A l'humanité, avec l'espoir qu'un jour peut-être nous remporterons la guerre contre la folie des hommes.
Hésitant, il fit un pas vers elle. Elle ne recula pas. Il cessa d'hésiter.
Puisque vous êtes obligé de garder votre tunique sur votre corps, débarrassez-vous au moins de ce que vous avez sur le coeur.
L'homme est toujours le produit de son environnement.
Quoi qu'il en soit, il n'y a jamais eu de fins heureuses dans l'histoire humaine, seulement des crises qui se sont résolues, l'une après l'autre. Nous avons surmonté celle-ci, je crois, et nous nous préoccuperons des suivantes quand nous les verrons poindre à l'horizon.
Schiller l'a exprimé magnifiquement, et je partage cette opinion.
- Qui ça ?
- Schiller. Un poète allemand qui a vécu il y a trois siècles. Dans une de ses pièces, où il est question de Jeanne d'Arc, il fait dire à un de ses personnages : "Contre la stupidité, les Dieux eux-mêmes luttent en vain." Je ne suis pas un dieu et je me refuse à lutter plus longtemps.
Le moyen le plus aisé de résoudre un problème, c'est d'en nier l'existence.
-Il n’existe pas aujourd'hui de péril plus grave et plus irréversible que celui que nous fait courir le Pompage.
-Sans aucun doute. Sans aucun doute. Si vous avez raison. Mais ce que vous venez de me dire peut se résumer à ceci : votre hypothèse diffère de celle qui est généralement acceptée. Mais comment savoir laquelle des deux est la bonne ?
Contre la stupidité, les dieux eux-mêmes luttent en vain.
Ce serait une erreur d'imaginer que les gens demandent qu'on protège leur vie et leur environnement, et qu'il témoigneraient de la reconnaissance à un idéaliste qui mènerait le combat dans ce sens. Les gens ne pensent qu'à leur confort.