Citations sur Le cycle des robots, tome 3 : Les cavernes d'acier (59)
L’homme est issu de la Terre, entends-tu ?
C’est sa mère nourricière, entends-tu ?
Spacien, va-t’en, disparais
De la Terre qui te hait !
Sale Spacien, entends-tu ?
Il faut garder la foi en notre vieux cerveau d'homme! Notre plus grande richesse, c'est notre génie créateur.
La différence entre l'être humain et le robot n'est peut-être pas aussi significative que celle qui oppose l'intelligence et la bêtise.
La forme humaine est, dans toute la nature, celle qui donne le meilleur rendement.
L'homme est capable de grands élans de charité
Les oiseaux voletaient donc par centaines, et, aile contre aile, ils venaient s’aligner sur l’auge, en pépiant de façon assourdissante. Telle était l’image qui vint à l’esprit de Baley, au moment de quitter le restaurant communautaire. Oui, des oiseaux rangés sur leur auge !... C’était bien ça ! Et cette constatation le dégoûta, au point qu’il se demanda s’il n’y aurait pas moyen de vivre autrement, mieux que cela ?... Mais qu’y avait-il donc de défectueux dans ce mode d’existence ?
Dans une société sous-peuplée, il est normal que l’on pousse l’étude de la gérontologie, et que l’on recherche les causes de la vieillesse. Dans un monde comme le vôtre, prolonger la durée moyenne de la vie serait un désastre. L’accroissement de population qui en résulterait serait catastrophique.
La différence entre l’être humain et le robot n'est peut-être pas aussi significative que celle qui oppose l'intelligence à la bêtise...
Tous les ennuis que nous vaut la vie moderne sont dus à ce qu’il y a divorce entre la nature et nous.
Tous les ennuis que nous vaut la vie moderne sont dus à ce qu'il y a divorce entre la nature et nous.