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Il était une fois Jérôme Alquié fanboy de la Génération Y qui faisait des fanarts. Ses fantarts furent remarqués, et il fut engagé pour réaliser des jaquettes. Puis ses jaquettes furent remarquées, et il fut engagé pour faire des BDs. Et son rêve se réalisa le jour où on lui demanda d'écrire, dessiner et coloriser une nouvelle aventure du Capitaine Albator, alias le Capitaine Nemo dans l'Espâce... Actuellement il est sans doute quelque part au paradis des geeks !

Les 6 premières pages nous résument tout ce qu'il faut savoir sur le capitaine, son vaisseau, son équipage, ses amis et ses ennemis : l'introduction est donc parfaite pour tous ceux qui ne connaîtrait rien au Leijiverse (je pense aux néophytes de la Génération Z).
Tandis que l'Arcadia fait quasiment à lui tout-seul le blocus de la Terre ravitaillée depuis l'Espace, les terriens eux souffrent d'une vague de froid planétaire pas très loin d'une nouvelle ère glaciaire (et dans les deux cas le gouvernants sont d'un aveuglement et d'une incompétence confinant à la trahison, tous occupés qu'ils sont à leur réélection pour continuer à profiter du confort qu'ils ont volé au reste de la population). A la base météorologique Ledus 4 dans l'Océan Arctique, le Docteur Imer et le Professeur Reiji Matsumoto découvrent que l'origine de la vague de froid est un tombeau sylvidre contenant le caisson d'hibernation d'une titanide. Seul survivant de l'expédition, le Docteur Imer est incompris des élites autoproclamées qui en ont rien à foutre de la fin du le monde et poursuivis par les agentes sylvidres qui sont très intéressées par la fin du monde. Il ne doit la vie sauve qu'à l'Arcadia et son Capitaine : et c'est parti pour l'Aventure, à la poursuite de la Sylvidre de Glace !

Il s'agit d'une série prévue en 3 tomes, et autant vous dire que les twists de la fin du tome 1 redistribuent toutes les cartes !
C'est beau, c'est coloré, c'est dynamique, et c'est respectueux de la saga originelle. L'auteur s'éclate à insérer son histoire dans la grande histoire du Leijiverse, et pour ce tome 1 il le fait avec talent et subtilité certes, mais surtout avec passion ! Ma joie est pondérée par le fait que mon Albator à moi, c'est celui de 1984 avec les Humanoïdes et l'Arcadia 4, et non celui de 1978 avec les Sylvidres et l'Arcadia 5. Mais bon, à chacun ses préférences n'est-ce pas ? Mais elle est aussi pondérée, et ce de manière plus objective à mes yeux, par le fait qu' à l'image de plusieurs de ses confères et consoeurs de la Génération Y (Bruno Lemaire, Romain Lemaire, Tony Valente, Patricia Lyfoung, Elsa Brants, le duo Vincent Chalvon-Demersay / David Michel dans l'animation et tant d'autres) le côté fan reste encore prédominant. Frères et soeurs de la Génération Y, émancipons-nous du passé et trouvons notre propre style pour redonner vie à tout ce qui nous a fait rêver !

La France est devenue plus que la Corée du Sud et la Chine l'autre pays du manga, et bon an mal an elle est désormais le 3e producteur mondial d'animation. Il est maintenant venu le temps de se poser cette question : la culture populaire française peut-elle redonner vie à l'Âge d'Or de la Science-Fiction japonaise, et plus encore si affinité (avant de mourir Shingo Araki avait déclaré qu'il fallait laisser les Français gérer l'avenir de la franchise "Saint Seiya" !). La French Touch revisitant "Mazinger Z", "Goldorak", "Albator", "Capitaine Flam", "Gundam", "Macross", "Armored Trooper Votoms"… Avec un petit coup de pouce ou un petit moment de lucidité de la part des « premiers de cordées » maraboutés par les sinistres, vénaux et ultralibéraux marketeux de la Disney Corporation, c'est fort possible ! OMG suis-je moi aussi quelque part au paradis des geeks !!!
Lien : http://www.portesdumultivers..
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À l'instar de Goldorak ou du Capitaine Flam, Albator est un héros des dessins animés de mon enfance.
Et s'il a les mêmes convictions que les deux autres pour sauver la planète Terre, il est perçu totalement différemment.
Et oui car dans le monde du capitaine, le gouvernement en fonction est corrompu et seulement intéressé par son confort personnel au détriment total du peuple. le pouvoir en place n'a d'ailleurs aucun ressentis envers la menace potentielle que sont les Sylvidres.
c'est donc sans autres choix qu'Albator est devenu un rebel, un pirate, pirate de l'espace.
Son univers est normalement très sombre mais ce n'est pas ce qui ressort le plus dans cette version de Jérôme Alquié.
Il retranscrit toutefois parfaitement l'univers de Leiji Matsumoto (malheureusement décédé récemment) qui le plébiscitera d'ailleurs pour le travail accompli
Il n'est pourtant pas facile de s'attaquer à un tels mythes 40 ans plus tard, mais l'illustration est simplement magnifique et l'histoire totalement dans la lignée de l'original.
Alors pour un premier tome, l'auteur nous dévoile quelques pièces du puzzle sans trop en faire et laisse suffisamment de suspense pour les épisodes a venir
Un exercice de style bien mené qui va indéniablement m'obliger à poursuivre l'aventure de notre capitaine a la froide apparence mais au grand coeur
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(...) Pour les gens de ma génération, Albator est surtout le héros d'un anime culte qui parlait de liberté et de lutte contre l'oppression. Ses aventures ont bercé mon enfance 🙂 Alors quand je suis tombée sur cette BD, je me suis littéralement jetée dessus ^^

L'histoire est inédite, mais basée sur l'anime. Je n'étais donc pas vraiment en territoire inconnu. La nostalgie a bien sûr joué sur mon appréciation de la BD, mais pas seulement. L'intrigue est intéressante et bien fichue, même si 56 pages, c'est un peu court pour vraiment tout approfondir. Mais il y a de l'action, de l'aventure, de l'humour, sur fond de sujets sérieux: critique de l'inertie politique de dirigeants irresponsables, destruction de la planète, etc.

Les dessins sont magnifiques, le trait est fin et soigné. On retrouve le style de l'oeuvre originale, notamment dans la représentation des personnages. Les décors sont précis et variés, il y a beaucoup de détails. Les couleurs sont somptueuses, chaque planche en met plein les mirettes.

Une super lecture, j'ai hâte de lire la suite! 🙂
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Je ne suis pas un spécialiste ni un grand connaisseur de l'univers d'Albator, je n'ai lu que quelques tomes de Capitaine Alabator Dimension Voyage, et vu le récent film d'animation. Je n'ai encore jamais lu la série principale car je sais qu'elle n'est pas terminée et que Leiji Matsumoto ne la terminera sans doute jamais. Et, aussi géniale soit-elle, j'ai du mal à me motiver pour lire une oeuvre inachevée.

Ici, ce n'est donc pas un manga que l'on a mais une bande dessinée écrite et dessinée par Jérôme Alquie, sous la supervision de Leiji Matsumoto. C'est donc le premier tome sur trois que comptera au final la BD, et qui sert donc d'introduction. Nul besoin de connaitre l'univers d'Albator pour profiter de cette superbe BD.

On y suit l'équipage de L'Arcadia qui est de retour sur Terre et qui va se rendre compte que celle-ci semble frappée par un froid anormal. Ils vont donc enquêter dans l'océan arctique et se rendre compte qu'il existe, enfoui dans les profondeurs de la Terre, une sorte de mausolée de Sylvidres, qui serait là depuis la nuit des temps, bien avant l'apparition des premiers hommes.

Ce que l'on va apprendre grâce à d'anciennes tablettes c'est qu'il existerait un pouvoir très puissant capable de provoquer la destruction de la planète. Cela nous est d'ailleurs expliqué par un scientifique qui même s'il ne fait que quelques apparitions au début, nous fera sourire car on aura tous reconnu les traits de Leiji Matsumoto, avec son béret et sa moustache. J'ai vraiment trouvé ce petit clin d'oeil de la part de Jérôme Alquie très sympathique.

Graphiquement, le titre est superbe, les planches sont dynamiques, les couleurs sont chatoyantes, très colorés et la découpe des cases est extrêmement fluide. La narration n'est pas lourde, et en tant que novice de cet univers, j'ai pris beaucoup de plaisir lors de ma lecture. de plus, en introduction on a plusieurs pages qui nous expliquent rapidement la situation, et même si quelqu'un qui connait cet univers notera sans doute des références que je n'ai pas, cela ne m'a pas empêché de comprendre et d'apprécier ma lecture.

Ce premier tome de 56 pages est une parfaite réussite, qui pour le coup, me donnerait presque envie de continuer Capitaine Albator Dimension Voyage dont j'avais arrêté la lecture tant la parution était d'une extrême lenteur.
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Avec l'autorisation de Leiji Matsumoto, créateur du héros, Jérôme Alquié nous propose une nouvelle aventure du Capitaine Albator et son équipage, en format B.D.

Plongeon dans mes souvenirs d'enfance quand je regardais les épisodes en dessin animé version 1978… un générique dynamique qui me rendait enthousiaste, un héros avec des valeurs à défendre, un peu seul contre tous il faut bien le dire. Et je retrouve tout cela avec bonheur dans cette B.D. moderne mais fidèle à l'univers et à l'ambiance. le mouvement est habilement rendu et l'alternance des cases sur fond de planches plus grandes confère le dynamisme nécessaire. J'aime particulièrement l'arrivée du vaisseau en fin de premier chapitre… j'entends presque le fond sonore qui pourrait l'accompagner !
Pour moi ce vaisseau s'appelait l'Atlantis… mais va pour l'Arcadia aujourd'hui. Albator conserve ce regard énigmatique mais profond, ce visage barré d'une cicatrice, cette immense cape quelque peu usagée, et sa détermination sans faille dans les nobles causes.
L'intrigue est à la hauteur du personnage et dans la lignée des précédentes. Un prologue retrace d'ailleurs les éléments essentiels du passé pour rattacher l'ensemble. Les scènes d'action sont splendides et très crédibles.
Un premier tome très réussi qui rend l'attente longue pour lire le suivant… (pas encore disponible à ma médiathèque).
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Albator, l'aventure manga inoubliable d'une génération remise au goût du jour, tout en respectant l'oeuvre original de son auteur Leiji Matsumoto.

Comme avec le manga Goldorak (Grendizer de l'auteur, illustrateur Go- Nagaï), Albator (Captain Harlock de son nom d'origine) connaitra aussi son hommage français de "fan rétro" en format album d'auteurs professionnels.
Les parents de la même génération que ces auteurs auront découvert en premier les adaptations animées et ignoré que Grendizer et Captain Harlock étaient des projets BD du départ, comme le jeune public japonais eux l'auront connu.
" Albator 78" sera la première aventure connue du personnage en France, bien avant "Albator 84" (prequel daté postérieurement du fait de sa sortie) et "Galaxy Express" (aventure cette fois plus datée, reprenant les premiers faits d'armes d'Albator, avant sa carrière de corsaire).

Albator, c'est l'histoire d'une amitié, entre un ingénieur de génie (Toshiro, les traductions le nommeront Alfred) et cet aventurier, Albator.
La version française va un peu semer la confusion, baptisant Alfred l'ingénieur Toshiro sur " Albator 84" tandis qu'un mécanicien à bord de l'Arcadia avait déja profité du prénom en 78.
Toshiro, sous nom japonais, y sera aussi présent en tant qu'intelligence articielle de commande du vaisseau copiée sur le cerveau de vrai Toshiro.
Notre Alfred (Toshiro) est le créateur du vaisseau - navire l'Atlantis (dans l'animé) ou l'Arcadia (en BD). L'Arcadia (l'arche") aura un sens plus juste, le vaisseau recueillant tous les persécutés et et les embauchant souvent à bord).

En fond, sur la terre, une situation critique et catastrophique et deux menaces qui prendront les humains en étau.
On nous le dit dans "Albator 78", les ressources de la Terre s'épuisent et elles profitent à une caste qui n'hésitera pas à puiser d'avantage sans partager.

Autre menace, aussi redoutable qu'envoûtante: Les Sylvidres.
C'est presque métaphoriquement la revanche de la nature.
Cette race végétale hybride humanoïde, ancienne résidente de la Terre qui s'était exilée vers les confins, reviendra réclamer son dû (finalement, elle y était bien et quand on voit ce que les humains en feront, elle n'aura pas de scrupule à l'éliminer jusqu'au dernier).
Les Sylvidres, menées d'une poigne de fer par sa reine Sylvidra, s'apparentront à des troupes d'amazones terroristes rompues au combat et au tir du laser.
Manigançant souvent de l'intérieur en espionnes, il faudra souvent les débusquer sous leurs fausses apparences de femmes belles et fragiles.
Les anciens fans de l'animé n'auront pas oublié ce fameux cri de "sirènes" presque envoûtant à la destruction enflammée de chaque sylvidre tuée.

L'amitié d'Alfred (Toshiro) et Albator sera développée tout au long de ces différentes séries.
Et dans " Albator 78", Albator aura le goût de la vengeance dans la bouche, Alfred-Toshiro n'est plus, à cause du gouvernement et sa fille sera placée dans un orphelinat, subissant souvent les brimades et les mauvais traitements.
La romance d'Alfred-Toshiro et de la rousse pirate Esmeralda dans " Albator 84" restera mémorable, proposant ainsi un pendant pirate et personnage féminin de poigne autre que celle qui boit ou de l'assistante Nausicaa un peu décorative, sorte de Uuma de l'équipage Star Trek Entreprise.
Nous ne savions pas sur le " 78" si la fille d'Alfred pouvait aussi être celle d'Esméralda, qui fera quelques apparitions pour offrir le coup de main à l'occasion.
L'auteur fera enfin intervenir un nouveau personnage, Ramis en français (Tadashi) qui fera démarrer l'aventure 78 en animé et nous présentera toute l'histoire vu sous son angle.
Albator reste un personnage mystérieux et impénétrable donc aucune chance qu'il soit celui qui raconte.
Ramis perdra son père, un scientifique qui aura découvert la future invasion sylvidre, et voudra en découdre avec les sylvidres en s'engageant sur l'Arcadia.
Albator, déja rongé, lui montrera qu'il y a une autre voie possible pour respecter la mémoire de son père.
Ramis sera ici un peu placé en fond de décor.

Le terme "Corsaire" accolé à Albator dans sa célèbre chanson de générique "78" ne semblera pas forcément approprié, les corsaires de l'époque révolue des pirates du XVIIIème siècle étaient ceux qui durent se soumettre à la royauté anglaise, se mettre au service du gouvernement sous peine de mort. C'était une forme d'amnistie vue selon la royauté. Ainsi les corsaires se mirent à traquer leurs frères les pirates indociles pour les remettre dans le rang ou les exécuter par le fond de l'eau.
Albator est tout sauf un pirate rangé et à la solde d'un gouvernement terrien abusif.
Il sera une épine dans le pied au service de la justice sociale, un peu comme un "Robin des bois" de l'espace.

La version de l'auteur Jérôme Alquié respectera l'esprit que les lecteurs fans français ont de ce manga, un bon goût d'aventure avec un héros ténébreux, un plaisir du voyage dans la frayernité et la piraterie sur le registre de la Science-Fiction. Les enjeux, les liens entre les personnages seront limpides.
Cette version permettra peut-être à de nouvelles générations de revenir vers la série patrimoniale d'origine, qui aura quand même un peu vieilli, sans passer par nos premières adaptations françaises des années 80 de "Captain Harlock" qui sont aujourd'hui presque des collectors, sans doute trop rétros (pour les fans de l'animé, on avait fait une BD. Amusant, non?).
La colorisation et le papier glacé de la BD "Mémoires de l'Arcadia" rendront un résultat très agréable et séduisant.
À ne pas manquer les nombreuses OAV d'Albator (des animés réalisées spécialement pour la version vidéo et des aventures One-Shot).
Pourquoi hésiter? Embarquez!
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Albator (avec Goldorak et Capitaine Flamm), c'est toute mon enfance, c'était mon héro, je jouais Albator, je dessinais Albator (même dans ma purée 😆) et je rêvais Albator, c'est lui, l'Arcadia, et son équipage qui m'ont donnés cette passion du Space Opera. Ayant vu tous les animés de 78 et de 84 + les Galaxie Express 999 et lu l'intégrale des mangas d'Albator et aussi d'Emeraldas, je ne pouvais manquer ce rendez-vous.


Mon fils m'a offert le premier tome pour ma fête lors de sa sortie, j'ai acheté les autres par la suite pour tout lire en une fois, j'ai même encore attendu par peur d'avoir fini de les lire, mais il fallait bien se lancer.


Nous sommes avec cette trilogie sur une histoire originale, une éternelle bataille contre les Sylvidres mais aussi des Alliances imprévues pour sauver la Terre.


Le scénario est digne d'Albator (j'avais peur que ce ne soit pas fidèle, mais si).


Pour les personnages, je n'ai pas grand chose à dire, je les adore mais c'est pas très étonnant, j'ai été agréablement surpris d'y voir Maetel (Galaxy Express 999) et la princesse Emeraldas faire une apparition ❤


Les dessins sont très respectueux et très beaux, la colorisation de même, C'est même superbe !


Kana et Jérôme Alquier ont sorti le grand jeu et je suis pleinement conquis !!!!


Si seulement une nouvelle trilogie pouvait voir le jour ce serait parfait.

ps : ma critique est valable pour les 3 tomes que j'ai lu les uns à la suite des autres le même jour.
Lien : https://unbouquinsinonrien.f..
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Le voici de retour, le Capitaine Albator !!

A bord de l'Arcadia et accompagné de ses 40 hommes libres d'équipage, le Capitaine Albator doit préserver la terre d'un danger imminent : le retour des Silvidres sur terre.

Mais voilà, c'est une quête bien solitaire qu'il doit mener car les dirigeants de la terre en ont fait un hors-la-loi, bien plus préoccupés par leur petits plaisirs que de faire face à la menace qui se profile à l'horizon...

Le plaisir de replonger dans cette série qui a bercé toute ma jeunesse !!
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Des graphismes au scénario en passant par une coloration qui n'est pas sans rappelée le dessin animé originale, cette bande dessinée ravira les nostalgiques comme les néophytes.
Albator, Albator, du fond de la nuit d'or
Albator, Albator, de bâbord à tribord
Tu veilles sur la Galaxie, sur la liberté aussi
Albator, Albator, le corsaire de l'espace...
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Capitaine Albator est une réussite qui plaira autant fans de la première heure, qu'aux nouveaux lecteurs.
Kana et Jerome Alquié nous offrent une BD avec des graphismes sublimes, avec un mélange d'exploration et d'action, une intrigue qui tient très bien la route, et qui nous permet de retrouver notre pirate légendaire.. Bref, il faut l'avoir!!

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