort le mieux ici.

Le dernier quart, disons dès lors que le mystère est levé, les longueurs se font d'autant plus ressentir que l'on n'a presque plus de suspense pour nous tenir en haleine. Stefan Ahnhem étire la confrontation à l'extrême de sorte que j'aurais tendance à clairement dire que j'en ai strictement rien à fiche quant au différend opposant deux ambulanciers lambdas sur Codplay. Tout ça pour décrire une scène inutile et prévisible qui sera résumée un ou deux chapitre plus tard. Voilà un exemple parmi d'autres de longueurs qui ne passent plus à cinquante pages de la fin. Autant de lignes qui auraient pu servir à développer le background de certains personnages. Mais j'imagine qu'une femme enceinte et amoureuse de son mari, c'est trop lumineux à développer dans un roman qui parle de corps démembrés et de viols avec mutilations… Alors qu'un flic au bord du divorce et qui frappe ses enfants, déjà, c'est plus dans l'ambiance…

En somme, un roman plutôt efficace mais trop long et trop copieux. La trame sous-tendant l'ouvrage est intéressante jusqu'à un final exagéré et bâclant ses personnages. Si j'ai bien apprécié la conclusion propre à la trame principale, le reste est trop vite expédié. Notons que Mais ne soyons pas de mauvaise foi, l'ultime chapitre vient préparer le terrain pour le prochain tome et très certainement que le personnage aura de quoi faire avec sa culpabilité. Reste la problématique du chapitre 1 qui, au vu du développement final, prend l'aspect d'une forme de tricherie… Alors est-ce propre à la version française ? Je ne connais pas suffisamment la grammaire suédoise pour le savoir. A moins, bien évidemment, que je ne fasse pas le bon lien…

Challenge PAVÉS 2019
Challenge MULTI-DÉFIS 2019 : Un livre édité en 2019
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Ouf ! Je viens de terminer ce pavé scandinave (une véritable congère) de quelques 663 pages. L'interjection utilisée, ne doit toutefois pas être considérée comme un soulagement. Sans être complètement satisfait, ce thriller - très gore - possède de réelles qualités dans le suspense, l'intensité, la réflexion qu'il provoque, une belle qualité d'écriture et des chapitres courts, pas plus de quatre pages en général, qui donnent de la vicacité au récit. Mais, à côté de cela, que de personnages, acteurs primaires ou secondaires, victimes ou pas et que d'imbroglios causés par une unité de temps, à mon avis, bien mal retranscrite et qui nécessite concentration. Tout cela fait fouillis et le texte aurait pu perdre une centaine de pages et avoir ainsi plus e clarté et de compréhension. du reste, je pense ne pas avoir tout compris entre ceux qui tuent gratuitement, ceux (ou celles) qui se disputent les organes de personnes enlevées, ceux ou celles qui meurent ou pas, ceux ou celles qui servent d'appât ou de fausses pistes, et notamment un dernier chapitre nommé "X", soit dix en chiffres romains alors qu'il n'y a pas les 9 précédents, se déroulant en Chine ... etc... etc
J'inciterai les futurs lecteurs, à faire très attention aux noms, aux dates quand elles sont présentes et aux lieux. Pour résumer, l'intrigue qui s'articule autour de meurtres avec mutilation et disparitions d'organes entre le Danemark (Copenhague) et la Suède (Stockholm) met en scène principalement deux policiers de chaque pays Dunja Hougaard la Danoise et Fabian Risk le Suédois. Chacun de leur côté, en parallèle à des situations familiales complexes, sera aux prises avec sa propre enquête et l'on peut regretter qu'il n'y ait pas eu plus d'interpénétration entre les deux. Dunja la Danoise disparaissera carrêment du paysage dans les 150 dernières pages, laissera à Fabian le Suédois mener ses propres investigations (on suppose qu'à un moment l'auteur a eu un déficit de création). Se mêle à ses deux personnages principaux, une inspecrice suédoise Malin Rehnberg, enceinte jusqu'aux dents de jumeaux et qui malgré tout se démènera avec une (trop) grande conscience professionnelle. Bref, ce polar, le second de Stefan Ahnhem traduit en français après "Hors cadre" best seller en Suède pourra rallier des suffrages comme aussi décevoir certains lecteurs. Cela sera selon la capacité de contention des uns ou des autres.
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Je m'attendais à une histoire trépidante et éprouvante, ce fut le cas. L'auteur plonge volontiers dans la noirceur de l'âme humaine et le gore, âmes sensibles d'abstenir donc !

Il y a des scènes très dures car les meurtres perpétrés sont violents et assez descriptifs et qu'il est beaucoup question de tortures et de cannibalisme, par moment j'en avais la nausée.

Pourtant, si l'enquête est plutôt bien rythmée avec de courts chapitres, ce qui m'a posé problème ce sont les chapitres sur la vie personnelle des enquêteurs, loin d'être palpitante !

Car La neuvième tombe est un beau bébé de 672 pages et l'auteur casse régulièrement le rythme du récit pour nous narrer en long, en large et en travers les déboires conjugaux de ses enquêteurs, et notamment Fabian Risk qui tente de sauver son mariage avec Sonja.

Je me serai volontiers passée de ces atermoiements et lamentations pour me consacrer sur la double enquête menée par Stefan et Malin (Suède) et Dunja (Danemark) et sur la course contre la montre entre la Suède et le Danemark, sur les pas d'un tueur en série sans pitié dont a bien du mal à percevoir le mobile.

D'autres choses m'ont gêné : les trop nombreux personnages, une noirceur bien too much pour moi, un enquête que j'ai fini par trouver brouillonne et qui n'en finit plus.

Pour tout vous dire, j'ai terminé ce roman en diagonale tant l'auteur a fini par me lasser et me perdre. Je ressors donc déçue de ma lecture, m'attendant à l'aimer autant qu'Hors Cadre, hélas ce fut loin d'être le cas.

Il y a tout de même de bonnes choses dans ce roman, de nombreuses fausses pistes, un mobile et un meurtrier difficiles à trouver, pour autant, j'ai fini par me lasser au bout de plus de 400 pages.

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C'était très bien parti...

J'ai lu plusieurs critiques qui notais comme erreur, la quantité de personnages et de crimes, mais ils finissent par se relier, donc si on n'est pas un fan d'histoire "Marvel" simple simple ça devrait aller pour suivre.

Où ça devient un problème c'est la fin, après un sans faute, l'auteur semble avoir terminé son livre sur l'héroïne (celle qui ne s'injecte pas celle de l'histoire), des incohérences énormes, tant sur les idées des personnages que sur la vie en général. Une femme qui fait entrer une autre femme, enceinte et sous sédatifs dans un chantier d'ambassade sans aide n'y passe-droit (c'est même chez son ennemi), alors que deux policiers vont se faire descendre en fait la même chose... un autre flic trépané "le cerveau à l'air libre" qui porte la femme enceinte et conduit…

Alors si ça ne vous dérange pas de lire 700 pages avant de tomber dans du n'importe quoi... ce livres est pour vous.
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Un polar nordique, saignant à souhait, qui revira les fans de littérature policière gore, ou approchante. Stefan Ahnhem est très efficace dans son écriture et la construction de ses récits, avec des personnages nombreux et des enquêtes complexes, met le lecteur à contribution. Comme dans "Moins 18°", nous voilà transportés de Danemark en Suède, des deux côtés du détroit d'Øresund. Deux enquêtes bien distinctes, s'ignorant mutuellement, poursuivant pourtant un même assassin, habile à brouiller les pistes au nez et la barbe des plus fins limiers, avec un dénouement final aussi inattendu que… bâclé ! Cet auteur suédois sait maintenir ses lecteurs en haleine mais ne délivre toujours aucun message, alors que le fond de l'histoire (que l'on ne révélera pas, bien entendu) est pourtant en prise directe avec la réalité politique la plus actuelle…
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