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EAN : 9788804677338
442 pages
Mondadori Libri, 2017 (13/06/2017)
4/5   2 notes
Résumé :
Ripercorrere l'intero cammino compiuto da Milo De Angelis, uno dei pochi veri protagonisti della poesia, non solo italiana, tra Novecento e nuovo secolo, è un'avventura stimolante e capace di aprirci sempre nuovi scenari di emozione, dove l'acutezza del dolore e la presenza del male non si impongono mai, definitivamente, sulla vitalità potente della parola poetica. La complessità in costante tensione di questa lirica si rivela nel 1976 con "Somiglianze", esordio di ... >Voir plus
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Les nations se noient, les tours s'effondrent, un chaos
de langues et de couleurs, de traumatismes et de nouvelles amours,
entre dans Bovisasca, efface la solitude magistrale
du XXe siècle, de nos lignes
suspendues dans le vide. D'autres femmes errent au milieu
des restes du marché, dans la nouvelle misère
de ce moment. Je m'assois au café en bas,
je regarde le paysage que Sironi a fait, un 12
août solitaire , je commence à convoquer les ombres.

Je revois mon père dans une ville balnéaire, une brise
de la Belle Epoque et le sourire perdu d'un garçon.
Et puis Paoletta qui a triomphé sur le tapis de judo
trois secondes avant la fin. Et Roberta
qui a consacré sa vie. Et Giovanna,
dans un silence hospitalier, quand le temps
révèle ses grands paradigmes.

"Les amours ténébreux reviendront à la vie les
amours qui ont laissé une épine parmi les années
reviendront, reviendront, lumineux."
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Affogano le nazioni, crollano le torri, un caos
di lingue e colori, traumi e nuovi amori,
entra alla Bovisasca, spazza via il novecento
della solitudine maestra, del nostro verso
sospeso nel vuoto. Altre donne si aggirano
tra gli scarti del mercato, nella nuova miseria
di questo istante. Io siedo al caffè sottocasa,
guardo il paesaggio che fu di Sironi, in un solitario
12 agosto, inizio a convocare le ombre.

Rivedo mio padre in una città di mare, una brezza
di Belle Epoque e un sorriso sperduto di ragazzo.
E poi Paoletta che sul tatami trovò la vittoria
a tre secondi dalla fine. E Roberta
che ha dedicato la sua vita. E Giovanna,
in un silenzio di ospedali, quando il tempo
rivela i suoi grandi paradigmi.

“Torneranno vivi gli amori tenebrosi
che in mezzo agli anni lasciarono
una spina, torneranno, torneranno luminosi”.
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MILAN LÀ-DEVANT

Milan là-devant, là-devant
comme une idée à l’aplomb
ou une expectoration de sang
dans le plus long centimètre entre les tempes
nous observons les planètes de la fortune,
les boîtelettes qui nous fixent une frontière
jusqu’à ce qu’un chemin nous conduise
dans le tête-à-tête étranger
mendiants d’hôtel
avec l’idée et dans l’idée le schisme.


//Traduction Angèle Paoli
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Ce n'est plus possible. Les pleurs qui se
sont transformés en rires fous, les nuits passées à
courir sur la Via Crecenzago, à courir après la
bannière néon d'un kiosque à journaux. Ce n'est plus possible. Ce n'est plus le nôtre,
le battement de cœur d'attendre minuit, d'attendre
minuit vient avec son vrai tumulte,
avec la frénésie de toutes les heures, toutes les heures.
Ce n'est plus possible. Il n'y a qu'une seule fois, une seule
mort, quelques obsessions, quelques
nuits d'amour, quelques baisers, quelques rues
qui mènent hors de nous, quelques poèmes.
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Tout était déjà en route. D'alors à ici. Tout le
temps, lumineux, parcourait les lèvres. Toute
la respiration enfilée sur le collier. Les
ombres de Lambrate fermèrent la porte. L'ensemble de la pièce
est devenu le premier battement de cœur. Le noir
de vos cheveux contre le jaune des derniers rayons de soleil.
D'alors à ici. C'était le premier jour de l'été.
Le silence a rempli nos pensées. Tout était
déjà en route, dès lors, tout était là, unique
et perdu, le nôtre et loin de nous, brûlant. Tout
nous a demandé de l'attendre, de retrouver son vrai nom.
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